Mercredi 24 octobre 2007 à 22:52

De toutes manières il y aura toujours une belle connerie pour en rattraper une autre.
Sur son visage il y a un air réjoui qui me dérange, c'est bête, je sais pourtant à quoi m'en tenir. Mais bon on ne peut pas refaire le monde avec quelques bons sentiments posés ici et là.
Souffler un grand coup et tout reprendre à zéro.
Besoin de se défouler. Même pas. Être fatiguée, encore, toujours.
Pas envie de faire l'étalage de sentiments, de faire dans un lyrisme exagéré. Se surprendre sans le deviner.

Merci, connard.


Dimanche 21 octobre 2007 à 17:21

Lire du Daniel Pennac.
Rêver des uns, des autres.
Rêver pour les uns, pour les autres.
Et avoir deux textes  à écrire.
Mais deux textes qui m'enserrent le coeur.
Trouver le chargeur de mon appareil photo.
Ça urge. C'est fait. Et de l'encre violette sur les doigts.
Les bracelets d'or fatigué qui tintent.



Le passé : XII, arrêt, travail sur soir, méditation, progrès imposé par la douleur.
Le présent : I, commencement, tout peut se faire, astuce, homme destiné à s'élever, désir.
Futur : action dans le monde, voyage, talent, conquête, artiste à succès.

J'aime mon tarot. Et si quelqu'un devine quelle question a été posée, je promets de finir de me donner la réponse.

Jeudi 18 octobre 2007 à 19:25

"Excellent début d'année !"

Bah putain j'en bave.
Pas forcément dans le sens auquel vous pensez immédiatement.

Mardi 16 octobre 2007 à 14:06

Ce qui fait vraiment mal c'est de voir que la confiance que les gens placent en vous est déçue.

Ainsi, avant de passer on trouve les encouragements, les cris chauffent le cœur, même si au fond on trouve que c'est « de trop ». Mais a posteriori c'est encore pire. Le retour dans la salle, en affichant un sourire, en voyant les amis qui ont la figure claire, le regard sûr, non pas d'eux, juste de vous. Et voilà ce moment fatidique qui arrive : les sourcils se froncent, les visages se chiffonnent… C'est fini. Pourtant on entend encore le bruit qui s'était fait au départ ; le silence qui s'installe n'en est que plus impressionnant.

Il fallait bien que cela arrive : un échec. La seule chose qui est insupportable en fait, c'est que je ne suis pas en cause. Mon jeu était très bon, l'expression de mon visage excellente, je suis en progrès constant...Ca n'est pas moi : c'est mon profil. Pour le sport c'était pareil. Pour la danse aussi. Pour le chant ça va venir, qui sait, peut-être.

 

Mais mon profil vous emmerde.

 

Bonsoir.

Vendredi 12 octobre 2007 à 19:51

"T'as l'air triste ma poule."

Non ? Tu crois ? Les jours passent et ne se ressemblent pas. Mais au final ça ne change pas grand chose.

Je pense détenir le record de la plus courte prestation réalisée lors d'une audition pour une troupe de théâtre. Résultat : je recommence lundi.
Je n'ai vraiment plus de voix.

L'un ne comprend pas.
L'autre reste distant.
Et le dernier nécessite un combat probablement hors de ma portée.

Lundi 8 octobre 2007 à 22:13

Nan mais en fait en cours de sciences sociales (genre), je dois faire un exposé sur une habitude de vie, dans un pays de l'union européenne.
Et comme les gens sont souvent surpris par la manière de dire bonjour qu'ont les Français, je veux faire une comparaison. C'est vrai quoi, pareil pour le fameux "french kiss", il n'a rien de vraiment particulier.
Donc ma question d'avant cette explication était : comment dis-tu bonjour ?
Hum. "Hey !" pour certains et la bises pour d'autres. Tu serres la main des mecs je présume ? Oui... Et la bise pour les filles n'est pas automatique ? Non, pour les anniversaires, ok je note. Tiens, c'est différent chez moi ça. Et, euh, désolée de te demander ça mais, pour tpetite copine ? (genre gênée la fille...), parce que c'est bien le genre de questions que je ne me vois pas poser à ta soeur ! Lol.
Ah zut, je dois aller manger, je te parle de suite après ! (c'était vrai ça par contre)
Il me dit oke. Ok.

Mais il n'a pas de petite copine en ce moment...
Hum.

