Mardi 9 janvier 2007 à 17:42

J'aurai pu juste oublier, enfouir ça quelque part, un souvenir que l'on ressort entre copains copines les soirs un peu trop gais. C'était possible.
Ce ne serait ni devenu un conte de fées ni une histoire cauchemardesque. Entre les deux. A l'endroit dont on ne se préoccupe pas. Le milieu. Le médiocre ?
Impossible. C'est ce que tu me fais haïr chez les autres.
Comment alors tenter d'atteindre ce niveau sans offenser l'image que je me suis faite ?
Etrange, ce soir, et depuis longtemps en réalitée, je ressens un apaisement.
J'ai abattu mes cartes, les unes après les autres et chacune a été irrémédiablement balayée d'un revers de main que j'ose encore parfois croire accidentel. On ne supprime pas ce à quoi on attache aucune importantce.

Ce n'est pas un apaisement. C'est un vide.

Samedi 6 janvier 2007 à 12:26



Suffit de retrouver les quelques notes, les quelques paroles, qui faisaient ce moment et je sens le rouge me monter aux joues en même temps que j'aimerai pouvoir pleurer sur ce qui est parti.
Une image passée fugitivement a détruit la tranquillité que je pouvais avoir . Et elle ne s'en est pas rendue compte.
Je veux repartir vers cet ailleurs. Ton retour ne peut signifier qu'une remise à zéro des compteurs.
Je m'énerve vite. M'emballe encore plus vite.
La différence c'est que chez moi on ne trouve rien de bien là dedans.




Mardi 2 janvier 2007 à 1:38





J'aurais du dire non et ne me rappeler de rien. Mais à quoi je pensais ? Si au moins j'avais eu un petit laps de temps pour réagir.

Tu as un talent inné et rare, celui d'être à la fois fantastique et exécrable.

Un soupir et un regard qui chute. Je n'ose plus rien. Tu me laisses en plan et je fais tomber ceux que j'avais.
Eviter de faire sentimental. Craindre ma médiocrité histoire de me séparer de ta thématique de prédilection.
Je ne serai pas ton objet d'étude, ni le sujet principal de ton prochain projet.

La raison par folie. (ou par amour ?)

Blanc ou noir.

D'office je sais qu'avec toi je ne tiendrai pas. Tu l'as dit aussi. Dans un temps lointain et révolu.
Comme une imbécile je t'ai cru. J'ai voulu te croire.


Le plus petit brin d'herbe de cette époque reste ma seule illusion.



Article dédicacé à Maky, je ne peux pas lui expliquer puisque je ne comprends pas (enfin je fais semblant de ne pas comprendre)
et à Nem, parce qu'il n'est pas fini.


Photo de moi. Vous l'aurez en recadrée etc.. en mieux. Plus tard.


Mercredi 27 décembre 2006 à 14:14



Tu le répète tu t'en persuades. Pour nous en persuader. Mais toi qui fait ta fierté de ton intelligence, de ton ouverture d'esprit ; rend toi compte que tu n'es rien.

Vous êtes différents. Séparés par l' essence. L'ambition et le talent.
 L'inconscience et le don.
Il a encore la naïveté de ne pas penser haut.
Tu l'as perdue depuis longtemps et toutes tes chances avec elle. Il n'a jamais eu de chance cet homme là.
Des réussites seulement.

Alors reste à compter sur tes doigts ce que tu laisses passer devant toi.

Lui pendant ce temps avançe vers son apotéose, s'en rapproche de plus en plus. Si il le voulait il t'emmenerait.

Mais comment veux tu qu'il t'inclut dans un projet dont il n'a même pas idée ?
Lâche le en chemin. Ne devient pas un boulet à sa cheville.

Et cesse d'imposer vos talents. Seul le sien est important.





Vendredi 22 décembre 2006 à 14:43

Rien ne bouge nous restons immobiles dans ce noir de glace, nos reflets se perdant mutuellement et s'oubliant trop loin.

Alors qu'à l'abri, derrière un murmure faible que ne peuvent entendre que les gens n'y ayant pas toujours été sourds, la vérité se cache tristement.

Les mensonges s'épanouissent, pour notre pur plaisir égoïste, ou pour excuser notre lacheté trop audacieuse.

