Mercredi 29 juin 2011 à 1:50

C'est drôle de se dire que... Je compte ; trois ans après je peux retrouver tes mots, celui que tu étais alors, celui qui m'avais plus. Je compte, et toi, tu contais si bien.

Samedi 30 avril 2011 à 23:57

 "[concernant le "e" muet] toutes ces désinences heureuses laissent dans l’oreille un son qui subsiste encore après le mot prononcé, comme un clavecin qui résonne quand les doigts ne frappent plus les touches."
Voltaire.


Plus j'étudie la langue française, plus j'ai envie de jouer avec, d'écrire et de m'améliorer. Il sera bientôt temps.

Dimanche 8 novembre 2009 à 20:35

"Je ne te l'ai jamais dit, mais là ça s'impose.
3 ans que je suis tes aventures, tes mots, tes souhaits, tes pensées sans rien dire.
Beh là, je le dis.

Ca fait limite psychopathe quand j'y repense.

Tant pis =)

C'est beau chez toi."

Dimanche 11 octobre 2009 à 0:31

A quoi elle ressemblait, déjà, cette gamine de treize ans qui paraissait majeure ?


J'en arrive à me poser la question. Quand c'était une clé, tout court, que j'avais autour du coup. Celle que j'ai perdue.
C'est loin, toutes ces vies là. Et en même temps, pas tant que ça.

Lundi 14 septembre 2009 à 23:29

- Et puis lui quoi, c'est le plus... Plus plus !

- Mais encore ? Tu veux dire quoi par "plus plus" ?

- Le plus classe, le plus... Tout.


Bizarrement, même toute seule, j'aurais remarqué.

Dimanche 31 mai 2009 à 19:05

Manue est une fille géniale. Qui a la solution à tout. Ou à presque tout. "Bon, si elle arrive vers toi tu me roules un gros palot !" Oui. Manue est une fille géniale. Prête à tous les sacrifices pour m'aider. Très ingénieuse. Mais zut, elle a la solution à presque tout !

...

Et on ose se demander parfois pourquoi certains croient qu'on est ensemble. Enjoy.

NB : ça vaut presque l'astuce de Léa pour ne pas connaître les joies de la première cigarette.

Samedi 9 mai 2009 à 14:54

Quand certaines personnes vous font comprendre ça. Ce que vous croyez connaître du regard que portent les gens sur vous est totalement erroné. Remise en confiance. "Gentille. Vraiment incroyable." "Tu m'avais impressionné avec tes airs de garçon manqué qui fonçait sur tous et qui les envolait avec une sacrée volonté et un grand sourire." Des claques que l'on aime se prendre. Surtout quand elles viennent d'eux. Maintenant, fonce.

Lundi 15 décembre 2008 à 21:58

"J'ai trouvé ton cadeau de Noël."

Je crois qu'elle ne sait pas à quel point j'ai été surprise et touchée à la fois. Surtout en ce moment. Finalement cette journée n'est peut-être pas à oublier. Comme toutes les autres à vrai dire. Cela faisait longtemps.

Dimanche 30 novembre 2008 à 21:06

Je reprends le texte d'un monsieur qui n'aurait, à mon sens, jamais dû arrêter d'écrire. Si je le reprends sans demander d'autorisation préalable c'est parce que j'en ai envie. Justement. Et que justement je devrais marcher un peu plus souvent comme ça.

"Il n y a dans ce monde qu'un enchevêtrement de masse et de chair. Une étincelle pourtant et l'édifice prend feu. Les corps en harmonie, un bouillon de vie. Et ces envies, comme des torrents d'eau noire, rouge, jaune. S' enivrer de chaque sens et sentir le soleil grignoter chaque parcelle de ces chairs. Partir au confin de chaque être, explorer chaque millimètre. Il n y a pas de demi mesure. Seulement l'envie."

C'est ça oui, il ne reste que l'envie. Pas qu'un peu d'ailleurs.

Samedi 8 novembre 2008 à 13:32

S'endormir à 19h40. Se réveiller à 11h40. Ah là pour le coup je dors et je ne réfléchis pas. Je loupe un DS d'éco que j'avais bossé. J'suis encore fatiguée. Il y a du vent. Il y a de la lumière. Tout à l'heure j'ai eu une pensée inédite. Presque dérangeante. Je ne la donnerai pas. Allez. Tentez un peu de trouver. Ce n'est pas si dur.

Elles sont toujours là, quelque soit la saison.
En six lettres au pluriel.

Dimanche 31 août 2008 à 17:35

" On pourrait faire tellement mieux mais on arrive pas à tendre le bras..."


J'aimerais que tendre le bras soit suffisant.

