Mercredi 19 novembre 2008 à 16:10

Décider de n'en avoir rien à faire et continuer. L'*****, l'*****,l'*****. Quitte à se cacher. A moitié. Après tout, c'est moi le chef. Que je sois réellement moi ou non. Je ne sais plus si je pourrai, si je voudrai montrer quelque chose d'autre, un jour. Mais je sais ce que je ne veux pas. C'est toujours ça de pris. D'ailleurs je viens de mentir par omission : je sais très bien ce que je veux. C'est tellement simple que ça en devient bête.

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Avoir l'espoir fou de pouvoir encore le faire l'an prochain. Elle était là, ma planque.


Mercredi 19 novembre 2008 à 14:06

Mais merde à la fin, y'a pas une chose, une seule, qui veut me faire le plaisir de se dérouler correctement ?

Mardi 18 novembre 2008 à 20:09

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Foutue pour foutue j'ai envie du retour de la neige. Comme en Mars.
Celui de la neige seulement. C'était beau n'empêche... Tout ça.

Mardi 18 novembre 2008 à 18:52

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Mardi 18 novembre 2008 à 18:47

Elle ne sait pas trop où elle va mais elle y va quand même. Parce qu'après tout il n'y a plus que ça à faire. Et qui sait, un jour peut-être elle réussira à rejoindre l'un des deux guitaristes du fond de la cour. Il faut parfois laisser les choses venir. Le temps faire son oeuvre. Certes "qui ne tente rien n'a rien". Sauf que "qui vivra verra". Et puis le plus important au final de ces fichus proverbes reste : "ne jamais faire de généralités". Contradictoire peut-être. Tant que ça reste compréhensible. Pour elle.

Lundi 17 novembre 2008 à 20:27

Oh ça... Ma quééééé tu vas en bouffer de la vie réelle mon chéri. Mais vraiment en bouffer. Et tu as plutôt intérêt à aimer ça.

Lundi 17 novembre 2008 à 20:23

C'est fou  comme les gens qui nous disent "tu me manques" ne sont jamais ceux auxquels on s'attend. Et c'est fou aussi de voir le bien que ça nous fait, de s'en souvenir.

Anne. Bee. Laure. Makaveli. Mylène.

Et les autres. Qui ne me manquent pas forcément tous. Puisqu'ils (elle) sont (est) là.

=)

Dimanche 16 novembre 2008 à 16:17

D'ores et déjà savoir que la soirée sera pourrie. Entre engueulades et devoirs de spécialité.
To be zen. Est-ce que tu te souviens de ce pyjama rose qui nous avait valu tant de rires ? De ces appels et sms ? De on crédit bien mal en point parce que vous étiez tous les deux sur sfr ? Je me souviens surtout de son sourire finalement, pas du tien.

Dimanche 16 novembre 2008 à 13:31

"Si a la saint valentin elle me tient la main, vivement la sainte marguerite...'

Fallait bien sûr que j'ai le droit (après sarko pour mon anniv') à un proverbe pour ma fête... M'enfin merci pour l'info Alwena.

Samedi 15 novembre 2008 à 22:03

Se faire une réflexion très bête en sortant du train à Orchies : j'ai envie d'aller à Londres, Paris, Dijon, Rennes (jusque là, ça va), et Lille. Sauf que j'en viens de Lille. Eternelle insatisfaite, fichue de telle sorte qu'elle a ses pulsions a posteriori. Quand l'instant est passée. Je me fais parfois engueuler parce que je ne réfléchis pas assez. Mais j'aimerais que cela soit vrai, que je ne réfléchisse pas justement.

Vendredi 14 novembre 2008 à 21:27

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Vendredi 14 novembre 2008 à 21:26

Ce soir j'ai voyagé. Je suis allée en Algérie, en Allemagne, en Angleterre, en Pologne... Et puis je suis revenue en France, en passant par Noyons et compagnie. Peu de mes voyages furent aussi tristes. Quand on se voit jouer comme au théâtre avec les gens que l'on aime. "J'ai mal au coeur. Mal au coeur même si c'est la vie." C'est ce que je me dis chaque jour. Mais là ça n'est pas la vie, c'est juste la mort dans ce qu'elle a de plus terrible. Finalement il n'y a rien de pire. Dans le sens où... Ni l'un ni l'autre. Dire qu'on en rit encore parfois.

