Mardi 8 mai 2007 à 22:27

Elle s'en allait, papillonant, légère et invisible dans ces hautes sphères que nous ne saurions décrire.
La recherche d'une vie, d'une identité, n'était qu'un prétexte, une excuse même, pour justifier cette liberté dont elle s'était si tôt éprise.
Les mois puis les saisons passèrent, rendant vaines toutes les tentatives de retour à la normale.
La norme... Elle lui riait au nez. Elle se contrefichait de ses sens et de ses contradictions.
Pour elle ce n'était qu'une limite, à franchir, de préférence.

Mais elle se définissait par essence comme dépourvue de limite.

Mardi 1er mai 2007 à 22:19

Dormir.
Ne plus bosser au lycée. (Genre je bosse)
Être aux jeux européens.
Danser.
Être au 20 mai.
Être en vacances.
Chanter.
Être au 15 juillet.
Prendre des photos.
Sport.
Me reposer dans l'herbe au lycée avec Eux.
Musique.
Dormir.
Lire.
Trouver des écouteurs pour mon MP3.
Dormir.
Dormir.
Again d'Archive.
Vérification des blogs.
Dormir...

Faut pas trop m'en demander en ce moment.
Besoins primaires.

Mercredi 25 avril 2007 à 23:14

Bizarrement réconforter les gens autour de moi me rassure quelque peu. Je vois des filles qui pleurent, qui crient, pour des réalités trop dures pour elles. Je relis les mots de mecs désespérés ou qui font semblant de l'être. Ca me fait dire que je n'ai pas à me plaindre. On ne courre pas après son imagination, ça ne se fait pas. Je me décide donc en faveur d'une embuscade.

C'est pénible ces soirs où l'on pense ne plus rien avoir à découvrir et où l'on trouve, presque à contre cœur, un dernier espoir qui n'est pas vraiment le dernier. Si on en trouve un cette nuit pourquoi pas dans d'autres nuits encore. La compréhension c'est quitte ou double. J'ai pas trouvé la combinaison « Pile je gagne, face tu perds. ». Elle doit exister pourtant.

J'écoute une chanson en boucle. C'est peut-être ça au final, mon mode de fonctionnement.

Jeudi 5 avril 2007 à 22:33

C'est inachevé.. Mais merde d'où ça vient ?

Navré, il regarde ses amis ; ils étaient en France, pas lui. C'est comme si après avoir attendu ce moment, lorsqu'il était enfin là, devant lui, l'étincelle n'allumait pas le feu de joie prévu.
Mais ce n'était pas une désillusion. Tout ce à quoi il s'attendait était à sa place. Les petits détails, les bruits de l'aéroport, la foule cosmopolite, et même la bulle dans laquelle il espérait

Et voilà.

Quant à ce que je vais dire.. Si moi même je pouvais en avoir ne serait-ce qu'une très vague idée.

Lundi 26 mars 2007 à 20:52

Je regarde le film. Mon père n'a pas l'air au courant de mon existence ces derniers temps. Mes dents de sagesse me font horriblement mal. Je vais bien. Un peu de fatigue accumulée. Un yop et ça repart comme elle le dit si bien. Je ne sais plus quoi attendre ou déclencher. Ca justifie les moyens parait-il. Sauf la sienne. Si j'avais eu la moindre idée de la soirée que j'allais passer j'aurai dit oui à Hugo.

Samedi 17 mars 2007 à 20:33

J'ai la fenêtre d'ouverte et le silence autour de moi. Vous croyez qu'il est là le problème ? Bien, j'ouvre Itunes. Je viens de mettre le doigts sur le problème, très précisement. Ces derniers temps les notes m'obsèdent et je ne trouve plus les mots. Je ne fais que chanter, c'est peut-être plus simple, plus naturel. Du moins pour maintenant. Je ne jure de rien pour dans une poignée de secondes.
Parce que oui, une seconde suffit, parce que oui, en une seconde, la donne aurait été différente.. Seulement je n'ai pas cru en cette seconde quand elle s'est présentée à moi. Ce soir encore plus qu'avant je le regrette.

