Rue Saint Guillaume.
Mardi 6 mars 2007 à 16:09
Un frisson glacé me parcoure, et la vérité s'impose. J'émerge enfin. Si ce jour là j'avais été ailleurs ? Que s'est il passé entre deux conversations ? Nous avons été piétinés par notre entourage proche. C'est gens "réels" qui me surpassent. Pourtant, si je vais à-bas... C'est un mois trop tard. Mais il me reste une alternative. Cet IEP.. C'est là que j'ai eu ton approbation. Le cerveau humain est vraiment une machine complexe et imprévisible. Tu l'as dit. Et je l'ai perdu. Je me refais un post-it ce soir. Sa place est déjà prête.
C'est ça ou rien.
Rue Saint Guillaume.
Rue Saint Guillaume.
Mardi 6 mars 2007 à 14:22
Un petit papier déplié, après une matinée qui s'enfuit trop vite.
Elle s'avance sous la pluie, rapide et paraissant inébranlable, d'un geste millimétré elle rabat sa capuche, elle sait où elle va, elle sait ce qu'elle fait, et rien ne l'arrête. C'est ce genre de geste qu'elle a, d'une banalité extrème mais qui font des différences énormes à plus grande échelle. Ils sont révélateurs de sa personne, et de ce qu'on ressent quand elle se trouve près de nous ; nous sommes si petits.
Derrière la vitre du break noir je vois cette pluie qui n'a de cesse de tomber depuis 3 jours, un courant d'air froid s'engouffre dans l'habitacle, une portière qui claque.
"Où va-t-on ? Ok."
Quatre mots, elle ne dira rien d'autre, elle s'enferme dans sa musique et je reste spectateur de son indifférence à mon égard. Toute action serait futile et inconséquente.
Elle se libérera seule, dans la musique encore une fois. J'espère juste avoir cette infime satisfaction d'y avoir participé à cette musique, de l'avoir écoutée, d'avoir croisé son chemin. Quoi d'autre.
Elle s'avance sous la pluie, rapide et paraissant inébranlable, d'un geste millimétré elle rabat sa capuche, elle sait où elle va, elle sait ce qu'elle fait, et rien ne l'arrête. C'est ce genre de geste qu'elle a, d'une banalité extrème mais qui font des différences énormes à plus grande échelle. Ils sont révélateurs de sa personne, et de ce qu'on ressent quand elle se trouve près de nous ; nous sommes si petits.
Derrière la vitre du break noir je vois cette pluie qui n'a de cesse de tomber depuis 3 jours, un courant d'air froid s'engouffre dans l'habitacle, une portière qui claque.
"Où va-t-on ? Ok."
Quatre mots, elle ne dira rien d'autre, elle s'enferme dans sa musique et je reste spectateur de son indifférence à mon égard. Toute action serait futile et inconséquente.
Elle se libérera seule, dans la musique encore une fois. J'espère juste avoir cette infime satisfaction d'y avoir participé à cette musique, de l'avoir écoutée, d'avoir croisé son chemin. Quoi d'autre.
Mardi 6 mars 2007 à 12:10
A deux a.m aujourd'hui, alors que j'étais confortablement installée dans ma couette, la motivation était extrème : j'allais bosser, j'avais trouvé mon design (donc j'allais le faire), j'allais m'entraîner etc...
Mais à force d'être motivée à 2h, on se lève un peu trop tard, on va tout de même voir deux trois amis et au final, et bien, on supprime l'habillage cobaye, preuve que la motivation cssienne est partie, preuve également que la motivation qui est censée me faire travailler est partie aussi : je glande toujours devant l'ordi. Ca c'est fait.
Mais à force d'être motivée à 2h, on se lève un peu trop tard, on va tout de même voir deux trois amis et au final, et bien, on supprime l'habillage cobaye, preuve que la motivation cssienne est partie, preuve également que la motivation qui est censée me faire travailler est partie aussi : je glande toujours devant l'ordi. Ca c'est fait.