Vendredi 8 août 2008 à 14:23

    Dans un pré, allongée, se dire qu'il avait raison de s'enfuir. La vie ici n'est plus aussi prenante qu'elle l'avait été par le passé. On s'était bien amusés, ça, on ne l'oubliera pas, mais lorsqu'il faut tourner la page, il est toujours le premier à le faire. Il faut avancer. J'avais évité les adieux, non pas parce que je ne les supporte pas, mais parce que je n'avais pas envie de les supporter. Je ne sais même pas quand il doit partir. Est-ce que ce sera dans 3 heures, 6 mois, 2 semaines ? Faire son sac, ça lui prendra quoi, 3 secondes ? Et m'oublier ? Pareil. J'aimerais en faire autant, ou plutôt juste... Oublier qu'il m'a oubliée, mais garder en moi son sourire plein de cynisme. J'adore son cynisme. J'ai l'impression que sa voix raisonne en moi, dans chaque recoin de ma tête ; des échos, qui s'entrechoquent, se répondent ou s'ignorent, mais quoiqu'il en soit, qui parlent et parlent encore. Ce n'est pas qu'il me manquera, c'est juste que son image s'arrêtera là. Ce n'est pas plus mal, elle est belle cette histoire, elle ne pouvait pas être plus parfaite, en tout cas pour nous. Finalement, je pense qu'il ne m'oubliera pas. Il y aura bien un bout de son âme qui flottera quelque part en chuchotant mon nom. Il ne m'a pas dit où il allait. Je ne le lui ai pas demandé. Si d'une façon ou d'une autre je l'avais su, ça n'aurait rien apporté de bénéfique. J'aurais soit cherché à frôler l'endroit où il serait, soit j'aurais tout fait pour éviter la zone. C'est mieux de m'arrêter à "il part", question de liberté.
    Alors se relever, sentir le vent qui se lève, et se dire que c'est peut-être à mon tour de partir.

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A part ça, je ne sais pas. Je voulais user ton mot de passe invité ma clonée, t'écrire un petit mot, n'importe quoi, pour te montrer que je pense à toi, et c'est ça qui est venu. Je tiens à souligner que ça fait des mois que je n'avais pas écrit, mais vraiment hein, des mois. Il m'aura suffit d'une fenêtre pleine de toi pour que ça coule, comme avant ; il suffit de ne pas y penser, enfin je crois.

Je t'embrasse et j'espère te voir, bientôt.

Ta cellule-mère !

Vendredi 25 juillet 2008 à 10:59

Faire confiance aux gens et voir qu'à la fin ils en ont rien à cirer.

J'ai toujours cru aux gens.

Je n'en suis pas.

Dimanche 13 juillet 2008 à 14:17

"Une fois plongée dans l'ambiance, on sourit et on ne pense plus. On oublit les questions, on est en apnée et on apprendra à respirer plus tard, ou pas."

Alors oui je suis en apnée. Moi je n'ai pas peur de plonger. J'ai peur de remonter à la surface. La couleur de l'eau ou sa température n'ont plus rien à voir là-dedans. La seule question aurait été de savoir si il y aurait eu quelqu'un pour m'aider à remonter.

Lundi 7 juillet 2008 à 22:31

Si j'avais le temps, je t'enregistrerais une chanson. Un jour, on chantera ensemble, d'accord ? Avec nos guitares et nos sourires. Parce que ta voix, elle est belle. En attendant, j'ai découvert de jolie chansons. Ici. Ça peut peut-être te plaire. Oh, j'ai fait une allitération sans même m'en rendre compte. Un jour, j'espère que notre virtuel se rejoindra dans le réel. Tes mots sont si beaux, Margaux. Il va falloir que j'arrête avec mes procédés poétiques (la rime). Tout cela n'a ni queue ni tête et je ne sais pas vraiment pourquoi j'écris. Juste pour me dire que moi aussi je suis là, parmi toutes ces phrases et ces lettres qui dansent entre tes mains.
Tu sais, quand j'étais petite, je prenais mon vélo et je roulais dans les flaques d'eau. Après, la roue créait une ligne humide qui se déroulait sur la route. J'ai recommencé aujourd'hui, et j'ai pensé à ça.
Je parie que tu as un Samsung ? La marque qui coupe mes messages. Je te disais juste que je voyais que tu avais récupéré ton crédit (car oui, il m'arrive de lire les tagboards des autres).



La bonne nuit, bercée par les étoiles.