Quel chemin emprunter ? Peut-on seulement encore en changer ?

Le fardeau se fait plus pesant au fur et à mesure de sa découverte. La rage du moment gâché devient celle de la peur d'en gâcher un autre.

La mécanique diabolique se remet en marche, les idées se combinent aux émotions et aux perceptions pour en créer d'autres correspondant à cette demande puérile et vaine que l'on ressent devant l'abîme.

Drôle d'entêtement, ne pas vouloir reconnaître qu'il n'y a rien. Ce serait pourtant beaucoup plus simple.

Impétueuse raison et folie qu'est notre impossible. Qu'on ne voit que pour contredire. Puisque les doux soubressauts de l'âme ne viennent pas mettre un terme aux allégations pathétiques d'une dérision méprisante.

Je ne vous salue pas.




Mardi 12 décembre 2006 à 22:27




Je lis les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire. Ca me fait penser à autre chose. Ou presque.

Près de la gare de Lille. Un billet de train ? Oui. En route. Le trajet en TGV, j'arrive dans la grande ville. Quelle station de métro déjà ? Ah oui. Quelques heures plus tard. Dans le bon département. Son adresse. Qu'est ce que je fais là ? Moi même je n'en sais absolument rien. Frapper à sa porte. Quelle sera sa réaction ? Si il m'ouvre ? Surprise, cynisme, il va me croire folle, ne pas comprendre ?
Si il n'ouvre pas la porte. Quelqu'un de sa famille. Il ne me connaissent pas.

" C'est de la part de ??"
"Hum.. nmunhnumn.. Margaux"
"Ah.. ****************"
" Qui Margaux ? "

Arrivée, dialogue que je ne tente plus d'imaginer.


" Il n'est pas là"

Ok j'ai l'air d'une conne là.

Mais voilà, ça peut arriver. Et tant d'autres choses...


- Donc tu as cherché mon adresse puis pris comme ça le bus, le métro, le train, le métro, le bus, et te voilà ?

-  Non, j'ai pris comme ça le bus, le métro, le train, le métro, j'ai cherché ton adresse, fait du stop, et me voilà.




Où j'en suis ?



Chose unique en son genre ici, une précision, parce que je ne peux me permettre de laisser un doute. La grande ville citée n'est pas traversée par la Seine. Voilà. Que comprennent celles et celui qui le peuvent.




Samedi 9 décembre 2006 à 22:47



Avant tout, une intro, ceci n'est pas le 400ème article. C'est l'article que j'avais prévu avant de voir que j'en étais à 399 articles. Donc on peut considérer que c'est l'article 399 bis.



Parce que je pensais voir dans tes yeux la même expression que dans les miens. Que cela me ravissait, n'était ce qu'une illusion ?

Non. Mais ce fut si bref, presque furtif. Comment savoir ? Et puis... Voilà, c'est toi enfin.

Pour toi je suis montée sur un toit, pour faire une photo de vous.
Cette photo elle est pour toi.

Mais tu ne le sais pas. Et avec cet article je suis en train d'enterrer l'idée de te la donner un jour. Sauf si la situation se débloque dans mon sens.

Je ne parle que d'eux en ce moment. Que de moi. Je régresse. Ca me fait peur. Ce qui m'effraie plus que tout c'est que j'en ai vraiment besoin.

Je suis pour Lui d'une banalité, d'une futilité et d'une connerie affligeantes. Du moins, je pense qu'il croit ça. Bien qu'une de ses phrases m'incite à croire le contraire.
Cependant, je ne veux plus me faire de belles illusions. Comme ça il ne pourra jamais les anéantir comme il sait si bien le faire.


Vos expressions.. je ne sais vivre sans.

Il ne faut pas vivre dans le passé. Profiter du présent. Quand on a pas de présent, faire comme moi, ruminer.

Il faudrait oui, que je me trouve un présent.

Ce n'est pas simple.

Alors que ruminer, c'est si facile.

Mymy, éternelle ruminante.


Cette chanson, parce que je passe de l'un à l'autre. Aucun ne me guérit.




