Mardi 30 octobre 2007 à 23:40

C'est qu'elles se sentent petites les chounettes ici. Et oui c'est bien fée.no.men. Orgasmiques .. charmantes.. ect.. Mymy qui est une fille géniale a bien voulu nous laisser un peu d'espace ici pour faire notre annonce. Nous réalisons mardi 6 novembre un court-métrage et nous cherchons des figurants, les garçons plutôt beaux et les filles moins jolies que nous sont acceptés chaleuresement. C'est à partir de 14h et vous devez habiter soit la banlieue parisienne soit Paris.
Voilà je la remercie encore, parce que c'est une personne merveilleuse et j'espère ne pas avoir fait trop de taches avec mes fautes.


Ah oui pour les détails veuillez laisser un com ici ou sur fees.no.men.

Merci

Mercredi 24 octobre 2007 à 15:51


Juste un pas à faire. Je pose un pied. L'autre. J'y suis. Suis-je bien installée? Oui, je crois. Plume.
Ceci est le 1300 ème article de Mymy. C'est qu'elle écrit beaucoup cette Mademoiselle. Avec sa voix et les patineurs. Son mystère. Sa facilité à cerner les gens. Surtout son coeur.

Peur des gens? Non, peur de trop les aimer. C'est bizarre: j'en conviens.

Dis, Mymy, tu as dis un jour:
"Notre monde n'est plus fait de certitudes mais de doutes. Enfin, je crois. Pour le mien j'en suis persuadée, ça doit venir de là. Peut-être bien."

Alors tu sais, tu as l'art des phrases, celles qui nous aident plus que tu ne le crois. Tu sublimes. Comme une étoile, oui. Tu brilles, et on aime ça.
Je crois qu'on t'aime, aussi.
Alors, monte, monte, vas-y, nous ne te retiendrons pas: on te hissera au sommet. Mais une fois là-haut, dis, tu penseras à nous, un peu?

Samedi 15 septembre 2007 à 12:14

Je suis sous ma douche, avec comme d'habitude cette sucession de l'eau brûlante à l'eau glacée. On marche comme ça. La radio entame une chanson, A ma place. On se sent à peine visé dans ces moments là, avec juste un peu plus de nevrose on pourrait croire à un complot. Mais non, on continue de s'asperger le visage d'eau et on écoute, et on se souvient. Je me demande encore comment tu as fait pour me traîner là-bas, pour me faire chanter. J'avais jamais chanté autre chose que la Marseillaise, avant-hier encore. Je suis pas là pour parler de ça. Du coup j'ai écouté la chanson, une fois de plus, et j'ai eu à nouveau l'impression de comprendre.
On s'est cassé les dents parce qu'on a voulu te comprendre. C'est si inutile.
Je suis intimement convaincu qu'il manque quelqu'un.

Samedi 11 août 2007 à 1:34

Juste pour te dire que... J't'aiime fort.

Pis le blanc et les créoles, ben ça t'vas super bien, d'abord. <3.

Ta Valentine.
Bee.

Dimanche 5 août 2007 à 15:30


Parce que le GMS est bon pour vous.  A Lille aussi je l'ai pas dit c'est elle.

