Mardi 3 juillet 2007 à 12:47

Pourquoi mon monde ne tourne-t-il qu'autour d'une seule chose à la fois ? Je suis un terrain de jeu rêvé pour l'obsession. D'ailleurs à ce moment précis j'ai envie de prendre l'assiette posée devant moi et de l'éclater contre un mur. Totalement inutile comme geste, je sais, mais ça doit soulager.
Je suis excessive, oui. J'ignore les "parfois" les "presque" et autres mots dont la vie semblent se borner à une limitation.
Pourtant cette assiette à la con je vais la prendre et la mettre au lave-vaisselle, avec les couverts. Je démarrerai un progamme court et économique. Je ne fumerai pas, je ne lirai pas. Je n'irai pas non plus en ville, ne vous inquiètez donc pas.
Ca va. La stabilité c'est pas mon truc, voilà tout.
Je souris à nouveau, parce que ça a toujours marché ainsi. Pas parfois non, toujours.
Je regarde les gens, je vois les intrigues, je découvre et réfléchis aux conséquences. Il faut bien que quelqu'un le fasse. C'est tombé sur votre dévouée servante. Bon gré, mal gré, je ne sais vous faire mal. Et là c'est un présent de vérité universelle. Générale c'est trop peu.


Lundi 2 juillet 2007 à 0:24

Un peu de nostalgie, quelques vieilles photos, s'être cramée la nuque et les bras parce que je n'ai pas l'habitude de rester si longtemps dehors. Avoir fait du baby-sitting, pour Lyon et pour Montpellier. Apprendre que mon beau-père va être en charge de la région parisienne : donc il va à Paris en début de semaine : et merde. En avoir marre des mauvais coincidences. Attendre demain : les résultats du bac, la liste des postes à pourvoir dans la police. Pour que mon père lui s'installe en région parisienne. Même en voulant le faire exprès ils ne pourraient pas mieux faire.
Prendre un chocolat chaud en fin de matinée, parce qu'il pleut sur la ville et que j'en ai envie.



Elle a raison. Avec ça, c'est Chopin. Opéra 32, n°2.
Se souvenir d'Ella et de Vincent. Bien qu'ils ne soient plus là.
Se souvenir de Victoire et Ronan.
Les psys n'y connaissent vraiment rien.
Merci Servane.
Être un peu lasse. Mais un peu seulement.

Vendredi 29 juin 2007 à 23:09

Oui je l'avoue, cela a failli être une très bonne soirée. J'ai failli partir sur une note positive.
Mais non je me suis enfoncée et je me demande si je vais m'en sortir un de ces jours. Faut vraiment être bête pour chercher à ce point ce qui nous fait mal.
Je vais aller dans ma chambre, je vais danser, m'entraîner, parce que j'aurais simplement dû en rester là et ne jamais quitter ma place.
Pour ceux qui veulent vraiment tout savoir, il y a quelque part un commentaire où en quelques phrases je lève cette fichue auto-censure.
Et puis, toi, tu n'es pas bête, tu as deviné, arrête donc de m'enfoncer et aide moi. On se comprend, si l'on pouvait ne faire qu'une ce serait parfait. Mais nous sommes deux. Alors on assume puisque l'une peut changer pas l'autre. Pourquoi vouloir favoriser une troisième ?
Merde. Je suis fatiguée. Merde je régresse.



Lundi 25 juin 2007 à 19:27

Me blottir quelque part. Se lover dans une couverture. Dans un coin. Chut. Faut plus penser à rien.
De toutes manières il n'y a rien à penser. Les yeux grands ouverts dans le noir. Il y a un petit air de musique, très loin, et qui s'éloigne encore, bientôt ce sera le silence.
C'est reposant le silence. Depuis le temps qu'on l'attend, qu'on nous l'annonce. Il s'est fait prier. On peut le comprendre. Ca se mérite le silence. La nuit. Ne plus penser, ne plus voir, ne plus sentir.
Tu sais, je me suis déjà cassée la gueule. Mais j'ai pas crié, ça aurait rompu le silence. Et il est si beau.
Vous me faites sourire, vous deux.