(je rassure la personne qui passera peut-être ici, ce n'est qu'un essai, fait à 22:50 sans avoir écouté ni même travaillé la chanson avant >< )





Dimanche 26 novembre 2006 à 21:13


26 Novembre 2006. 2h47. J'écris à la lumière de mon portable. Il est trop tard pour allumer les spots. Je voulais écouter le "Clair de Lune" de Debussy. Je mets mon casque, allume le MP3.. et c'est cette musique. Il y a des soirs.. nuits comme ça.
Mon stylo marche mal. Je regarde mon écriture. Enfin, mon mélanges d'écritures. Je me demande si je l'aime ou non. Bien envie demain de vous scanner la feuille pour vous montrer quoi. J'avais oublié à ce moment là que mon scanner ne marche plus. Il est désormais 2h52, j'ai pris ces deux cachets dont la liste d'effets secondaires est impressionnante. Ma soirée a été, comment dire, indescriptible. Sans oublier se dos qui me fait parfois hurler de douleur. Je suis en plus dans une position inconfortable, il n'en existe pas d'autres. Dommage, j'ai laissé mon appareil photo au rez de chaussée. Vu le temps et les risques pros pour monter les escaliers, je ne me sens pas de les redescendre. Entre deux, I'm Alright est passée dans mes oreilles.

[a finir. je t'emmerde. crève alors. et laisse moi. mes points sans majuscules t'emmerdent aussi. tu m'as fait trop mal, pas assez longtemps, sur une trop grande période]

Vendredi 24 novembre 2006 à 17:00

 "No matter how dull, or how mean, or how wise a man is, he feels that happiness is his indisputable right."

                                                         Helen Keller

Je suis encore là non ? Je ne sais plus où je vais. J'ai l'impression de tourner en rond. Que tout va mieux et de me perdre à nouveau. A chaque fois sur le même chemin. Mais je suis là. Et je ne suis pas seule. Même si les gens sont en grande partie la cause de mes pertes je ne peux rien faire sans eux. Comme ce blog, je ne sais une nouvelle fois pas quoi dire. Pas quoi écrire. Ni pourquoi je le fais. Mais je continue à le faire. Toujours plus. Mes doigts courent à une vitesse folle sur le clavier, les mots sortent sans que j'ai eu le temps de me rendre compte que j'étais en train de les penser. Le fonctionnement de l'humain est fascinant, redoutable et effrayant mais fascinant. C'est comme le pouvoir. Du pouvoir. Est-ce ça que je recherche ? Je ne prétend pas me convaincre que non. Le fait de ne pas en être sure est le plus embêtant pour moi. Si je suis réellement quelqu'un à la recherche de toujours plus de pouvoirs.. qu'est ce que ça peut bien vous foutre ? A vous, au monde, au reste. Il faut des gens comme ça. Si c'est moi au lieu d'une autre. Ca ne change rien.

Dimanche 19 novembre 2006 à 14:32



Viens-tu ici ? De temps en temps ? Je n'en sais rien.. c'est d'ailleurs agaçant. J'avais écrit un texte, inventé un souvenir. Oui, j'avoue, j'en avais envie. Alors je l'ai fait. C'est aussi simple que ça. J'en étais plutôt contente de ce faux-souvenir. C'était, assez bien fait, et il n'était pas désagréable.
Mais désormais.. il faudrait le réécrire. Pour qu'il soit à la hauteur de la réalitée. C'est vraiment troublant, la sensation d'avoir en face de soi quelqu'un qui connait un de nos rêves et qui fait le nécessaire pour le surpasser.






Jeudi 16 novembre 2006 à 22:12


You could be happy


You could be happy and I won't know
But you weren't happy the day I watched you go

And all the things that I wished I had not said
Are played on loops 'till it's madness in my head

Is it too late to remind you how we were
But not our last days of silence, screaming, blur

Most of what I remember makes me sure
I should have stopped you from walking out the door

You could be happy, I hope you are
You made me happier than I'd been by far

Somehow everything I own smells of you
And for the tiniest moment it's all not true

Do the things that you always wanted to
Without me there to hold you back, don't think, just do

More than anything I want to see you go
Take a glorious bite out of the whole world



Faut pas grand chose pour se remonter. Le bonheur d'amis. L'envie de se battre pour quelqu'un. Ou pour sauvegarder sa fierté. Qu'on peut raisonnablement considérer comme de l'orgueil. Pour sortir la tête de l'eau il suffit parfois d'un moment. D'une chanson. Pour réaliser tout ce qu'on a à perdre. Tout ce qu'on a à gagner. Si pas pour quoi on fait notre vie, comment on veut la faire. Suffit d'une situation pour se rappeler les autres qu'on a pu avoir, les souvenirs qu'on en a, et ceux que l'on veut se créer.

