Mercredi 7 janvier 2009 à 20:27

"Because now i'm trapped."

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Sauter dans les bras de vieux amis dans la gare de Lille Flandres. Courir dans le centre ville. Prendre des photos dans le Vieux Lille. Apprendre un peu mon histoire à Wazemmes. Admirer les guitaristes à l'oeuvre à la cité U du Pont de Bois. Rentrer bien trop tard aux 4 cantons.

Plus je te quitte plus je t'aime.

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You're my urban tale.

Mardi 6 janvier 2009 à 21:20

Rien ne va. Ou presque. Les horaires de trains sont merdiques. Les gens oublient qui vous êtes une fois franchi le hall du lycée. Même avant. Dès le trottoir, dès la rue en fait. La fatigue s'accumule les heures de sommeil se transforment en heures de cauchemars. Les garçons sont trop beaux. Rarement pas assez. Alors que certains ont le loisir de penser le contraire. Et par dessus le marché il faudrait pouvoir se réjouir du bonheur des autres. Y'a des jours où même avec toute la bonne volonté du monde, ça ne peut pas fonctionner ainsi. Mais il y a Manue, et "Tu peux péter un câble tu sais" "Mais si ce sont des actions illégales ?" "Bah, pour une fois, s'il n'y a pas de témoin..." "Il y aurait des victimes." "Alors là c'est un problème."

Sauf que sans victime le crime perd tout son intérêt.
Game over. Try again.
Ou pas. Again je m'en vais, again je suis partie, again adieu.
Je ne sais même pas si cette année je volerai enfin le baiser.
Si seulement je dirai adieu.
Mais merde Mymy, détache-toi bon sang, détache-toi.

Mardi 6 janvier 2009 à 21:11

Comment pouvait-elle vivre en ayant une telle envie ? En y pensant nuit et jour ? Echaffaudant des plans pour les abandonner aussitôt, comprendre que son rêve de ne réaliserait pas pour de suite après le réaliser en un rêve, justement. Elle avait en tête des centaines de chansons, des centaines de paroles qu'elle aurait aimé chanter dans un garage, tout simplement, tout bêtement, mais avec eux. Elle ne savait que trop bien le pourquoi. Restait le comment. Comment faisait-elle ? Elle l'ignorait. Et le monde avec. Parce que c'est là le truc : elle ne vivait pas. Pourtant...

Mardi 6 janvier 2009 à 20:56

Que certains osent encore penser que le bonheur d'autrui fait forcément notre bonheur. C'est fort. Très fort.

Lundi 5 janvier 2009 à 17:45

Aller prendre un chocolat chaud et l'apprécier pleinement. Rentrer en bus. Marcher sous le ciel d'un gris et la neige qui se remet à tomber. Il reste encore un peu entre les pavés tandis que les bas côtés de la route en sont encore recouverts. Se dépécher, le nez dans l'écharpe. Les flocons sont petits et viennent se poser sur les joues, se glisser sous les cils. Il ne manque qu'une cigarette à cet instant. Je ne sais pas pourquoi. Et lui puissance trois. C'est vrai quoi, il m'a manqué aujourd'hui. Le ciel se fait plus sombre et la neige scintille sous les feux des phares. "Je te dois mes premiers frissons et mes premiers coups sur les doigts, mais pour un mot une chanson j'aurais donné n'importe quoi..." C'est vrai pour l'année 2009. Elle ne fait que commencer, on verra bien où elle nous mène. Je souhaite juste que tu sois là, dans ce nous. Se laisser tomber pour faire un ange dans la neige. Ne pas penser et suivre son envie. Rentrer en riant dans la maison. Il ne reste plus qu'à m'effrondrer sur le lit, et dormir. Avoir déjà hâte d'être à demain.


Ce que je les adore ces 1ère S3 ! A tous ceux d'entre eux de bonne volonté et de bonnes intentions : anniversaire le 28 janvier. J'adore.

Dimanche 4 janvier 2009 à 12:05

Avoir envie de chanter à nouveau dans un groupe. Avoir retrouvé mes bolas et à ce propos remercier Clignotants. Ecrire. Chanter. Tenter de ne pas penser à ce que me réserve les jours à venir. Vouloir me détacher de certaines personnes et les voir s'attacher à moi alors que j'espérais que tout cela cesse. Ne pas avoir travaillé. Aller à l'hôpital cet après-midi. Ne plus penser. Vouloir être au lycée. Les cours ne me dérangent pas. Les DMs si. Mais j'ai besoin de les voir. Personne et tous à la fois.

