Mercredi 21 mars 2007 à 19:42



Mon ciel est encore plus beau que ça.
On ne peut pas retranscrire exactement.
Jour bleu.
Crépuscule multicolore.
Nuit rouge.
Joie.
Mélancolie.

Jeudi 15 mars 2007 à 22:02

Je me dis qu'avec juste ces deux-là et encore quelques autres, je peux être parfaitement heureuse dans mon lycée. Et je n'ai besoin de rien d'autre. Les fantastiques et quelques amis sur msn et durant les vacances et ma vie est idéale. Pas besoin d'eux, pas besoin de changements, pas besoin d'encombrements supplémentaires.  Mais voilà, voir ce bonheur m'y ramène par des chemins détournés.




Tu viens seulement de réaliser.. Il était temps. On me glisse dans l'oreille que non tu ne sais pas encore. Toi qui es pourtant quelqu'un de vif. Je me rattrape doucement, comme si il y avait à rattraper. J'ai fait un sans fautes quand j'y repense, mon manque d'audace me taraude toujours bien sur mais en 3 jours.. Non même moins, une journée. Bon ok il y avait eu un avant, mais si peu, et il avait été brisé par tant de circonstances défavorables. Je reprends le même chemin, avec une meilleure préparation et l'enseignement tiré de mes erreurs, sans oublier que cette fois-ci le sort semble avoir fini de se défouler sur ma personne. Je n'en demande pas autant. Tu as eu beaucoup et tu as réussi, sans le vouloir, sans le savoir peut-être, tu l'as détruit. Je ne permettrai pas à l'histoire de se répéter.
Nos ambitions sont divergentes pourtant nous avons tous un but commun.

Demain encore l'APN. Pour garder ses instants, pour les nuits où je dois me rappeler cette sensation sans m'enfermer dans un cercle vicieux. (Oui, je suis de ces filles capables de s'enfermer dans des cercles.)

Sur la photo Thomas et Clémence. Deux amis. - Ils ne sont pas ensemble, pas au sens entendu.


Lundi 5 mars 2007 à 12:17



Je l'envie. Les traits tirés. A 6h40 ce matin. Et à toutes les autres heures.

Dimanche 4 mars 2007 à 16:39


Vendredi 23 février 2007 à 20:55




Elle est vraiment magnifique.
Je ne sais pas vraiment d'où elle vient.
Mais je la connais presque par coeur.

Jeudi 22 février 2007 à 18:42

J'ai recommencé. Je ne sai pas si je m'en veux ou non. On verra bien. Demain une pile. Et le reste. De toutes manières je vais avoir un passage à vide. Durant une semaine. Il* me manque. Pas toi l'autre. Arf. Vous êtes tous des boulets.




Un éclat métallique. Là, ne bouge plus. Juste au fond de ses yeux. Regarde bien ! Tu vas le trouver. Il va falloir stopper son enchaînement de victoires. Elle est allée loin, elle est passée sur mon terrain, et je le maîtrise totalement, son trop plein de confiance en elle va la perdre. Avant qu'elle ne découvre contre qui elle se bat j'aurai réussi depuis longtemps . Quelle idiote. Ne pas jouer sur ce tableau c'était à la fois se préserver et m'enlever un avantage considérable.  J'ai presque peur de réussir si facilement que je n'en retirerai rien. Le jeu est serré.
Je tente tout de même.
Au bluff ou non, je n'ai pas grand chose à perdre.
Restez simples spectateurs ; les mensonges, les découvertes, les coups bas, les attentions, sont désormais entre nous deux. Uniquement entre nous deux.
Cela devait tourner mal. C'était pas très futé en même temps : porter ce prénom... On a pas idée.
Je ne peux pas encore poser mon premier argument. Mais dès que je commencerai, il deviendra impossible de m'arrêter.

Lundi 19 février 2007 à 22:37



Me perdre là-bas c'est blanc, c'est calme et fougueux à la fois, indescriptible pour faire plus simple.
Immaculée, une immense toile vierge à peindre, à colorier, à écrire, à déchirer, à créer. Et une musique qui me rentre dedans, je suis conquise et elle  ne veut plus partir.

