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Lundi 2 janvier 2006 à 20:37
Lundi 2 janvier 2006 à 19:02
Lundi 2 janvier 2006 à 17:52
Lundi 2 janvier 2006 à 17:45
Lundi 2 janvier 2006 à 17:41
Lundi 2 janvier 2006 à 15:43
Lundi 2 janvier 2006 à 15:23
Lundi 2 janvier 2006 à 14:20
Samedi 31 décembre 2005 à 15:16
Jeudi 29 décembre 2005 à 14:03
Mardi 27 décembre 2005 à 20:28
Dimanche 25 décembre 2005 à 16:01
Dimanche 25 décembre 2005 à 15:49
encore un peu beaucoup pour nem, (ce blog va finir par lui etre dédiée) je te l'ai dit au tel, mais voici texto :
si il le faut je resterais toute seule mais
je resterais au cas ou **********
c'est trop beau pour se
finir comme ca, on a pas le droit de me dire au moment ou
je commence a toucher mon reve, a
refermer ma main sur lui,
que ce n'etait q'un simple reve et
qu'il se finit, que le
voile peu à peu se leve, je ne veux
pas que tout devienne
un moment opaque pour ensuite
redevenir clair, et vide, le
vide d'avant
et au dela de ce que je veux, nous ne pouvons
finir comme ca, pour tout ce qu'on
a dit, pour tout ce
qu'on a fait en quelques mois, on
peut croire que l'amitié
est une denrée, que nous avons consumé par gourmandise
par manque, mais je ne serais
jamais d'accord, une histoire
comme ca ca se construit, fil par
fil, brique par brique
mais merde ca se construit, on a
demarré, nous avons fait
le plus dur, et si un moment il
faut retomber sur terre,
ben moi je suis d'accord, mais ma
terre je la veut ailleurs
,
nous devons batir la republique des
cieux ou nous sommes,
car pour nous il n'y a pas
d' ailleurs ...
Samedi 24 décembre 2005 à 18:45
Samedi 24 décembre 2005 à 16:06
Mercredi 21 décembre 2005 à 22:25
Mercredi 21 décembre 2005 à 17:17
Lundi 19 décembre 2005 à 22:29
La lumière d'or
traverse en oblique
les arbres décharnés battus par le vent
et laisse au sol la trace des squelettes
L'automne avale la lumière du jour
dispersée par les gouttes de pluie
et recrache quelques morceaux de ciel
entre deux langues de brume
L'automne aspire la sève sèche
des derniers feux de joie
et saigne longtemps le soir
pour toute la douleur du monde.
Lundi 19 décembre 2005 à 20:55
Lundi 19 décembre 2005 à 19:42
Quelque part sur une plage déserte
je me souviens de toi
toi et moi des baleines échouées sur le sable chaud
toi lisse et bleue éblouissante
et moi fou aveugle de chaleur
je te saisis et ce n'est que le sable
mais déjà je te retrouve
plongée dans l'eau verte
enroulée dans le varech
flottant au-dessus des rochers
tu glisses froide et salée
au fond de l'eau tu m'enlaces
mais soudain le souffle me manque
je remonte et tu t'enfuis
tu scintilles à l'horizon le temps d'un éclair
avant de t'élancer voltigeante
au-dessus de la mer
Joel Sang