Vendredi 3 août 2007 à 21:12

Elle est en manque de confiance. Elle est en manque de temps. Elle est en manque de liberté. Elle est en manque de vacances avec des amis. Elle est en manque de Lui, celui de "Mademoiselle...". Elle est en manque d'eux. Elle est en manque de lecture. Elle est en manque d'écriture. Elle est en manque de mots. Elle est en manque de piano. Elle est en manque de guitare. Elle est en manque de chant. Elle est en manque de musique. Elle est en manque d'efforts. Elle est en manque de reconnaissance. Elle est en manque de judo. Elle est en manque de difficulté. Elle est en manque de persévérance. Elle est en manque de danse. Elle est en manque d'équipe. Elle est en manque de surprises. Elle est en manque de théâtre. Elle est en manque d'anglais. Elle est en manque de parties de billard. Elle est en manque fausses fêtes finies  dans/à la piscine. Elle est en manque de son hollandais "M". Elle est en manque de sourires. Elle est en manque de courtes conversations. Elle est en manque de gens. Elle est en manque de veillées. Elle est en manque de courses. Elle est en manque d'espagnol. Elle est en manque de Letitza. Elle est en manque quotidien. Elle est en manque douleureux. Elle est en manque de Romain. Elle est en manque de convictions. Elle est en manque de répères. Elle est en manque de chemins, pas de buts.  Elle est en manque de filet. Elle est en manque de beauté. Elle est en manque d'assurance. Elle est en manque de soi.
Elle manquerait presque de tout. Sauf qu'elle me dit. Je préfère l'ombre, c'est plus sûr. Elle s'expose et se prend des claques, et assume. Elle ne manque ni de courage, ni de générosité. Elle donnerait tout pour ses amis. Quitte à devoir partir pour cela.
Moi je pars, je retourne à mon ombre. Elle ce soir, décide de travailler. Parce que, texto "Il n'y a plus que cela à faire. Et attendre sept ans."




J.M.

Ils ont raison pour celle que tu vas leur donner. Sara t'allait à ravir.



Vendredi 29 juin 2007 à 23:44

Je t' <3.

AHAH.

[ Et puis c'est tout. ]

Ta Val qui t'aime.
Et les étoiles, et les coeurs, et les skotch, usés ou pas, et les sourires et les rires, les betises et le n'importe quoi, le tout et tout et tout, et les lettres, et tout ce bordels, et les bisous au rouge à lèvre sur l'envellope, les petits mots de partout, et les photos et les dessins et la peinture, et les écritures et le stylo plume, et le sourire quand on trouve c'te foutue lettre et écrire écrire écrire encore, et chanter et écouter chanter, et avoir le coeur qui bat et les yeux qui brille, et s'appeller et crier en entendant que c'est toi, etre surprise et sauter partout, etre heureuse, s'écouter, se raconter nos vies, tout ça a cause d'un sms ou tu me proposer d'etre ta valentine, tout ça parce que je t'ai répondu " Yes, I'm your Valentine, it's feune ", tout ça parce que tout ça et parce que c'est bien. Tout ça parce que c'est toi et c'est moi, parce qu'on est tellement différente ( sauf nos yeux marrons. AHAH. Hum. ) mais au fond, pareilles, parce qu'on se soutiens et se comprend, quelque part, parce qu'à force de baby-sitting, on se le payera, ce voyage à Montpellier ou Lille, au pire on braquera un train, ou sur Lyon, comme on l'a dit. Parce qu'un jour, envrai, c'est promis. Et parce que je viens de t'écrire un roman alors que j'étais pas partie pour ça, mais tu vois, avec toi, les mots ça va tout seul. Parce que tu aimes plus l'espagne que moi mais que j'y vais plus que toi, parce qu'un jour on ira à Barcelone, et parce qu'un jour, y'aura plus besoin de skotch pour faire tenir ces putains d'étoiles dans nos yeux, ni de colle ni de plus rien, et le sourire il sera là, hein, ma Valentine. On y crois dur comme ça. Fort comme ça. Et grand comme ça. Parce que à chaque fois que j'écoute "My funny Valentine " je pense à toi, et que cette chanson, je l'ai tout le temps dans la tête. Parce que j'ai failli pleurer quand j'ai reçu un mms ou tu me chantais "Mise à nu", je m'en souviendrai toujours je crois.
Je t'aime. Coooooooooooooooooooooomme ça. Et plus encore.
<3<3<3
J'te noierai de sms pendant ces trois semaines.
Prend soin de toi. <3.
J't'aiime.
Bzzz.

Mardi 26 juin 2007 à 22:49

Parce que je sais pas chanter mais que je t'aime quand même.  Coooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooomme ça.
Et plus encore.
Hum.


