Lundi 24 novembre 2008 à 17:37

J'ai le droit d'aller étudier à Paris si je le veux et si je le peux l'an prochain. C'est tombé comme ça, sans que je ne m'y attende. Paris c'est par extension tout le reste. Prendre de l'avance sur les sourires. Réussir l'histoire. Croiser les doigts et être exaucée. Avoir les joues rouges. Faire des bolas sous la neige. Boire un chocolat chaud. C'est une belle journée.

Dimanche 23 novembre 2008 à 18:16

Faire une bataille de boules de neige. Remettre sa photo dans mon portefeuille. Non ça n'est pas la même neige. Et même si la première je la considèrerai pendant encore longtemps comme l'une des plus belles que j'ai connues, ça n'enlève rien à la magie de l'actuelle. Ca n'est pas non plus pour autant que j'ai envie qu'il parte. Mais je me ferai bien à l'idée. De toutes façons c'est la seule solution : ne pas en trouver.


Elle avait longtemps couru dans la ville à sa recherche, croisant quelques personnes qu'elle aimait mais pour qui elle n'avait pas le temps de se poser. Pour finir elle avait décidé de changer de but. De suivre ces personnes : elle les retrouva dans un bar. Qu'est ce qu'elle faisait ici ? Exactement ce pourquoi elle avait songé arrêter sa course folle : les retrouver autour d'un verre et commencer. Par le recommencement.

Dimanche 23 novembre 2008 à 13:40

C'est du foutage de gueule. Oui. Encore. Cette neige. Cette peur. Ce silence. Sa mauvaise foi. Et moi j'ai envie de m'en foutre. Parce que j'ai tendance à montrer celle que l'on croit que je suis. Alors tant que je ne montrerai pas autre chose... Fuck. Il suffirait d'un seul effort qui ne serait pas le mien. Ca n'est pas si stupide que ça de demander à ce qu'on m'accorde un raisonnement par l'absurde.
 

Samedi 22 novembre 2008 à 20:36

Et cette impression de n'avoir encore rien fait qui me bouffe. Mais putain je tuerais pour toi.

Samedi 22 novembre 2008 à 20:33

Tu sais, en fait, je ne sais pas ce que j'aurais donné pour être à ta place. Mais qu'importe : mes mains sentent bon.

Samedi 22 novembre 2008 à 20:31

C'était un vrai foutage de gueule cette neige qui tombait, superbe, alors que je quittais Wazemmes. Dire que j'ai failli y retourner. Ca n'est même pas une question d'audace. C'est juste devenu un calcul rationnel : trop à perdre pas assez à gagner. Enfin... Si. Peut-être. Mais non. Je n'y crois plus. Alors j'ai rangé mes idées d'audace au placard. Je n'ai pas pris ce risque.

Vendredi 21 novembre 2008 à 21:42

C'est clair : nous ne sommes pas d'accord. Et alors j'ai envie de te dire, c'est pas ça qui va nous empêcher de vivre. A fortiori ensemble. Oh, à la longue ça nous empêchera peut-être d'être heureux. Mais après tout... Si je te disais maintenant que le bonheur je m'en fous du moment que je suis avec toi. Tenterais-tu de fuir encore une fois ?

Jeudi 20 novembre 2008 à 20:38

Bien sûr que oui c'est ce que je veux. Mais la différence majeure c'est que moi je veux plus, et tellement plus... Ca ne compte pas ? Et bien si, ça compte. Et pas qu'un peu. Je m'en fous que les gens soient ou non des moutons, des connards, des salauds infidèles ou autres. Ce que je veux c'est marcher avec eux et me faire une idée. Si j'avais écouté les on-dit j'aurais beaucoup trop perdu.

Mercredi 19 novembre 2008 à 19:34

"Quand Alicia compose un bouquet de roses, le monde est suspendu, à ses lèvres et pour cause, elles sont d'un rose, inattendu."