Jeudi 2 novembre 2006 à 23:44

Ce matin. Le réveil. C'est bien le matin n'est ce pas ? Qui a ouvert les volets ? Le con. Il est trop tôt.
Ce n'est pas les volets. Je ne suis plus là bas. C'est mon velux qui donne cette lumière. Je retourne ma tête dans la loque que j'ai piqué un jour au dojo pour sentir son odeur, pleine de souvenirs rassurants. Cela fait longtemps qu'elle ne sent plus rien. Je la garde pourtant.
Sur ma table de chevet l'appareil photo numérique. J'ai regardé les photos jusqu'à.. tard la nuit dernière. J'avais la musique dans la tête. Tatatadam.. tatadam.. Et aucune nostalgie. Enfin si, une nostalgie, étrange, pas le moins du monde triste. J'ai passé de très bons moments. C'est un euphémisme.
J'aimerai recommencer bientôt. Je me lève. Embrouillée, ma tête est sur le point d'exploser. Les fringues, mes fringues sont à terre. Surement pas eu le courage de les enlever correctement. Levée, pas réveillée. Des images m'assaillissent par moment. Les combats. Les chansons. Les repas.
Un coup d'oeil dehors. Il neige. Ca y est. Vrai de vrai les flocons tombent . Le changement d'ambiance est radical. Le fond sonore bruyant de l'excitation générale a laissé la place au silence de ces matins où l'hiver arrive sans que ne le remarque.
Il faisait chaud. Ici je suis glaçée. Partout. Pour tout.
Le fil qui nous relie se détend. Les sensations deviennent moins intenses, l'air est moins chargé d'électricité. Et je me sens horriblement seule.
Un coup d'oeil sur le portable. J'attends un sms qui n'a aucun rapport avec ces derniers jours. Non même pas. Je l'espère. Il ne viendra pas.Quelques pas dans la chambre. Le temps de rassembler de quoi m'habiller et éventuellement le peu de pensées cohérentes qu'il me reste. Je vois une autre chambre. Une autre époque presque.

Les escaliers, il faut les descendre. Manger ? Non. Se laver ? Pas de suite. Allumer l'ordinateur. Attendre. De quelle humeur suis-je ? Bonne question. A jamais sans réponse.

J'ai révélé des trucs que je  pensais ne jamais révéler. Ca soulage. Ca fait peur aussi.
Je ne sais plus vraiment où j'en suis. Comme d'habitude. Je mens. Une habitude aussi ? Pour être honnête je sais exactement où j'en suis. Je commencais à écrire cet article ce matin. Il est 23h39 je le finis. Toute notion de .. je ne saurai même plus comment dire, m'a quitté.
Confusion. Refus. Dégoût. Fierté. Orage.




Assume Mymy assume. Tu n'as pas d'autres choix.
1000 Bises




Mercredi 1er novembre 2006 à 1:45

Comme quoi ce connard de bonheur il ne tient pas à grand chose. Et nous comme de pauvres délurés que nous sommes on continu à en vouloir plus, encore et encore. Histoire qu'il nous détruise tous mieux, les un après les autres.

Quelques notes, quelques mots et une période s'envole en fumée, se consume. Même les cendres ne parviennent pas à nous la faire revivre en pensée.

 Y'a les putains de grandes périodes dont on ne se souvient pas. Mais alors vraiment pas. Pourtant on ne les remettra pas en cause. Parce qu'on se persuade qu'elles existent. On en a besoin je présume.

Par exemple,cette enfance dont on se persuade que c'était la plus totale félicitée. Le shoot de joie absolu qu'on se donne l'impression de retrouver dans certains moments qu'on ne devrait pas avoir en tant que jeune génération d'une société construite, ouverte, en un mot idéale.

