Mardi 16 décembre 2008 à 18:20
"Tu aurais pu être une excellente scientifique !"
J'aurais pu être beaucoup de chose. Il y a cette image, qui est déjà un souvenir, que je garde en tête. Tu passes dans la rue, le trottoir d'en face, foutu trottoir toujours. Je crève d'envie d'aller te rejoindre. De prendre un peu de temps avant nos impératifs, histoire que tu puisses aller fumer ta cigarette, que nous puissions parler un peu. Mais non. Pourquoi ? Oh, juste à cause de cette foutue petite vingtaine d'années. Et de ces gens.
Lundi 15 décembre 2008 à 21:58
"J'ai trouvé ton cadeau de Noël."
Je crois qu'elle ne sait pas à quel point j'ai été surprise et touchée à la fois. Surtout en ce moment. Finalement cette journée n'est peut-être pas à oublier. Comme toutes les autres à vrai dire. Cela faisait longtemps.
Je crois qu'elle ne sait pas à quel point j'ai été surprise et touchée à la fois. Surtout en ce moment. Finalement cette journée n'est peut-être pas à oublier. Comme toutes les autres à vrai dire. Cela faisait longtemps.
Dimanche 14 décembre 2008 à 19:18
En ce moment je suis plus Garbage que chants de Noël. En même temps, c'est légèrement plus dynamique. Bon. Il me reste un sapin à décorer, des fiches de maths à faire, et un DS d'espagnol à réviser. Autant dire que je ne vais rien foutre. Demain lundi. J'aurais bien fait un cadeau de Noël avec un peu d'avance. M'enfin. Au soir c'est théâtre et code. Donc je reviens tard. Et mardi c'est interro de maths. Autant dire que je ne vais encore une fois pas être beaucoup là. Même si je poste beaucoup selon certains j'ai l'impression d'être absente. Je déteste ça.
Le titre parce que ça faisait longtemps. Et qu'il faut que j'arrête de changer de pseudo msn toutes les cinq minutes.
Le titre parce que ça faisait longtemps. Et qu'il faut que j'arrête de changer de pseudo msn toutes les cinq minutes.
Dimanche 14 décembre 2008 à 17:47
Là, maintenant, tout de suite, je n'ai pas envie d'aider les gens. Parce que personne n'est capable de m'aider. Et même si, je crois que je n'accepterais pas. Pas la peine de répondre, même avec toute la bonne volonté du monde et l'affection qu'on se porte.
C'est trop fatiguant parfois de pousser entre les briques.
C'est trop fatiguant parfois de pousser entre les briques.
Dimanche 14 décembre 2008 à 17:40
Il faisait très froid ce samedi matin. Une grosse écharpe, les mitaines... On se levait tôt pour aller accomplir un travail guère réjouissant. Et pourtant je suis sûre qu'il souriait aussi ce matin là. Dès 6h30, au réveil. Parce que l'on s'était mis d'accord. Au bout de trois heures j'ai demandé à sortir et j'ai couru jusqu'à la fenêtre du premier étage. Voilà comment on supporte le froid, la nuit : grâce à un sourire.
Dimanche 14 décembre 2008 à 16:25
Arrivée chez mon père hier j'apprends qu'internet est mort. Ce fut long. Très long. Je crois que je ne me suis jamais autant retenue de cracher mon venin sur quelqu'un. Mais là, c'est la gotte d'eau qui fait déborder le vase. La mauvaise foi. Quand on se plante, qu'on est con et qu'on arrive encore à mettre ça sur le dos des autres. Ah oui, tu joues au con ? Ah oui c'est une garce ? Pas de chance pour toi : les chiens ne font pas des chats et puisque tu l'as voulu moi j'ai choisi mon camp. J'attends. La vengeance est un plat qui se mange froid. Après le 28 janvier par exemple. Elle va bien commencer l'année 2009. Tu vas voir ce que c'est qu'une garce. Aujourd'hui anniversaire de Pierre. Dans quatre jours celui du blog. Et j'ai vraiment d'autres choses en tête.
Vendredi 12 décembre 2008 à 21:05
T'sais. Enfin, non... Tu ne sais plus. Et moi ça ne doit pasêtre mieux. Mais je ne voulais pas que ça finisse comme ça. A la base je ne voulais pas que ça finisse, je te l'accord. Maintenant si, mais toujours pas comme ça.
Vendredi 12 décembre 2008 à 18:45
Et quand je me casse la gueule j'attends de toi que tu reviennes me foutre en l'air.
Vendredi 12 décembre 2008 à 18:23
J'a décidé (et ça me fait bien chier), d'attendre l'an prochain avant de publier la suite des "Faits de couloirs". Simplement parce que j'en ai trop bavé, parce que les gens sont assez cons comme ça et qu'il ne sert à rien de leur fournir une occasion de l'être encore plus. Donc je m'excuse mais ça attendra. Je crois que l'autocensure me donne les idées les plus folles. Et c'est peut-être tant mieux. F.T.M.J sans oublier les autres.
Jeudi 11 décembre 2008 à 20:45
Cause in my head there's a greyhound station...
