Dimanche 25 avril 2010 à 0:58

"C'est un type très manichéen."

Alors un non-"joyeux anniversaire".`

Ceci dit, le concert poutrait, vraiment. J'aurai de quoi écrire demain dans le train.

Dimanche 7 mars 2010 à 2:13

En fait, si ça pouvait dire "Va chier, connasse, j'ai des envies de meurtre à ton égard", ça serait bien, aussi.  Et puis, ta gueule, aussi.

Non, mais. On ne dirait pas comme ça, c'est juste que ça fait beaucoup de bien de le dire. Quelque part.

Dimanche 29 novembre 2009 à 22:42

Ca ne m'était jamais arrivé, mais là c'est un besoin urgentissime de m'exprimer de manière grossière et en visant une personne. Alors je me suis dit qu'ici l'impact serait plus limité que sur facebook... Que vous étiez compréhensifs, toussa toussa...

S.R mais CONNAAAAAAAASSE !

Mercredi 12 août 2009 à 23:38

Lille. Faire visiter la ville à quatre italiens et se dire que "Molto piu in alto delle nuvole". Acheter des mitaines au mois d'août. Vouloir leur donner une autre histoire, autre chose que la mitaine solitaire qui reste dans le meuble de mon entrée. Être avec Noémie et Adeline et chanter les Moldy Peaches. Ne pas regarder Juno finalement parce que ça nous n'étions pas dans la même "dynamique", parler et éclater de rire. Admirer la chambre de cette artiste qui n'aime pas qu'on lui dise. Les dessins, la lampe rouge, les petits carrés de couleur. Le coffre aux merveilles, avec mes mots de passe et le tirage de cartes que nous avions il y a un an. J'avais oublié pendant qu'elle cochait en rouge. Me faire une atébas, se masser et jouer avec des pinceaux. Oublier le titre d'une chanson des Ritas et envoyer des sms durant la nuit. Se dire qu'on doit s'échanger des bouquins et des légumes. Vouloir quelque chose d'Elles. J'aurais dû prendre des photos. Je commence à prévoir ma vie parisienne, je songe à aller dans le Sud cet hiver, mais j'ai déjà, surtout, hâte de retourner les voir. Paradoxe que ferais-je sans toi ?

Samedi 30 mai 2009 à 20:25

L'ascension sociale signe de démotion. Oui, je commence à voir ce que c'est. Et merde. Je veux avancer. A tous les niveaux. Est-ce si grave ?

Mardi 14 avril 2009 à 19:17

En avoir marre. Être impatiente de les voir arriver : les concours, les lettres d'admission, ou de refus, qu'importe. Les voir arriver pour voir les autres partir. Tous ceux qui me pourrissent la vie. Le problème c'est que dans le lot il y en a que je ne voudrais quitter pour rien au monde. Paradoxal n'est ce pas ? Et attendez, le mieux est à venir : ce sont ceux qui me créent le plus d'emmerdes. Cool ta vie. Ouais je sais. Du coup je vais bosser. Même pas vider la chambre. Même pas jouer de la guitare. Non. Bosser. L'espagnol et l'anglais. Pour partir. Je suis en rage. Et je n'ai le droit de rien. J'aimerais pouvoir lui en parler, au moins. Oui, ça va.

emmerde ?

Dimanche 22 mars 2009 à 19:56

Il y a un mois. La vague dans le dos. Aujourd'hui. La claque que je vois venir de loin. Y'a des périodes comme ça. Ca met beaucoup trop de temps, réussir à se détacher.

Vendredi 13 mars 2009 à 18:49

Une maman a toujours raison : "plus con qu'un mec faut en prendre deux."

Ou alors, faites comme moi. Le même mais qui fait deux fois les mêmes erreurs... Non mais franchement. Et je peux savoir où t'as disparu après ? Une journée de gâchée. Et sans photo, finalement. Pourquoi n'ai-je pas levé la tête ?

Dimanche 1er mars 2009 à 0:18

Je suis le "je t'aime" d'un soir qui n'existe pas.

A seize minutes et un bug près, celui là.

Lundi 16 février 2009 à 22:19

On ne va pas jouer à ça entre nous. Autant le dire franchement : je suis une salope, une manipulatrice, la grande Prêtresse des garçes, une fille qui ne sait pas rester à sa place, une vieille qui zozote, une Eve en pire, la reine démoniaque, une lycéenne qui parle trop bien, une hypocrite, une lèche-cul et plein d'autres choses que je n'ai pas lues, pas vues, pas entendues, et dont je me fous.

Par contre.

J'ai les cheveux courts, ouais et J'AIME CA.


NB : ça défoule. Toute seule, comme une grande, sans dommages collatéraux, mais ça défoule.

Vendredi 23 janvier 2009 à 19:51

Mais quelle conne.

