Lundi 8 décembre 2008 à 20:59

On a vraiment pas les mêmes problèmes. N'empêche il est temps pour moi aussi que je tourne la page. Voire plusieurs d'un coup. C'est l'un des droits imprescriptible : sauter des pages. Je saute. Peut-être à pieds joints néanmoins.

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/4495494.jpg

La photo de la page à tourner viendra quand j'aurai accès au bon ordinateur. En attendant, celle-ci est une page marquée. De celle que j'ai toujours sur moi. <3

Jeudi 4 décembre 2008 à 20:06

Je n'aime pas être troublée. Ce soir j'aimerais juste pouvoir regarder un film à la con avec toi, te sentir proche, rire pour les mêmes choses. Te sentir derrière mon dos... Ou alors simplement t'écouter jouer de la musique. Me dire que quelles que soient nos histoires respectives, qui se croisent de temps à autres, ce moment là n'appartient qu'à nous deux. M'endormir. Comme se regarder au matin en souriant. En riant de ce sourire partagé. Tu sais qu'il a existé.

Lundi 1er décembre 2008 à 21:01

Aller me coucher tôt. Pour éviter de parler trop longtemps, toute seule, dans le noir. Entre minuit et une heure. Le pire c'est que je parlais en anglais. Je suis en train de me persuader que si nous nous parlions en anglais tout irait. Comme dans les séries américaines. Un acteur ne connaît jamais le ridicule quand il joue.

I'm cold. What can I do ? In another life you could hold my in your arms or something else like that. But in this one you can't do anything. Are you sure ? I think so. And i want to choose my own life.

C'était du mauvais anglais en plus. Le reste j'ai oublié. Enfin. Je l'ai en tête mais il n'est pas transcriptible. Et désormais je noterai sur ce blog tous les rêves de msn ou de sms que je ferai. Pour éviter de devenir folle, entre chien et loup.

"La frangée depuis quelques mois je te mandate."

Si quelqu'un sait ce que ça veut dire.
 

Lundi 24 novembre 2008 à 22:35

Comment on fait quand on a envie de dormir, de courir dans tous les sens et de se rouler à deux dans la neige ? Tout ça en même temps ? Et bien l'on rêve. En se disant que le lendemain matin lorsque l'on se réveillera avec la personne que l'on aime à côté de soi, on aura envie de rejoindre notre vie. Celle qui certains matins nous semble nous sauter à la gorge alors qu'on aimerait tant s'en défaire. Parfois on se laisse seulement glisser sur le côté avec une main qui va se poser sur le corps d'une autre personne. Si importante. Quand on ose on lui murmure un je t'aime. Mais on peut également se réveiller en sursaut au milieu de la nuit, la voir toujours là et lui écrire. Avec le bout du doigt, sur son épaule gauche. Ca ne reste pas. Ca n'est pas visible. Mais ça a été là.

Mardi 18 novembre 2008 à 20:09

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/PICT0361.jpg


Foutue pour foutue j'ai envie du retour de la neige. Comme en Mars.
Celui de la neige seulement. C'était beau n'empêche... Tout ça.

Samedi 8 novembre 2008 à 15:05

Oh que si, quand on se casse la gueule ça fait très mal.

"Rire. Et garder ce rire au creux de la gorge, entre les deux cordes vocales, la place n'est pas bien grande mais il n'en sera que plus vrai. Peut-être. Je vais bien. Je ne suis pas beaucoup sur l'ordinateur mais je vais. Si je n'écris pas beaucoup ici, j'écris beaucoup ailleurs. Sauf que les mots ont trouvé quelqu'un vers qui aller."

Samedi 1er novembre 2008 à 0:08

Se réveiller au beau milieu de la nuit. Plusieurs fois. Se réveiller en sursaut. Sentir mon coeur descendre dans ma poitrine en une fraction de seconde. Avoir chaud. Avoir froid. Se retourner. Une moitié de seconde. Un peu trop soudainement.  Arrêter toute la machine d'un coup. Laisser la couverture retomber. Et se sentir remonter un peu. Regarder. somber à nouveau dans le sommeil, sans s'en rendre compte et seulement pour quelques heures. Le beau moment n'était pas tout à fait celui-là.

L'autre je vous le raconterai peut-être. De toutes façons il ne sert à rien de garder pour soi les chimères. Même celles qui sont réelles. Alors nous sommes repartis.

Mardi 28 octobre 2008 à 18:48

Et puis un de ces jours je viendrai poireauter devant chez toi. Chez tes parents plutôt. Tu n'habiteras probablement plus là. Pas grave. Je t'attendrai tout de même. En portant ta chemise noire et grise et en fumant des cigarettes. J'espère que j'aurai changé. Que tu remarqueras la nana qui fait le pied de grue dehors, dans le froid. Que tu viendras lui demander qui elle est. Elle te regardera droit dans les yeux, te sourira et aura un léger rire. Elle tentera peut-être de faire un geste vers toi. Et partira. En te laissant un vague souvenir doux-amer.

Mardi 28 octobre 2008 à 14:30

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/perlec.jpg

Ouf, la v3 ne me prive pas de ces fameuses petites perles, même si question mise en page elles deviennent moins flagrantes !

<< Page précédente | 1 | 2 | Page suivante >>

Créer un podcast