Mardi 1er mai 2007 à 14:56

"El mayor obstáculo para el amor es el temor secreto de no ser dignos de ser amados."

Juan Pablo Valdés

Jeudi 26 avril 2007 à 18:16

Comme le dirait un très cher ami à moi (ah bon ? Je parle de qui ? Quelqu'un le sait ? Parce que moi j'ai oublié.), posons quelques pistes.

J'adore :

~ Ces gens qui par leur seule volonté peuvent arrêter un débat dès que des arguments pertinents et en désaccord avec ce qu'ils pensent, sont évoqués. Je précise : j'adore, je tiens en profonde admiration et j'exècre, tout à la fois.

~ Les expressions du genre : "Qui vivra verra", "Les chiens font pas des chats" "Laissons du temps au temps" ou encore "On a la vie devant soi".

~ Les familles qui font assez acte de présence dans ce monde pour que l'on puisse trouver en tapant un nom dans Google un peu moins de quarante pages  les concernants. Pourquoi donc vouloir parler ? Google est là !

~ Les pseudos de certains amis sur msn.

~ Les personnes pédantes et orgueilleuses qui viennent vous expliquer que vous avez un nombre de visites bien inférieur aux leurs avant de comprendre que j'ai été absente et que si on fait une moyenne sur les jours où j'ai été présente, et bien, loin de  moi l'idée d'attacher une quelconque importance aux statistiques, mais il faut parfois s'abaisser quelque peu : je les dépasse largement. Bref. Conservons l'anonymat de ces personnes qui n'en font qu'une pour passer l'éponge. Je ne suis pas celle que l'on peut croire.

A votre tour !

Jeudi 26 avril 2007 à 0:06

Minuit moins cinq. Envoyer un email. Attendre qu'un contact flottant se déconnecte pour me dire que je perds vraiment mon temps. Je viens de regarder le premier épisode de Scrubs : à suivre.
Non je n'ai rien à vous dire. Oui j'essaye de passer le temps. Sur le nuage des filles j'ai été classée comme "humeuriste". Ca me plaît bien je dois dire. Alors on va honorer cette catégorie par un article inutile, en parfait raccord avec mon humeur du moment. Idée géniale. N'est elle pas ?
Je veux être en stage, plus j'y pense plus je me dis que j'en ai marre des cours, de faire constamment des efforts pour ce qui est simplement un moyen. J'aimerais sauter les étapes pour prendre un trajet direct vers la fin. Pas possible me souffle la régie. Et dire qu'en plus je n'aime pas et ça ne va pas aller en s'améliorant, ce que je fais. Muarf. Je me relis un peu et je ris toute seule : "faire constamment des efforts" je me fous de la gueule du monde là. ~Pardonnez la grossièreté.~ Les seuls efforts que je fais sont de me culpabiliser, et encore, quand j'ai le temps. Minuit passé à présent. La conversation doit être passionnante. Je tâcherai de la trouver, un jour ou l'autre.
Une bonne nuit aux pauvres gens qui n'ont rien eu d'autre à faire que de me lire. C'est perdre votre temps, et je suis en train de me désservir.. Bah tant pis. Je veux voir les autres avoir le courage de vivre autrement que dans des illusions et des mots paumés.

Mercredi 25 avril 2007 à 18:39

Désolée mais je n'arrive pas à me réjouir pour elle, c'est au dessus de mes forces.

J'ai l'impression qu'on m'a volé quelque chose. La place qui m'est due.

Et malgré cela je ne sais bien que je ne saurais pas être mesquine ou jalouse d'elle, je l'adore. C'est sa position qui me dérange. Et merde. Merde. MERDE !!

C'est à se taper la tête contre les murs. Ca pourrait être une solution valable ça quand j'y pense… A noter.

« Cherche pas ma fille oublier un sourire pareil c'est impossible. » La mémoire. Un de mes thèmes de prédilection ? Non juste ce qui revient très souvent parce que tout est lié.

J'ai un article assez délicat à écrire. Je le mettrai en ligne au mois de juillet, quand je serai partie avec mon père. Parce que. Bonne soirée à tous.

 

Mardi 24 avril 2007 à 15:31

Tu sais que ça n'ira pas mieux, bien au contraire, mais pourtant tu ne peux t'empêcher d'y croire encore. C'est vraiment y croire pour y croire. C'est comme ça voilà tout. On efface pas facilement les rêves et les espoirs, ils savent s'accrocher, à un tas de petits riens, ils tiennent bon. Ce sont des bestioles coriaces.
On ne peut pas être toujours au bon endroit au bon moment, il faut se faire une raison pour ça aussi. Les coincidences mettent à mal ma paranoïa. Je dois avouer que c'est un difficile. Deux ou trois bestioles qui s'accrochent un peu trop voyez-vous.

Lundi 23 avril 2007 à 21:02

Et vlang, ça arrive sans que vous n'ayez rien vu venir. Un 700ème article. Allez Mymy, tais toi pour une fois, offre leur des vacances. Ok.
Maintenant que ça c'est fait passons aux choses sérieuses. (Tout est relatif.)