Quelques silences. Être entourée, de partout, de tout temps, ne pas connaître ce dernier, sentir le courant autour de moi, ne lui laisser aucune prise sur qui je suis. Ou crois être.

Assembler les nuées comme d'autres assemblent les gens, séparer les moutons blancs des moutons noirs, faire vivre l'un sans l'autre.

 Se réveiller. Dans des tons gris et verts. Des lueurs peu enclintes à me garder dans ma folie imagée. Trouver de vieilles photos à qui le noir et blanc irait parfaitement, sentir son coeur se faire lacérer , elles datent d'hier, ou d'un peu avant.

 Qu'est ce que cela change ?



Il en reste une mélodie, à chantonner quand il n'y a rien d'autre.

Ou les soirs comme celui-ci. Les soirs de rechutes.

Lundi 19 février 2007 à 22:31



Me perdre là-bas c'est blanc, c'est calme et fougueux à la fois, indescriptible pour faire plus simple.

Immaculée, une immense toile vierge à peindre, à colorier, à écrire, à déchirer, à créer. Et une musique qui me rentre dedans, je suis conquise et elle  ne veut plus partir.

Quelques silences. Être entourée, de partout, de tout temps, ne pas connaître ce dernier, sentir le courant autour de moi, ne lui laisser aucune prise sur qui je suis. Ou crois être.

Assembler les nuées comme d'autres assemblent les gens, séparer les moutons blancs des moutons noirs, faire vivre l'un sans l'autre.

 Se réveiller. Dans des tons gris et verts. Des lueurs peu enclintes à me garder dans ma folie imagée. Trouver de vieilles photos à qui le noir et blanc irait parfaitement, sentir son coeur se faire lacérer , elles datent d'hier, ou d'un peu avant.

 Qu'est ce que cela change ?



Il en reste une mélodie, à chantonner quand il n'y a rien d'autre.

Ou les soirs comme celui-ci. Les soirs de rechutes.



Vendredi 16 février 2007 à 21:27

Parce qu'il faut que j'y arrive : trouver une place dans ma chambre, ou ailleurs je ne sais pas encore vraiment, pour accrocher les photos de Depardon. Son tour du monde. Son tour des villes surtout.





Pas moyens de trouver celles en couleurs.
La terrase de café et les jardins dans Paris.
Le bus de Johannesburg.
Les femmes d'Addis-Abeba.
Le mariage moscovite.
La brume de nuit dans New York.
Le front de mer à Buenos Aires.
Shangaï.



Vendredi 16 février 2007 à 21:23

Parce qu'il le faut : je trouverai dans ma chambre, où ailleurs je ne suis pas encore bien décidée, un endroit pour mettre les photos de Depardon. Son tour du monde. Surtout son tour des villes.



Pas moyen de trouver celles en couleurs.
La terrasse du café, les jardins, dans Paris.
Le bus dans Johannesburg.
Les femmes d' Addis-Abeba.
Shangaï.



Jeudi 15 février 2007 à 20:48


Elle me fait faire toutes les bêtises. Elle me fait tout oser. Je peux regretter mais jamais je ne pourrai lui en vouloir. Parce qu'elle me pousse juste à être qui je pourrai être. Comment la remercier ? Pour ses mots, peu nombreux, mais si forts, écrits en rouge, pour ce qu'elle fait partager à une autre et que j'ai compris aujourd'hui par des mots à demi-voilés.



Je crois que c'est la seule manière de le faire.



Photo de Silverwolf.