Lundi 5 mars 2007 à 22:41

| Say that you need me after everything you've done |

Si je m'arrête là ? Maintenant ? Tout de suite. Ne m'en croyez pas incapable. Je ne cherche d'une approbation. Je n'obtiens même pas un avis. J'existe oui. A quel prix, après quels efforts.
Les mots reviennent pour se contredire. Passer du blanc au noir. D'une idée à l'autre. De mon monde aux leurs. Je ne suis qu'une pitoyable marionnette. Qui ne fait rien pour changer cet état de faits, alors qu'elle en a conscience.
Mal.


Je viens de penser à quelque chose, créer cette catégorie. Mais j'ai peur de voir le nombre d'articles qu'elle contiendra. Lâche ? Oui, pour ça, uniquement. Je ne voulais pas écrire en blanc. Tant pis.

Lundi 5 mars 2007 à 0:45

Un soupir. Un relachement. Un larme qui perle au bout de son nez. L'histoire n'est toujours qu'un éternel recommencement. Quand elle partira elle en aura gros sur la patate, et ne sera pas avancée pour un sou dans ses sordides affaires. Elle semble régresser d'ailleurs. Nous sommes au mois de septembre. Comment ça non ? Tiens c'est vrai ça, il y a quelque chose en plus. Nous sommes bien au mois de mars. Tout s'équilibre, en bien comme en mal. Désormais ça ira mieux. Parce qu'à partir d'ici elle sait où elle met les pieds, elle connaît par coeur les chutes, les relèves et les fausses-joies.
Elle ne pouvait pas vivre en ayant plus de positif que de négatif, alors elle avait changé le bien en mal, mais ce soir, avec ce retour, l'équation a trouvé une nouvelle solution, qui n'est que l'assemblage de deux vieille recettes.
Que lui réserve l'avenir ? On verra en temps et en heure.




Vendredi 2 mars 2007 à 21:57

La tête qui tournent, les jambes comme de la guimauve. Ca va vite ce manège. Dis moi, est-ce que c'est normal tout ça ? Je ne sais plus faire la différence entre la norme et l'excès. Des rires dans ma tête, des pleurs aussi, c'est un gigantesque pot-pourri. Ce soir mes yeux me font mal. Je ne peux pas aller sur msn. Je tape juste ces quelques lignes pour dire quoi. Oui je suis revenue. Qu'est ce que ça peut bien vous faire ? Vous passez comme des ombres, des riens indispensables, qu'on aura bientôt rangés dans l'immense dossier "inoubliables passés".
Et pourtant, chaque jour qui passe me conforte dans cette idée que je ne peux plus vivre sans eux. Et chaque jour j'ai un peu plus peur de leur faire mal, de les détruire, ou du moins de les abimer. Sans pouvoir m'empêcher des les aimer, d'aimer chaque seconde passée ensemble. De la haïr d'autant plus.

J'en ferai mon adage. "Je t'aime tant je te hais, je te hais tant je t'aime".

Où est ce putain de changement, cette maturité qu'on me cuisine à toutes les sauces ?

J'ai des étoiles dans les yeux, et j'ai honte à le dire, mais elles ne sont pas là que grace à elle. Les autres sont coupables.

Zut c'est passé.

Ca ne revient pas.

Et je défile.

Dire merci. C'est important.

Si ça revient vous serez les premiers informés.

Ah voilà.

On me dit que mon blog est apaisant. J'en suis heureuse. Vous croyez que je réussirai à m'apaiser aussi un jour ?

Merci et désolée. Je me répète.

Finir ce fichu design. Vous mettre mes photos.

Vendredi 23 février 2007 à 20:20

Ce jour là j'avais refait une lecture intensive du blog de Distantwaves, de Lucas, de Bee, de Laurine et de Fleur Eteinte. Parce qu'ils ont le don. Dans ces jours là. Vraiment.
Cette.. Chose a deux sens, trois, quatre, sens de lecture. Un recto et un verso. Je ne peux vous montrer le recto.
Elle a été commencée le 17, complétée dans sa majeure partie le 20, avec l'aide de Kiki. (dont vous allez entendre à nouveau parler d'ici peu) et saturée ce soir (le 23/02).
Voilà. Mon univers.