Mardi 23 décembre 2008 à 22:29

Parce que je n'ai pas envie d'y penser demain. Parce que demain ce sera une veille de Noël comme toutes les autres. Tellement que j'ai failli l'oublier. Je ne la veux pas. Je ne veux pas la penser. Je ne veux pas la vivre. Parce que cette année est passée vite, très vite. Et je serais incapable de dire si c'est trop ou pas assez. Y'aura pas de Père Noël. Je ne sifflerai pas pour leur dire de venir chercher leur cadeau, sous la neige. Je n'ai plus 7 ans. Finalement, si, je sais. On a été obligés de grandir trop vite cette année.

Lundi 22 décembre 2008 à 10:44

Genre, il n'a pas eu le temps. Ce mec est une merde en anglais, il a eu le temps de lire un sms qui en comptait cinq, de le comprendre, mais il a pas eu le temps d'y répondre ? Et maintenant que J. est partie en vacances on se souvient de la petite française ? Il commence à me taper sur le système l'homme parfait...

Même si au bout de cinq minutes il le redevient. Fèche.

Jeudi 11 décembre 2008 à 18:13

Marre. Marre. Marre. De ce garçon. De ces ceux garçons. Qui ont pris trop de place dans ma vie au même moment, qui commence à remonter à loin d'ailleurs. Maintenant je sais parfaitement que si j'avais choisi l'autre ça n'aurait rien changé. J'ai bien fait de mettre ma peur de côté pour suivre mes sentiments : au final la merde est équivalente des deux côtés. Je peux aimer les connnards mythomanes. Je peux aimer les gars sympas et sensible. J'aime le mélange des deux. Mais les tergiversations et ces deux pauvres mecs qui ne savent pas s'assumer, ni d'un côté ni de l'autre, ça commence vraiment à me courir.

Jeudi 4 décembre 2008 à 18:36

J'en ai ras-le-bol de mon dos. Parce que me casser la gueule à côté de gens devant lesquels je ne voulais surtout pas me ridiculiser ça m'emmerde. De même que d'avoir une crampe à la cuisse qui dure 1h30. Tout va bien. Il a neigé aujourd'hui.

Mardi 18 novembre 2008 à 18:52

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Mardi 11 novembre 2008 à 20:46

J'en ai mais vraiment ras-le-bol que les gens me mettent sur le dos des problèmes qui n'ont aucun rapport avec moi. Mais c'est plus simple n'est ce pas ? Ils ont un problème principal tellement énorme qu'ils ne veulent pas le voir. Du coup ils se focalisent. Et sur qui ? Bah ouais, dans le mille, c'est pour ma gueule. Je n'ai jamais cru que j'aurais pu m'appliquer l'expression tête de turque. Quand ma personnalité voire même mon physique dérange je peux encore comprendre. Alors que là désolée mais au bout d'un moment... Pffiuuu. J'vais pas les laisser se défouler indéfiniment sous prétexte que je sais que ça n'est pas vraiment moi qui suis en cause. C'est comme là j'ai une intense envie de me défouler sur toi, j'sais même pas si je peux m'adresser directement, bref sur le Toi d'il n'y a encore pas longtemps, sur le Lui du même temps pas si loitain, sur JD. Je pourrai trouver des raisons. Qui pourraient même être justifiables voire justifiées. Non. Parce que j'ai envie de me sentir un peu moins conne en toute honnêteté. Donc je vais la fermer et aller me coucher. Encore une fois. Je ne sais pas si plus tard ce sera à regretter et pour l'instant je m'en fous.



PS : oui, pour une fois je cite. Je ne dissimule pas, je n'auto-censure pas. S'il y en a que ça dérange j'ai simplement envie de leur dire qu'une fois sur bientôt 2600 y'a vraiment pas de quoi me chier une pendule. Surtout ce soir. Même si des excuses sont envisageables.

Mardi 11 novembre 2008 à 11:28

Mais agis putain de bordel de merde ! Agis parce que tu ne peux pas partir de suite ! Et ce sera pire après. Alors agis au lieu de te plaindre. Et quand on dit ne connaître personne il serait peut-être déjà temps de découvrir les gens que l'on pense connaître. Ces gens dont on a au final une idée si fausse.

Lundi 10 novembre 2008 à 7:31

N'avoir aucune envie de se lever. De quitter ce lit qui n'a connu, c'est vrai, aucun bons souvenirs. La chaleur des couettes. Allumer la lumière malgré tout parce que ça n'est pas mon genre, qu'il y a des choses à faire. C'est juste dur de s'en persuader certains matins. Et puis descendre et petit-déjeuner en face de ma mère qui commence à pleurer. Ah ouais t'as raison. Elle est facile ma vie. Il est facile de vivre.

Jeudi 6 novembre 2008 à 21:01

Partir. Fac. Ecole. Lille. Partir plus loin. Fac. Être tranquille. Fac. S'écouter. Ecole. Fac. Bientôt. Ecole. Prix. Fac. Si au moins je savais pour.

Ma tête. Implosée.

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