"-Ferme cette porte de placard.
- Pourquoi ? Ca fait des courants d'air ?"

Jeudi 13 novembre 2008 à 19:25

Euh comment dire, le 2600ème je ne l'ai vraiment pas vu passer.

Et ce soir je suis fatiguée.

Et ce soir je m'excuse auprès d'Adeline. Même si on a lâché un peu toutes les deux, faut avouer.

Vive la pleine lune.

Mercredi 12 novembre 2008 à 23:16

Mais je n'en ai rien à foutre du devoir. Comme je n'en ai rien à foutre du sens unique. J'irai là où je veux aller. Et s'il faut partager, j'assume. Jamais deux sans trois. Sauf que je ne m'accorde pas de deuxième chance. Putain il faut que je devienne.

Mercredi 12 novembre 2008 à 22:24

"J'ai pas fini ni même commencé..."

Oh si t'as fini. T'as fini ! T'as fini !! T'AS FINI !!!

Et bordel, pas moi.

Mercredi 12 novembre 2008 à 19:04

Au fait, j'ai encore oublié un dernier petit détail. On peut être sensible et cynique. Ca n'est pas un problème. On peut d'ailleurs être très attirant et intéressant comme ça, mais vraiment. Sauf qu'il faut infiniment plus de classe que tu n'en as. Peut-être même d'intelligence, voire de talent. Comme lui que je n'ai jamais vraiment cité et que je ne citerai plus car d'autres pourraient le prendre mal. Mais si tu le connaissais tu comprendrais. Il faut avoir cette envergure. Sinon on passe juste pour un pauvre petit connard. Dommage n'est-ce pas ?

Mercredi 12 novembre 2008 à 17:39

Et regagner, récréer le monde que je n'aurais jamais du perdre.




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Et ça c'est ce à quoi j'aurais du prêter attention.

Mercredi 12 novembre 2008 à 16:44

Et je ne désespère pas de trouver des musiciens pour faire ce dont j'ai envie.

(ce serait tellement plus simple si j'étais là-bas...)

Mercredi 12 novembre 2008 à 16:11

Je n'ai pas assez de débit pour que msn se mette en marche. Je bosse (presque) l'anglais, l'éco et les maths. Vive la ES. Je m'ennuie aussi. Je chercher quelqu'un pour aller à Londres. Et ça par contre ça va faire du bien. Sinon rien n'a changé. J'ai envie de voir du monde. J'ai trié mes emails la nuit dernière.

Voilà les nouvelles. Ou pas.

Mardi 11 novembre 2008 à 20:54

Et être bien dans son lit. Ne pas avoir trop chaud, ne pas avoir trop froid. Rester un peu dans son sommeil parce qu'il est beau. Pourtant me réveiller ne me dérange pas parce que la réalité est belle aussi. Mais tout de même, encore un peu de cette douce flemme, de la chaleur des couvertures. 9h35. Il est plus tôt que d'habitude en plus. J'ai toujours la chanson en tête. Je n'ai mal nulle part. Aucun message sur le portable. A part un email. Je souris, la tête enfouie dans l'oreiller. C'est pratique :  je peux rire et ça fait comme un retour. J'éclate de rire, toujours perdue entre les plumes et le drap blanc. Toute la lumière qui passe par le velux. La chambre sent la cire parce que la veille je m'étais enfin occupé de mes meubles. Sur le matelas j'ai entassé des trésors : le ipod, les livres, les miroirs, les cartes, le portable, les fils, les batteries, les boucles d'oreilles... Le clavier lui est posé à terre, de biais. Je refermer les yeux et je bondis en avant.

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