Dimanche 21 octobre 2007 à 20:24

Je ne trouve pas toujours la réalisation belle, mais faut admettre que c'est quelque chose...
Merci à Adeline pour la découverte.



Mercredi 17 octobre 2007 à 21:50




Je devais le mettre et puis non, parce que voilà quoi... Je ne suis pas vache.

Sauf que voilà ce que m'envoie le Sieur peu après :




Sur ce il m'explique qu'ainsi il a de quoi riposter si je l'attaque. Mai-euh, même là il est gentil et me compliment. Bouh !

Il sera vraiment bien accueilli dans le Nord en tous les cas ! ; )

Et pour les jamais contents : en veux tu en voilà, une mini-photo de moi !

D'abord. Qui ose encore me demander si j'aime cowblog ! (roooh pas J-D non ! Faut arrêter là, il est timide !)

Vendredi 12 octobre 2007 à 21:31


"L'absence est là où le malheur prend forme."






Graffiti de Mai 68.
Et si du malheur naissait le bonheur ? Hein ?





Mercredi 10 octobre 2007 à 17:35

Jean de La Fontaine Fables de La Fontaine

Le Chartier embourbé
Le Chartier embourbé

Le Phaéton d'une voiture à foin
Vit son char embourbé. Le pauvre homme était loin
De tout humain secours. C'était à la campagne
Près d'un certain canton de la basse Bretagne
Appelé Quimpercorentin.
On sait assez que le destin
Adresse là les gens quand il veut qu'on enrage.
Dieu nous préserve du voyage !
Pour venir au Chartier embourbé dans ces lieux,
Le voilà qui déteste et jure de son mieux.
Pestant en sa fureur extrême
Tantôt contre les trous, puis contre ses chevaux,
Contre son char, contre lui-même.
Il invoque à la fin le Dieu dont les travaux
Sont si célèbres dans le monde :
Hercule, lui dit-il, aide-moi ; si ton dos
A porté la machine ronde,
Ton bras peut me tirer d'ici.
Sa prière étant faite, il entend dans la nue
Une voix qui lui parle ainsi :
Hercule veut qu'on se remue,
Puis il aide les gens. Regarde d'où provient
L'achoppement qui te retient.
Ote d'autour de chaque roue
Ce malheureux mortier, cette maudite boue
Qui jusqu'à l'essieu les enduit.
Prends ton pic et me romps ce caillou qui te nuit.
Comble-moi cette ornière. As-tu fait ? ─ Oui, dit l'homme.
— Or bien je vas t'aider, dit la voix : prends ton fouet.
— Je l'ai pris. Qu'est ceci ? mon char marche à souhait.
Hercule en soit loué. Lors la voix : Tu vois comme
Tes chevaux aisément se sont tirés de là.
Aide-toi, le Ciel t'aidera.

Vendredi 5 octobre 2007 à 21:25

MAURETTE !!! *tape sur le front*

BON ANNIVERSAIRE AVEC UNE JOURNEE DE RETARD !!


ou .

Mercredi 3 octobre 2007 à 21:57

 Malheureux peut-être l'homme, mais heureux l'artiste que le désir déchire!
   Je brûle de peindre celle qui m'est apparue si rarement et qui a fui si vite, comme une belle chose regrettable derrière le voyageur emporté dans la nuit. Comme il y a longtemps déjà qu'elle a disparu!
   Elle est belle, et plus que belle; elle est surprenante. En elle le noir abonde: et tout ce qu'elle inspire est nocturne et profond. Ses yeux sont deux antres où scintille vaguement le mystère, et son regard illumine comme l'éclair: c'est une explosion dans les ténèbres.
   Je la comparerais à un soleil noir, si l'on pouvait concevoir un astre noir versant la lumière et le bonheur. Mais elle fait plus volontiers penser à la lune, qui sans doute l'a marquée de sa redoutable influence; non pas la lune blanche des idylles, qui ressemble à une froide mariée, mais la lune sinistre et enivrante, suspendue au fond d'une nuit orageuse et bousculée par les nuées qui courent; non pas la lune paisible et discrète visitant le sommeil des hommes purs, mais la lune arrachée du ciel, vaincue et révoltée, que les Sorcières thessaliennes contraignent durement à danser sur l'herbe terrifiée!
   Dans son petit front habitent la volonté tenace et l'amour de la proie. Cependant, au bas de ce visage inquiétant, où des narines mobiles aspirent l'inconnu et l'impossible, éclate, avec une grâce inexprimable, le rire d'une grande bouche, rouge et blanche, et délicieuse, qui fait rêver au miracle d'une superbe fleur éclose dans un terrain volcanique.
   Il y a des femmes qui inspirent l'envie de les vaincre et de jouir d'elles; mais celle-ci donne le désir de mourir lentement sous son regard.

Charles Baudelaire, le Spleen de Paris.

