Jeudi 1er mai 2008 à 22:24

"Je t'aime en passionnée donc bon, je te pardonne."

" - Margaux est folle hein ?
  - Totalement :D C'ça qui est cool :D"


Et longue vie aux interros d'SVT (certains prendront ça pour un blasphème) !

[Ces filles, je vous jure.]

Mardi 29 avril 2008 à 22:35

Là, maintenant, de suite, j'ai ma Val au téléphone, alors qu'elle est au concert de Catherine Linger. Je m'étais endormie en écoutant Debout Sur Le Zinc la dernière fois. Ça vient de finir. Deux minutes et cinq secondes pour un énorme sourire... Merci. J'ai hâte d'aller à un concert. Déjà pour pouvoir les appeler.

Lundi 28 avril 2008 à 20:19

Je ne voyais pas vraiment les choses ainsi...
Faut vraiment que je trouve ce film "17 fois Cécile Cassard".

Dimanche 27 avril 2008 à 15:28




Mardi 22 avril 2008 à 22:38


Lundi 21 avril 2008 à 18:37

"Vous m'avez manqué tous les deux !"

C'est vrai qu'au final ils manquent, ces deux sourires. Les autres aussi. Parce que le lycée est tellement bon que souvent y'a quelques prémices de sévices sexuels (répétez cette phrase le plus vite possible pendant trois minutes) dans les couloirs entre un monsieur plus vieux que la moyenne et le sosie de Stéphane Bern. L'un clairement sadique, l'autre clairement masochiste. Il font la paire. Mais il semblerait qu'en s'arrangeant correctement si l'on frappe le premier il y a la possibilité de se retrouver menotté(e) au bas de son lit. A voir donc. Les frites étaient en effet dégueulasses. Ils ont tellement de style d'un short et un t-shirt rouges, ou encore une robe chapiteau ne leur font pas peur... "Si tu devais me ressembler ?" Bah je serais bien contente attend !" Les livres dont il faut se souvenir du nom de l'auteur. Mon casque qui "déchire tout". Au passage, Marion a l'humour si particulier... Elle qui rigole je ne sais pas pourquoi. Moi qui ne suit visiblement pas au courant de tout. Les clins d'œil et les regards qui veulent tout dire, parce que voilà, heureusement que les amis sont là ! Bah ouais ! Heureusement. "Lille l'an prochain, sinon c'est pas drôle" je ne vais pas dire le contraire ! N'empêche, à Lille on ne peut pas aller piquer-niquer sur les rails du tramway. Bah oui, il faut mesure. Aussi ! Je maintiens que Paris ça peut être très bien. Non mais. Limite, au lieu du ciné ou de la plage y'a qu'à nous emmener là-bas. On m'avait bien dit "quand tu veux" pour une prochaine ballade ! Faut assumer.

Vraiment.

Les "on" et le reste, c'est pour Adeline et Thomas.
Pour mon Stéphaninounichet de Matthias, aussi.

Dimanche 20 avril 2008 à 10:36

Je rêve en vers parce qu'hier après-midi j'ai lu Cyrano de Bergerac. Faut pas croire j'avais trouvé d'excellentes tirades. Pour s'en souvenir c'est autre chose. M'enfin. Je me fais réveiller à 9h00, pile, par ma mère en train de chanter Mistral Gagnant. La brume qui était tombée sur la plaine durant la nuit est complètement dissipée et nous avons à nouveau le droit au soleil et au ciel bleu, ou presque. J'ai dormi un peu moins de quatre heures cette nuit. Au petit-déjeuner croissant, seule face à la fenêtre de la cuisine. Ce matin la maison est habitée par les grandes chansons françaises : du Brel, du Piaf, Barbara (bien sûr) et tellement d'autres. De onze à cinquante ans, en passant par seize et quarante-quatre. C'est presque rassurant. Sourire. La fête de Quentin... Ah ! Elle va être fameuse celle là !