Et...
[ AHAH. <3 ]


Dimanche 10 juin 2007 à 20:11



Je suis l'exemple de ton assitante. Ton cadeau de confirmation se trouve entre tes chaussons de jazz et ton débardeur noir.
J'aurais peut-être mieux fait de donner pour tes voyages. Mais bon, tes chers fantastiques t'enlèvent à moi pour la durée du stage, faut pas abuser non plus.
Tu vas nous manquer.

Julie, avec Charlotte et Baptiste.

Dimanche 10 juin 2007 à 19:36

Tu es en noir (souvent), tu nous diriges.
Merci.

D'une petite assistante.

Mercredi 6 juin 2007 à 20:37

Je ne sais pas ce que je fais, ni plus très bien qui je suis. Je souris toujours autant, tu sais, pour vous, parce qu'il parait que j'ai un joli sourire. Je suis un peu vide, même si je suis pleine de vous, je me mélange, comme la peinture, tu vois, comme ça, du jaune du rouge et du bleu, du blanc aussi, mais toujours trop de noir. Il faudrait que j'enlève le blanc et le noir, ce ne sont pas des couleurs. Et puis les couleurs c'est pas beau toutes mélangées, ça fait une espece de marron...C'est mieux en arc-en-ciel, là, dans les yeux. Mais les arc-en-ciel, y'en a que quand il pleut et qu'il fait soleil en même temps. Malheureusement j'ai du mal a concilier les deux. Soit le soleil brille trop, trop fort, à m'en éblouir et me rendre aveugle. Soit la pluie tombe à seaux, à m'y noyer, me paralyser de froid et de peur, trempée de la tête aux pieds. Tu vois, je suis remplie d'extrème. Je suis deux à moi-même, une vraie girouette, un n'importe quoi, une contradiction. Heureusement qu'il y a ce vous pour encadrer un peu tout ça. Mais vous, vous êtes pas tout le temps là. Je suis trop solitaire parfois, trop perdue dans mes pensées, trop loin. Mon monde, construit pour me protéger, m'enferme. Prison doré, tu sais. Alors je pars, je m'envole dans ma tête, j'oublie tout. Déconnectée. C'est pas forcement bien, je sais. C'est fuir. Je sais aussi. Mais je suis partie trop loin. Alors autant aller jusqu'au bout. J'aime plus m'attacher, ça me fait trop peur. J'ai peur d'aimer aussi. Peur d'etre trop seule. Je l'ai dit. Je suis une contradiction. Mais tant pis. C'est trop tard. C'est ça de grandir. Des choix. Et il faut assumer. Alors j'assume. Et je continuer à avancer. Tu sais,  je veux partir sur la seule route ou il y a du vent . Bah j'y suis. J'y reste. Tant pis. Pour le reste.

Tu sauras bien. Qui je suis.



Mercredi 9 mai 2007 à 19:35

Il y en a un qui n'a pas compris que je n'ai ni besoin ni envie de remerciements. Je veux des excuses.
Ca n'est pas plus compliqué que ça. Il ne faut pas se tromper de personne, ne pas inverser les rôles et donner ce que l'on veut à qui on veut. C'est bien trop facile, accommodant.
Tes problèmes ne vont pas s'arranger comme ça. Les miens non plus.

Et oui ce blog est gigantesque.
Et oui ce blog est métaphysique.


Samedi 5 mai 2007 à 19:37

    Si je me permets de faire une légère intrusion sur ce gigantesque gleubo qu'est l'univers de Mymy, ce n'est pas pour vous rabacher les oreilles en écrivant des phrases à rallonges qui n'auraient d'autre fonction, à part celle de rivaliser avec l'oeuvre intégrale de Proust, et non pas Alain Prost, que de fatiguer vos yeux et de rappeler à votre mémoire le douloureux souvenir de votre dernier mal de tête. Non, c'est pour tout autre chose.

