Mardi 11 novembre 2008 à 16:40

Avoir ça en tête : "mais je t'envoie tous mes baisers, les étoiles et les scotchs usés..."

Le reste, on oublie. <3

Vendredi 31 octobre 2008 à 14:21

MON PREMIUM EXPIRE CE SOIR A MINUIT !!!!!!!

Si quelqu'un pouvait m'en avancer un, je pourrai lui en rembourser un au plus tard le mercredi 5 novembre.. Mais là j'ai totalement zappé avec la nouvelle version et tout et tout.... S'il vous plait. Ca me ferait plus que chier de perdre les articles et les designs maintenant que j'en suis là....

Mardi 28 octobre 2008 à 19:02

"Une Sophie moins froide, forcément, ça donne une Sophie plus émotive."

Merci Sophie. Parce que ça fait du bien de lire ça. Sans avoir besoin d'y réfléchir plus que ça. Parce qu'une Mymy moins froide, forcément, ça donne une Mymy plus émotive. Et ça, ça me fait royalement chier.

Dimanche 26 octobre 2008 à 18:10

Tout va bien, tout est remis en place dans mon blog (à la notable exception près de ma tagboard) alors qu'on ne vienne pas me dire que c'est hors de portée de qui que ce soit  : je suis blonde.

Et ça a été archi-prouvé.

Dimanche 26 octobre 2008 à 9:29

Beaucoup râlent à cause de la v3. Je le conçois et le comprends. Mais zut. Je n'ai pas envie de râler après tout ce que cowblog m'a apportée. Alors oui il va falloir un temps d'adaptation, peut-être que ça va "épurer" le site ou que sais-je encore. En tous cas, moi je ne suis pas prête de partir. Et pendant ces vacances je vais donc me replonger dans mes habillages. Argh.

(Ceci dit, si je ne retrouve pas ma photo de fond de "Paris en ce jour" quelque part dans mon ordinateur... Je pète un câble ^^')

Jeudi 23 octobre 2008 à 23:19

Que très honnêtement la v3 à part éventuellement le changement d'éditeur pour les articles et les noms de domaines, je m'en foutais complètement. Mais sachant comment j'ai galéré pour mes pov's designs, j'dois avouer que j'ai un peu les boules. Alors ouais, Kaa, promis, je ne panique pas mais... J'aurais jamais le courage de les refaire. Enfin bref. Je n'écrirai probablement pas ce que j'avais envie d'écrire ce soir. Parce que c'est tout.

Mercredi 22 octobre 2008 à 18:53

Je ne saurais pas supporter que mes chimères deviennent réelles. Du coup je n'ose pas les écrire. Et merde.

Vendredi 17 octobre 2008 à 21:26

Il le dit, lui, qui m'a déjà vu : je suis la reine de l'air. Je suis un courant d'air. Je suis un coup de vent. Je suis un coup. Voilà tout. L'air est là. Mais ça n'est jamais celui qui marque le plus. Il est trop exceptionnel, à en devenir banal. Il faut savoir arrêter la comparaison. Vous n'y arrivez pas. Je m'en fous.

Mardi 7 octobre 2008 à 22:07

Suivre mes propres conseils.

Montre-toi vivante ou tu finiras par ne plus l'être.

Samedi 4 octobre 2008 à 23:41



C'est fou. Quand on retourne sur nos vieux blogs, on retrouve de vieilles photos. On relit de vieux articles. Et on voit à quel point on a changé, grandi. Heureusement. Mais avec certaines personnes les choses sont restées les mêmes, parce qu'elles étaient exceptionnelles dès le départ. Tant mieux.

Vendredi 3 octobre 2008 à 21:52

J'adore cette sensation du matin. Quand tu sais qu'il fait froid, quand la pluie tape contre ton velux, ou ta fenêtre. La chaleur de la couette. Rien que pour ça ça vaut le coup de vivre dans une région ou le temps n'est franchement pas génial. Quand tu sais que tu n'auras pas à te lever. Pour ma part, demain, si, je vais devoir me lever. Mais dimanche non. Je m'endormirai dans l'alcôve de la fenêtre, la nuit sera en train de partir peu à peu et j'aurai l'ordinateur sur les genoux. Décidément, une semaine sur deux ça ne peut être qu'un bon week-end. Et cette envie de dormir ailleurs...


