Lundi 21 janvier 2008 à 20:19
Lundi 21 janvier 2008 à 10:01
Super, génial, grand bien lui fasse. Non mais c'est vrai qu'on pourrait m'annoncer qu'il a été demandé en mariage par Audrey Tautou (quoique...) que je n'en aurais rien à foutre. En théorie. Oh mais en pratique aussi ! J'ai latête ailleurs et son intérêt vient un peu tard. Un peu trop tard. Pourquoi c'est à moiqu'on vient dire ça ? L'humiliation n'a pas suffit ? La plèbe encore avide de spectacle réclame un rappel ? Tant pis. Ce sera sans moi, non merci mais c'est gentil d'avoir proposé. Ou alors, je veux une garantie.
Mardi 15 janvier 2008 à 21:14
Dimanche 13 janvier 2008 à 0:17
Vendredi 11 janvier 2008 à 22:44
Rire un peu. Parce que Männe a 25 ans et que décidément, ça lui va bien.
Tout annuler et revenir encore ailleurs.
Dimanche 6 janvier 2008 à 0:21
Mercredi 2 janvier 2008 à 21:44
Je profite du passage de Balthazarine Reine des Fées et de Mademoiselle Vigotte (qui se reconnaîtront sans doute, à moins qu'elles soient vraiment aussi cruches qu'elles ne veuillent bien me le montrer) pour vous souhaiter une nouvelle année. Ou plutôt non. J'ai certes un jour de retard, et je n'ai pas envie de le souhaiter, et je vais vous l'expliquer.
Nous souhaitons un événement périodique qui célèbre, en quelque sorte, un anniversaire d'un point de vue héliocentrique. J'entends d'ici des protestations d'indignation, des bouh et autres rejets, des sifflets éhontés qui fusent au-dessus de mon crânes, des fruits rouges peu mûrs qui s'abattent au bas de l'estrade, manquant de peu mon pantalon. Oui c'est vrai, je me rappelle soudainement que vous êtes sans doute des profanes dans l'art, que vous n'êtes pas en terminale S. Rectification : certains d'entre vous ne sont pas encore en terminale, et je profite de ma position de senior dans le domaine scientifique pour avancer un peu ma théorie.
Nous fêtons un retour au même endroit si nous sommes placés au centre du soleil, sans brûler car virtuellement dans notre théorie, nous ne tenons compte de la température et encore moi de la mortalité. Fêtons donc le premier janvier, c'est-à-dire le même moment que la fois d'avant où nous étions au même endroit.
Je ne veux pas célébrer le soleil. Il brûle certes, il chauffe notre peau et la brunit quand il ne la grille pas, offre la chaleur et la photosynthèse pour nos amis les végétaux, qui nous délivre le dioxygène tant précieux. Je préfère célébrer la lune, la froideur et le calme de la nuit, la mélancolie et la dualité de cet astre blanc, trompeur, qui dissimule toujours à nos yeux ce qu'elle a derrière la tête. Je préfère célébrer le noir, l'obscurité, là où l'on peut s'attendre à tout. Je veux célébrer la nuit, paradoxalement quand on parle du soleil (mais le soleil provoque le jour et la nuit direz-vous ?)
Qu'est-ce qu'un an ? Je vais vous dire, ce n'est rien. je me sens à un pied d'égalité avec des gens bien plus jeune. Je considère votre (notre) aimable hôte comme une personne ayant un esprit bien plus mûr que moi, et ayant atteint mon vénérable âge, elle brillera sans doute (non, ne rougis pas mymy, chut). Du haut de mes vingt-quatre ans solaires, je me sens plus dénudé et moins évolué que certains individus qui n'ont atteint la vingtaine. L'année solaire est sacrée, et nous la célébrons, mais elle n'a aucun sens, car ce qui est important est le degré d'intensité avec lequel chauffe notre coeurs et notre esprit. Alors qu'importe, dix, quinze, vingt, vingt-cinq. Oublions nos âges, oublions-les "tu es trop jeune pour comprendre car tu n'es pas majeur" ou "il est beaucoup trop vieux il a passé son quart de siècle", oublions les mathématiques de l'esprit, les systèmes décimaux et les points de vue géo-hélio-sélénocentriques.