Samedi 3 janvier 2009 à 20:12

Lundi il neigera sur le Nord. Et on trouvera dans ses yeux des étoiles qui n'auront pas à y être. Normalement, si tut se passe bien, si la vie lui accorde ce délai. Est-ce qu'il y aura seulement quelqu'un pour regarder ce qui passe là-bas, sous ses longs cils ? Est-ce que se sera la bonne personne ? Qu'importe : les notes de guitare lui tiendront compagnie et garderont son coeur au chaud. Le brouillard est retombé sur les petits villages de campagne, et au même moment les températures retombent en dessous de zéro. Les routes deviennent mauvaise. Il y aura de la glace noire cette nuit. Il y aura des morts.

Samedi 3 janvier 2009 à 11:55

Je hais ce type, cordialement.

On s'en fout mais ça fait du bien. Appareil photo retrouvé. C'est déjà ça. Retour à la maison. Presque envie d'être à lundi. Si ce n'est le travail. Enfin. Nous verrons bien. J'ai pris un pari impossible à tenir. On m'a offert une bague. J'ai envie de chanter. Angel Dust. C'est pile dans l'ambiance du jour.

Vendredi 2 janvier 2009 à 22:30

Tu fais chier toi à recommencer. Toujours les mêmes choses. Toujours les mêmes choix. Parce que tu ne fais pas faire autrement. Tu veux ça. Non, pas souffrir comme une conne. Mais tu veux être heureuse avec telle ou telle personne, tel ou tel inaccessible. Au final devenir quelqu'un de bien sympa, sur qui l'on peut contenter. Ras le bol.  "We never change, do we ?" Les mêmes causes produisent les mêmes effets. Tout revient à ça : du pareil au même.

Vendredi 2 janvier 2009 à 20:44

Aujourd'hui je suis retournée voir l'italien à Douai. Dans sa boutique encastrée au fond d'une petite ruelle pavée. Et il n'était pas là. Tout était fermé. Le grand volet de fer était baissé. Les instruments invisibles derrière la vitrine poussiéreuse. Sont-ils seulement encore là ? Je me suis rendue compte qu'on ne savait absolument rien de lui, à part "l'Italien". Et c'était pas vraiment de notre faute. Je me souviens d'ailleurs de Letitza qui, excédée par ce surnom avait passé toute une après-midi à râler. Du coup on lui avait demandé. Sa seule réponse avait été "l'Italien c'est bien suffisant !" ce petit monsieur tout blanc qui souriait toujours. On a passé des journées entières chez lui. Et voilà, aujourd'hui c'est fermé. Son magasin n'est pas répertorié, si ça se trouve c'était son garage. J'y retournerai. En espérant le voir. Histoire de pouvoir lui dire au revoir s'il devait partir, si tout était bien fini. Histoire de lui dire merci.

Jeudi 1er janvier 2009 à 22:23

J'ai juste envie de balancer un grand "niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiih" ici, guère compréhensible pour la plupart des gens qui peuvent passer. Mais certaines comprendront. La classe. Et merde, merde, merde et remerde. Non ça n'est pas très polie. Allez, cette nuit je monte à 300. J'espère juste que quand je relirai cet article dans trois ans, je me souviendrai que ce à quoi il correspond. Ou à qui d'ailleurs.

J'ai envie de jouer de la guitare et de faire des bolas. La guitare est à brillon dans ma chambre et les bolas je ne sais pas où. Fèche.
Je veux être à sa place.

Jeudi 1er janvier 2009 à 20:54

On fait parfois des trucs stupides, comme des paris, mais au final ça n'est jamais qu'un moyen de dire ce que l'on veut vraiment. Une motivation supplémentaire en quelque sorte. Le but du jeu c'est aussi de vous faire croire qu'on a besoin de motivation. Alors que tout ça vient de manière spontanée. C'est quelque chose que l'on ne peut pas arrêter. Et qu'on a honnêtement pas envie d'arrêter. Sauf que c'est plus amusant, voire drôle ainsi.


Surtout qu'on final le but ça reste de gagner.
 

Jeudi 1er janvier 2009 à 12:13

Et bien, pour faire original, commencons l'année avec un type d'article récurrent ici :

où peut-on avoir mis une paire de bolas ?

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