Je viens de passer 5 bonnes heures à lire. Qu'on m'excuse de n'avoir laissé aucun commentaire. Le temps que je me remette.

Le 21 avril 2007.. Quelle soirée mais quelle soirée ! Neils a été fantastique à la guitare et au chant, Letitza lors du duo a été, comment dire, égale à elle même, et Safia est vraiment une prodige, une magicienne dès qu'elle s'installe derrière un piano.
Pour résumer, un "kiff" monumental lors de ce mini-concert. Je ne sais trop comment remercier les gens qui m'ont permis de le faire. Alors voilà.

Et puis Jean-Clément aussi, mon bon génie de l'informatique qui a (à peu de choses près) remis ma becane en état de marche.

Tant que nous y sommes, j'ai eu très peur en voyant le score qu'a fait Nicolas Sarkozy, attendez vous d'ici peu à un article qui, je l'espère, fera peut être évoluer l'opinion de certains d'entre vous concercant cet homme, bien que j'estime pour ma part que ce candidat manque cruellement d'humanité.



Vendredi 13 avril 2007 à 22:08

Elles me font hurler de rire, ces poupées de chiffons qui trouvent mon monde trop sombre pour leur belles consciences.
Ce sont des confettis, oui, je trouve la comparaison judicieuse. Elles sont nombreuses, colorées, insignifiantes individuellement pour plaire, elles ne peuvent amuser qu'en grand nombre, mais dans les deux configurations elle peuvent se révéler horripilantes.
Ensuite, comme les confettis de carnaval, ces bouts de papiers pour fêtes, elles sont (très) éphémères, une utilisation et on les jette. Non, c'est pire que ça, être jetées c'est ce qu'elles peuvent espérer de mieux. Mais elles l'attendent, le grand jour, pour quelques dixièmes de seconde où elles brilleront quelque part.

Samedi 7 avril 2007 à 15:10

Je ne pense pas avoir le temps d'écrire. Et pourtant vous êtes en train de me lire. Oui, mais ce n'est pas de l'écriture, ce sont des mots, jetés, pas malmenés, sur des cachiers de brouillons et des feuilles volantes.

Les vacances : les choses sérieuses commencent.

Dernier essai... Réussir la transformation serait...
Préférable.

Mercredi 4 avril 2007 à 16:26

Où se trouve donc cette différence dont ils me parlent tous ?

Lundi 2 avril 2007 à 20:01

Parce que les messages de O'Malley m'ont fait extrèmement plaisir.


Là je suis en train de bosser. Si si.


Samedi 31 mars 2007 à 18:52

後は野となれ山となれ
Ato wa no to nare yama to nare


Littéralement : "Après, champ ou montagne qu'importe."


Je ne fais plus les mêmes erreurs. Il peut en témoigner.

Samedi 31 mars 2007 à 17:42

Je n'allais pas être vache, je présume que je le devais à Caro et Hélène !
Je viens de regarder Lost in Translation.
Je me dépêche alors que ma mère est absente.
Une énième relecture de la Biographie de la faim, Amélie Nothomb. J'ai bien sur la flemme de vous faire un petit résume, il faut le lire . /
Pas envie de bosser mais je le dois. Enfin, je présume que je dois le faire.
Ah et j'ai trouvé une prépa sympa ( je ne vise pas loin voyons ! )  le Lycée Gambetta à Arras, sa prépa littéraire a une préparation IEP. C'est ce qu'il me faut je crois.
Pour les couples il y aura la liste de Rose, bientôt. Je ne vous promets rien.
Et une mise à jours des liens.
Sans oublier la confirmation de mon stage : à France Bleu Nord. Kof kof. Au moins c'est à Lille et à sept minutes du stage d'une amie, pas loin des autres non plus. Il faut faire contre mauvaise fortune bon coeur.




Jeudi 29 mars 2007 à 21:53

J'hallucine totalement : je viens de voir l'adresse de ce blog dans un site de référencement japonais.
Faut vraiment que je dorme moi.
Rien à vous dire pour l'instant.
Encore du temps, la chanson est superbe.

Mercredi 28 mars 2007 à 22:20



Juste comme ça, parce que mon lycée est selon l'enquête menée par le Monde et par l'Express, le premier lycée du nord : saviez-vous, que d'après un terminale ES de ce cher lycée il y a de cela quelques années, "Les 35 heures mises en place par Alain Juppé..."

Et aussi dans une lettre adressée à l'évêque de sa paroisse par une jeune se préparant à la confirmation : "Les deux réelles questions que je me pose concernant ma confirmation et qui me tracassent c'est combien de personnes oseront répondre à mon invitation malgré la séparation et les relations adultères dans le mariage qu'ont entretenues (entretiennent) mes parents et si ma mère va coucher avec  le cousin de son mari ce jour là, histoire de respecter la tradition familliale."

Pour le cas 1 je ne citerai pas de noms pour la simple et unique raison que je n'en ai pas, et pour la deux je vous donne un indice : ça commence par Margaux et ça finit par ..my.

Je suis une jeune fille adorable et particulièrement énervée ce soir, à n'en point douter.

Mercredi 28 mars 2007 à 17:04

あまり物には福がある

Le bonheur se cache dans les restes.