Lundi 5 mars 2007 à 22:41
| Say that you need me after everything you've done |
Si je m'arrête là ? Maintenant ? Tout de suite. Ne m'en croyez pas incapable. Je ne cherche d'une approbation. Je n'obtiens même pas un avis. J'existe oui. A quel prix, après quels efforts.
Les mots reviennent pour se contredire. Passer du blanc au noir. D'une idée à l'autre. De mon monde aux leurs. Je ne suis qu'une pitoyable marionnette. Qui ne fait rien pour changer cet état de faits, alors qu'elle en a conscience.
Mal.
Je viens de penser à quelque chose, créer cette catégorie. Mais j'ai peur de voir le nombre d'articles qu'elle contiendra. Lâche ? Oui, pour ça, uniquement. Je ne voulais pas écrire en blanc. Tant pis.
Les mots reviennent pour se contredire. Passer du blanc au noir. D'une idée à l'autre. De mon monde aux leurs. Je ne suis qu'une pitoyable marionnette. Qui ne fait rien pour changer cet état de faits, alors qu'elle en a conscience.
Mal.
Je viens de penser à quelque chose, créer cette catégorie. Mais j'ai peur de voir le nombre d'articles qu'elle contiendra. Lâche ? Oui, pour ça, uniquement. Je ne voulais pas écrire en blanc. Tant pis.
Lundi 5 mars 2007 à 22:01
Immobilisée par ces musiques. Ce n'est pas ce que je dois faire. Tant pis. J'en ai trop vu sur pas assez longtemps. Ca doit être ça. Le titre a changé. Le fond aussi. Mais pas ici. Alors que je tape ces mots je me souviens : c'était là. Ensemble. Donc ça ne changera pas. Il peut arriver des tonnes et des tonnes de changements, il n'y en aura pas autant que d'étoiles dans mes yeux quand j'étais en train d'admirer cet instant. Cette photo existe. Fin du mois de février comme une évidence que l'on découvre pour la seconde fois. J'ai occulté trop de choses. Qui est arrivé le premier par exemple. C'était tellement au-dessus.
Le post-it. 2005.
Le mot. 2006.
Beaucoup à trouver.
Une confiance aveugle. La lumière est inutile, vaine, mensongère.
La preuve, son mouton, il est dans une boîte. Non je ne parle pas d'Exupéry.
J'ai mon petit prince. Avec son rire. C'était un aviateur-enfant. Je suis une rien-plurielle.
Ici c'est ça. Ou autre chose.
Je ne le savais pas encore. Les toit de Paris tout de même. A travers quel nuage ?
Le post-it. 2005.
Le mot. 2006.
Beaucoup à trouver.
Une confiance aveugle. La lumière est inutile, vaine, mensongère.
La preuve, son mouton, il est dans une boîte. Non je ne parle pas d'Exupéry.
J'ai mon petit prince. Avec son rire. C'était un aviateur-enfant. Je suis une rien-plurielle.
Ici c'est ça. Ou autre chose.
Je ne le savais pas encore. Les toit de Paris tout de même. A travers quel nuage ?
Lundi 5 mars 2007 à 21:22
Un soir de juillet, de novembre ou de mars ça ne change rien, dans Paris, dans le métro, à une station dont j'ai voulu oublier le nom, vous verrez que j'y arrive moins bien qu'elle, elle me tend cette feuille, avec ce "tu" agaçant qui ne m'est pas adressé.
Pas lui, ni l'autre.
"Vous avez la focalisation interne.
Il ne vous manque plus que la situation d'énonciation."
Chacun ses énigmes en français.
Il ne vous manque plus que la situation d'énonciation."
Chacun ses énigmes en français.
