Mardi 4 novembre 2008 à 19:26

Comment me pourrir la soirée en deux phrases.

Oui, en ce moment je fais dans le minimaliste. Et je n'ai toujours pas appelé l'iscom. Ni celle de Lille ni celle de Montpellier. Je ne sais pas non plus où je veux aller. Tout va bien.

Dimanche 26 octobre 2008 à 11:52

La fameuse boule d'angoisse et de tristesse qui vient réinvestir mon ventre. Avoir plus que jamais envie de retourner à hier, ou d'être à demain. Mais non. "Elle ne garde que les bons moments, fait l'impasse sur les mauvais." Il n'empêche que j'ai la trouille.

Dimanche 5 octobre 2008 à 1:17

J'ai du mal à supporter qu'on m'efface.

Samedi 27 septembre 2008 à 22:37

A gauche.

Mais non pas à gauche ! TOUT DROIT BORDEL ! TOUT DROIT.

Vendredi 26 septembre 2008 à 14:52

"je t'aime"

"ouppps désolé j'me suis trompé !"

Quand je vous disais qu'on ne lui disait je t'aime que par accident. Et le pire, c'est que de celui-là d'accident, je m'en fous totalement. Celui-là. De ce lui là.

Ou les dangers du... Je hais les propositions de titre.

Lundi 22 septembre 2008 à 9:31

Tu vois, cher lecteur-chère lectrice, j'étais contente moi ce matin d'aller en cours. Va savoir pourquoi. Peut-être parce que pour une fois que j'ai travaillé mon histoire (toute une aprem à recopier ses notes sur la Place Rihour ça aide), j'étais sûre d'avoir une sacrée note. Qui aurait plus que largement compensé ma note de maths, et puis ça fait classe sur un carnet scolaire un 19 en interro sur les Relations Internationales de 1945 à nos jours. Ce qui est le thème de l'épreuve d'histoire au concours IEP, soit dit en passant. Bref. J'aurais bien aimé la faire cette petite interro *totalement masochiste mais on va dire que c'est la fièvre* Au lieu de ça j'ai un rhume à la "Leleu", c'est à dire que je chiale, le nez qui coule mais qui est aussi bouché, la gorge qui gratte, mal partout et de la fièvre à ne plus savoir qu'en faire. Avec tout ça je n'ai aucune nouvelle, de personne, il ne fait pas spécialement beau et je suis seule à la maison. Je vais donc passer ma journée à dormir. Amusez-vous bien !

PS : une pensée pour Louise-Cyphre qui sur le coup n'a pas de chance non plus avec son lundi, pour des raisons bien différentes...

Vendredi 12 septembre 2008 à 20:25

Et puis là, comme ça, pour rien, pour tout ce qu'elle savait déjà, elle a ressenti. Un grand vide. Il n'a même pas besoin d'être grand. Un vide. Simplement vide.

Dimanche 7 septembre 2008 à 16:22


27/09/08


On verra ça.

Mercredi 3 septembre 2008 à 19:16

La kiné c'est le mal. Je n'ai rien contre cette dame. C'est juste contre le concept. Qui me bouffe mon temps. Trois séances, minimum par semaine, durant les trois (deux ? je croise les doigts) prochaines semaines. Ah ah ah. Pour le théâtre et le code je ne sais pas, je crois que je vais devoir inventer des jours supplémentaires. Quant à mes sorties... Je peux oublier. Je sais déjà que Vendredi soir je vais devoir me shooter aux médocs pour supporter la douleur mais au lieu de tout simplement me signer une bête attestation on me fait faire de la kiné où je passe quarante minutes allongée, le dos parsemé d'électrodes et have fun on allume le courant. Je suis sur les nerfs. C'est pas un soir à me faire chier [je suis grossière, JE SAIS]. Ajoutez à cela une furieuse envie de bouger, de voir des gens. Et cette putain d'odeur. MERDE.

Lundi 1er septembre 2008 à 22:59

Si quelqu'un a envie de dormir pour moi. Qu'il ou elle ne se gêne surtout pas.