Mercredi 3 octobre 2007 à 14:55

L'ignorance me fait peur. Alors que fondamentalement, le savoir mort ou savoir que je n'aurais plus jamais de ses nouvelles cela revient au même. Mais voilà, non. Alors je me suis dépêchée de chercher dans google, quelque chose, quelqu'un dont j'ignorais tout. Juste pour savoir que ça n'était pas lui.
Et là, le comble du bonheur : j'avais oublié le nom de la ville.
L'oubli ça marche.

Et il n'y aura pas une explication sur cet article. On m'a laissé un message parlant d'un conseil, "écrire chaque jour", alors j'applique.

Lundi 17 septembre 2007 à 21:25

"Huh ? "

Juste une intense envie de lui claquer ma main dans la gueule. Il a de la chance d'habiter à 320 kilomètres, je vous le dis.

Lundi 17 septembre 2007 à 18:24

Tu es passé à côté de nous. Pas un sourire, pas un regard, pas un geste dans notre direction. Je ne sais si j'ai été vexée. Tu es passé, voilà tout. Comment va-t-on réagir dans les jours qui viennent ? Parce qu'il va falloir réagir. On ne pourra pas faire autrement. Revenir au point de départ, déjà, et avancer ensuite.

Dimanche 16 septembre 2007 à 12:22

J'ai enfin la réponse à un débat commencé chez ma chère Clone...

*roulement de tambours*

Laisser en suspens !

Sans "e" à la fin, sans "d" et sans pronnonciation à l'anglophone. On avait tous tort... Sauf ma mère. -_-'

Vendredi 14 septembre 2007 à 18:43

J'ai des textes et des ra-textes (expression de chez nous) dans le fond des poches. Mais non. Parce que j'ai simplement la tête (et le coeur ?) ailleurs. Vous m'en voyez  ("c'est le verbe voir et non pas le verbe envoyer !!") navrée. Ça ira mieux ce week-end. Si entre deux trois bavures, révisions, et enregistrements j'arrive à trouver un moment pour mettre un peu d'ordre. Parce que oui, quoique l'on puisse en croire, la plupart du temps ce qui est mis ici n'est pas brut de décoffrage. Flippant. Vous n'êtes pas d'accord ?

Mon oral c'est très bien passé.
Je me suis branchée avec un chauffeur de bus.
On peut dire que j'ai gagné.
Y'a quoi à la télé ce soir ?
Et toujours merci, hein, pour changer.
Couleur des yeux ? Bah c'est pas du vert, c'est pas du marron et encore moins du noir. Ouais, pour changer aussi. Les deux en plus.... Voire trois (pas les yeux !).

Margaux.

Ecouter Ironic d'Alanis Morissette.
Lire une anthologie de la poésie surréaliste.


Jeudi 13 septembre 2007 à 8:02

Quelques petites histoires trépidantes sur ma vie qui, j'en suis sûre, vous procureront un contentement extrême quand vous les lirez, au boulot, chez vous (êtes-vous encore en vacances ?!?), après le boulot ou l'école ou lors d'un simple moment de glandouille. En sachant bien entendu que la dernière catégorie peut recouper toutes les autres.

Par un système complexe et codifié, mon esprit avait pris la décision de me rendre au lycée à 8h40, en bus, malgré le fait que je n'ai pas cours, seulement une soutenance de stage à 15h30. Mais siii, le stage, la fin juin ! Celui où rien ne s'est déroulé comme je pouvais l'attendre ! Je ne vais pas commencer à vous expliquer le pourquoi du comment, ça prendrait trop de temps et ça n'est pas dans mon intêret, ni dans mes intentions. Bref.
Et là il est 7h55. Je devrais être assise dans mon bus. Problème.

Par un système complexe et codifié, l'esprit de ma mère (qui lit ce blog et entre deux trois chocs frontaux à propos de ce que j'écris, me dit que je le fais bien. Les mères ne devraient pas se rendre sur nos blogs sans autorisation préalable) avait pris la décision de s(m)e prendre la  tête avec moi(ma vie, mon oeuvre) hier soir et ce matin. Là encore je vous passe les détails : je suis privée de "sortie", et elle devait me conduire à St Amand cet après-midi pour ma soutenance.
Donc ce matin je me lève plus tard et j'apprends que non, franchement elle a pas envie de faire des kilomètres en plus pour moi (heyyyyy j'ai rien demandé !!) et que je dois me débrouiller avec les bus.
Au final je prendrai donc un bus à 13h30. Je trouve ça quelque peu absurde, mais bon.