Lundi 5 mars 2007 à 15:47
*Je chante depuis ce matin 9h00. Et j'hésite. Est-ce que je peux mettre ici les enregistrements que l'on a fait ? Et si je le fais, je mets la version " à ma sauce" a capella et un peu bizarre, ou avec la musique derrière (plus dur).
*Vous tombez au beau milieu d'une après-midi bourrage de crane : il ne faut penser à rien.
*C'est assez paradoxal je vous l'accorde.
*Mais après tout c'est mon blog ici. En parlant de ça. Certains cowblogs ont été hackés. Prenez des précautions, sauvegardez vos articles.
*Mon père déménage. Pour la 4ème fois. J'étais vraiment bête, je faisais des projets.
Du coup ce sera la terre des ancêtres, ou le royaume de la moule.
Mais il a décidé de m'aider à partir cet été. Pour la voir. <3
*Je veux retourner à la gare.
*Un quatre-quart. Faire brûler la baraque, pourquoi pas.
*Vous tombez au beau milieu d'une après-midi bourrage de crane : il ne faut penser à rien.
*C'est assez paradoxal je vous l'accorde.
*Mais après tout c'est mon blog ici. En parlant de ça. Certains cowblogs ont été hackés. Prenez des précautions, sauvegardez vos articles.
*Mon père déménage. Pour la 4ème fois. J'étais vraiment bête, je faisais des projets.
Du coup ce sera la terre des ancêtres, ou le royaume de la moule.
Mais il a décidé de m'aider à partir cet été. Pour la voir. <3
*Je veux retourner à la gare.
*Un quatre-quart. Faire brûler la baraque, pourquoi pas.
Lundi 5 mars 2007 à 14:26
Elle * est à la batterie.
Egale à elle-même.
Egale à elle-même.
Elle ** est au piano/clavier.
Encore meilleure qu'avant.
Il* est toujours avec sa basse.
So magic.
So magic.
L'autre** à la guitare.
On rêve.
Lundi 5 mars 2007 à 12:17
Je l'envie. Les traits tirés. A 6h40 ce matin. Et à toutes les autres heures.
Lundi 5 mars 2007 à 0:45
Un soupir. Un relachement. Un larme qui perle au bout de son nez. L'histoire n'est toujours qu'un éternel recommencement. Quand elle partira elle en aura gros sur la patate, et ne sera pas avancée pour un sou dans ses sordides affaires. Elle semble régresser d'ailleurs. Nous sommes au mois de septembre. Comment ça non ? Tiens c'est vrai ça, il y a quelque chose en plus. Nous sommes bien au mois de mars. Tout s'équilibre, en bien comme en mal. Désormais ça ira mieux. Parce qu'à partir d'ici elle sait où elle met les pieds, elle connaît par coeur les chutes, les relèves et les fausses-joies.
Elle ne pouvait pas vivre en ayant plus de positif que de négatif, alors elle avait changé le bien en mal, mais ce soir, avec ce retour, l'équation a trouvé une nouvelle solution, qui n'est que l'assemblage de deux vieille recettes.
Que lui réserve l'avenir ? On verra en temps et en heure.
Elle ne pouvait pas vivre en ayant plus de positif que de négatif, alors elle avait changé le bien en mal, mais ce soir, avec ce retour, l'équation a trouvé une nouvelle solution, qui n'est que l'assemblage de deux vieille recettes.
Que lui réserve l'avenir ? On verra en temps et en heure.
Dimanche 4 mars 2007 à 23:58
Voilà tu es prévenu.
Elle te laisse plus me faire mal. Et moi non plus.
J'ai vraiment été stupide, au moins je m'en souviendrai.
Ce soir je réapprends doucement à voir ailleurs.
L'autre est toujours aussi doué pour choisir son moment.
Son entrée. Sa sortie.
Théâtral c'est le mot.
Mais tant mieux. J'en avais besoin.
J'existe à nouveau, et il n'y a pas à chiquer ça fait énormément de bien.
Il ne partira donc jamais.
Pas envie de m'en plaindre.