Dimanche 24 août 2008 à 22:03

Il y a deux choses que je ne peux pas supporter : les incursions dans ma vie privée et les gens qui me posent des ultimatums. On pourrait en rajouter une troisième, qui consisterait à agir en bafouant ma vie privée et en me posant des exigeances alors que cette personne connaîtrait mon aversion. Alors là je dis banco, tiercé gagnant. Je veux rester libre de choisir, en bien comme en mal. Mes erreurs et mes réussites. Ne pas comprendre ça c'est ne pas me comprendre. C'est me louper dans les grandes lignes. Et persister dans cette erreur, te laisser persister dans cette erreur c'est trop me demander. La liberté des uns s'arrête là où celle des autres commence, ici. Je n'aime décidément pas ces méthodes. Je n'aime pas les restrictions. Mais le voici, mon ultimatum ; laissez-moi vivre.

Même si je ne suis "qu'une gamine".

Mardi 19 août 2008 à 18:57

God Bless You !

Mardi 19 août 2008 à 1:09

Ils vivent sans moi. Sont heureux. Et bordel ça ne me fait strictement rien.

Dimanche 17 août 2008 à 22:32

Les médisants pourraient souligner que dans notre conte de fées la véritable question était de savoir si la fausse princesse avait le droit d'embrasser le vrai crapaud.

Ils le pourraient. Mais ils ne seront pas (plus) assez stupides pour.

Jeudi 31 juillet 2008 à 20:56

Le temps est toujours aussi lourd... Étouffant. J'en ai marre d'être en adéquation avec le climat. Putain. C'est officiel. Je n'ai plus de Ipod (209 €), je n'ai plus de "Mademoiselle..." (trois chapitres, deux ans de souffrance), je n'ai plus de Antigone (cinq ans de lecture), "il n'y a plus d'espoir, ce sale espoir". Je suis crevée, j'ai des cernes énormes sous les yeux, ma valise n'est pas faite et je n'ai jamais autant eu les boules avant de partir en vacances. Je dirai à quelqu'un de vous prévenir au cas où mon deltaplane s'écrase. Ou si je me claque la tête contre les murs. Bref.

Jeudi 31 juillet 2008 à 18:27

Recherche :

Ipod dans sa bourse tissée avec la clé USB verte contenant l'intégralité de "Mademoiselle..."
Exemplaire orange et défoncé d'Antigone de Jean Anouilh
Lunettes de piscine et pince-nez

En sachant que les trois premiers objets sont trois des quatres objets m'appartenant auxquels je tiens le plus... DONC. Si vous avez une illumination (ou autre) vous révélant l'endroit où se trouvent ces choses, n'hésitez pas à me contacter. Non non. Ça ne me rend pas dingue. Ou à peine. Ou si peu. Ou... AAAAAH.

Mardi 29 juillet 2008 à 13:34


There are several good protections against temptation, but the surest is cowardice.”

Mark Twain.

Lundi 28 juillet 2008 à 22:04

C'est con tout de même. J'ai oublié la clé usb et l'ipod. Autant dire que ma soirée... Bon. Déjà qu'à la base ça devait pas être folichon. M'enfin. Je vous écris depuis le PC portable de mon père, chez lui, à Orchies. Je change un peu d'auberge. En même temps dans l'autre internet c'est 3kb/s. Fun pour ainsi dire. Ici c'est juste que je n'ai pas réussi à installer le wifi. Je peux encore attendre pour passer une nuit à écrire. Ca n'est que partie remise. Ou pas. Comme tout. Comme rien. On s'en fout hein ? Je sais bien. En fait je fais juste mes armes sur le clavier. Genre je suis crédible. M'enfin. J'ai encore le droit d'écrire n'importe quoi sur ce blog. En fait, moi aussi je m'en fous. C'est grave ? Non. Pour faire ça je préfère m'en foutre. C'est moins pénible. Et puis ici je ne peux pas jouer de gratte. Tant mieux pour elle. Je n'aurais probablement pas dû commencer : y'a 99% de chance que je n'y arrive pas et par contre ce qui est sûr et certain c'est que je suis déjà accro. Pour rien encore une fois. Putain je m'énerve. Que quelqu'un la fasse taire. Que quelqu'un me balance un sot d'eau à la gueule. Ca urge.

Jeudi 24 juillet 2008 à 21:07

PUTAIN DE BORDEL DE MERDE.

Mercredi 23 juillet 2008 à 22:19

- Deux paquets de celles-ci et deux paquets de celles-ci...

Ça va, t'as pas non plus trois prénoms par hasard ?

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