Mardi 13 mars 2007 à 20:16
Il est donc 20:15 et je vais me calmer dans ma chambre. Zen. J'avais un tas de choses à dire, à écrire : ça attendra.
Un grand merci à vous tous, qui venez lire mes deux trois conneries. Et les grands mercis en particulier à tous les gens qui le savent.
Lundi 12 mars 2007 à 18:07
Je freine mon inspiration pour laisser le temps à Bailey de tout lire (la grande folle). Je ne suis pas convaincante je sais.
Dimanche 11 mars 2007 à 16:53
Vendredi 9 mars 2007 à 21:21
Ce "on" inconnu et inexistant a raison, et va déchanter encore plus vite que ce qu'il croit.
Quelques feuilles volantes, plus ou moins récentes, saturées de mots de gribouilles et de notes pour la plupart, quelques témoignages, quelques dessins, un parfum, des références, enveloppés de rayures . C'est là dedans que je peux remplacer les prénoms.
Mercredi 7 mars 2007 à 22:08
le gamin : - Tu donnes des leçons mais regarde comment sont placés tes joueurs !
l'entraîneur : - C'est moi l'entraîneur je sais ce que je fais !!
le dirigeant du LOSC : - Il n'empêche qu'il n'a pas tort..
A Brillon dans un petit village du Nord de la France, (à l'échelle encore plus petit que la ville précédement citée)
- Margaux tu viendrai pas donner un petit coup de main au ranch ?
- Bien sur que non ! (Là je signe pour 2heures de garde sans le savoir)
- Ah merci beaucoup. Personne ne voulait le faire. (Et je ne me suis pas demandée pourquoi)
- Mais pas de problèmes, c'est quand tu veux !
- Tu vas t'installer dans le box de Santine.
- Euh m'installer ?
- Oui, on a peur que la mise à bas se déclenche plus tôt.
-Et merde.. (Je viens de comprendre.)
2h30 plus tard... Le poulain et la jument vont bien. La sage-femme un peu moins. A 15 ans, elle a été "obligée" d'aider (aider un grand bien mot, faire en sorte de ne pas finir assomée est surement plus approprié) la mise à bas d'une jument, seule durant les 15 minutes qui resteront pour pas mal de temps j'espère, les plus longues de ma vie. Ce qu'on ne ferait pas pour aider ...
Qui a dit que je m'ennuyais ? Le reste de ma journée s'est partagé entre disputes, conseils divers et variés (abscons et redondants j'ajouterai pour mes FIDELES lecteurs de la troupe de théâtre..) , et boulot. Vous vous en foutez ? Nous en convenons tous. Qu'est-ce que vous fichez encore là.
...
Ehhh non je déconne restez !!!
...
Trop tard.
...
Merde.
...
Oh ça va, on s'amuse comme on peut. Pour ceux qui se posent encore la question, oui, je deviens complétement schtarbée.
Mardi 6 mars 2007 à 16:09
Rue Saint Guillaume.
Mardi 6 mars 2007 à 12:10
Mais à force d'être motivée à 2h, on se lève un peu trop tard, on va tout de même voir deux trois amis et au final, et bien, on supprime l'habillage cobaye, preuve que la motivation cssienne est partie, preuve également que la motivation qui est censée me faire travailler est partie aussi : je glande toujours devant l'ordi. Ca c'est fait.
Lundi 5 mars 2007 à 15:47
*Vous tombez au beau milieu d'une après-midi bourrage de crane : il ne faut penser à rien.
*C'est assez paradoxal je vous l'accorde.
*Mais après tout c'est mon blog ici. En parlant de ça. Certains cowblogs ont été hackés. Prenez des précautions, sauvegardez vos articles.
*Mon père déménage. Pour la 4ème fois. J'étais vraiment bête, je faisais des projets.
Du coup ce sera la terre des ancêtres, ou le royaume de la moule.
Mais il a décidé de m'aider à partir cet été. Pour la voir. <3
*Je veux retourner à la gare.
*Un quatre-quart. Faire brûler la baraque, pourquoi pas.