Et puis :
Un mac
Un (deux ??? stp..) voyage(s) Fantastique.
Un voyage à Montpellier.
Deux cadeaux.
Du crédit.
Je sens que je vais recommencer le baby-sitting moi.
Dimanche 4 mars 2007 à 18:52
Dimanche 4 mars 2007 à 18:20
Elle est pressée, monte les escaliers à toute vitesse, se débarasse de ses vêtements noirs et enfile presque au hasard un jean, ainsi qu' un maillot à rayures et un poncho, rouges. Un premier sac de renversé. Deux anneaux, et elle redescend les escaliers encore plus vite. Craquement. Pause. Musique.
Sa paire de chaussures noires, un second sac renversé, d'un coup, d'un seul, tout sur la table de la salle à manger, un foutoir monstre, et au milieu un tube noir, un rouge à lèvres, vermeil, pétant, rouge quoi. Une main passée dans ses cheveux, un long manteau, une porte qui claque. Elle est partie, aussi vite qu'elle est devenue une autre. Parce que les circonstances l'imposaient. Fondu.
Sa paire de chaussures noires, un second sac renversé, d'un coup, d'un seul, tout sur la table de la salle à manger, un foutoir monstre, et au milieu un tube noir, un rouge à lèvres, vermeil, pétant, rouge quoi. Une main passée dans ses cheveux, un long manteau, une porte qui claque. Elle est partie, aussi vite qu'elle est devenue une autre. Parce que les circonstances l'imposaient. Fondu.
] Deux carrés de chocolat. [
Dimanche 4 mars 2007 à 17:51
Je me suis relue. Pour la première fois. Je me suis arrêtée au 15 janvier.
C'est vraiment spécial, et comme quoi je ne m'entendrai jamais avec moi-même, je préfère ces articles là.
Je dois trouver quoi dire mais je n'y arrive pas. Je suis tiraillée entre deux sentiments profondément contradictoires. Il est encore possible de s'échapper ? De prendre cette main qu'on me tend, et de m'envoler, oui de m'envoler, pour quoi je n'en sais rien, mais la réponse au pour qui est évidente.
Je cherche de la nouveautée, ici je ne fais que me répéter, reprendre les expressions d'un article à l'autre. Vous devez saturer au bout d'un moment. J'attends qu'ils partent, tous. A partir de là j'aviserai, j'improviserai. Gagner ou perdre, ça n'a plus aucun sens. Je pars afficher un dessin, sur un mur abîmé.
Mon coeur se fait la malle pareillement.
C'est vraiment spécial, et comme quoi je ne m'entendrai jamais avec moi-même, je préfère ces articles là.
Je dois trouver quoi dire mais je n'y arrive pas. Je suis tiraillée entre deux sentiments profondément contradictoires. Il est encore possible de s'échapper ? De prendre cette main qu'on me tend, et de m'envoler, oui de m'envoler, pour quoi je n'en sais rien, mais la réponse au pour qui est évidente.
Je cherche de la nouveautée, ici je ne fais que me répéter, reprendre les expressions d'un article à l'autre. Vous devez saturer au bout d'un moment. J'attends qu'ils partent, tous. A partir de là j'aviserai, j'improviserai. Gagner ou perdre, ça n'a plus aucun sens. Je pars afficher un dessin, sur un mur abîmé.
Mon coeur se fait la malle pareillement.
Dimanche 4 mars 2007 à 11:57
Il est 1h50 cette nuit, la lune rouge est passée et mon sms a eu une réponse (si, vous savez le sms que j'ai envoyé à six personnes au lieu d'une seule...) Je me replis encore plus dans mes couvertures et cherche après mon mp3, je le démarre (ce qui parait logique mais on sait jamais, j'aurai pu vouloir m'étrangler avec les écouteurs) et vlan dans ma gueule :
If I
Was to walk away
From you my love
Could I laugh again ?