Lundi 22 septembre 2008 à 19:07

La chaîne que j'attendais et  que j'ai reçue par le biais de ma belle Audrey :


1. Citer la personne qui vous a tagué : Audrey donc.


2. Indiquer le règlement du jeu : Bah vous suivez la consigne...


3. Choisir un livre et l'ouvrir à  page 123.


4. Recopier à la cinquième ligne les cinq lignes suivantes.


5. Indiquer : Le nom du livre, de l'auteur, de l'éditeur et de l'année d'édition.


Trop facile... Y'a 123 pages à mon édition d'Antigone.

"Morts pareils, tous raides, bien inutiles, bien pourris. Et ceux qui vivent encore vont commencer tout doucement à les oublier et à confondre leurs noms. C'est fini. Antigone s'est calmée maintenant, nous ne saurons jamais de quelle fièvre."

Antigone - Jean Anouilh

Samedi 13 septembre 2008 à 21:32

Tellement de mots à piquer au papier pour les remettre ici. Mais je remets au lendemain. Toujours. Parce que ce soir je suis trop fatiguée. Toujours.

Vendredi 12 septembre 2008 à 22:13

Y'a des choses parfois, toutes simples, qui vous touchent plus que bien d'autres. Des choses qui vous crient et vous prouvent qu'il ne faut surtout, surtout, surtout ne jamais partir.

           Dora [...]            dit :
(tu n'auras rien eu à faire ou dire mais tu me donnes envie d'écouter DCFC ce soir)


Dimanche 31 août 2008 à 0:14

Juste pour les beaux yeux de cette demoiselle donc, six choses inutiles (ou pas), sur moi.

1. j'ai souvent l'impression d'être en parfaite adéquation avec le temps, c'est pour ça que dans mes écrits je parle souvent météo... Avec ça, j'adore sortir sous la pluie, comme ça, pour rien, ou sous la neige.

2. j'aimerais changer à ma guise sans me prendre la tête... Sans craindre qu'il n'y ait personne pour me retenir.

3. quand je vais bien, tout comme je vais mal, je me jette dans mon lit, et puis voilà tout. Je dois passer les 3/4 de ma vie dans ce lit, pour lire, pour écrire, pour jouer, pour parler à mon oreiller, pour téléphoner...

4. chaque été depuis que je suis en 6ème je vais chez Adeline et Adeline vient chez moi, pour camper et faire un feu de camp, si le temps le permet. Chaque été on passe des nuits entière à parler de ce qu'on peut considérer comme des "trucs de filles".

5. en relation directe avec le n°4, j'ai appris que certaines filles que j'ai toujours, ou presque, considérées comme des amies, ou du moins comme de très bonnes copines, n'avaient même pas cru en l'existence de ce qui a habité une majeure partie de ma vie ces 8 derniers mois. Ma revanche est sur le point d'arriver.

6. Pas d'école de chant pour moi cette année. Ma voix m'énerve. Mais en chantant "Ne me quitte pas" cet été, j'ai pour la première fois eu l'impression d'arriver à quelque chose. Encore un an à attendre. A croire que ma vie ne démarrera réellement que dans un an. J'ai cru pouvoir avancer cette échéance.

Un numéro sept parce que je n'aime pas le "6" et que j'ai décidé de bannir le chiffre 8 de ma vie. Le huitième jour, le 8ème mois, ras-le-bol d'avoir cette poisse.
Je supprime officiellement le mois d'août de ma vie. Si vous avez une idée de nom pour le mois entre juillet et septembre, je suis preneuse. 7. (enfin) quelqu'un a voulu me donner un surnom affectueux hier. Pas de chance pour lui, ce surnom, qu'une seule personne est autorisée à me donner, m'a fait me dire que décidément, en plus de ne pas avoir droit de m'appeler ainsi, il n'avait plus le droit de m'appeler tout court. Je l'ai bien dit une fois. Que j'étais reine. Parce que c'est la seule et unique fois que j'ai craqué, devant le Prince des Voleurs. Seule une autre vie pouvait me faire changer d'avis. Alors désolée.

