Mercredi 8 octobre 2008 à 23:52

Et du coup on se rend compte des gens qui nous manquent, de ce qu'on fait de nos jours et de nos nuits, de notre reflet dans un miroir, et on se dit qu'on est peut-être bien, nous aussi, en train de dépérir. S'ils avaient raison ?

Mardi 7 octobre 2008 à 19:41

Samedi j'avais prévu d'aller à l'Octopus pour écouter de la musique (que j'espérais bonne) et prendre des photos. Au final je me retrouverai à cuisiner pour une soirée qui ne me branche pas plus que ça. C'est pas si grave. Pour l'octopus. Mais dans mon idée de base, qui date certes un peu,  j'avais songé à faire d'autres choses diverses et variées tout aussi voire plus intéressantes qu'un mini-festival. L'autre sera violent. Très violent. Vaut mieux prévenir que guérir. Ou pas.

Lundi 6 octobre 2008 à 22:12

Te echo de menos.

Mercredi 1er octobre 2008 à 17:45

Paris, tu me manques.

Jeudi 25 septembre 2008 à 12:13

C'est pas grand chose. Un mot. Deux mots en fait. Il ne faut pas oublier le déterminant. Bon. Un mot et demi parce que le nom n'est même pas un nom : c'est une abréviation. Alors si je compte le déterminant comme une moitié de mot et l'abréviation comme une autre moitié... Si. Un mot. Qui me trotte dans la tête depuis avant-hier. Qui ne veut rien dire pour l'instant. Qui était là comme ça, sur le moment. Ou qui était le début d'une réelle proposition. Un mot. De passage. Et il faudrait que j'arrive à le ranger dans un coin de tête. Histoire qu'il ne revienne que lorsque le reste du monde sera près. Mais merde les mots importants marchent par trois. "Je t'aime." "Tu m'énerves." "Tant pis, oublie." "Casse-toi connard !" "On va manger ?" "S'il te plaît." "Tu es beau." "Ne pars pas."

*rayez la proposition incorrecte*

Pendant ce temps là moi j'vais tenter de défragmenter. Ma tête.

Dimanche 21 septembre 2008 à 3:27

Tu vois savoir quoi ? En vrai de vrai de vrai ? Et bien "rien", je n'aime pas ça.

Vendredi 19 septembre 2008 à 18:39

Non je n'écris pas beaucoup, j'ai les mains trop froides (là tous les grands-pères du monde sont priés de se taire). Alors oui, l'écharpe de couleur pour ne pas associer la fatigue au froid et le froid à la fatigue, ça marche. Par contre pour les mains je n'ai toujours pas trouvé de mitaines noires, simples, sans dentelle. Vous vous en foutez ? Moi aussi. Mais certains comprendront tout de même.

Dimanche 14 septembre 2008 à 17:52

Si ça dérange quelqu'un c'est bien con : j'ai fermé le bureau des réclamations. Zut alors. Faut repasser dans quelques jours. Quelques mois. Quelques siècles. Quelques vies en fait. Là vous aurez peut-être vos chances. Et encore. A voir.

Ecrit à l'encre violette. Sur un carnet orange.
Edition numérique : je l'ai fermé trop vite ce putain de bureau. Je fais tout trop vite.

En parlant de bureau d'ailleurs : mais qu'est ce qu'il foutait là putain ? D'autre part, je sais bien ce qu'on a dit. Mais je veux savoir également si j'ai halluciné ou pas. Non mais oh. Oui je me parle à moi tout seule en petits caractères en dessous de mon article de trois lignes. OUAIS. Et alors ? Pour maintenant...

Dimanche 7 septembre 2008 à 10:01

Nous sommes le dimanche 7 septembre 2008. Je viens de finir l'installation de la Livebox paternelle qui avait été laissée aux mains d'incapables tortues boiteuses... Le Wifi marche donc désormais. Je ne vais pas dire que c'est l'un de mes grands fantasmes qui vient de se réaliser, mais tout de même, le PC connecté à internet dans son lit, alors que dehors il pleut à drasche, c'est le pied !

Samedi 6 septembre 2008 à 21:31

A la base je ne voulais pas d'article sur la rentrée... Sur ma rentrée. Mais je me suis rendue compte qu'il y a beaucoup de gens qui me le demandent et à qui je veux bien expliquer les faits. Des gens qui lisent ce blog. Alors soyons intelligents, optimisons le temps de tout le monde.