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Rassurez-vous. Je n'écris pas réellement comme cela.

Mardi 20 février 2007 à 22:10

En tenue de soirée : pantalon de jazz noir, débardeur noir, trop grand, pull noir, trop court, de la musique, de l'eau, ou autre chose, elle ne demande plus rien, elle ne cherche plus rien.
C'est "je". Je dois apprendre à être honnête avec moi même. C'est moi. Je ris seule. Moi. Si je savais déjà qui est ce "moi". Et ce flot interminable de conneries que je peux débiter. Je trouve ça impressionnant. Je me suis persuadée de tout. Comme résultat on a vu mieux. Croyez ce que vous voulez. Je ne suis pas une attraction. Si cela continue j'abandonne. Je ne garderai que deux choses : un peu de musique dans mes oreilles et la volonté de réussir. J'apprends à être patiente, comme elle me l'a conseillé. Je réussirai. Dans 10 ans. Parce que j'aurai laissé tomber le reste. Je pourrais devenir une bête de travail. Laisser ce blog être supprimé, les faire tous partir, j'ai largement de quoi le faire. Et ne pas recommencer.
A moins de recommencer ? Ailleurs ? Pas Paris. Pas St Amand. Peut-être. Oui, peut-être.

Et puis demain elle a un DS d'anglais qu'elle n'a pas révisé. Qu'elle ne révisera pas. Ce qu'elle regrettera probablement. Ou pas.

Dimanche 18 février 2007 à 12:29

Il est très tard. Je suis à moitié-assoupie et je dois peser chacun de mes mots. Pour faire en sorte que la phrase que mon esprit me crie ne franchisse pas mes lèvres. Plus tard. J'ai fermé les yeux. Le temps n'est pas vraiment au beau fixe, il me semble même que c'est vraiment un sale temps. Qu'est ce que je fous à l'autre bout du parc ? Ah oui, je dois ouvrir la maison. Ils vont arriver. Ce volet commence sérieusement à m'énerver, un bruit derrière moi, c'est la porte. On vient me chercher parce qu'on ne m'avait pas dit qu'il fallait changer d'endroit. Alors on repart ensemble. [...] La veste ! Retour pour cette veste bien-aimée. Il faut retraverser les pelouses boueuses, sous le vent. Et les chaussures qui s'enfoncent dans l'herbe détrempée.  Le couloir. Ne me demandez pas pourquoi on s'arrête. On s'arrête c'est tout ce que je sais. Et ce qu'ils apprennent après, en comprenant mieux.

" Elle était avec son Je ".

La prochaine fois je demande l'option sous-titres. Pour connaître son orthographe du mot "jeu"


Samedi 17 février 2007 à 14:00


Elle parle encore de paradis artificiels et elle sent qu'elle va bientôt en ouvrir la porte. Les volets sont baissés, la lumière n'est présente que grace aux pauvres flammes vacillantes des chauffes-plats. Elle a les yeux cernés, les gestes lents et vagues, son coeur se balance tout doucement, de moins en moins vite, sans pour autant savoir où il veut (va) s'arrêter. Oui c'est amusant de vivre. De sentir les gens vous toucher, vous faire mal ou vous porter. Ces gens, qui s'opposent de manière systématique dans leur façons, dans leurs actes et leurs paroles. Leur seul point commun c'est de le faire au même moment.

[Toi tu t'arrêtes là.]

~ Ceci est une vitre. ~

Je sais pas, il paraît que tu as découvert ici. Que tu as apprécié un peu aussi. Alors moi je voulais te dire merci. Autrement qu'hier parce que la lecture sur les lèvres c'est pas ce que l'on a vu de mieux. Tu avais compris pourtant. De quoi ? Tu me fais penser que je ne me suis pas mentie, que je n'ai pas menti non plus, et puis d'avoir été là. Sans rien faire de mon côté mais ça on s'en fout. C'était déjà beaucoup. Sans te connaître. Son expression te va bien. Un détail qui a son importance.
Merci. Et puis non vraiment, je ne sais pas. Juste j'en avais envie. Et j'étais sure de cette envie là. Alors voilà.



