Vendredi 9 octobre 2009 à 6:56

Tu m'appelles ce matin pour me dire que tu vas bien. Que le la ville est juste trop grande. Nous deux maintenant trop loin. Tu vis, tu reconstruis. Tu reprends la musique et tu te souviens de comment on fait, pour tout le reste. C'est ça, cours, cours dans ton mensonge, cours dans cette certitude de me connaître trop plutôt que pas assez. Tu devrais savoir pourtant. Savoir qu'un matin il y aura une fille, devant ta fac, à la sortie de ta station de métro, ou en train de courir près de toi. Et là, tu t'effondreras. Je ne le souhaite pas. Je le sais. C'est pire. Qu'ai-je fait pour que mon affection devienne à ce point un boulet que tu traînes ? A quel moment a-t-on arrêté de se battre et de se courir après plutôt que côte à côte ? C'est vrai, j'ai dit non. Tu n'es pas habitué. Alors habitue-toi vite mon petit. Parce que tu me manques. Bordel.
Par crumpled le Vendredi 9 octobre 2009 à 9:22
Parfois le brouillard dévie nos routes mais il se dissipe toujours un moment ou a un autre.
Par Satine le Vendredi 9 octobre 2009 à 16:12
pfiouh je vis ça en ce moment, ce n'est vraiment pas évident :s
courage ma belle.
sinon je suis rentrée à Paris avant-hier car j'ai eu des problèmes avec ma famille d'accueil irlandaise. J'aimerais beaucoup te revoir (oui parce que les rencontres cow c'est bien joli mais pas commode pour faire plus ample connaissance) . D'ailleurs là à l'instant je reviens de Paris Nord où j'ai passé un moment avec Pierrot ^^
 

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