Jeudi 3 juillet 2008 à 23:21

 Depuis quelques jours j'ai envie d'écrire ici. Parce que c'est beau. C'est chaleureux. On aime y venir. Et lire les textes. La grande Mymy, elle est toujours là. Les amis ayant posté, elle est colorée tous les jours. Et ça, ça fait plaisir.
 Je me permet d'écrire ici, parce que peut-être que le jour de mes dix-huit ans, tout est permis. Je suis passée dans le monde des grands. Avec plein de choses en plus. Des responsabilités. Plein de papiers. Le monde des adultes. Alors je découvre. On nous met la pression.
 Il n'y a pas que ça. J'ai envie d'écrire. Et puis zut, demain c'est le grand jour. Pour près de six cent milles jeunes. Des jeunes qui ont fait une terminale. Des jeunes comme moi. Alors demain, c'est le grand jour. On saura. Si c'était juste ou pas. Si c'est une vraie catastrophe. Si c'est vraiment le début de la liberté. Si enfin on va pouvoir vivre tout seul. En indépendance. Avec le bac, avec ce diplôme, tout va changer. Alors je croise les doigts pour tous. Et si quelqu'un pouvait croiser les doigts pour moi... Mais je ne sais pas si ça changera quelque chose.

Samedi 28 juin 2008 à 0:12

"

Il y a des fois ou j'ai envie de prendre un train pour le Nord, pour Lille. Pour Chez toi.

Un jour, en vrai.

Promis.

<3

"
Tu te souviens ?
Et bien voilà.
Ce " un jour, en vrai. " Il est là.
Palpable.
Bientôt il se comptera sur les doigts des mains.
17jours pour l'instant si je compte bien. Tu sais, moi et les maths (a)..

Bref. Tout ça pour dire que. <3.

Samedi 26 avril 2008 à 21:21

"Ou dois-je courir après le lapin d'Alice au pays des merveilles, monter sur la lune en escalator en 27 heures 12 secondes top chrono, sauter en parachute d'un nuage après m'être assise dessus et regarder les gens vus d'en haut, cueillir une étoile et asperger la planète de paillettes dorées ? Ou alors..."

Ou alors. Merci à demoiselle Eloïne pour avoir si bien résumé ma pensée dans un email n'ayant pourtant aucun rapport.

Jeudi 24 avril 2008 à 20:51

Ça s'appelle lagrandemymy et ce n'est même pas capable de faire un p'tit deux millième soi même.Nain porte quoi ? Bah rien justement.
Un centième que je voulais, normal pour elle, fastoche même. Les doigts dans le nez qu'elle l'a fait. Un deux millième, pourquoi pas. Me demander, à moi, hum -tarée- grand sourire, et puis qu'on se marie aussi tant que t'y es hein ? Ah, oui c'est vrai, tu me l'as déjà demandé. Bon. Pas le choix alors....

Faut croire.

 

Faut croire que t'as plus confiance en moi que tu ne le devrais miss. Miss, enfin pardon, c'est vrai que maintenant c'est mademoiselle. J'aimerais te répondre tien. C'est vrai que je pourrais faire ton éloge, faire comme tous ces deux millième articles que l'on croise un peu partout. Ceux que je-ne-sais-qui fait à je-ne-sais-qui-d'autre. Mouais je  pourrais. Pfff trop facile en même temps. Et pi tu sais bien que je fais pas dans le banal moi.

Ouais, toi non plus je crois bien.

 

Réponse : Écrire non, je n'appelle pas ça de l'écriture. Je dirais plutôt tenter coûte que coûte de retranscrire des émotions plus ou moins intenses que sur le papier ça ne rend pas super. Toi aussi tu le fais, l'écriture en plus bien sûr. "C'est fou comme certains vécus peuvent se ressembler." Dire que c'est ce que je me suis dis la première fois qu'on s'est vraiment parlé. C'est bête mais en quelques sortes tu m'as toujours foutus les j'tons quand je te lisais. J'y voyais ma vie j'imagine. Toujours en fait. Ce qui me fait peur c'est que plus le temps passe et plus au lieu de diverger dans nos actes on se rapproche. Merde. J'espère que ce n'est qu'une illusion de parano-dépressif que je suis et qui se monte tout un film basé sur des coïncidences. Rassure moi ... Allez.

 

Être un peu toi ? Tellement que tu en es devenue Mademoiselle avant que je ne le sois. Tant et si bien que je ne reste plus que la p'tite Mam'zelle, mais ça me va très bien comme ça aussi. Ah et puis merci pour tout.

Samedi 19 avril 2008 à 17:22

Tu sais parfois je laisse plusieurs jours s'écouler avant de lire tes articles comme ça après je passe des heures à les lires, à faire defiler ma musique, la mélanger avec la tienne. J'aime bien faire ça <3 I just wanna say that, take care of you cause you will miss us too much !

L.

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