Vendredi 18 avril 2008 à 0:17

Si, si. Je trouve ça grave. Je parle ici assez souvent de Bee, d'Anne, et de Mylène. Il manque quelqu'un. Oui, oui. Il manque quelqu'un. Qui ? Ma comparse machiavélique bien sûr... Ladypirate. Alors ? Pourquoi ne pas parler d'elle ? Chounette accomplie c'est elle est arrivée sur mon blog. Depuis ce sont des tags, des commentaires qui ont été échangés. Des sujets de conversations (... les mecs, la fac, les "amies", l'orientation, les mecs, les voyages, la musique, les mecs, à peu près...) et je trouve ça tout bonnement génial de pouvoir parler avec une fille pareille. Avec qui je peux mettre en place des salles de l'oubli, des salles de tortures, parce qu'un jour elle m'a parlé d'un bouquin que j'ai acheté dans la gare de Lille Flandres. Parce qu'elle est une très bonne raison de vouloir à nouveau aller du côté de Paris. Parce que ça a vraiment commencé un jour que je voulais aller dans le 77. Y croire du moins. Parce que ça a continué, de l'un à l'autre. Aussi. Qu'elle est toujours là. Parce que les commentaires on y répond en anglais. Parce que Death Cab For Cutie. Parce que je suis fatiguée et que ne saurai pas lui (te) rendre justice ce soir. Parce que merci. Beaucoup. Trouver une comparse machiavélique c'est vraiment rare. C'est vraiment bien. En français, en anglais et en espagnol.

Une cellule-mère. Une valentine. Une entière. Et une comparse machiavélique, donc. <3



Mardi 15 avril 2008 à 22:51


HEMON

Nous aurons d'autres soirs, Antigone.

ANTIGONE

Peut-être pas.

HEMON

Et d'autres disputes aussi. C'est plein de disputes un bonheur.

ANTIGONE

Un bonheur, oui... Ecoute, Hémon.

HEMON

Oui.

ANTIGONE

Ne ris pas ce matin. Sois grave.

HEMON

Je suis grave.

ANTIGONE

Et serre-moi. Plus fort que tu ne m'as jamais serrée. Que toute ta force s'imprime dans moi.

HEMON

Là. De toute ma force.


[...]


ANTIGONE, crie soudain, blottie contre lui.

Oh ! tu m'aimais, Hémon, tu m'aimais, tu es en es bien sûr, ce soir-là ?

HEMON, la berce doucement.

Quel soir ?

ANTIGONE

Tu es bien sûr qu'à ce bal où tu es venu me chercher dans mon coin, tu ne t'es pas trompé de jeune fille ? Tu es sûr que tu n'as jamais regretté depuis, jamais pensé, même tout au fond de toi, même une fois, que tu aurais plutôt dû demander Ismène ?

HEMON

Idiote !

ANTIGONE

Tu m'aimes, n'est ce pas ? Tu m'aimes comme une femme ? Tes bras qui me serrent ne mentent pas ? Tes grandes mains posées sur mon dos ne mentent pas, ni ton odeur, ni ce bon chaud, ni cette grande confiance qui m'inonde quand j'ai la tête au creux de ton cou ?

[...]

Quand tu penses que je serai à toi, est-ce que tu sens au milieu de toi comme un grand trou qui se creuse, comme quelque chose qui meurt ?

HEMON

Oui, Antigone.

ANTIGONE

Moi, je me sens comme ça.


[Il y a de ces mots qui ne s'oublient pas. Et le livre peut prendre toute la flotte du monde, et le orange peut passer doucement, la couverture peut bien être défoncée par des coups de crayons, des ciseaux, le bouquin roulé dans un sac ou balancé contre les murs, il est de ce mots qui restent à l'intérieur.]

Mardi 15 avril 2008 à 15:03

Si vous avez le temps, et si vous ne l'avez pas prenez-le, allez lire cet article, de cette demoiselle. Ecoutez avec ça l'Absente de Yann Tiersen (merci) et tentez de comprendre un peu. Ça remue.

Après vous êtes autorisés à retourner vivre.



Ensuite, advienne que pourra.

Lundi 14 avril 2008 à 17:17



Ahhh Kiki. T'as plus que jamais raison toi.
[Kiki, ou les chroniques d'un anti-héros, geek, no-life, ordinaire...]