Samedi 20 janvier 2007 à 14:20

Très mauvaise nuit. Enfin à partir de 3 heure je pense que l'on peut dire très mauvais matin. Je me comprends quoi (... là c'est fait exprès je vous rassure ! ) Mon dos m'a fait mal, mes yeux ne voulaient pas se fermer, j'étais fièvreuse et barbouillée. Anxieuse pour compléter le tout.  Le résultat : des rêves, qui ne viennent vraiment pas à propos.
Et malgré tout ça je garde un très bon souvenir de ma soirée. Parce que Nem n'aura peut-être plus longtemps avec moi le record de la plus longue conversation téléphonique.
Aujourd'hui je ne suis pas capable de vous décrire exactement mon état. C'est particulier.
Un mélange de .. beaucoup de choses. Mon corps est fatigué alors que cela faisait longtemps que mon esprit n'avait pas été aussi. Hum. Aussi, tel qu'il est actuellement.
Je ne peux pas écrire, je ne peux pas chanter, et je continue d'écrire des articles sans aucun sens pour vous. Encore plus qu'habituellement. Mais vous avez compris le mode de fonctionnement maintenant.


1000 Bises
Mymy




N.B : Photo de Silver.. bien sur.

Mardi 16 janvier 2007 à 10:30

Elle crayonne sur un bout de papier, c'est si simple comme occupation. Et ce faisant je sens bien qu'elle s'éloigne de moi à une vitesse incroyable, comme poussée dans une pente vertigineuse. Où as tu décidé de partir ? Si je venais avec toi ? Pas le temps de lui demander, il ne reste déjà plus que les dernières traces de son parfum.                                                                                                       

Sur le bord de la route je reste à observer s'en aller la dernière attache qui me criait sans le vouloir, sans le savoir aussi, de rester avec eux, de faire semblant d'aimer les choses comme ça et de me contenter de ce que nous pouvions avoir. Sa silhouette finit par devenir invisible à mes yeux trop fatigués et à ce moment précis, aucune émotion, aucun ressenti.                                                      
Elle s'en était allée et le sombre idiot que je suis ne le réalisait pas.

Avec le recul je vois bien que je me suis trouvé à vivre ailleurs. A moins d'avoir appris à me contenter.

Mardi 26 décembre 2006 à 21:01



Je ne suis pas du tout dans une période je regarde les vidéos des danseuses que j'admire le plus au lieu de me bouger le fesses. La preuve :







1000 Bises Mymy; une feignasse dans tout sa splendeur.



Dimanche 17 décembre 2006 à 18:23





Je ne le supporte plus. A chaque fois. Chaque email reçu m'assure d'une replongée, ou d'une nouvelle poussée d'envie. Cette envie qui me ronge de l'intérieur. Hurler.. lui hurler dessus. Frapper.. lui frapper dessus. Parce que j'ai déjà hurlé.. j'ai déjà frappé.. ce fut insuffisant.
Elle n'a pas le droit d'écrire aussi bien pour toi, ce qu'elle a, et ce que j'avais.
Putain de temps du présent et du passé. Avec toi cela ne rime à rien. Tu l'es encore. Tu ne le veux pas. T'es con. Je sais qu'en réalitée non. C'est bien là le problème. Je voudrai être à ta place, quelques instants, pour comprendre ta douleur, ton blocage, voir ce que c'était pour toi.
Si je trouve le néant.. j'ignore ce qui se passera. Je me l'imagine depuis longtemps, et, résultat, je suis encore là.
Mal à la tête. Je n'ose pas relire. Un autre jour surement. Ton numéro est perdu lui aussi. Ton nom est dans la liste. Avec les autres. Sauf que toi je ne pense pas le récupérer. Plus déçue d'avoir perdu ta photo. Cette photo où on ne te voit pas. Mais ou je reconnais tous les éléments qui font que c'est toi et pas un autre. Enfin, tous, non, il en manque un seul.

C'est elle qui triche sur moi ? Ou l 'inverse. Sans le savoir, sans le vouloir.

Bee sur msn :  tire-lui une balle, ce mec là t'as fait souffrir, ta vengeance est normal (pseudo)

Si seulement tout était aussi simple.



A cause de toi je n'ai plus de monde. J'ai tenté trop souvent de forcer le passage vers le tien.
                                                        Sans savoir si je le veux vraiment.