J'ai donc une matinée seule chez moi. Wouah. Ca c'est de la punition. Je vais donc pouvoir écrire, lire mon rapport de stage (non, non, 15 minutes à l'oral chez moi ça ne se prépare pas, ça se relit), faire deux trois choses pour l'auteure-associée de mes jours, une affiche pour le théâtre et finir les paroles d'une composition pour un ami à moi.

Je me sens terriblement mal...

Dimanche 9 septembre 2007 à 14:10

En une semaine :

- voir ce qu'il en est du théâtre, trouver un monologue à jouer pour les auditions (une idée ?)
- voir ce qu'il en est de l'option musique/des cours de chant à St Amand
- reprendre la danse
- voir ce qu'il en est de l'atelier vocal
- voir ce qu'il en est du journal du lycée
- annoncer que je ne pourrai finalement pas faire caté aux 6èmes pour la première fois
- s'inscrire à la médiathèque
- tenter de s'inscrire en tant que bénévole à l'organisation du festival de rock octopus
- écrire une lettre à Bee, une aussi à Colombe
- tenir les blogs

 Et accessoirement, aller en cours, travailler, manger, se laver et dormir.

Reprendre le rythme ça commence à urger là.



Jeudi 6 septembre 2007 à 22:02

J'avoue sans aucun problème que je suis crevée et que cela ne rime à rien. Je suis complétement vidée. J'attends peut-être de trouver un moyen de m'y faire.
Le mot de passe invité est toujours merci . Alors vous savez ce que j'en pense.
Je n'ai vraiment pas envie de te parler pour me prendre encore une claque dans la gueule ça va, j'ai déjà été servie.

Dimanche 2 septembre 2007 à 0:11

Je m'étais promis d'attendre son retour. De faire ça correctement. La preuve, le texte est dans ma chambre, en faut, bien au chaud entre deux feuilles jaunes. Il faudrait que je m'énerve. Que je me pose quelques heures pour y réfléchir. Il faudrait, je ne le ferai donc pas.
Je me dis aussi que je vais vous la mettre. Mais que le 5 je la réenregistrerai. Avec le fameux texte en question. Oui. Pour ça je serai énervée. Pas l'ombre d'un doute.



Après tout, cessons d'être hypocrites. Ca fait longtemps que je n'en ai plus rien à foutre de tout cela.
Et non, je ne sais même pas de quoi je parle.

Samedi 1er septembre 2007 à 23:46

Voilà.
On commence.
On finit.
3 euros pour 1 minute et 24 secondes.
Ce même temps pour avoir beaucoup trop chaud.
23h44 pour se dire que c'est finit.
Depuis le 7 juillet se dire que ça commence.
Tout mettre en bordel.
Avoir envie.

Pétage de câbles ambiant.

Dimanche 19 août 2007 à 22:55

J'aime l'anglais.

Samedi 18 août 2007 à 18:46

"Le vrai bonheur coûte peu ; s'il est cher, il n'est pas d'une bonne espèce."

Mémoires d'Outre-Tombe (1848), François-René de Chateaubriand

Samedi 18 août 2007 à 15:13

La désagréable sensation d'avoir été abandonnée, alors que voilà, ça n'est que pour une soirée. Je suis en train de devenir possessive et je déteste ça. Du moins, j'essaye de me convaincre que je suis en train de devenir possessive, la réalité est pour moi encore pire : je deviens dépendante. J'ai besoin de lui. Je me demande comment les gens peuvent faire tant d'effet sur les autres en si peu de phrases. Il doit y avoir une recette quelque part. Si quelqu'un la trouve qu'il me contacte d'urgence : j'en ai actuellement l'utilité.
En même temps, je suis sûre que je pourrais trouver mon compte dans cette dépendance, seulement voilà, je ne l'ai pas encore sous les yeux ce compte là.

Dimanche 12 août 2007 à 18:52

Tout semble s'accélérer et je me demande depuis quand cela a commencé. En fait je me sens comme la gamine à l'arrière de la voiture pour aller à la mer "C'est quand qu'on arrive ?" "On est parti depuis combien de temps maintenant ? " sauf qu'en lieu et place de l'excitation générale on retrouve plus de l'appréhension, oh une certaine dose d'impatience aussi, mais elle est vraiment minime. Aujourd'hui j'ai fait le tri des communes dans lesquelles il y a un ramassage vers mon lycée en vue de mon futur déménagement. On avait pas dit dans à peu près un an ? Ça ne fait même pas une semaine et je trouve que cela va bien vite.

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