Vendredi 11 avril 2008 à 16:27

Je m'en contrefous qu'il soit un connard. C'est simple : je suis amoureuse de sa voix. Pas de lui. Lui c'est juste un excellent pote. Un pote qui couvre je ne sais pas combien d'octaves. Un pote qui est capable de m'expliquer en anglais une grosse partie de mon programme d'éco. Un pote que j'aurais jamais du connaître si j'avais pas été si culottée. Un pote qui chante, qui danse, qui joue la comédie. Même quand il est bourré il le fait bien. Un pote qui peut passer plus d'une heure à chanter et à me jouer du piano. Parce que d'abord. Qui me fait redécouvrir Coldplay. Un ami qui fête son anniversaire aujourd'hui. Qui a des cerfs-volants plein la tête et un passé à faire taire tous les miens. Bon anniversaire.



Geert, Maarten, Martjin, Ruud.

Mercredi 9 avril 2008 à 17:12

Pour lire les mots d'une vraie Princesse.




Tellement qu'on ne peut la commenter.

Lundi 31 mars 2008 à 17:43

"Si écrire, agir, c'est une manifestation de l'orgueil, ne pas vouloir écrire, agir, faire, ce peut être encore de l'orgueil."

Eugène Ionesco.

Vendredi 28 mars 2008 à 18:02

Mademoiselle Lejeune. Mademoiselle Perrine Lejeune.
Un joli bébé, la première fille dans une fratrie qui compte déjà trois solides garçons. Dont un avec que je connais depuis mon CP. Un que je m'amusais à taper. Avec qui j'allais combattre "dans le coin ! dans le coin !" sur le tatami...

Promis demoiselle, quand l'heure viendra, je vous apprendrai à taper vos frère. Gentiment, cela va de soi (ou pas). Pour l'instant j'ai juste admiré votre photo sur le portable de votre frère Alexis, et j'ai un énorme sourire sur les lèvres. J'adore cette famille. Même si je ne la connais plus tant que ça.

Il faudrait accompagner cela d'un morceau de Schubert.

Jeudi 27 mars 2008 à 9:59

FIN DES TPE...

YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH

(un cri qui continue de l'autre côté de l'écran...)

Lundi 24 mars 2008 à 21:40

Et n'oubliez pas :
 GMS it's god for you !

Lundi 24 mars 2008 à 17:47

Voilà. On y est. Ca passe vite. Mine de rien. Un Lundi 24 mars. Il est déjà 17h35. Ca passe vite, oui. Trop vite. Ou pas assez. Ca dépend. Et le 24 mars c'est l'anniversaire de cette demoiselle. Cette demoiselle qui est géniale, jolie, et généreuse (pour maintenant j'aurai du continuer avec [g], la flemme) ... Tellement généreuse que ça pourrait la perdre, surtout par rapport aux gens. Je le dis parce que c'est vrai. Mais les gens comme ça sont rares, il ne faut pas changer. N'est-ce pas Anne ? Et cet été nous n'aurons pas nos Fous Chantants... Ça n'est que partie remise. D'ailleurs. Il va falloir que je te vois sur les planches, un de ces jours. Sinon, tu sais déjà ce que je pense de toi. Si pas, je me ferais un plaisir de le répéter. Je me souviens d'un sms de ma Val me disant qu'elle t'avait donné mon numéro... Je n'avais pas vraiment compris pourquoi.
Pourquoi ce numéro ? Encore aujourd'hui. C'est très bien comme ça. Au final.
Mademoiselle extraordinaire, mademoiselle Léa, mademoiselle rêve, mademoiselle qui vivra verra, mademoiselle qui a même réussi à me faire aimer à nouveau cet adage, mademoiselle finesse et mademoiselle plus jeune que moi mais qu'est ce qu'on s'en fout, mademoiselle  danse, mademoiselle théâtre, mademoiselle choeur, mademoiselle famille, mademoiselle Anne, mademoiselle mon amie, simplement, je vous souhaite un très bel anniversaire.

Samedi 22 mars 2008 à 14:51



Ne pas en crever de fierté.
[Je déteste avoir à sourire sur les photos, alors elle va pas rester longtemps.
Je préviens.]

Mercredi 19 mars 2008 à 13:54

Elle est...

Bee.

Ma Valentine.

Jamais.

Pour personne.

Du Rimbaud.

Du dessin.

De la musique.

Des étoiles.

Des sourires.

Des touts.

118 jours.

Et un très bel anniversaire...

Rien de plus parce qu'on se répète. Mais elle le sait.

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