Mercredi 12 septembre 2007 à 19:04

C'est aussi oublier la douleur pour n'entendre que la musique, zapper ce qu'il y a autour et entrer en transe. Elle secoue la tête en même temps qu'elle la perd ; le casque est vissé à ses oreilles.
Les sons électros la transportent littéralement, elle se retrouve dans sa chambre à danser comme une dingue, alors que cela n'était pas vraiment au programme. On ne décide pas toujours.
Elle se désinhibe, elle le sait, et profite comme elle se le doit de ces moments, trop rares.
Les jours défilent dans son esprit, et pour chacun elle sait ce qu'elle a à faire. Un mois et dix jours, c'est largement suffisant.



L'héroïne du jour est une petite dame nommée Mireille, nommée Mimi.
Logique.

Dimanche 2 septembre 2007 à 16:37

Un très joyeux anniversaire à Laurine.

*

Dimanche 2 septembre 2007 à 12:34



Comme je n'en avait pas eu depuis longtemps .. un blog, un monde découvert la nuit dernière, au détour d'articles postés tard dans la nuit, ou plutôt très tôt dans le jour ..." Mes jours sont des nuits blanches.."



Vous arrivez sur ce blog. Une musique sublime vous acceuille, dans un décor pas surchargé, bleu, clair, c
ouleur de rêve. Vous apprenez que la créatrice du blog, son âme même, ne connait pas la musique.

Vous savez que vous mettez les pieds dans un rêve. Alors vous y allez tout doucement, de peur d'abimer quelque chose, vous tentez de vous faire discret dans cet univers qui n'est pas le votre mais que vous aimeriez vous approprier.
Vient ensuite le temps des photos, empreintes d'émotions, ce ne sont pas des pixels de couleurs mis bout à bout qui forment des images non, ce sont des clichés de vies, de sentiments. Ca vous touche. Vous n'y pouvez rien et vous n'y voulez rien changer.
Dernière découverte, qui ne se finit jamais, les mots. Qui sont là, posés, bien sages, en ordre, ça ne fait pas de vague, et c'est peut être pour ça que c'est si beau.
Parce que c'est simple. Que tout le monde pourrait faire pareil ou presque si tout le monde avait le pouvoir comme cette demoiselle de se mettre à nu. Et ce faisant de nous mettre à nu.
Même ses commentaires sont un vrai régal, qu'on attend avec impatience, cela fait moins de 24heures que je la connais. Et il m'en faut déjà plus. Je n'ai pas tant envie de vous faire partager. Parce qu'en entrant là bas on à l'impression d'être seul, avec elle et ses mots. Et pourtant ...

MISE A NUE

Ca fait un an, un an et une semaine.
Parce que je n'étais pas là, j'ai failli oublier. Pas bien. Maintenant cette fille géniale est devenue ma Valentine. La fille qui me fait rire, qui pose des étoiles dans mes yeux, qui accroche mes sourires, qui m'écrit et me dessine, des femmes en pull et en écharpe, la jupe au vent, laissant s'élever en l'air une colonne de pétales. C'est aussi la fille pour qui je m'inquiète, pour qui je chante, pour qui je lis des tas et des tas de blogs, je rencontre de nouvelles personnes, pour qui je commence à bien connaître la région de Montpellier, les aléas des cours de codes, de l'internat, d'une petite soeur. La partie de moi qui fait des Arts appliqués, qui a des groupes d'amis sensationnels, qui a fait la fête cet été.
On se ressemble et on est différente.
On se complète et on se rejoint.
C'est mon mur, ma boîte rouge, mon agenda, des photos et des mots, des notes et des dessins...

T'aime Bérengère.
Un jour en vrai. Toujours plus proche.




Vendredi 31 août 2007 à 15:22



Là-bas ça a marché. Merci à notre Grand Méchoui Sacré pour ses bienfaits.

Jeudi 30 août 2007 à 18:54

"Mon doudou il est amoureux de Célinska"



Et moi ? Il est amoureux de qui mon doudou ?
Tellement de perles à vous écrire.

Jeudi 23 août 2007 à 18:30

Il fallait que je vous parle un peu d'elles. Parce que j'adore leur blog, tout simplement.
Ce sont les fees.no.men et si vous ne connaissez pas je tiens à vous dire que vous loupez réellement quelque chose. Alors attendez ou non la fin de cet article mais cliquez sur un des liens, ça ne peut qu'être bon pour vous.
D'elles je connais ma comparse machiavélique, c'est d'ailleurs par elle que je suis arrivée sur ce blog tenu par trois copines légèrement déjantées.
Elles s'en battent les steacks puisque "Lol", "trop", "tu m'étonnes", "c'est clair"...  Et moi j'aime ça. Ce sont des chounettes, de la première heure et de la première qualité.
Alors entre photos non-contractuelles, histoires vraies ou pas, aventures en battue de sanglier dans la belle contrée du Périgord et le reste, un seul constat : elles sont orgasmiquement elles et ça leur va vraiment très bien.