If I
Walk away from you
And leave my love
Could I laugh again ?
Again, again...
You're killing me again
Am I still in your head ?
Again - Archive.
Pretty killer.. little crime dancing with another guy..
No more DJ to save my life..
I've forgot to take my knife...
You and me have seen everything to see
From Bangkok to Calgary
And the soles of your shoes are all worn down
The time for sleep is now
It's nothing to cry about
Cause we'll hold each other soon
The blackest of rooms
[...]
If there's no one beside you
When your soul embarks
Then I'll follow you into the dark
Then I'll follow you into the dark
Et puis la dernière je ne peux pas m'empêcher de la mettre entièrement même si c'est du rabachage :
You could be happy and I won't know
But you weren't happy the day I watched you go
And all the things that I wished I had not said
Are played in loops till it's madness in my head
Is it too late to remind you how we were
But not our last days of silence, screaming, blur
Most of what I remember makes me sure
I should have stopped you from walking out the door
You could be happy, I hope you are
You made me happier than I'd been by far
Somehow everything I own smells of you
And for the tiniest moment it's all not true
Do the things that you always wanted to
Without me there to hold you back, don't think, just do
More than anything I want to see you go
Take a glorious bite out of the whole world
If I
Was to walk away
From you my love
Could I laugh again ?
If I
Walk away from you
And leave my love
Could I laugh again ?
Again, again...
You're killing me again
Am I still in your head ?
Again - Archive.
Pretty killer.. little crime dancing with another guy..
No more DJ to save my life..
I've forgot to take my knife...
Pretty Killer - Lily Margot (avec Alex Beaupain <3).
Je la réecoute tout à l'heure pour vous donner les paroles.
Je la réecoute tout à l'heure pour vous donner les paroles.
You and me have seen everything to see
From Bangkok to Calgary
And the soles of your shoes are all worn down
The time for sleep is now
It's nothing to cry about
Cause we'll hold each other soon
The blackest of rooms
[...]
If there's no one beside you
When your soul embarks
Then I'll follow you into the dark
Then I'll follow you into the dark
I'll follow you into the dark- DCFC.
Et puis la dernière je ne peux pas m'empêcher de la mettre entièrement même si c'est du rabachage :
You could be happy and I won't know
But you weren't happy the day I watched you go
And all the things that I wished I had not said
Are played in loops till it's madness in my head
Is it too late to remind you how we were
But not our last days of silence, screaming, blur
Most of what I remember makes me sure
I should have stopped you from walking out the door
You could be happy, I hope you are
You made me happier than I'd been by far
Somehow everything I own smells of you
And for the tiniest moment it's all not true
Do the things that you always wanted to
Without me there to hold you back, don't think, just do
More than anything I want to see you go
Take a glorious bite out of the whole world
You could be happy- Snow Patrol.
Samedi 3 mars 2007 à 22:08
Parce qu'il faudrait que je sache quoi faire. Avant de commencer. On verra tout ça demain. Mais j'avais une bonne idée en tête pour une fois. Le problème c'est que ça n'a pas marché. Mais ça m'a donné d'autres idées, plus dures à mettre en place. Déjà il faudrait que je trouve une image de fond.
Pour tout vous dire, pour les anciens qui connaissent bien cowblog, j'aimerai quelque chose dans le genre des premiers habillages de la demoiselle Dreams, c'était un fond blanc, mais avec un agencement et des touches de couleurs qui rendait le tout vraiment très agréable à lire et à regarder. Bon. OK, je ne suis pas aussi douée qu'elle. On peut toujours rêver non ? Le probème principal c'est l'image, ensuite je n'aurai plus qu'à faire tout le Css, les cadres, les menus, les marges, les liens.. etc.. etc.. De la rigolade.