  [ Et comme tu ne m'as pas écouté, tu ne cherches pas à comprendre. ]

Lundi 12 février 2007 à 11:34

soit la bienvenue, dans mon coeur brisé [

C'est la rose blanche qui s'est ausssi fanée je pensais que, moins chargée d'espoir, elle durerait plus longtemps que celle de mon souvenir. Se renfermer dans un univers, dans une bulle chargée de décorations, de souvenirs et de photos d'avenir. Hier soir elle a fait son bagage sans se retourner. Voyant sur les murs l'occasion de s'en dépêtrer. Va-t-elle réussir à engager la descente pour monter vers son nouveau départ ? Sa position est fragile, ce n'est même plus sur un fil qu'elle tient, de partout on lui propose des chemins qui pourraient la satisfaire mais nul part elle ne trouve un réel bonheur.
Sauf dans une solution. Pour une personne. Qui ne saura même pas que c'est pour elle que tout cela se joue.

                                                                 Enfant de mots.

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C'est celle que tu m'as offerte en ce jour de fête
alors qu' on croyait,
que les mots des promesses,
dans les instants de liesse
jamais ne s'évaderaient,
qu'on trouverait toujours
dans un de nos tours
le courage de croire
que même sans le savoir
on s'aiderait un peu
à devenir heureux.


Vent de notes.

Samedi 10 février 2007 à 20:35

Je voulais courir, et courir et courir. Me lancer et enchainer comme je ne l'avais jamais fait. Dire zut à tout ce qui m'empêchait de le faire, à tout ce qui m'empêchait de vivre comme je l'entendais. Je ne l'ai pas fait. Alors rien ne change. J'en suis toujours au même point. Avec des scènes que je revois passer au ralenti alors que la cadence accélère.
Toujours, toujours et toujours se répéter. Dans les mots, dans les sentiments, dans les rêves. Il faudrait achever une part de ces élements qui finissent par s'inscrire dans mon esprit inscrits au feutre indélébile.
Incapable donc de penser différement, de me libérer de cet étau qui s'impose sans que je ne lui ai rien demandé. Ni de venir, ni de partir quand j'y réfléchis bien.
Je me tombe dessus. Impossible de me mettre une paire de claques pour me réveiller. Ce serait pourtant recommandé dans mon cas.


Si vous aviez envie de m'écouter parler encore et encore pour ne rien dire je pense que je finirai par arrêter.



Si vous aviez envie d'écouter un conseil qui n'est surement pas objectif, regardez ce film.



...

Je devais aussi chanter. Et vous montrer ce que cela donne. Mais non. Retour case départ,  -3.

Lundi 5 février 2007 à 20:56

Je vais adopter son mode d'expression préféré : le silence.

Je vais baisser les armes et accepter ? Partir en laissant tout derrière moi ? Peux tu vraiment me me demander ? Là n'est pas la question puisque tu ne t'en prives pas. J'ai cru attendre ce jour là toute ma vie durant et quand je l'ai trouvé une première fois, je suis tombée. La seconde je n'ai pas voulu me relever. Et pour la troisème.. pour la troisième les possibilités sont (trop) nombreuses.
Je suis une loque. Tu l'as vu, elle l'a vu . Vous savez comme moi pourquoi..
Mes repères foutent le camp, c'est une toute nouvelle donne désormais. Je ne la maîtrise pas.

Mais merde qu'est ce que tu fous dans mon avenir ? Je l'avais pourtant trouvé, du moins je le croyais. Abondonné une voie, mis de l'eau dans mon vin pour une autre, sans penser à ce qu'il y avait autour, et voilà que ces infimes détails prennent une importance considérable, essayant d'étouffer le reste. Ai-je vraiment envie de me battre contre ça ?
Personne ne va décider à ma place. Rien n'est le mieux pour moi. Je vais avoir mal, plus encore, et je continue à courir comme je n'ai jamais couru vers  ma destruction.