Dimanche 24 juin 2007 à 14:22

J'ai envie de retourner là-bas et de parler anglais.
Ce sera tout et n'importe quoi. Je viens de me prendre une énorme claque dans la gueule et je ne sais pas réagir. Je ne sais pas si elle est réeelle ou inventée. Je ne sais pas qui me la donne, si seulement on me l'a donne.
Est-ce moi ? Non je ne vais pas attendre toute ma vie. Non je ne suis pas jalouse. Mais il y a des limites à tout. Là je pense avoir atteint mes dernières limites. Ce cirque dure depuis bien trop longtemps. Je continuerai d'en parler ici, surement. Mais il n'y a plus rien. Au bout d'un moment on ne peut plus pardonner, à l'autre comme à soi-même. Putain pour cet été je n'aurais pas même dû réfléchir une seconde et prendre un aller retour Lille-Montpellier. Too late. Maintenant j'assume jusqu'au bout,  je me recréee un masque en espérant que personne ne vienne me bousculer.




L'une des tes meilleures amies ? Vraiment intéressant.
Maintenant je vois en quoi je peux toujours attendre.
Et pour quoi (qui ?)je me casse sans demander mon reste.

Samedi 23 juin 2007 à 15:15

En fait je n'ai même pas lu le dernier point. Dès lors que j'ai vu l'intitulé j'ai su que je ne le lirai pas. Du moins pas tout de suite. Il me fera plus mal q'autre chose, donc je me suis arrêtée, sachant que j'y reviendrai un jour ou l'autre.  Pour combien de temps alors ?
Elle n'est pas pateiente, mais si ses objectifs sont les mêmes que les miens à court terle elle va devoir le devenir. Et si elle a exactement les mêmes que moi c'est de la résignation dont elle aura besoin.
J'ai rêvé de combats hier soir, cela me manque.
D'autre part : ma Valentine, et une surprise que je voulais lui faire ce soir.

Mercredi 20 juin 2007 à 12:07

Je ne suis pas réveillée du tout, mon attention décline alors j'étais en train de lire un passionnant magazine sur Londres.
je me souviens de la lettre presque anonyme et d'un peu de nicotine dans le sang. Toujours un peu de trop.
Un homme jure dans les escaliers, et visiblement "Patrick a piqué la bagnole". Ce sera noté.
Les mesures impopulaires, le petit Nadir qui a besoin de fond pour son opération du coeur, Londres, Sciences Po et les clopes de ma collègue. Ou du moins l'odeur qu'elles ont laissées;
10 jours à faire, ensuite je suis parachutée en vacances, des nuits de dix à douze heures lorsqu'il y aura des nuits.
Sentir la fatigue au bout du stylo et avoir à plisser les yeux pour pouvoir continuer, la chaise qui tourne sans que je ne lui aie rien demandé.
Ma collègue me propose de sortir.
Retour, une peu de nicotine dans le sang. Bonjour il est 11h35, vous êtes réveillée.

Vendredi 15 juin 2007 à 21:26

Du coup, je n'ai pas vu que j'avais dépassé le 900ème article.
Je ne saurai expliquer mon état d'esprit. C'est une prison, oui. Mes hommes me manquent. Oui, mes hommes. Ils me font vivre. J'ai tous les jours une pensée pour chacun d'entre eux.  Mais je ne dois pas être injuste, il y a mes demoiselles aussi.
Qui m'offre une lime ? Ce serait si facile. Je n'espère pas, plus, je fais et défais mes rêves. Je fais et défais mes illusions. Le choix est difficile, et l'échéance tellement proche. J'écrirais des pages et des pages que je ne changerais rien. Et pourtant c'est ce que je fais. Des post-it, encore des post-it, un sms aussi, un fichier, un dossier.
Sous surveillance.