J'avais pensé prendre le dessin que Bee m'a envoyé dans sa dernière lettre, mais il est trop plié ><. Je ne désespère pas.. (Ceci n'est pas un message subliminal : si vous avez un beau dessin, une belle image, colorée, et sur un fond blanc, pensez à moi, qui sait.. (ce message n'est pas adressé à mon abeille préférée..) (ni à son prince qui fait des beaux habillages) ). Voillàààààààà.
Comment ça je suis en train de faire la politique de l'autruche ?
Mais pas du tout.
Voyons.
Ze laïfe ize bioutifoul.
Je veux du blanc et des couleurs. C'est tout.
Pour tout vous dire, pour les anciens qui connaissent bien cowblog, j'aimerai quelque chose dans le genre des premiers habillages de la demoiselle Dreams, c'était un fond blanc, mais avec un agencement et des touches de couleurs qui rendait le tout vraiment très agréable à lire et à regarder. Bon. OK, je ne suis pas aussi douée qu'elle. On peut toujours rêver non ? Le probème principal c'est l'image, ensuite je n'aurai plus qu'à faire tout le Css, les cadres, les menus, les marges, les liens.. etc.. etc.. De la rigolade.
J'avais pensé prendre le dessin que Bee m'a envoyé dans sa dernière lettre, mais il est trop plié ><. Je ne désespère pas.. (Ceci n'est pas un message subliminal : si vous avez un beau dessin, une belle image, colorée, et sur un fond blanc, pensez à moi, qui sait.. (ce message n'est pas adressé à mon abeille préférée..) (ni à son prince qui fait des beaux habillages) ). Voillàààààààà.
Comment ça je suis en train de faire la politique de l'autruche ?
Mais pas du tout.
Voyons.
Ze laïfe ize bioutifoul.
Je veux du blanc et des couleurs. C'est tout.
Samedi 3 mars 2007 à 19:13
Parce que le texte que j'ai écrit ce jour là je ne sais pas si je vais le mettre. Flemme ou peur ? Je ne m'en souviens pas. Mon portable, mon seul lien encore. Je vois que sur cette photo mon fond d'écran n'est pas visible. Mon Mp3. Parce que oui, la musique est une drogue, la sienne surtout. Mon stylo, qui a versé son encre sur plus de 200 pages lors de ce séjour. Mon carnet violet. Ce texte. Cette fenêtre qui s'ouvre sur la ville que je ne connaitrai peut-être jamais autrement, un de mes dessins/gribouillis qui me font tant de bien, et puis une phrase, repassée au stylo, parce que j'aime faire des phrases comme ça. Parce que c'est elle, qui m'a dit " Ahora, su corazon ya tiene dueno, no puedes" .
En français cela aurait été trop facile. Elle le savait.
PS : Qu'on arrête un peu. C'est pas le printemps.
Samedi 3 mars 2007 à 19:05
Je me suis fait rire toute seule. Comme une grande. Et bien en plus de cela. Parce que ce soir je vais les chercher, avec Safia et Letitza et on va faire comme il y a de cela deux ans, oui déjà deux ans... Comme si rien ne s'était passé durant ce laps de temps. Pourtant ils m'ont manqué, cette famille, et surtout les deux frères. Même si nous nous sommes quittés en assez mauvais termes, la distance a eu tôt fait de nous souder comme jamais. Pour en arriver là. J'ai hâte et un peu peur à la fois. Je vous raconterai. Et comment je me suis fait rire ? J'ai voulu reprendre cette habitude d'il y a trois ans, de ma 4ème, de cet été là, et de celui qui a suivi, le long trait noir sous les yeux. Au khôl. Je me suis vue prendre un coton-tige pour enlever l'excédent de khôl. J'ai éclaté de rire. Toute seule, dans ma chambre. Prise en flagrant délit de Fantastiques². Je ne m'en lasse pas.
Samedi 3 mars 2007 à 18:59
Création d'une nouvelle catégorie, une petite catégorie. Pour ranger le dernier article. Et ceux qui vont suivre.
Post-it.