A vrai dire si j'écris ici c'est dans un but très précis, et bas qui plus est. Je suis ici pour faire de la pub. "Baaa", vous entends je dire du fond de la salle. Et bien non, car cette publicitée que vous allez bientôt lire ne veut pas vous faire acheter un quelconque revigorant sexuel, ou vous faire adhérer à une secte obscure (Loréal, Dior, etc). Non, cette publicité vise un public particulier. Je vous le dis donc tout haut, (ou du moins une ou deux tailles de police plus haut) :



AMIS CINÉASTES, TECHNICIENS, SCÉNARISTES, ACTEURS, VOUS VOULEZ FAIRE DE CE BEAU MÉTIER VOTRE PROFESSION. N'HÉSITEZ P... hem.

C'es tout de même mieux comme ça, non parce qu'à force ça fait mal aux yeux quand même. Donc, un nouveau blog vient d'être crée par la nouvelle née boite de production "Les Briques Jaunes" Cette boîte de prod cherche à réunir des semis professionnels, jeunes, de Paris et d'ailleurs dans le but de tourner des courts métrages et plus si affinitées (en tout bien tout honneur). Si vous êtes interressés, que vous avez déjà participé à ce genre de boulot et que vous cherchez à renouveller l'expérience, n'hésitez plus:




Un minimum d'expérience est recquis pour intégrer la boite de production comme vous pourrez le lire en première page...



PS: Pendant que j'y suis, je tiens à remercier Mymy pour tout, depuis le début. Parce que je ne le fais (trop?) pas assez souvent.


Mardi 10 avril 2007 à 21:49



Article éclair pour te dire ( mais tu le sais déjà ) que j't'aime très très très ( ... ) très fort.
Qu'je t'envoie des milliers de bisous ( je les glisserai dans l'envelloppe de la carte postale de Barcelone )
Et des milliers d'étoiles ( Il te suffit de lever la tête. )

J'te Bee-zOou-te. Reviens nous vite.

Samedi 31 mars 2007 à 18:47




Je conteste : ces notes de lui.

Dimanche 18 mars 2007 à 13:58



Lorsque l'on ne croit plus au bonheur, qu'on se dit l'avoir perdu définitivement qu'il nous tombe dessus. On ne sait pas comment, on ne sait pas d'ou il vient, ni pourquoi. Alors on arrete de se poser des questions, et on vit.
On a les yeux qui brille non plus de larmes mais de milles étoiles. Et les personnes qui essaient d'arracher ces étoiles, nous, on leur casse la gueule.
On va rejoindre les étoiles, on s'envole haut, haut, haut...Et en passant, on attrappe la main de personnes à qui l'on tient. Ceux qui tombent, ceux qui sont tombés, ceux qui se noient. On s'accroche à eux, ils s'accrochent à nous, et on s'envole, comme un espèce de gros tas d'personnes dans le ciel, se donnant tous la main, et distribuant des rêves et des sourires.
Quelques fois on s'fait attaquer, ou une main lache.
Mais il y a toujours quelqu'un pour aller chercher c'lui qui est tombé, de la colle et des ciseaux dans une mains, du fil et une aiguille dans l'autre, pour rattacher, rafistoler, recoudre, recoller, reskotcher les étoiles dans les yeux.

Sourire*


[ Pas très joyeuse, comme musique, mais tellement belle... <3 ]

Samedi 3 mars 2007 à 19:13



Parce que le texte que j'ai écrit ce jour là je ne sais pas si je vais le mettre. Flemme ou peur ? Je ne m'en souviens pas. Mon portable, mon seul lien encore. Je vois que sur cette photo mon fond d'écran n'est pas visible. Mon Mp3. Parce que oui, la musique est une drogue, la sienne surtout. Mon stylo, qui a versé son encre sur plus de 200 pages lors de ce séjour. Mon carnet violet. Ce texte. Cette fenêtre qui s'ouvre sur la ville que je ne connaitrai peut-être jamais autrement, un de mes dessins/gribouillis qui me font tant de bien, et puis une phrase, repassée au stylo, parce que j'aime faire des phrases comme ça. Parce que c'est elle, qui m'a dit " Ahora, su corazon ya tiene dueno, no puedes" .
En français cela aurait été trop facile. Elle le savait.