Regardons juste nos coeurs aussi purs et réfléchis qu'ils sont, oublions la nouvelle année, les résolutions, les hivers et les retour à zéro ou vers l'infini. Oublions les 01/01 et les 31/12, oublions les rides ou les boutons d'acné, regardons simplement qui est en face de soi, ce qu'on a envie de lui apporter, pas par expérience ou par jouvence, mais simplement par pure amitié, générosité et complicité.
Hum, je voulais juste parler de ne PAS fêter le nouvel an et voilà où ça m'a conduit. Je vais donc partir avant de trouver des non-explications à tout.
(Non-Romancier)
[Et excusez la police et la couleur qui me fait souvenir à mon chez moi]
Mardi 1er janvier 2008 à 23:13
Il a toujours été le meilleur. Et ce matin là ils m'avaient appelée, il manquait une personne pour l'entraînement. Alors à sa plus grande surprise j'ai emprunté un de ses judogis à François ; perdre 10 kilos et prendre 2 centimètres ça aide depuis la dernière fois. Le tissu bleu est lourd et rêche. Je m'étais promis de le porter, au moins une fois encore.
Vendredi 28 décembre 2007 à 1:51
Samedi 22 décembre 2007 à 18:16
Il était temps. J'en ai marre d'être passive, ça me rend malade cette incertitude. Alors encore deux semaines à attendre et j'aurais peut-être la réponse que j'attends depuis si longtemps. Je n'ai pas envie de faire le monstre mais je sais que je serai ridicule en femme amoureuse, surtout amoureuse de ce garçon là. Je n'ai pas vraiment le choix. Sinon je joue l'homme fort. Décidément mon profil me joue bien des tours. Je veux changer. Je vais changer. Une nouvelle fois.
"Tout va bien." Aucun rapport, il faut passer outre, sourire et écouter les autres. Admirer et ne pas croiser les doigts pour que l'un d'eux se plante. Plaisanter.
De rage et de tristesse.
Lundi 10 décembre 2007 à 18:26
La fumée, tirer les cartes, 90 centimètres de bois clair, une arme, un délit, peut-être un crime.
Vendredi 7 décembre 2007 à 13:46
Par contre j'en arrive à rêver que je casse la gueule d'un metteur en scène, ça veut dire quoi ?
J'ai voulu t'écrire tu sais, mais j'en avais marre de l'anglais. Alors je t'ai écrit en français. Normal quoi, ou presque. J'ignore si tu vas tout comprendre mais je voulais essayer. Ca ne coûte rien. Je serai fixée vers mai/juin : on me proposera de tenter ma chance ou pas.
Il y a des phrases toutes simples comme ça mais qui marquent à vie. Au final on les enchaîne et on se rend compte qu'il n'y a plus que ça. Que c'est ce qui reste de ces années passées à vivre pour personne. Tu verras toi aussi. Le pire c'est qu'on est même pas surpris : ça devient normal.
Et si plus tard on se revoit tu ne te souviendras pas des échanges, des rires, de la musique, non, tu te rappeleras enfin du seul moment que tu avais oublié et qui au final n'aura eu aucune espèce d'importance : on a attendu l'un à côté de l'autre un paquet de frites.
Lundi 26 novembre 2007 à 20:52
Je suis malade. J'ai passé la journée à dormir, encore, et c'est fatigant mine de rien. Ça devrait aller mieux demain, je vais sûrement poster un peu.
Je suis toujours aussi bordélique et bizarrement ça ne me dérange pas. Je crois au contraire que cela me rassure, ça veut dire que j'ai de quoi meubler ma vie.
Parce que pour ceux qui se posent encore la question, j'ai "simplement" arrêté de vivre d'une certaine manière. Et si je devais finir comme Alexie, tueuse à gages (tadaaaaaa révélation !) j'ai l'impression que c'est une sorte de passage obligé. A voir donc. Je vous laisse, je suis trop embrouillée pour le moment. Et je n'ai décidément pas envie de trier. Dodo comme qui dirait.