Et si quelqu'un comprend le numéro sept, je lui paye un verre. Si cette personne comprend aussi le 1006... Bah je crois que je serais heureuse. Ah. Je ne fais pas passer, c'est toujours pour les mêmes personnes alors, elles se connaissent. Sinon laissez un commentaire. Et ces chaînes... Dur de faire un choix sur six ou sept choses inutiles à dire, j'en ai tellement dans la caboche.

Jeudi 28 août 2008 à 0:09

- Dis...
- Oui ?
- Ça aurait donné quoi ?

[...]

En fait, j'ai commencé à écrire un dialogue. Un de ces fameux "dialogues imaginaires". Le problème c'est que celui là ressemblait trop à la réalité. Il ressemblait surtout trop au courage que j'aimerais avoir. Pardon.

Dimanche 17 août 2008 à 21:59

De retour.

Je ne sais pas si ça sera pour très longtemps mais je suis de retour.

J'ai reçu des cartes, des emails, des lettres, un article, et je vous en remercie.

Ce qui est chiant c'est quand on est à deux doigts d'y passer et qu'on ne voit pas sa vie défiler devant soi, comme on l'a toujours lu. Quand après coup, quand la vie est sauve et qu'on a à nouveau le temps de penser, sans se soucier de l'oxygène qu'on pourra respirer dans dix secondes. Parce que le "quand", ce moment précis qui dure une éternité d'horreur, et bien il n'est pas différent des autres. On pense à la personne à laquelle on aurait jamais dû penser. A laquelle on a pensé sans le dire. A laquelle on a pensé en le criant sur tous les toits. Mais on en avait pas le droit et il y avait une bonne raison pour cela. C'est terrible de se dire que l'esprit humain reste intact. Fantastique mais terrible. Tout de même, ça aurait été con de mourir comme ça. Je n'aurais pas pu vous raconter.

Jeudi 31 juillet 2008 à 19:15

"Symptomatologie extrapyramidale."

"vidéo de concour de penis"

"date anniversaire Nicolas Sarkozy"

"coiffeur punk paris"

"profil des assistantes personnelles d'artiste"

"poème jouissif"

"chapeauteuse enchapeautee"

"habillage pour bonne soeur"

"mitoyen slave owners"

Et ma préférée : "je suis une fille déposée sur un coin de lèvres."

Samedi 19 juillet 2008 à 14:21

Quand ça n'allait pas, que par sms on s'était pris la tête pour des conneries purement physiques, je n'étais pas moi-même. J'avais la tête ailleurs, là où je pouvais te faire sourire, te faire comprendre facilement. Je me suis probablement trop reposée sur cette idée que ce serait tellement plus facile. Je n'ai d'ailleurs pas été la seule. Au moins ça me donnait assez de force pour regarder devant et ne pas éclater un pot de sauce mexicaine plus d'une fois en plein Auchan.

Et quand je ne sais pas où je suis je ne dis rien et doute. Avance sans savoir où je vais. Me demande vers quelle destination je prendrai mon billet de train. J'ai envie de la changer. Pas de direct pour Lille pour moi. Enfin. J'ai parlé d'un coup de théâtre.

Mais d'une manière comme de l'autre, comment voulez-vous que j'arrête un jour ?

"Tu sais je pourrais passer des heures à relire tes mots, à les retourner dans tout les sens. Je voudrais pouvoir te les voler pour leur beauté et leur force. Tes mots se transforment sous mes yeux et s'adaptent a chaque situation.

Merci. <3"

C'est juste devenu impossible.

Vendredi 4 juillet 2008 à 22:50

Et une Mymy en route pour de nouvelles aventures.. Dis tu nous racontera hein ? J'ai mis tes mots de passes sur mon écran pour pas les oublier. On prendras soin de la maison. On sortiras le chien et on arrosera les plantes. Mais reviens parce que tu vas nous manquer.

Lady.

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