Dimanche 27 juillet 2008 à 17:57

J'ai grandi. J'ai changé.
Les grands-parents sont là.
Le frangin est revenu.
Le frangin est encore con et déjà chiant.
J'ai fini les lessives.
Le premier meurtre fut particulièrement violent.
La preuve est accablante. oO
Je m'emmerde.
Alors je martyrise la gratte.
Faut que je regarde pour un billet de train.
Il faut que je me décide.
Je pense partir.

Samedi 26 juillet 2008 à 23:21





Parce que pour moi Coldplay est indissociable de Not Defined. Parce que "see you soon, at Neerpelt, I swear", parce que les deux autres souvenirs associés à cette chanson. Parce que cette chanson. Parce que cette soirée. Parce que cette histoire. Parce que ces histoires. Parce que je les adore ces foutus musicos. Tous. Plus ou moins. Plutôt plus que moins.

Samedi 26 juillet 2008 à 13:58




Et puis chanter Aux Champs-Elysées au milieu des rues d'Avignon...

Samedi 26 juillet 2008 à 12:24

- Mais...
- Tais-toi et continue.
- S'il te plaît...
- JE T'AI DIT DE LA FERMER ET DE CONTINUER !
- Ecoute...
- TA GUEULE, AVANCE !
- ESPECE DE SALOPE TU COMPRENDS PAS QUE J'AI MAL !
-...
-...
- Et bah, il en a fallut du temps pour que ça sorte.

Vendredi 25 juillet 2008 à 22:23



Je n'envie PAS DU TOUT cette fille.
Bon. Point positif ça va elle joue pas (plus ?) de la guitare comme Hendrix.
Parce qu'ajoutez à ça qu'elle a aussi une  jolie voix.
Ok c'est ma Val', mais y'a des envies de meurtre qui se perdent.

Et puis Carla n'avait pas une conscience attitrée.
J'ai d'ailleurs une oeuvre à lui proposer :
la lutte pour la sauvegarde des troupeaux de jambons...

Vendredi 25 juillet 2008 à 22:14

"Le problème c'est que le nouveau chateau attirait des touristes, et donc les fonds récoltés permettaient le maintien des premières ruines."

Métaphore médiévale. C'est grave docteur ?

Vendredi 25 juillet 2008 à 10:59

Faire confiance aux gens et voir qu'à la fin ils en ont rien à cirer.

J'ai toujours cru aux gens.

Je n'en suis pas.

Vendredi 25 juillet 2008 à 9:28

God bless the day light, the sugary smell of springtime, remember when you were mine... I become what I always hated when I was with you then. I wanted to believe in all the words that I was speaking as we moved together in the dark. I don't know about you but I swear on my name they could smell it on me. And every bite I gave you left a mark. All I see are dark grey clouds in the distance moving closer with every hour. So when you ask "was something wrong ?" that I think "you're damn right there is but we can't talk about it now. No we can't talk about it now." And I held you closer that anyone would ever get... So one last touch and then you'll go, and we'll pretend that it meant something so much more... But you were mine, and it was our trip... You are beautiful but you don't mean a thing to me. Yeah you are beautiful and you mean something to me

Jeudi 24 juillet 2008 à 23:36

Je m'étais dit que c'était super, que je n'allais pas voir mon année passer. Qu'au final ça ne serait pas une année supplémentaire à attendre ce que je voulais vraiment. Que ça ne serait pas l'année la plus pénible parce que la dernière et sans eux. Je m'étais dit plein de choses. Et ça m'a fait avancer. Ca me foutait un grand sourire, ma tête était remplie d'images. Je m'y voyais.  La relativité du temps n'aurait plus eu aucune importance une fois que j'y aurais été. Mais non. Je ne voulais plus être déçue. Là ça n'était pas possible, alors tous les espoirs et les rêves frustrés que j'avais bridé ce sont déchaînés. Ah ah ah. Tout est toujours possible. Je n'allais pas être déçue ? Au final je ne l'ai jamais été autant. Vite. Reprendre de l'air et tenir. Un an, un mois et une semaine.

Comme pour un deuil. La mort ne me fait pas aussi mal que la vie perdue.
Si si, il y a une différence.

Se dire qu'encore, ça, ça n'est rien. Absolument rien comparé au reste.

Jeudi 24 juillet 2008 à 21:45



- T'as mauvaise mine.
- C'est le T-shirt qui fait ça.

~

- Tu vas faire le groupe de recherche historique ?
- Si j'ai le temps.

~

- L'école de chant pas maintenant.

Jeudi 24 juillet 2008 à 21:07

PUTAIN DE BORDEL DE MERDE.

Jeudi 24 juillet 2008 à 20:49

C'est faux parce que ça ne peut pas. Simplement. Et si j'avais envie d'y croire ? A part de me casser la gueule une fois de plus je ne risque rien. Ou pas grand chose. La prochaine fois je te prends par la main et on s'enfuit. La prochaine fois je réponds sans réfléchir aux conséquences. J'agis sans penser à ceux qui nous entourent. Les gens... Ces salauds qui s'amusent à mettre des bâtons dans les roues du monde même. Le temps est passé tellement vite, et j'ai peur qu'il accélère encore. J'ai parlé sans cesse. Tu m'as sûrement trouvé saoulant. Ca m'arrive, mais qu'avec toi. Je veux te retenir. Enfin, c'est la seule explication que je trouve. Je fais des efforts, je cache ma déception lorsque je te vois fouiller tes poches. Et puis un stupide espoir ; celui que ça ne soit qu'une manière de gagner quelques minutes en plus.  Je sème des invitations aux quatre vents et j'espère que tu vas en saisir une. Sans réfléchir non plus. Nous verrons bien. Oh oui. Comme j'aimerais ce nous là.

