Samedi 3 mars 2007 à 17:12

Y'a tellement de villes à voir je ne peux pas m'arrêter avec/pour toi.
Je n'ai pas le temps d'attendre ton départ.
Si tu veux c'est maintenant ou après.
Tu vas (devoir) attendre (?) que je repasse de ton côté.
Restée toujours ici d'une certaine manière.
Dis moi juste où je peux poser mon bagage.
Sur quel bras de fauteuil je peux m'endormir.
Quelle place occuperont mes pantoufles.
Je suis prête à tout cela.
Aux efforts inconsidérés.
Aux cadeaux nazes devant lesquelles je dirai "C'est trop gentiiiil"
Aux attentions qui en font trop, quand je ferai semblant de faire semblant d'être génée.
Je..

Et mon bras de fauteuil est un peu bizarre.


Hors-article : La flemme de continuer à "bosser" ce design, j'ai abandonné l'espoir de le finir un jour.
Les musiques défilent au hasard. Je me noies.

Samedi 3 mars 2007 à 16:09

J'ai buggé. Mon premier essai était comme je le voulais. J'en ai marre.

Et si j'y retournais ? Au début. Aux sourires de politesse, avec le mien qui restait un peu trop longtemps sur mon visage pour n'être que ça, (mais je ne pouvais pas le dire, et ne peux normalement pas encore) aux vraies-fausses bêtises, aux mots qui tombaient sans vouloir rien dire. Quand je courrais presque pour t'entrapercevoir, te dire bonjour, te parler, simplement. Mes pensées courraient en tout cas. Maintenant je leur courre après, ce sont les images, les mots, les souvenirs, juste pour me rappeler à ça, oui j'étais là. Rougir dans le noir, et sentir se détacher quelque chose au creux de ma poitrine, ça tombe loin, très loin, et vite, mais ça remonte encore plus vite, très vite, trop vite, dépasser son point de départ. Ca m'avait collé un sourire énorme, que rien ne pouvait diminuer, pas même la maladie, et si je ne comprenais pas bien pourquoi il était là je ne voulais pas qu'il s'en aille. Ce n'est déjà plus le début, et depuis longtemps. On se trouve toujours plus heureux avant. C'était sali ? C'est sali ? Je ne pense pas. Je ne veux pas le penser. Trop tard. Les choses sont ce qu'elles sont.
Certaines, petites, que je n'arrive pas à supporter (encore). Je ne vais pas me condamner à travers cette histoire là.
D'autres me font tenir. Et puis je ne peux pas m'en empêcher. Alors je me tais. Je compose.


Avec ça : Goin' Down, Jack the Ripper.

Samedi 3 mars 2007 à 14:05

Je dois faire ça, ça et ça. La première c'est du Myriam Abel, oui je sais ce n'est pas très glorieux mais je ne peux pas toujours choisir.




Vendredi 2 mars 2007 à 21:57

La tête qui tournent, les jambes comme de la guimauve. Ca va vite ce manège. Dis moi, est-ce que c'est normal tout ça ? Je ne sais plus faire la différence entre la norme et l'excès. Des rires dans ma tête, des pleurs aussi, c'est un gigantesque pot-pourri. Ce soir mes yeux me font mal. Je ne peux pas aller sur msn. Je tape juste ces quelques lignes pour dire quoi. Oui je suis revenue. Qu'est ce que ça peut bien vous faire ? Vous passez comme des ombres, des riens indispensables, qu'on aura bientôt rangés dans l'immense dossier "inoubliables passés".
Et pourtant, chaque jour qui passe me conforte dans cette idée que je ne peux plus vivre sans eux. Et chaque jour j'ai un peu plus peur de leur faire mal, de les détruire, ou du moins de les abimer. Sans pouvoir m'empêcher des les aimer, d'aimer chaque seconde passée ensemble. De la haïr d'autant plus.

J'en ferai mon adage. "Je t'aime tant je te hais, je te hais tant je t'aime".

Où est ce putain de changement, cette maturité qu'on me cuisine à toutes les sauces ?

J'ai des étoiles dans les yeux, et j'ai honte à le dire, mais elles ne sont pas là que grace à elle. Les autres sont coupables.

Zut c'est passé.

Ca ne revient pas.

Et je défile.

Dire merci. C'est important.

Si ça revient vous serez les premiers informés.

Ah voilà.

On me dit que mon blog est apaisant. J'en suis heureuse. Vous croyez que je réussirai à m'apaiser aussi un jour ?

Merci et désolée. Je me répète.

Finir ce fichu design. Vous mettre mes photos.

Vendredi 2 mars 2007 à 21:12



C'est histoire d'avoir le beurre, l'argent du beurre, et la cremière.

Certains y arrivent.







[Pour les mauvais esprit, oui je sais, sur l'image c'est la laitière, et non pas la cremière, et ben je vous crotte.]


Je suis de retour.

Et bien en plus de ça.

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