PS : Qu'on arrête un peu. C'est pas le printemps.

Dimanche 11 février 2007 à 14:26


[ Pix : de elle. moi. ]

Il y a des fois ou j'ai envie de prendre un train pour le Nord, pour Lille. Pour Chez toi.


Un jour, en vrai.

Promis.

<3


Dimanche 21 janvier 2007 à 19:07



* Entre a petits pas d'abeille. *

Je me retrouve perdue dans ce monde...
J'suis intimidée...
C'est la premiere fois que je m'imisse [ ça s'écrit comment ça ?! ] ici.
Alors je ne fais pas trop de bruit... J'ai un peu peur de déranger...
Juste je me présente.
Je suis la demoiselle qui reçoit les lettres toutes colorées de Mzelle Mymy.
La demoiselle qui répond à ces lettres mais en version moins colorées.
J'suis la demoiselle Abeille, Mamzelle Bee.
Bon, oui, vous voyez quoi, la fille qui s'met à nue sur son blog !
Bref.

J'vais vous parler de Mymy.
Pasque c'est une fille trop adorable, qui m'envoie des bisous quand ça va pas. Et qu'je fais de même pour elle. Qui m'envoie des bisous par sms, par mms, par msn, par coms, tags et par couriers.
Et qui sait, peut etre, j'espere de tout coeur, un jour, en vrai ?!
C'est une fille qui m'fait rire, qui m'remonte le moral parfois sans l'savoir.
Une ptit rayon d'soleil que j'aime pas quand j'vois qu'ça va pas bien.
Et même si j'la connais pas d'puis bien longtemps, la d'moiselle, j'suis accrochée très fort à elle.
Et j'compte bien l'embeter encore longtemps.

Et puis j'crois bien qu'je vais me taire, parce que je suis en train de faire baisser l'audimat de ce blog.
[ Tant mieux. Mouhahahahahaha. -_-' ]

* S'en va, sur la pointe des pattes, des ailes, ou de ce que vous voulez. *


Vendredi 12 janvier 2007 à 21:11

Ce squattage est involontaire. Mais quand je reçois des lettres de Bee.. et des trucs pareils, je ne peux faire autrement. Elle sait pourquoi. (Du moins je l'espère.)
Sur une feuille 21x29,7, quadrillée, grand carreaux, perforée classeur standard. Feuille verte.

*un petit dessin, comme une serrure à l'envers, on un vieux klaxon) " Quand je vois la mer, je ne bois plus la tasse..." (Pauline Croze - Mise à nu ).  [ Je le savais voyons !! ] *un petit dessin, une note*

*cf au dessus, une fleur* Je ne sais jamais commencer mes textes. Je tourne des millions de fois des phrases, des mots, et des idées dans ma tête, je cherche, je trouve, je laisse, je rature, je recommence.
Ce n'est jamais bon. Et je ne sais pas si cela le sera un jour. Ce texte par exemple.
En dehors de la citation, il commence par "Je". C'est horripilant un texte commençant par "Je". J'vais finir par croire que je suis narcissique ! Bref. Après le dévellopement du texte . C'est problématique ça aussi. Souvent j'm'arrête faute de mots. Ou de maux ?! Car c'est vrai.. Si j'étais tout le temps heureuse est-ce que j'écrirais autant ? Est-ce que j'écrirais tout court ? Mes malheures, et mes déprimes nourrissent mon inspiration et mon imagination. Je préfère écrire des choses tristes et être heureuse dans la vie plutôt que l'inverse. Non ? Je crois que je pourrais écrire encore des pages et des pages mais tu finirais par t'ennuyer je pense. ^^'..


J'aurai pu écrire la même chose. Et j'ai failli le faire hier soir. Faute de temps c'est passé à la trappe. La difficulté de ne pas commencer par "Je" et la relation tristesse/écriture.
Cette fille m'impressionnera toujours.


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