Décision. Dans l'immédiat. Pour le futur.

Qui vivra verra. Qui ne tente rien n'a rien.


Si nous étions proches ? On pourrait se rapprocher et se connaître vraiment ? Ou on apprendrait que non décidement ça ne va pas. Les deux paraissent possibles.  Je ne sais si j'invente ou pas la prédominance de la première option. Alors dans 3 ans. A Paris. C'est pour ça aussi.  On verrra bien.

 Dans un moment d'égarement n'est ce pas ?



Photographie de silver, Fall into the sky. Ca ne s'explique pas. Alors je ne cherche plus. Je le sais . /




Dimanche 10 décembre 2006 à 17:46









Il fait froid. Je suis à vélo. Je le croise. Il a 20 ans désormais. J'ai vu ses yeux, reconnu sa machoire, il a changé. Son visage s'est affiné. Il s'habille très bien. Il est beau. 5 ans.. on change beaucoup en 5 ans. Ces changements t'ont fait du bien. Tu as l'air heureux. Et la demoiselle qui marche à tes côtés aussi.
On a juste échangé un regard, et un de ces sourires. Parce qu'on avait besoin de rien de plus. Moi je venais de pleurer. J'aurai voulu me montrer autrement à toi. J'ai perçu dans ton expression quelque chose qui me fait dire tout de même que ta vie n'est pas rose tous les jours. J'espère que tu as trouvé dans la mienne quelque chose qui te fais dire que je ne suis pas tous les jours comme ça.
Ca a été très court. Ca a duré 2 secondes. C'était le mauvais jour. Mais ça m'a fait plaisir.
Comme avant. Je revenais de forêt en plus, on a passé tant de temps ensemble là bas. Le hasard peut faire les choses correctement quand il le veut. Soit heureux Sébastien. Je n'oublierai jamais.
Et je regrette cette séparation involontaire. On laisse s'écouler tellement de bonheur entre nos doigts ouverts... J'essaye d'en retenir un peu.

Jeudi 7 décembre 2006 à 21:54








Que voulez vous que je vous dise ?


Vendredi 17 novembre 2006 à 20:48

 

mol to piu alto delle nuvole...



aussi haut, au-dessus de tout, et donc de n'importe quoi.
Il y a toujours un prix à payer pour pouvoir s'élever. Des sacrifices à faire pour pouvoir se dire exceptionnel. Et pour une vie normale ? Une journée sans pleurer, même intérieurement, sans crier, même silencieusement. La normalité existe-elle encore ? Est-elle aussi devenue une exception ?
On a tous quelque chose qui peut cacher notre soleil. C'est à nous de rendre cet obstacne assez petit pour pouvoir regarder à travers.


1000 Bises Mymy
Qui revient peu à peu.

Mercredi 8 novembre 2006 à 15:38




J'aime pas spécialement ma vie à la campagne. Mais faut reconnaître que c'est pas donné  tout le monde de voir un ciel comme ça presque tous les soirs. Jamais exactement le même mais à chaque fois très beau. (bien que cela soit la croix et la bannière pour réussir à prendre une photo avec les fils electriques..)

Lundi 6 novembre 2006 à 21:41




Tu as envie de sauter au dessus de cette barrière. De prendre la poudre d'escampette et t'échapper.
Tu ne le fera pas. Autour de toi c'est moche, ça t'a donné peur de ce qu'il peut y avoir dehors. C'est un stade que tu as passé. Tu ne t'attends plus à la beautée, à la simplicité de quelque chose ou de quelqu'un d'heureux. En fait c'est assez contradictoire. Ne plus supporter le monde duquel tu es prisonnière, mais ne pas supporter non plus l'idée que tu pourrai te faire du dehors. Tes chances de t'en sortir se sont évanouies à l'instant où tu as cessé d'y croire. Croire que tu pouvais faire ce que tu voulais. Sans choisir. Sans te limiter. Ta liberté t'a enfermé dans l'esquisse de tes propre rêves.

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