Vendredi 15 juin 2007 à 0:13

J'ai cru, naïvement, que j'allais réussir avec l'aide de quelques comparses à faire un second habillage sans prise de tête. C'est vrai que cela semble très simple. Mais non. Autant tous les designs que je fais sur d'autres blogs,  je maîtrise totalement, autant sur le mien j'ai une poisse infernale.

J'ai mal au dos du coup, et mes yeux picotent. J'observe et j'attends. Hier soir j'ai passé une très mauvaise nuit. Là j'ai mes écouteurs dans les oreilles. Ca fait un bien fou.

Les jours de chiales, d'Alex Beaupain, pour changer.

Merci à Chétive, à Pyrus, et à Vickyne. Je vous jure vous aurez l'article que vous méritez quand ce foutu design sera fini.  Mais putain ne jamais commencer en dehors des week-end ou des vacances.

Tiens, demain faut rendre les livres. Alors elles sont là pour de bon les vacances ? Non. Y'a le stage qui me fait lever encore plus tôt que si j'allais en cours. Pas grave, c'est à Lille.

J'ai retrouvé la clé en or, et les demi-pointes. C'est de bonne augure pour la bague en argent, vous ne croyez pas ? Si vous croyez. Je ne vous laisse pas le choix.

Ce qui étrange et délicieux c'est les prises de consciences. Utiliser une expression, une phrase, un mot, et se rendre compte des mois plus tard d'à quel point il peut être adapté.

J'enchaîne deux nuits blanche, cela faisait longtemps. Et cette musique, cet air qui reste dans ma tête.

Merci Maky, merci Ice.



Dimanche 10 juin 2007 à 13:57

Ca y est. Je suis confirmée. Et là on se pose cette fameuse question : qu'est ce que cela change ?
Ils ont beaucoup parlé de Romain...

Vendredi 8 juin 2007 à 12:34

Nuit-ordinateur-passé-cendriers-tellement-vole-enfants-visage-bine-seconde-année-plusieurs-Paris

Ca fait mal de voir les gens partir. Ces gens qui nous avaient promis de ne jamais fuir. J'ai du mal à croire encore aux promesses. L'expérience je suppose. On se retrouve perdu et sans repères et il ne reste plus qu'à attendre. Que cela finisse. Que le rideau tombe ou que le "the end" apparaisse dans un coin de l'écran. Tout en noir et blanc. Ce n'est pas une question d'esthétique, c'est pire, c'est une histoire, une authenticité.

Mercredi 6 juin 2007 à 22:38

Parce que je n'ai plus le courage de retaper mon texte ce soir. C'est pas l'envie qui m'en manque, juste la force. Comme pour tout en fait depuis quelques jours. Et c'est dimanche la confirmation. C'est samedi la veillée. Romain... Omniprésent dans mon esprit. Son sourire me manque. Et je me hais d'avoir à le dire, mais c'est actuellement le cadet de mes soucis. J'ai pris mes billets de train pour Lyon.
Je comptais me faire une énorme réserve de joie de vivre auprès des gens heureux. Mais qui l'est encore réellement, heureux ? Parfois je me dis que ça n'est qu'une illusion, un leurre. D'autres je trouve ce bonheur comme un état de faiblesse, une preuve de l'accord au monotone et à l'insipide.
Au bout de dix mois leur histoire s'arrête, elle ne l'aime plus. Au bout de... Trop compliqué, leur histoire s'arrête, il s'aiment mais ce n'est pas assez. Au bout de deux ans il court toujours après elle et elle toujours après lui, et aucun d'entre eux ne rattrapera l'être coursé et tant aimé.
Si, pour être honnête il y a toujours des rires et des éclats brillants, si il y a encore des conversations et des gens dont je ne peux me passer. Pourquoi ai-je donc la sensation d'avoir perdu une partie de moi-même ?
Les branches sont toujours recouvertes de feuilles mais le tronc a été scié. L'arbre lui est tombé sur la gueule. C'est pas moi qui le dit. Ouais, tu avais raison Clément ce jour où tu as relançé mes larmes. Ouais, l'arbre lui est tombé sur la gueule. Il s'est cassé la gueule, il lui a cassé la gueule aussi. Il, l'arbre ou lui. Il lui est tombé sur la gueule. Et j'y pense tous les matins avant de me regarder dans le miroir. Merde à la fin, c'est quoi une vie ?

