Dimanche 26 octobre 2008 à 11:52

La fameuse boule d'angoisse et de tristesse qui vient réinvestir mon ventre. Avoir plus que jamais envie de retourner à hier, ou d'être à demain. Mais non. "Elle ne garde que les bons moments, fait l'impasse sur les mauvais." Il n'empêche que j'ai la trouille.

Dimanche 26 octobre 2008 à 9:29

Beaucoup râlent à cause de la v3. Je le conçois et le comprends. Mais zut. Je n'ai pas envie de râler après tout ce que cowblog m'a apportée. Alors oui il va falloir un temps d'adaptation, peut-être que ça va "épurer" le site ou que sais-je encore. En tous cas, moi je ne suis pas prête de partir. Et pendant ces vacances je vais donc me replonger dans mes habillages. Argh.

(Ceci dit, si je ne retrouve pas ma photo de fond de "Paris en ce jour" quelque part dans mon ordinateur... Je pète un câble ^^')

Jeudi 23 octobre 2008 à 23:19

Que très honnêtement la v3 à part éventuellement le changement d'éditeur pour les articles et les noms de domaines, je m'en foutais complètement. Mais sachant comment j'ai galéré pour mes pov's designs, j'dois avouer que j'ai un peu les boules. Alors ouais, Kaa, promis, je ne panique pas mais... J'aurais jamais le courage de les refaire. Enfin bref. Je n'écrirai probablement pas ce que j'avais envie d'écrire ce soir. Parce que c'est tout.

Mercredi 22 octobre 2008 à 22:05

"So don't tell me you might just let it go..."

Jack Johnson - Flake

Mercredi 22 octobre 2008 à 21:17

Et ta connerie aussi ? C'est moi qui le suis. Le problème c'est qu'on l'est tous les deux. Et tous les deux dans un domaine différent. Fuck.

* précédent et non pas "précécent", quand je dis que je suis fatiguée.

Mercredi 22 octobre 2008 à 20:37

- Et alors vous êtes ensemble ou pas au final ?
- Oui.
- Non.
- Ok. Je crois qu'on a un problème.

Mercredi 22 octobre 2008 à 18:53

Je ne saurais pas supporter que mes chimères deviennent réelles. Du coup je n'ose pas les écrire. Et merde.

Mardi 21 octobre 2008 à 21:40



De toutes leurs chansons, je ne comprenais pas pourquoi celle-là vous touchait autant.
Maintenant, je sais.



Mardi 21 octobre 2008 à 21:08

Croquer les moulins de Hollande, sourire à l'Italie, rire avec les Belgiques, rêver du Royaume-Uni, prévoir l'Allemagne, théoriser les Etats-Unis et embrasser Lille.

J'aime ma vie à l'internationale.

Lundi 20 octobre 2008 à 20:55

Et si on passait la soirée ensemble ? On boirait un peu, on écouterait de la bonne musique et on parlerait de toute et de rien. Et puis on irait courir dans la ville, chanter, danser sur les places endormies, on fumerait assis sur le parvis de l'église, s'allongerait sur les pavés pour tenter de voir quelques étoiles, on rirait à gorge déployée, vivants jusqu'à l'épuisement, jusqu'au matin où l'on reprendrait le dernier métro, usé de nos folies nocturnes pas si folles que ça. Ce serait tellement plus simple de vivre de nuit.

Dimanche 19 octobre 2008 à 14:13

J'ai toujours eu autour de moi des gens qui m'expliquaient pourquoi ils haïssaient le dimanche, en particulier le dimanche après-midi. Je n'en avais pas grand chose à faire. Maintenant je hais le dimanche. Et particulièrement le dimanche après-midi. Mais de leurs raisons je me fous toujours autant.

Dimanche 19 octobre 2008 à 14:06

Ce que j'aurais du dire c'est que si je m'endormais là je n'aurais jamais le courage de me relever. Et pourtant. Il le faudra bien. Puisque j'en ai envie. Plus que tout ? Peut-être pas... Quoique.

