Samedi 7 mars 2009 à 12:50
Rester zen. Se dire qu'il faudrait peut-être commencer à réviser, genre, un peu, pour le bac blanc. Avoir très peu d'heures de sommeil au compteur (!) et se lever à huit heures. Avoir prévu les réservations des billets de train, des chambres d'hôtel, pour Bordeaux. N'avoir finalement jamais eu aussi peu envie d'aller dans cette direction. N'en plus pouvoir de cette Gamine. Vouloir retrouver Adé et Manue, et surtout, surtout, se faire une soirée poufs. Pas grand chose.
Mercredi 4 mars 2009 à 11:05
Dans la bulle où je dois aller pour accéder au wifi ils passent du Céline Dion. Argh. Ce qu'on ne ferait pas pour un peu d'internet. A venir un article un particulier. Je cherche un nouveau casque car le mien est en fin de vie et je ne crois pas trop en la réparation proposée. Je peux à nouveau écouter We Looked Like Giants, ce qui veut dire que l'écriture va bien avancer dès que je serai revenue chez moi. Ou pas. Parce que j'ai envie d'être à la hauteur de notre Athéna au masculin. Comprendrons les stagiaires de Notre Dame de la Paix, peut-être, du moins Romain s'il passe par ici, fait très improbable, comprendra. C'est terrible de n'être en forme qu'à partir de 20h. Enfin, sachez que : "John Mayard Keynes (1883-1946) est un brillant intellectuel et haut fonctionnaire britannique qui après avoir suivi des études de mathématiques [pouah !] s'interessa à l'économie et devint professeur à Cambridge." sinon il avait aussi un groupe d'amis plutôt particulier, était homosexuel et s'est marié à une ballerine russe. C'est ce Monsieur qui redevient à la mode grâce à la crise. Sinon je rêve que l'un des pions de mon lycée est dans une ville qui est Lille avec les fontaine de St Amand, et qu'il est lui aussi homosexuel mais enceint.
Regarder euronews où un économiste avec un cheveux sur la langue parle encore et toujours de la crise peut avoir de fâcheuses répercussions sur votre sommeil.
Ah si, tout de même : le jeune homme qui disait m'aimer il y a un an et trois jours, six mois, et encore plus récemment deux semaines, fête aujourd'hui le premier anniversaire de son couple. Ca me fait doucement rire. J'adore ce type, son frère, sa soeur et sa copine. Ca n'est même pas ironique. En plus, j'suis invitée. Peut-être serais-je demoiselle d'honneur au mariage ! Vraiment, personnellement je m'en fous. Le problème c'est Jiska. Je lui dis quoi moi quand elle me sort "ahahaha, when I think that in summer 2007 Martin wanted to go out with you !" ? Tu vois ma Clarisse, même s'il est soutenable que quelqu'un puisse aimer deux personnes à la fois, j'suis persuadée qu'il faut qu'au moins une s'en foute et ne soit qu'une amie (le quelqu'un étant assurément un homme !). C'est pas toujours la place qu'on aimerait avoir, mais je te promets qu'elle est bien aussi.
Mardi 3 mars 2009 à 15:19
Il est marrant n’empêche, Brel. Parce que l’on peut la raconter souvent l’histoire des amants qui ont vu deux fois leur cœur s’embraser. Mais quand l’autre est l’un de ceux-là et que vous n’êtes justement pas l’Autre en question. Ca devient beaucoup plus compliqué. Alors bon. Cette chanson est terrible car on ne peut pas en connaître l’issue. « Et quand vient le soir, pour qu’un ciel flamboie, le rouge et le noir ne s’épousent-ils pas ? » c’est encore cette phrase que je préfère.
[Don’t worry baby, ce texte est un vieux texte, dont je me suis souvenue grâce à l’article précédent.]
Mardi 3 mars 2009 à 14:57
La vérité c’est qu’il n’était plus le même. Il avait changé du jour au lendemain. Elle qui avant n’était pas attachée l’était alors devenue. Plus on la rejette plus elle aime, cette imbécile. On ne s’attache Jamais de la même manière. Maintenant, lorsqu’elle relit ces messages d’un autre temps, elle se sent encore rougir. Mais tout a changé. Car ils sont aussi d’une personne différente. Une personne qui lui manque et qu’elle ne retrouve que dans certains gestes, certains mots. Des messages d’un Autre à une Autre. Elle aurait pu les appeler ainsi. Dans « Mademoiselle… » également.
Dimanche 1er mars 2009 à 22:05
Pour des raisons personnelles et pourtant très simples à comprendre (j'ai assez de choses en tête en ce moment pour rajouter ces souvenirs), le module permettant de retourner un an en arrière vient d'être supprimé par mes soins. Jusqu'à... Je ne sais pas quand. L'an prochain à la même époque peut-être bien ! A la place les mots-clés. Cela m'obligera au moins à les mettre ! Voilà, rien de plus à dire ce soir sinon cela déborderait trop. Un peu de musique et longue vie au patapon ! Ah, et au fait, demain je pars en vacances. Donc peu ou pas d'articles. Voilà, cessons le médiocre.
Dimanche 1er mars 2009 à 17:43
Et je ne peux imaginer ta voix autrement que sur des notes. Même quand je te reconnais dans des éclats qui ne sont pas les tiens. Tu as beau dire que tu arrêteras, je n'arrive pas à te croire. Depuis le temps que tu es là. Si tu pars je ne le supporterai pas. Parce que nous fonctionnons à l'instinct. Et que c'est très bien comme ça. Nous ne serions pas nous autrement. Ce serait tout gâcher. De ne pas être nous. C'est vrai quoi. Bref. Chut. Souviens-toi. J'aurais pu te dire les mots que tu voulais entendre. Si j'en avais eu la force. Un regret qui aujourd'hui m'indiffère. Je ne te dirai jamais "je t'aime". C'est très bien comme ça.
Dimanche 1er mars 2009 à 16:40
J'ai reçu aujourd'hui un arbre magnifique. Avec des mots. J'aurais tellement de choses à répondre que je n'en dirais que très peu. Merci. Déjà. Un grand Merci à cette
Demoiselle.
J'ai été soufflée par cette finesse. Et, soit dit en passant, j'assortis toujours la couleur de mon fard à paupières à celle de mon maillot ;)
Dimanche 1er mars 2009 à 0:18
Je suis le "je t'aime" d'un soir qui n'existe pas.
A seize minutes et un bug près, celui là.