Vendredi 23 novembre 2007 à 21:45
Les choses prennent une tournure bizarre et inattendue. Mais c'est soir de pleine lune alors, pourquoi pas ? Le bonheur se résume parfois en onze petites secondes, piquées, glanées ici et là, ajoutées au reste, à des photos, à un parfum, à des conversations, des idées, des rêves. C'est un peu con de s'arrêter là. Ouais, c'est sûr.
Ecouter : la chanson du titre.
Mardi 20 novembre 2007 à 21:22
J'envoie paître pas mal de gens et je me contente de ce qui reste. C'est à dire assez peu. Je n'ai pas envie de me plonger à corps perdu dans des tentatives désespérantes et désespérées ce soir : la conversation se fera très bien toute seule. Ou elle ne se fera pas. Quoique... Je parle de la pluie et du beau temps. Textuellement. Enfin, non, pas exactement, je parle plutôt de la pluie et du mauvais temps. Ahaha. Riez, c'est drôle. Comme ça je suis autorisée à rire jaune. Logique.
Le réveil va bientôt sonner et à ce moment là je vais me réveiller de ce long cauchemar, je ne sais pas d'ailleurs quand il a commencé pour de "vrai". Alors je vais frotter mes yeux, avoir les mains noires parce que je me suis sûrement mal démaquillée et faire craquer mon dos en m'étirant. Ou alors je vais envoyer mon réveil inexistant contre un mur et me rendormir. Il parait que la chaleur endort, anesthésie même, du coup je me suis brûlée.
Jeudi 15 novembre 2007 à 21:30
Je ne souris plus. Comme si d'un coup d'un seul j'avais été lestée et balancée à la mer. C'est d'abord le choc du froid, puis la sensation d'être dans un étau qui se resserre de plus en plus, et enfin le manque d'oxygène, la pression lorsque la panique est à son point culminant*.
T'inquiète, c'est bientôt terminé . Enjoy it !
Je suis peut-être juste fatiguée. Alors que je dors trop.
Dimanche 11 novembre 2007 à 22:51
Les intelligents, eux, ne le disent pas mais l'appliquent. Soit intelligente."
PS : Anne, ne soit pas admirative. Quant à l'amour, je crois que je suis en train de m'en convaincre, histoire d'écrire encore. En réalité, c'est le bordel.
Dimanche 11 novembre 2007 à 16:48
Mais oui, le rêve était très bien. Tes mains sur mon dos et ton odeur qui reste, exactement quatre mois après la première fois. Il n'y a pas de remède miracle, juste l'attente, la persévérance... A force de marcher et de courir je vais finir par arriver quelque part, il n'y a pas de raisons. Tout ce que j'espère c'est que tu sera là, à ce quelque part.
Lundi 5 novembre 2007 à 17:52
Et le pire c'est que c'est vrai, je ne dirai rien. C'est con mais c'est comme ça. Je me contente d'attendre, encore et encore, et je finirai même par oublier ce que j'attends. J'en suis sûre ; c'est ainsi que les choses doivent se dérouler. Ou du moins c'est ainsi qu'elles se dérouleront.
Merde merde et merde. C'est donc être si naïve de croire qu'une histoire est différente. Visiblement oui. Pire, c'est être droguée. Pire, c'est être dans une période. J'avoue, je confesse, j'étais dans une période, je croyais que l'on pourrait faire naître du "spécial" à nous deux. Putain mais quelle conne.
C'est tellement simple à dire de cette manière là.
Vendredi 2 novembre 2007 à 21:07
Peut-être que j'ai tout dit parce que j'étais la seule à avoir quelque chose à dire...
C'est pénible de voir comment vouloir se rapprocher des gens peut nous éloigner encore plus.
Ne rien attendre : cela évite d'être déçue. Ne pas trouver d'excuses car bien qu'elles soient valables, elles ne sont pas sincères.
Ca arrive aussi, c'est de plus en plus rare mais ça arrive.
Où est le bel optimisme tant promis ?