Mercredi 31 janvier 2007 à 16:42

Je ne la connais pas. Son nom déjà m'énerve, relance une vieille haine complétement basée sur des préjugés et des mauvaises expériences.

Sa manière de dire bonjour, tous les matins. Par un moyen sournois, j'ai pu imaginer cette scène quotidienne, d'un banal exagéré mais presque idôlatré dans sa réalisation. Je vois sa pause, sa pose aussi, son sourire, et les petits éclats qu'elle a dans les yeux. J'ai eu les mêmes. Je dois encore les avoir. Soudain je réalise que je vois à travers ton récit volé, son visage plein de candeur, peut révéler un esprit identique au mien.
C'est le seul avantage que j'ai ; la connaissance de cet état de cause.

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Remarque : ranger sa chambre, ou du moins déblayer quelque peut son bureau peut faire redécouvrir des choses surprenantes. Cela date de fin décembre, début janvier. Je suis une girouette ? Et pourtant.

Mercredi 24 janvier 2007 à 14:57

Mal à la tête, je demande un cachet. Non, j'ai qu'à me coucher tôt le soir et arrêter de chanter sans cesse, ça ira mieux.
Voudront ils un jour comprendre que ça je ne peux pas arrêter. Quoiqu'il m'en coûte, et qu'il m'en a coûté. C'est une partie de ma vie que je ne peux pas laisser partir. Le reste peut être magnifique, dépasser tout ce que j'ai jamais imaginé, occulter en grandeur et en reconnaissance cette partie là de ma vie, cela ne pourra pas me suffir.
Si ma tête n'explose pas mon coeur lui ne manquera pas de le fair. C'est trop risqué. Trop de mots pourraient alors sortir, et faire mal aux gens. Ces gens qui parce qu'ils sont eux me font tenir en même temps qu'ils me descendent. C'est très paradoxal. Je ne veux pas leur faire vivre ce qu'ils m'envoient.

Doliprane, guitare, piano, chanson, dodo, téléphone ?



Jeudi 18 janvier 2007 à 12:08

J'ai passé mon temps à me triturer les méninges pour trouver une solution qui serait à peu près valable. Je retourne le problème dans tous les sens je n'en vois qu'une seule. Elle n'est pas facile à mettre en oeuvre. Je ne peux pas couper les ponts, je ne peux pas faire semblant de rien alors je continue. Je parle, je ris je ne pleure plus,il y a eu suffisament de larmes versées pour ce sujet. Et toujours le mensonge qui me suit comme une ombre, il est là pour ne pas blesser les gens, pour qu'ils puissent être, du moins essayer d'être heureux avec ce fardeau en moins. Je prends les coups à leur place, je les rends aussi, parfois, quand je ne me sens pas d'humeur à laisser couler, ou qu'un regain d'énergie me dit qu'il ne sert à rien de baisser les bras pour maintenant.

Le matin quand je vois passer cette ombre qui régit nos vies, je n'attends que de pouvoir la détruire.

Je me mords la lèvre inférieure, jusqu'à ce que je sente un petit goût salé dans la bouche. Là je suis stoppée net, je ne veux pas que n'en arrivions au même stade.

Vivement cet après-midi, vivement ce soir.

Vendredi 12 janvier 2007 à 19:23

Ce personnage là a été inventé de toutes pièces, à cause d'un  jour d'ennui  trop bien installé.
Il ressort de son coin sombre parce que j'ai besoin de lui.
Oh il ne veut de mal à personne. Bien au contraire.
Pas la folie de croire qu'il sait mieux qu'eux ce qu'il y a de bon pour leur bonheur. Il n'a déjà pas réussi à trouver le sien.
Eparse il s'en va en toutes directions.


Le chemin de chardons,                    le pont suspendu,           et la route en travaux.

IF                                                    A                               NYB





Pas folle...
Entièrement.

   Elle a eu les textes.           
Verdict Lundi ?           

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