Vous pensez qu'on peut se retrouver si facilement ? J'hésite, ça me semble bizarre. C'est pas que m'éparpiller me réjouisse au plus haut point... Mais c'est ainsi. C'est offert par la maison. C'est toujours offert par la maison. Je flotte, je suis dans un état indescriptible. Ca sonne faux. Je traduis des mots qui perdent leur force au fil des jours. Je crois en des idées trouvées au coin d'une rue trop bruyante. Posé sur le bureau, comme abandonné là, le réveil continue son "tic tac" et rien de tout cela ne me semble réel.

Mercredi 19 novembre 2008 à 19:32

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Mercredi 19 novembre 2008 à 16:10

Décider de n'en avoir rien à faire et continuer. L'*****, l'*****,l'*****. Quitte à se cacher. A moitié. Après tout, c'est moi le chef. Que je sois réellement moi ou non. Je ne sais plus si je pourrai, si je voudrai montrer quelque chose d'autre, un jour. Mais je sais ce que je ne veux pas. C'est toujours ça de pris. D'ailleurs je viens de mentir par omission : je sais très bien ce que je veux. C'est tellement simple que ça en devient bête.

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/Photo1666-copie-1.jpg

Avoir l'espoir fou de pouvoir encore le faire l'an prochain. Elle était là, ma planque.


Mercredi 19 novembre 2008 à 14:06

Mais merde à la fin, y'a pas une chose, une seule, qui veut me faire le plaisir de se dérouler correctement ?

Mardi 18 novembre 2008 à 20:09

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/PICT0361.jpg


Foutue pour foutue j'ai envie du retour de la neige. Comme en Mars.
Celui de la neige seulement. C'était beau n'empêche... Tout ça.

Mardi 18 novembre 2008 à 18:52

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Mardi 18 novembre 2008 à 18:47

Elle ne sait pas trop où elle va mais elle y va quand même. Parce qu'après tout il n'y a plus que ça à faire. Et qui sait, un jour peut-être elle réussira à rejoindre l'un des deux guitaristes du fond de la cour. Il faut parfois laisser les choses venir. Le temps faire son oeuvre. Certes "qui ne tente rien n'a rien". Sauf que "qui vivra verra". Et puis le plus important au final de ces fichus proverbes reste : "ne jamais faire de généralités". Contradictoire peut-être. Tant que ça reste compréhensible. Pour elle.

Lundi 17 novembre 2008 à 20:27

Oh ça... Ma quééééé tu vas en bouffer de la vie réelle mon chéri. Mais vraiment en bouffer. Et tu as plutôt intérêt à aimer ça.

Lundi 17 novembre 2008 à 20:23

C'est fou  comme les gens qui nous disent "tu me manques" ne sont jamais ceux auxquels on s'attend. Et c'est fou aussi de voir le bien que ça nous fait, de s'en souvenir.

Anne. Bee. Laure. Makaveli. Mylène.

Et les autres. Qui ne me manquent pas forcément tous. Puisqu'ils (elle) sont (est) là.

=)

Dimanche 16 novembre 2008 à 16:17

D'ores et déjà savoir que la soirée sera pourrie. Entre engueulades et devoirs de spécialité.
To be zen. Est-ce que tu te souviens de ce pyjama rose qui nous avait valu tant de rires ? De ces appels et sms ? De on crédit bien mal en point parce que vous étiez tous les deux sur sfr ? Je me souviens surtout de son sourire finalement, pas du tien.

Dimanche 16 novembre 2008 à 13:31

"Si a la saint valentin elle me tient la main, vivement la sainte marguerite...'

Fallait bien sûr que j'ai le droit (après sarko pour mon anniv') à un proverbe pour ma fête... M'enfin merci pour l'info Alwena.

Samedi 15 novembre 2008 à 22:03

Se faire une réflexion très bête en sortant du train à Orchies : j'ai envie d'aller à Londres, Paris, Dijon, Rennes (jusque là, ça va), et Lille. Sauf que j'en viens de Lille. Eternelle insatisfaite, fichue de telle sorte qu'elle a ses pulsions a posteriori. Quand l'instant est passée. Je me fais parfois engueuler parce que je ne réfléchis pas assez. Mais j'aimerais que cela soit vrai, que je ne réfléchisse pas justement.

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