Dimanche 4 mars 2007 à 23:58
Voilà tu es prévenu.
Elle te laisse plus me faire mal. Et moi non plus.
J'ai vraiment été stupide, au moins je m'en souviendrai.
Ce soir je réapprends doucement à voir ailleurs.
L'autre est toujours aussi doué pour choisir son moment.
Son entrée. Sa sortie.
Théâtral c'est le mot.
Mais tant mieux. J'en avais besoin.
J'existe à nouveau, et il n'y a pas à chiquer ça fait énormément de bien.
Il ne partira donc jamais.
Pas envie de m'en plaindre.
Et puis :
Un mac
Un (deux ??? stp..) voyage(s) Fantastique.
Un voyage à Montpellier.
Deux cadeaux.
Du crédit.
Vendredi 2 mars 2007 à 21:12
C'est histoire d'avoir le beurre, l'argent du beurre, et la cremière.
Certains y arrivent.
[Pour les mauvais esprit, oui je sais, sur l'image c'est la laitière, et non pas la cremière, et ben je vous crotte.]
Et bien en plus de ça.
Dimanche 25 février 2007 à 21:39
Mercredi 21 février 2007 à 20:56
Une après-midi à Valenciennes avec des amis. Environ deux heures de "j'ai envie de çaaaa" à la Fnac. Une sortie de la Fnac avec un sachet contenant (enfin) Paris Je t'Aime, et non pas Garçon d'honneur d'Alex Beaupain (ils ne l'avaient pas) mais Promesses, de DSLZ.
Les autres..
Mardi 20 février 2007 à 10:28
C'est vraiment hilarant. Non mais vraiment. Rien que pour ça j'aurai du partir. C'est vrai pour toi tout va bien tout est facile, [censure, je suis vraiment trop gentille, pour en arriver à m'auto-censurer sur mon propre blog] Je n'en sais rien en fait. Tu as juste ce cas là, à part, selon tes propres dires, moi ce qu'il me reste bah... Fiuu, je m'interroge tous les jours depuis 1 mois et je ne vois pas l'ombre d'une réponse satisfaisante. Tu voudrais lire mes 35 pages. Et puis quoi encore. Toi tu gardes tes silences en regardant le ciel, moi en noircissant des pages et en mettant des mots sur mes pensées. Tu préfères ne rien dire, devant les autres comme devant toi seul. J'ai parlé mais je resterai seule. Je ne vois pas ce qu'il y a d'autre à faire. Les 2 derniers trimestres de 2006 ont été très calmes, pourquoi en serait-il autrement en 2007 ? Je le vois venir gros comme une maison, le "il ne s'est rien passé", il est déjà là, pour "rire" mais il y a derrière un accent d'auto-persuasion qui me dérange. Je m'enferme dans ma musique. Je me rachète des piles. Je souris. Comme noté en rouge, souligné, dans un de mes devoirs " Pourquoi chercher compliqué quand les choses simples sont les plus efficaces ?!?! " C'est ce qu'ils pensent.
Que voulez-vous. Je suis bien partie pour rester quelqu'un d'illogique.
"Margaux, Margaux, ou plutôt, Anne, ma soeur Anne ne vois tu rien venir ?"
"C'est du réchauffé"
"Je sais"
"Jamais deux sans trois"
"Tu crois qu'il va arriver ? Cela fait tout de même un sacré bout de temps qu'il est parti"
"On peut bien se passer de lui."
"..."
"Qu'il reste où il est"
"Mais... (.Quelque chose sans importance, j'ai oublié quoi)
"On ne parle pas de la même personne"
"Ah."
Et le pire, c'est que je n'en veux à personne. Sauf à moi.
Je vais bien en plus de ça.
Mardi 20 février 2007 à 10:11
Je m'installe. Na ! D'abord. (Dans ma chambre)
Hop. Ca c'est fait ça a été décidé, hier soir, comme toujours en fait. J'en ai un peu ras le bol de répéter cette histoire à chaque fois, mais c'est à croire que je ne peux pas faire autrement.