J'aimerais être acide et amère. Je ne pensais pas écrire ça.

Lundi 4 juin 2007 à 21:57

Ah oui, je dois bien le prendre. C'est vrai que je n'ai aucune raison de le prendre mal. Tant mieux, si il y a des gens heureux c'est génial, ils ne sont pas de trop sur cette planète.
C'est hypocrite. Malgré ce que je veux faire croire je ne peux pas les voir en peinture. Ce soir du moins. Enfin, pour dire vrai ça dépend de qui.
Je pense avoir une petite idée de la raison pour laquelle ils nous énervent autant : le manque d'ambition. L'envie qui leur fait défaut. Celle de vivre ou de se perdre pour une idée, une quête, un amour, un impossible. Le bonheur ne me va pas, c'est comme une fausse note dans ma partition, parce que j'aimerais pouvoir m'en sortir, et pour ça, faut-il vraiment encore plonger plus loin ? Tu perds le sens de la mesure et tu m'entraines. Pour ma part. Et ces nuits blanches qui reviennent, cette angoisse permanente.

Je les vois tous les matins, et je ne peux m'empêcher de les imaginer définitives.
Comme tatouées.
Mais sur ma peau.

L'auto-censure continue et s'amplifie.
Et quatres personnes (au moins) pensent que je suis un modèle. La bonne blague.
Je voudrai l'aider aussi.

Vendredi 1er juin 2007 à 18:16

"Quand ne pas flirter est une exquise faute de goût."

Là elle existe, là elle se sent reine, là elle sait que rien ni personne ne l'arrêtera. Elle voit où elle va, elle voit qui l'aidera à atteindre son but et quels sont ceux qui tenteront de l'en empêcher. Ils ne savent pas. Oh non. Aucun d'entre eux ne sait réellement de quoi elle est capable.

Ecouter l'Excessive. De Carla Bruni.

Jeudi 31 mai 2007 à 18:48

Au même sujet qu'elle. Par hasard.

Alors que l'on pense pouvoir se révéler entièrement, à quelqu'un, que cette personne sera la seule à nous comprendre réellement, on est stoppé en plein vol, en plein délire, c'est bête mais c'est ainsi.
Parce que nos relations sont étranges et vraiment à part entière, au point que l'on s'y perd, qu'on ne sait comment les considérer. Ca n'est pas agréable bien sur, comme cet équilibre instable qu'ils décrivent sans que l'on sache comment ils le vivent chaque jour. Se trouver des repères, s'en inventer souvent. Continuer à marcher sans savoir pourquoi, pour s'éloigner de ce que l'on pensait être.
Diviser pour mieux régner, sauvegarder ce qui mérite de l'être, et ce qui ne le mérite pas, aussi, d'ailleurs.

Jeudi 24 mai 2007 à 18:32

Le front appuyé contre le carreau froid, les doigts pianotant avec vélocité sur les touches du portable.
Comment se tirer de là ? Elle voudrait à cet instant précis lire du Rimbaud et faire avancer les pages de son agenda. Elle peine à mettre en place l'indifférence qui lui tient tant à coeur. Alors elle fait avec ce qu'elle a. Son esprit est une machine qui ne s'arrête jamais, le mécanisme est parfaitement huilé, elle est simplement au sommet de son art.
Elle est rentrée dans une course infernale et épuisante, mais elle seule décidera de son arrêt, au moment qu'elle jugera opportun.