Dimanche 19 octobre 2008 à 12:06

Il fallait juste survivre, d'un instant d'oubli à un autre. Oublier le reflet rageur dans le miroir de la salle de bains et l'eau froide qui coulait sur son corps. Oublier ses espoirs et ses douleurs par la force. Avant de pouvoir à nouveau les oublier, pour quelques heures, parce qu'ils seront insignifiants.  Et croire à l'illusion pour un temps. Simplement. C'est la théorie de insignifiance.

Je ne te dis jamais à quoi je pense dans ces moments là.
(Parce que je pense toujours à toi.)
Et tu dois le savoir.

Dimanche 19 octobre 2008 à 11:33

Dormir. Ne pas faire ce fichu DM de maths. Que tout aille bien. Être quelque chose. Être quelqu'un. Le savoir. Vacances. Musique. Leur parler. Changement. Rêve. Pouvoir oublier. Ou pouvoir devenir. Croire. Recommencer. Dormir. Faire semblant. Dire. Une dernière fois. Partir. Qu'ils arrêtent. Réalité.

Dimanche 19 octobre 2008 à 0:01

Des histoires qui finissent (avant d'avoir vraiment commencées) avec le départ d'un métro que l'on voit s'éloigner ou celui d'un train que l'on prend. Deux marques de cigarettes. Deux musiques différentes. Et pourtant. Il y a quelque chose de semblable. Et qui ne peut être moi. Que penseraient-ils l'un de l'autre ? Je crois qu'ils ne s'aimeraient pas.

Samedi 18 octobre 2008 à 22:45

Sur les trois photos que j'avais dans mon portefeuille, en voilà une d'arrachée. "Goodbye and take care." Bientôt une deuxième ? Je ne l'espère pas. On verra ça en février. Ou avant.

Samedi 18 octobre 2008 à 21:37

Ou le sourire peut faire naître un désir illusoire : celui du baiser.

Vendredi 17 octobre 2008 à 21:35

Il prend son portable, comme il avait l'habitude de le faire autrefois. Farfouille quelques instants. Elle, retrouve ce sentiment ambivalent ; mêlant confiance et appréhension. Une pointe d'excitation aussi. L'important c'est de ne pas indifférer. Il lui rend son portable, en refermant le clapier. Le message personnalisable sur le deuxième écran :

"Je t'aime. (ou pas)"

C'est là que tout explose. Joie, peine. Overdose affective. Le rouge aux joues, les poings qui se crispent, les muscles du dos qui se détendent, les cils qui battent trop vite, et la chaleur qui monte. Ce sont les signes avant-coureurs d'une mort. Les morts vitales. Tout ça sur un vieux banc. Avec un ciel bleu pâle et un soleil qui recommence à chauffer. Maintenant qu'elle n'aura plus froid. Pour un temps du moins. Puisque. Quoique. Ou pas.



| Ma vie a tendance ces derniers temps à ressembler à mes films, à mes mots, à mes chimères. Il me faut du temps pour pouvoir en inventer d'autres.

Vendredi 17 octobre 2008 à 21:26

Il le dit, lui, qui m'a déjà vu : je suis la reine de l'air. Je suis un courant d'air. Je suis un coup de vent. Je suis un coup. Voilà tout. L'air est là. Mais ça n'est jamais celui qui marque le plus. Il est trop exceptionnel, à en devenir banal. Il faut savoir arrêter la comparaison. Vous n'y arrivez pas. Je m'en fous.

Vendredi 17 octobre 2008 à 21:22

C'était devenue son rituel. Un rendez-vous avec elle-même. La douche du vendredi soir. De la musique, les spots allumés et les volets baissés. Ce qu'elle s'efforçait d'ignorer c'est qu'elle ne le faisait pas pour elle. Elle était dépendante. Totalement. Irrémédiablement. Elle tâchait juste encore de faire en sorte de pouvoir en faire un triptyque : inconsciemment.

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