Mercredi 22 août 2007 à 22:38

Si vous êtes à la recherche d'un portfolio sympathique à voir.
Si vous êtes à la recherche d'un graphiste.
Si vous êtes à la recherche d'un footballeur.
Si vous parlez néerlandais.
Si vous parlez anglais (bientôt).
Si vous parlez français (je crois parce que vous êtes en train de me lire, et c'est quand j'aurais mis mon grain de sel).
Si vous voulez me faire plaisir. (?)
Simplement si vous Mesdemoiselles voulez voir un mec mignon et sympa.
Messieurs aussi, de toutes manières c'est mon hollandais. (rêve)

Cliquez sur l'image.




Vendredi 17 août 2007 à 17:04



Il y a de ces gens, de vraies perles, qui méritent le bonheur plus qu'ils ne le doivent. Mais quand ils vous parlent, vous savez que vous êtes quelque chose, et vous sentez un afflux de confiance et de bonheur. Pour peu qu'ils aient à partir, sitôt après ce départ vous comptez les jours d'ici leur retour.
Ils sont ainsi et vous rendent certainement meilleurs que vous ne l'êtes.

J'ai fini de compter les jours et je ne fais qu'en compter d'autres, ceux qui m'ont rendue heureuse. Dans ma tête subsiste un petit air de musique, qui se faisait entendre au loin, dans les locaux où la fête était de mise. Difficile pour moi d'être plus comblée qu'en étant à côté de ces fêtes, là où sont les vraies personnes qui comptent.

 

And happy birthday Martin (the cute one ? Really ?  ), thanks for all his great draws,  in facts, for everything since the camping.

 

 


Samedi 11 août 2007 à 12:19

Un très joyeux anniversaire à Makaveli !

*


(bon, il écoute du rap, mais sinon c'est un gars bien vous savez... :P)

Vendredi 10 août 2007 à 22:40



J'admire ça :

le blog du roman La double vie de Pénélope B.

Jeudi 9 août 2007 à 13:41

Et merci à l'écharpe au vent pour ce commentaire qui traînait encore dans mes fichiers textes...

Again il s'écoute d'abord par sa phase crescendo, son petit solo de guitare, ses sons énervés, puis son orgue lancinant aux environ de 9'42, pour terminer sur une déferlante émotionnelle, et la voix de Craig Walker sidérante, qui arrache des larmes depuis le plus profonds des entrailles, la cascade des instruments qui partent tous en même temps, la violence même de... l'amour, oui c'est ça, tout ça qui part... C'est un morceau incroyable, pour qui a le temps de l'écouter, pour qui est prêt à sacrifier un quart d'heure de sa vie pour comprendre ce que signifie le mot souffrance.

Car c'est ça Archive : une cinquantaine de morceaux, une cinquantaine de moyens pour dire "j'ai mal".

 

Comment voulez-vous ensuite poster un article pour dire ce que l'on pense d'Archive ? Si les lecteurs s'en chargent pour moi dans les commentaires, s'ils me devancent... Nan mais je vais finir par fermer moi !

Je ne sais pas où va le monde mais de ce côté-là ça me plait bien je dois dire.



Mercredi 8 août 2007 à 16:52



Chêtive, avec l'accent. Un blog à aimer.

Samedi 4 août 2007 à 14:01

Après un coup pareil comment voulez-vous ne pas avoir le sourire ? Malgré tout. Oui c'est l'été, c'est les vacances même. Il reste un mois, qui reste chargé.

Vouloir s'acheter un bon manteau et une paire de mitaines pour les vacances de la Toussaint.
Pour aimer encore un peu plus la SNCF. L'aimer autant qu'on la déteste.
Devoir ranger la chambre parce qu'il faut au moins ça.
Décortiquer les concerts, les spectacles.
Décorer l'agenda.
Ecrire.
Chanter.
Bosser même.






















 Je n'ai pas envie de laisser mon beau moral se faire casser parce qu'on m'interdit des choses. Être heureuse est une certaine manière de contrer les coups, de répondre. Laisser ce fichu sourire s'étaler sur mon visage.


Surtout, organiser une rencontre de cowblog à Lille.

Jeudi 2 août 2007 à 14:42

Les menteurs sont des gens qui comprennent l'ennui du monde.

Camille Peretti.

Je trouve cette phrase tellement... Réelle.  Vraie.  Le mensonge peut-être une évasion comme il peut-être une manière de s'enferme. Mais en tout cas il empêche l'ennui.  Je suis ébahie devant la force que peuvent prendre certains mots dès lors qu'on a la bonne idée de les assembler. Ca pourrait en devenir effrayant. J'ai trouvé un moyen de me défouler, un cahier que j'ai plus ou moins massacré aux alentours d'une heure du matin. Parce que mes rares moments d'inspiration c'est dans ces moments là. Bref.  J'aime beaucoup son prénom, à Servane.  C'est rare, ça on peut le dire.  Mais voilà j'aime bien. Cette fille, de ce que j'en connais, je la trouve rare aussi. A défaut d'un autre mot, plus adapté. Parce que j'ai beau cherché j'ai jamais trouvé un mot qui lui allait vraiment. Elle a eu la géniale idée (ironie toujours) de supprimer son blog. Mais allez chez Distant pour lire un texte d'elle. On m'en veut  pas de vendre la mèche.

Faut vraiment que je lise ce bouquin. Si vraiment.

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