Mercredi 23 mai 2007 à 20:45

"Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé.."

Lamartine

J'aime voir le jour qui se lève, c'est calme, et, selon les jours, on peut avoir envie de se lever en fanfare ou d'aller se recoucher avec délice pour retomber dans un sommeil que nous croyons immédiat.
Il est possible également de voir le jour arrriver alors qu'on est déjà levé et éveillé depuis longtemps, en ce cas, on admire et on se laisse songer à ce que nous réservera la journée. Voire celle d'après. Oui, on peut. C'est bien beau. Moi je pense à toutes celles qui ne m'appartiennent pas, à toutes celles que je ne vivrai pas… C'est ainsi que contrairement à un nombre chaque jour grandissant je ne m'éternise pas devant un coucher de soleil plein de mélancolie. C'est la naissance qui m'importe. La phrase me revient en tête « Un peuple qui pleure ses nourrissons et fête ses morts » je sais pourquoi je me sens proche d'eux. 

C'est rare, ça n'en est que plus sublime à mes yeux.




Lundi 21 mai 2007 à 21:19

Le briquet est vide. Elle s'énerve sur la roulette jusqu'à s'en brûler les doigts, pourtant ce n'est pas cela qui allumera une hypothétique cigarette.
Elle revoit sa journée, celle d'avant, et celle d'avant celle-là, et encore avant... Elle peut remonter loin ainsi.
Il n'en sera rien, elle sait parfaitement où s'arrêter. Elle rembobine et revit  les (approximativement) neuf heures qu'elle avait passé dans son cauchemar. Après coup elle a trouvé ce qu'elle aurait voulu dire, à quel moment, pourquoi, et quelles en auraient été les possibles conséquences.
On ne revient pas en arrière. Pas encore.
 

Jeudi 17 mai 2007 à 19:20

Des valises sous les yeux, je suis fatiguée, complétement exténuée en fait.
Des ratures, les paupières qui s'abaissent et les sourires qui énervent. Les bruits tambourinent alors que les voix hurlent dans ma tête.
C'était calme et je dormais.  La vague devait venir, elle était attendue, autant que possible : il est dur de se préparer à l'inconnu, c'est pour cela qu'on en a peur. On ne contrôle pas ce qui nous arrive.
Enfin, c'est ce que l'on prétend souvent.  Il faut faire preuve d'un minimum de réalisme, certains n'attendent que lui, il est le seul à les faire vivre. Les deux positions, opposées, sont délicates à gérer, mais dès lors qu'elles cohabiternt cela relève de la mission impossible.
Pour en revenir, une dernière fois à la vague, je dirai juste que ce fut une déferlante.

J'en ai plus que marre d'avoir à
demander des autorisations.

Lundi 14 mai 2007 à 22:32

Y'a des soirs où je recule à une vitesse effarante. C'est fou comme les pas en arrière se font plus vite que ceux vers l'avant.
Encore un peu d'inconscience, cela me fera du bien. Ne plus penser à rien. Mais vraiment à rien. Oublier la totalité de ces choses qui me pourrissent l'existence par leur addition : n'avoir fait aucun travail ce soir, ni scolaire, ni extra-scolaire, avoir encore déconné par rapport à Janiko, m'être engueulée avec ma famille.
Je veux même oublier les choses qui me font sourire : attendre dans un couloir, parler avec des belges, des français même. Et les musicos. Rahh.
Non. Le vide. Oui, le vide. Et comme il le disait "M'endormir comme une bête". Oui, c'est bien comme programme ça. Je retrouverai l'ensemble de ces poussières demain. "Un parterre de poussières écloses". Oui. Ca c'est Eva Garcia, et son Magicien d'Oz.


Par contre, Not defined, Tragedy Of Life.
Et Coldplay.
Mais je vais finir raide dingue moi.

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