Qui croit à cela ? Qu'on me trouve l'innocent qui peut y croire après avoir vécu. Un nourrisson perçoit déjà qu'il a devant lui une semi-vie, qui n'est qu'une semi-mort dans le fond. Ensuite on devient trop hypocrite pour se l'avouer. Un des nombreux bénéfices de l'auto-persuasion. 1:11. Quand on a la chance de croiser des gens en qui l'on croit vraiment, le plus souvent on ne compte pas pour eux. Alors que d'autres quelque part croient en nous. D'un commun accord on reste dans nos rôles de pâles copies d'êtres humains. Même les personnes dotées d'un fort caractère ne jouent qu'un rôle. On a besoin d'elles pour trouver une norme.

De temps à autres on lève une partie du voile. A mi-mots. L'autre n'écoute pas. Ou du moins ne réagit pas. On cherche pas plus. Pourquoi donc demander plus. C'est une sorte de connivence. L'un perçoit les gestes. Le second attend la première réaction pour pouvoir ne plus rien faire ensuite. Parle. Seule. On ignore pour quoi. Pour qui. La seule donnée sure c'est à qui. Et encore.
Bêtement on reste. Pour voir les gens que l'on aime occuper la place que l'on aimerait avoir. A détester les gens parce qu'ils nous aiment trop ou font semblant de trop nous aimer. Dire des conneries en sachant bien qu'elles n'aboutiront jamais. Qu'on continuera puisqu'il le faut. S'envoyer en l'air avec les choses qui nous enfoncent mille pieds sous terre.

L'envie subite de tout effacer. Pour ne jamais, au grand jamais recommencer. Pour ne plus avoir mal. Pour ne pas voir cette compréhension que je n'ai pas, pour ne pas sentir dans les regards la pitié, le doute. Pour oublier de parler sans cesse de souvenirs et d'oublis qui ne viendront pas. Pour toutes ces nuits où le sommeil ne me trouve pas et je sais pourquoi sans vouloir l'admettre.

Je veux pas fixer la beautée de ce monde. On essaye de le faire trop souvent. Je veux vivre cette beautée ou la voir mourir avec ce que j'en pense.

Mardi 31 octobre 2006 à 1:06

Suffit de devenir "elle" pour comprendre à quel point c'est un rôle insignifiant. C'est rassurant. Toutes les autres redeviennent personne. Mais en même temps je ne suis toujours qu'à ce niveau de personne.

Mot étrange. "Il n'y avait personne pour m'attendre"

                     "Cette personne est fabuleuse."

Peut on accepter dans notre système que l'un renvoit à l'autre ? Qu'un individu, bien qu'étant caractérise, apprécié, haï si il le faut, ne reste que.. personne ?

Après cette petite parenthèse, revenons à notre problème. Qui en est un car il faudrait le mettre au pluriel.

C'est fou ce que les gens changent du tout au tout selon les situations dans lesquelles ils se trouvent.

Et toi tu me dis que tu ne penses pas changer.  Que veux tu que je te réponde ? Tu le sais que tu changes. Tu te reprends cette vague de plein fouet dans le dos selon l'expression que nous avons mis, il me semble, quelque part dans un texte.

On se fait des résolutions une fois que les événements sont passés. Ces résolutions sont si fermement ancrées dans notre mémoire qu'on oublie presque qu'on les a prises. Effectivement on oublie. Ou plutôt on s'en fout. Les imperfections, les faiblesses de l'esprit sont pardonnées avant d'être blamées. On essaye de profiter en faisant des projets d'avenirs. Une fois l'un des avenirs devant moi, les bons moments se transforment en souvenirs, et non pas en pierre d'angle d'un édifice. Le cycle se répète à chaque fois. C'est le propre d'un cycle aussi. Ca vous parait logique. C'est pour ça que je précise.

Note : ceci est un article bizarre, d'une fille bizarre et schizophrène, mais surtout d'une fille qui n'a absolument rien à dire, qui ne sait absolument pas quoi faire, parce qu'elle ne sait même absolument pas ce qu'elle pense. Vous en avez de ces boulets sérieux ... ><  Ca valait bien le coup d'inaugurer une nouvelle catégorie je crois. Si quelqu'un trouve un jour à quoi elles correspondent toutes, qu'il me fasse signe surtout.

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