Dans trois mois je serai en stage à Lille, à France Bleu Nord, on m'a promis une intervention, des interview, des reportages au milieu d'autres choses un peu moins réjouissantes... Je ne suis pas très dupe : j'attends de voir ce que je pourrai faire réellement. 
Lille c'est excellent, même si j'ai un regret c'est sur concernant le stage à la Cité de la Musique de Paris. M'enfin, j'ai essayé c'est le plus important. Mais si Lille est une option fort plaisante c'est bien parce que le vingt-huit à onze heures, si tout va pour le mieux, je m'en irai pour de bon sur Paris, direction l'appartement d'Anaïs pour le weekend.
Bon maintenant que j'y suis autant vous raconter la suite : le lundi matin je reviens dans le nord pour la soutenance de stage et le spectacle de fin d'année.
Ensuite jusqu'au sept juillet on va enchaîner les fêtes, le sept je pars une semaine avec mon père et mon frère  en Corse (je crois les doigts) ou en Vendée  (pour ceux qui suivent depuis maintenant un an mes péripéties en vacances, vous savez à quel point j'adore ce type de plan) et à mon retour, j'espère que je n'aurais plus qu'à refaire mon sac pour aller passer environ une semaine avec les fantastiques à Paris.. Le mois d'août bien chargé aussi, avec un éventuel séjour en espagne ou en angleterre, un autre séjour éventuel mais auquel je tiens beaucoup plus chez notre chère abeille et les vacances avec ma mère (quand j'y pense c'est aussi très éventuel mais alors, pas vraiment souhaité).

Je vous raconte tout ça et nous sommes d'accord : vous vous en foutez.
Par un heureux hasard moi aussi  : apprenez que je vais regarder Lost in translation, Virgin Suicides, et Requiem for a Dream.
Que j'ai regardé Marie-Antoinette, Vanilla Sky, V pour Vendetta, Eternal Sunshine of the Spotless Mind, l'Effet Papillon, et j'ai, regardé ne convient même plus, *bip* American Beauty.
Mes yeux en avaient besoin je crois.

Il y a de plus en plus de cowblog et j'en viens à me demander si c'est une bonne chose. A propos je défile en ce moment, rue St Guillaume ou Trévise.

Je voulais juste vous écrire à propos de la citation d'au-dessus, et je me rends compte à l'instant que je n'ai rien à en dire. Je me contente de vivre et de me préparer. C'est vraiment se contenter, presque dix minutes comme presque dix  mois de discutions.

Pour finir du vélo, de la danse, des films, des chansons, sans oublier des photos.



Dimanche 25 mars 2007 à 22:50

La unica cosa que sabes es la mas importante.
No olvida.

Vendredi 23 mars 2007 à 21:16

Pourquoi suis-je donc sortie prendre l'air aujourd'hui ? Et comment se fait-il que j'étais assez mal pour avoir accepté de tirer sur cette foutue cigarette. J'ai fait une erreur monumentale, mais tellement ... énorme, le genre d'erreurs sur lesquelles on brode des téléfilms à la noix, pour que vous vous fassiez à peu près une idée. Je vais surement regretter, je regrette déjà. "On est tous des papillons, à vouloir nous rapprocher de ce qui nous aveugle" Tu vaut plus que ça. Plus que ça aussi. Rien n'est à ta hauteur. On te suit péniblement, fascinés et complétement omnibulés par ta présence.

Jeudi 15 mars 2007 à 22:05



Le droit d'être perdue.
Et de m'en foutre.
Même si ce n'est pas le cas.

Jeudi 15 mars 2007 à 17:42

Il y a ceux qu'elle ignore avec assiduité et ceux qui lui rendent le sourire en deux trois mots échangés précédés par un clin d'oeil, par exemple. Pour ces gens là je ne trouve rien d'autre à ajouter.
L'impatience grandit de jour en jour : vivement cet été !

Mardi 13 mars 2007 à 21:57

Arrêter le judo est très dur moralement parlant, mais c'est encore plus dur physiquement. Mes muscles me démangent et j'ai l'impression de me ramollir de jour en jour. Alors je me bats contre moi-même, je passe des heures à me "défouler" vélo, course, combat, abdos tout est bon, je me fais souffrir, je compense de manière violente les efforts que je ne peux plus fournir au quotidien.
Ca n'est pas grave, je maîtrise la situation et je suis très très bien entourée. Mais comprenez que quand on me demande "Comment ça va  le judo ? " ou qu'on me dit que "Tes contre-indications sportives ne valent pas pour les compétitions de judo haut-niveau je présume ?" je me sens horriblement mal, je me retiens d'exploser, pour être honnête les larmes me viennent aux yeux de chagrin et de colère. C'est un pan entier de ma vie qui a été balayé par des choses qui me dépassent. La seule lueur que je veux voir c'est la fin de ma croissance, dans quatre voir cinq ans, si elle n'a pas fini de détruire ma colonne vertebrale d'ici là. Mais l'oubli est simplement inenvisageable. Oui je fais toujours du judo, je n'ai jamais arrêté.
J'ai donné ma parole. Je m'y tiens.

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