Ma rentrée s'est faite le mardi 2 septembre (wouaaaaaa, sans blague), je suis en Terminale Économique et Sociale, TES2, à Notre Dame des Anges. Jusque là pas de grosses surprises. Les classes de première ont été éclatées et mélangées, à mon plus grand bonheur. Je n'étais pas contente de cette rentréée mais c'est un soulagement de me dire qu'en juin j'en aurais fini avec ce lycée, avec cette institution, avec la plupart de ces gens, avec cette formation qui ne m'enchante pas réellement. Un emploi du temps plutôt sympathique, je finis avec une heure d'avance le lundi, avec deux heures le jeudi. Le vendredi je commence deux heures après la grande majorité des élèves, et avec ma dispense médicale je finirai deux heures avant eux. Une déconvenue : le départ imprévu de la documentaliste avec qui je voulais reprendre le journal... La rentrée théâtrale arrivera prochainement et je verrai bien ce que ça donne. Autre point positif : mon prof titulaire est un très bon professeur d'histoire-géo, surtout d'histoire par ailleurs. Je garde les mêmes profs en maths et en éco. J'aurais voulu que ce soit également le cas en anglais, mais la professeure de terminale me semble excellente, comme l'était Mr. D. Le grand changement s'opèrera en espagnol : je vais enfin commencer une étude sérieuse de cette langue... Enfin, je croise les doigts. Je change de prof et c'est un saut dans l'inconnu puisque Mme F. est tout à fait nouvelle. Celle que j'avais depuis la 4ème est partie. Et c'est un soulagement, même si ça n'était pas sa faute et que je me dois de dire qu'elle était d'une gentilesse peu commune et que je l'appréciais beaucoup en tant que personne. Sauf qu'en prof... Désolée ça ne passait pas. Enfin, les jeux européens auront cette année lieu en France, le 1er, 2 et 3 mai. Ce sera un sacré anniversaire. Voilà.

Après j'ai attendu sous la pluie.
Aujourd'hui j'ai trouvé 20€ dans un jean que je n'avais pas mis depuis 2/3 ans.
Life is beautiful (or not).

Jeudi 4 septembre 2008 à 20:46

"Quand est-il temps d'être soi-même ?"

Quand était-il temps. Ce sont deux moments au passé. Malheureusement.

Mardi 2 septembre 2008 à 21:30

Oupssss... Oh zut alors !

Bonne (très) journée.

J'suis contente d'être avec Adeline et Fabien (alias mon ombre).

J'suis crevée.

Demain deux heures de philo et deux heures d'éco.

Ça démarre fort.

C'est la dernière année.

Lundi 1er septembre 2008 à 21:00

J'ai hâte d'être à demain. Pouvoir enfin prendre ma revanche. C'est comme ça. J'aime jouer. Et savoir d'avance que je vais gagner ne me dérange pas. Bien au contraire dans le cas présent. Mais avant tout j'espère pouvoir dormir cette nuit. Par ailleurs... J'ai retrouvé Antigone. C'est de bonne augure. Ou pas.

Dimanche 31 août 2008 à 0:27

Bonne nuit.


[J'aimerais tomber, là. Raide.]

Vendredi 29 août 2008 à 17:30

Je peux fumer sur le quai de la gare.
  • VRAI. Certes il est interdit de fumer dans les gares mais il reste toutefois possible d'allumer une cigarette sur les quais à condition qu'ils soient découverts ou simplement couverts d'un auvent.

Mercredi 27 août 2008 à 12:13

On m'accuse d'avoir disparue de la circulation : pas du tout ! Au contraire, à l'aide d'Adeline je recommence à me faire à l'idée de ce à quoi ressemble ma vie sociale dix mois sur douze... Le point positif c'est que cette année sera la dernière (à moins d'un cataclysme) dans ma très très chère Institution. La nuit dernière quelques informations me font dire qu'effectivement il ne faut pas croire en la notion de "copine", surtout au lycée. C'est étrange d'imaginer que ma parole puisse être à ce point remise en question. Donc oui oui, tout va bien, ma vie existe. Ma vie réelle. Même si par convention elle n'est pas appelée comme ça. Maintenant je n'ai plus que de la hâte concernant mardi.

Dimanche 24 août 2008 à 20:36

1006. Ça n'était pas un train mais ça aurait pu. Si il était allé jusqu'à Lyon. Mais non. Je suis rentrée directement à Lille. Et je n'ai pas eu d'adieux. C'est beaucoup mieux ainsi. Les adieux ne servent à rien. Si on se quitte on se quitte./ Non. La preuve d'intelligence, selon moi, c'est quand on décide de dire au revoir. Je suis bonne joueuse : j'offre un verre à celui ou celle qui trouve à quoi ce nombre correspond. Et pas d'indice. Le seul indice c'est la réponse alors bon.

Vendredi 22 août 2008 à 0:08

Si un jour tu te cherches, à fortiori si tu te cherches encore à mes côtés, sache que tu es dans la poche arrière droite de mon jean. 1006. J'aurais voulu arrêter ma vie à ça. Et je ne parle pas de l'année.

Mardi 19 août 2008 à 12:27

Tout a été mis dans des boîtes à archives. Montées sur l'étagère. La grande étagère du bureau. J'ai retrouvé des papiers sympas. Je n'ai qu'un seul regret. Et c'est confirmé : une nouvelle cicatrice en-dessous du genou gauche. Comme un petit trident. On en aurait ri.

Dimanche 17 août 2008 à 22:49

J'aurais beaucoup, beaucoup de choses à dire.
Mais ça ne vient que par petites touches. Des phrases courtes, quelques mots.
De quoi faire une bonne cinquantaine d'articles.
Sauf que quand c'est court, c'est clair. Trop clair.
Même maintenant. Cependant mon orgueil me dit de ne pas tout jeter.
Alors ce sera dans la masse. Compressé. Comme tout le reste.

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