Jeudi 11 décembre 2008 à 18:27
Avez-vous remarqué comme la haine de quelqu'un peut nous amener à marcher bien plus vite ? Que l'amour de quelqu'un d'autre nous fait nous retourner bien plus lentement ? Moi j'ai les doigts glacés. J'aimerais me réchauffer les pieds. J'ai envie de le voir. Et mon coeur est éparpillé dans divers coin de l'Europe. "Little girl has europe in her blood". Pas seulement dans le sang. "She has feelings in her head". C'est bien là le problème. "And too many boys in the heart." Tu t'es un peu emmêlé les pinceaux mais oui, c'est ça. J'ai envie de partir. Toujours aux mêmes endroits.
Jeudi 11 décembre 2008 à 18:13
Marre. Marre. Marre. De ce garçon. De ces ceux garçons. Qui ont pris trop de place dans ma vie au même moment, qui commence à remonter à loin d'ailleurs. Maintenant je sais parfaitement que si j'avais choisi l'autre ça n'aurait rien changé. J'ai bien fait de mettre ma peur de côté pour suivre mes sentiments : au final la merde est équivalente des deux côtés. Je peux aimer les connnards mythomanes. Je peux aimer les gars sympas et sensible. J'aime le mélange des deux. Mais les tergiversations et ces deux pauvres mecs qui ne savent pas s'assumer, ni d'un côté ni de l'autre, ça commence vraiment à me courir.
Mardi 9 décembre 2008 à 19:19
Ne plus trop savoir et savoir mieux que jamais en même temps. Avoir envie d'autre chose sans avoir envie d'arrêter. Chercher des propositions, des concessions mais vouloir forcer l'accord. Attendre des réponses. N'en accepter qu'une seule. Qu'importe.
Lundi 8 décembre 2008 à 20:59
On a vraiment pas les mêmes problèmes. N'empêche il est temps pour moi aussi que je tourne la page. Voire plusieurs d'un coup. C'est l'un des droits imprescriptible : sauter des pages. Je saute. Peut-être à pieds joints néanmoins.
La photo de la page à tourner viendra quand j'aurai accès au bon ordinateur. En attendant, celle-ci est une page marquée. De celle que j'ai toujours sur moi. <3
La photo de la page à tourner viendra quand j'aurai accès au bon ordinateur. En attendant, celle-ci est une page marquée. De celle que j'ai toujours sur moi. <3
Lundi 8 décembre 2008 à 20:49
S'éclater au théâtre. Chanter. Avoir un rhume. Être fatiguée et le mascara qui coule sous les yeux. S'être levée à 5h30 mais ça valait le coup pour la tête de la prof d'espagnol. Corriger les fautes d'anglais. S'éclater au théâtre. Monologues. Scènes. Ce sont bien des pluriels. Attendre dans le froid. Avoir envie de te vivre. Tellement.
Lundi 8 décembre 2008 à 6:06
Où l'on pourrait presque croire que j'ai repris les bonnes habitudes. Que je viens travailler sur ma becane le matin parce que j'ai trop parlé le soir. Mais nous savons qu'il n'en est rien. C'est con d'ailleurs parce que c'est pas l'envie qui manque. Je me demande si quelqu'un d'autre aura trouvé une mise en abyme dans une affiche publicitaire. En espagnol. Bah. On verra bien. Comme pour tout le reste.
Dimanche 7 décembre 2008 à 21:27
Et puis tu sais, tu me donnes presque envie d'y aller. Mais au-delà de toi il y a le reste. Autour de toi il y a les gens et les obligations. Autour de nous il y a le monde. C'est bien dommage. Parce que ça... C'est beaucoup moins beau que ce que l'on voudrait faire.
Dimanche 7 décembre 2008 à 11:40
La lumière en se réveillant. Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vue. Une belle lumière jaune qui me donne envie de replonger sous les couvertures. Un mois de décembre qui en signifie bien d'autres. Un coup d'oeil au portable : le message de cette nuit vient seulement d'arriver. Plonger sous la couette. Se se souvenir avec un sourire au coin des lèves.
Samedi 6 décembre 2008 à 15:43
Non mais mon coeur à moi il déconne grave, tu t'en doutes bien. Il ne bat plus, ou alors au mauvais moment, et parfois, rarement, il bat si fort qu'il me fait paraître morte. C'est une machine compliquée au moteur hybride. Tellement que l'on a pas encore trouvé de carburant stable. Mais c'est autre chose. Et tu sais, il suffirait de pas grand-chose. Genre. Pour s'allumer. Enfin. Pour allumer nos cigarettes. Ou pas. Mais toi je ne te laisserai pas. Au jeu des petites annonces je peux être très fourbe. Pas le bol de laisser ma place. Quant à toi... Reviens dans mon dos. Surtout restes-y.
Samedi 6 décembre 2008 à 12:50
Juste pour le plaisir d'utiliser un bon stylo sur un vieux carnet aux pages cornées et au papier défraîchi.
La pluie tombe en même temps que la nuit. Egarer quelques mots qui ne devraient pas l'être. Tandis qu'ils rentrent chez eux, blasés, luttant contre le vent, moi je lève le rideau, Mesdames et Messieurs le spectacle de ma vie va commencer ! Et il est déconseillé aux âmes sensibles.
La pluie tombe en même temps que la nuit. Egarer quelques mots qui ne devraient pas l'être. Tandis qu'ils rentrent chez eux, blasés, luttant contre le vent, moi je lève le rideau, Mesdames et Messieurs le spectacle de ma vie va commencer ! Et il est déconseillé aux âmes sensibles.