Si vous avez une décision à prendre, je vous conseille une nuit assez froide, un velux ouvert, une bonne dose d'alcool, une unique cigarette, deux biscuits, un bon bouquin et un portable en mode silencieux.
Maintenant je ne sais pas trop ce que je vais faire. On me propose de faire un bac L au lycée Wallon, un des meilleurs lycées de ma région également, juste quand je me disais que le bac ES avait vraiment des avantages,celui de ne pas me faire changer de lycée entre autres. Je n'en peux plus de l'administration, je ne vais pas dire que tous les élèves vont me manquer, mais j'ai beaucoup de connaissances qui restent là, et partir équivaut à abandonner pas mal de projets, théâtre, chant, théâtre, jeux européens, une reprise éventuelle de la danse.. etc.. Mais en même temps, Wallon c'est à Valenciennes et je serai beaucoup plus libre là bas. Et il y a un nombre d'options phénoménal.
Ah, hier j'avais remis mes articles en ligne, aujourd'hui, dès que je suis arrivée on m'a fait changer d'avis. Donc je profite de cette heure de CDI pour remettre en hors ligne. Cela m'énerve particulièrement.
Pour continuer cet article à classer dans une catégorie "blablatage bloguesque", je vous annonce que j'ai supprimé les deux autres habillages, le but est de paufiner celui là, d'arriver vraiment à ce que je veux (il me reste à régler la taille et le style des polices, le bas de page, par exemple), avant de me remettre à un autre habillage. Paris ou New York, une grande ville, de nuit ou de jour, je n'y pense pas trop pour l'instant.
Enfin, je pars en vacances du lundi 26 février au dimanche 2 mars, la brochure du Sun Park où je me rends, à la gentillesse de m'informer que la "bulle" est équipée du réseau wifi... Yeah ! Mais, petit rappel, je n'ai pas l'ordinateur pour. Yeah.. Et puis, Ô joie intense, Ô joie contagieuse et non dissimulée : c'est en Belgique, (je salue d'ailleurs tous nos amis belges qui nous mettent chaque année la patée aux jeux européens) et pour ainsi dire, àa n'est pas très bon pour nos crédits respectifs de s'appeler ou même de s'envoyer de sms quand je suis sur le réseau Mobistar.
Positivons. Samedi 24 février, 8h02 je serai à la Gare de Lille Europe, en partance pour Paris. Une journée. Mercredi j'ai deux heures de DS d'anglais, et je passe l'après midi avec ma mère (hum), avec PEUT-ÊTRE, la possibilité de passer, enfin, à la fnac.. Il serait temps.
Dernière petite chose, ça fait donc plus de 5 mois.
Mercredi 14 février 2007 à 16:14
Il pleut. Ecrit sur ma main gauche par ma main droite, pour mon courage :
<3 Fun <3
Be(e)
Ca a un peu délavé. Il pleut quoi.
Mardi 13 février 2007 à 19:17
La question et de savoir quand.
Et comment.
On souffle.
Un petit calcul.. En janvier nous en étions à 0,026 commentaire par visite. Ca c'est fait.
Dimanche 11 février 2007 à 16:39
Tes mots sont encore plus douleureux que ta construction.
Samedi 10 février 2007 à 21:41
Points positifs : j'apprends qu'il ne faut jamais faire son CSS quand on est shooté au paracétamol
je ne peux plus qu'améliorer les 3 designs
j'ai trouvé une solution pour aimer à nouveau ce monde en couleur
j'ai plein d'idées pour les designs
Points négatifs : je vais encore passer mon WE à faire du CSS
ouf j'ai pas cours lundi
j'en ai maaarre de tout le temps faire la même erreur
d'ici là... je fais comment moi ???
Mercredi 7 février 2007 à 21:32
J'ai dit qu'ils m'indifféraient. Je dois avouer que c'est faux. J'aime les entendre parler d'eux, j'aime les soutenir, j'aime les aider, mais plus pour ce que cela veut dire que parce que c'est eux. Les exceptions sont de moins en moins nombreuses mais de plus en plus marquées.