Jeudi 24 juillet 2008 à 11:34

Le moment qui lui avait fait le plus mal c'est bien lorsqu'elle s'était aperçue que la chemise qu'elle lui avait prise ne portait plus son odeur. Cette chemise dans laquelle elle aimait enfouir son visage, pour se souvenir. Se souvenir de ses baisers, de sa peau contre la sienne, de son odeur bien sûr, de la chaleur que dégageait son corps lorsqu'elle se blotissait contre lui, se souvenir de leurs mains entremêlées... Se souvenir de lui dans toute sa dimension physique. Entier. Dans sa réalité. Les mots elle avait pu les garder sans problème. Mais l'odeur elle était partie. Il ne pouvait en être autrement. Elle l'avait su dès le début mais ça lui avait fait mal tout de même. Comme tout. Comme cette histoire. Et en se disant que désormais cette chemise ne serait plus qu'un symbole, elle pleurait. Elle prenait pleinement conscience qu'elle n'avait plus que cette relique dont l'intéret premier avait disparu et qu'elle finirait par oublier parce que le cerveau et le nez humains n'étaient pas programmés pour garder indéfiniment les odeurs. Elle pleurait silencieusement en ayant une seule envie, celle de crier. Celle de lui crier, à lui, qu'elle ne voulait pas oublier son odeur. Qu'elle ne voulait pas l'oublier. Mais vraiment. Elle ne voulait pas oublier la moindre chose. Ni sa voix, ni sa tête au réveil, ni ses mimiques. Elle voulait garder le film d'Eux vivant. Elle voulait vivre encore.

Mercredi 23 juillet 2008 à 23:48

Ce fut une pause hors de sa vie, une pause sans incidence. Du moins c'était ce qui avait été convenu. Il y avait eu un problème. Quelque chose n'avait pas fonctionné. Et aujourd'hui elle se retrouve au pied du mur, sans savoir quoi faire. Elle tremble un peu d'ailleurs. Il faut agir. Agir, agir, bien plus facile à dire qu'à faire. Agir dans quel sens d'abord ? Celui du cœur ou de la raison ? Des deux chemins aucun n'est plus sûr que l'autre. Ça c'est déjà réglé : il suffira de tirer à pile ou face. Un bordel sans nom. Sa vie entière était un bordel sans nom. Même si elle a parfois l'envie et la motivation pour se mettre à ranger elle ne sait pas par où commencer. Elle se prend les pieds dans quelques morceaux de sentiments qui traînent à terre et se casse la figure en s'écrasant lourdement sur ce qui semble être les restes d'un amour propre malmené. L'orgueil. La solution viendra sûrement de lui. Mais l'orgueil de qui ? C'est l'une des nombreuses questions auxquelles elle doit apporter une réponse avant de tenter quoique ce soit. Et puis changer avant tout ça. Changer pour se donner quelques chances supplémentaires, penser se les donner, c'est bon pour l'estime de soi. Histoire d'éviter qu'elle finisse écrasée et étouffée, elle aussi. C'est lourd les sentiments, n'empêche.

Mercredi 23 juillet 2008 à 23:29

Ce soir elle ira se coucher dans son grand lit aux draps propres. Avec elle un simple t-shirt noir et un étrange bracelet de la même couleur au poignet gauche. Elle passera des heures les yeux grands ouverts, à attendre. Le sommeil comme une massue. Elle songera. Rêvera éveillée. Sera assomée. Rêvera tout court. Et le lendemain elle se lèvera dans sa réalité. Verra qu'elle n'était pas tout à fait démaquillée. Descendra au rez de chaussée. Elle aura une impression étrange ; celle de ne pas être seule. Elle sera accompagnée par les fantômes de ses rêves. Elle se verra comme l'un de ses fantômes. Toutes ses paroles qu'elle ne dira pas. Toutes ses actions qu'elle ne fera pas. Tout sa vie qu'elle n'aura pas. Elle se contentera d'être l'unique spectatrice dans l'immense représentation de son imagination.

Mercredi 23 juillet 2008 à 23:12

C'était facile de se dire d'être belle, forte, peut-être même indifférente. C'était facile de se dire que je n'avais rien perdu mais tout gagné. Tout était facile. Tout était bien avec toi, bien et facile. Et voilà. Sur cette phrase je vire. Chavire. C'était facile de le dire. Parce que j'ai toujours su mentir. Mais la vraie facilité, le bonheur, ça n'était pas facile. Même avec toi, pas toujours. Tellement plus souvent qu'avec le reste du monde pourtant. Et sans toi... Ce n'est plus qu'un mensonge que je ne parviens même pas à formuler.

Mercredi 23 juillet 2008 à 22:19

- Deux paquets de celles-ci et deux paquets de celles-ci...

Ça va, t'as pas non plus trois prénoms par hasard ?

Mercredi 23 juillet 2008 à 19:12

Home,
 Sweet Home.


Ou pas.

Mardi 22 juillet 2008 à 22:57

Ne soyez pas bêtes : l'amour de quelqu'un ne s'achète pas. Il se vole.

Lundi 21 juillet 2008 à 22:40

"T'envole pas." "Mais je n'ai pas envie de m'envoler moi."

Bien sûr que non. Tu m'as plombée. Alors. J'ai même pas eu le temps de déployer complètement mes ailes. Pan. Pan. T'es morte. J'suis morte. PAN ! Faut achever cet oiseau là. Que j'étais. Cet oiseau tombé du nid et qui avait été recueilli. Etait-ce seulement la même personne ?

(Non mais je suis dans une période mais. Comment vous dire. Ça va hein. Ou. Nan mais si. Ça va. En tous cas je ne suis pas la dépressive suicidaire qui semble écrire mes textes.)

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