Samedi 19 mai 2007 à 0:17
Le théâtre, ce soir, aujourd'hui, cette semaine, ce fut génial, super, grandiose etc.. etc...
Déjà, j'ai pu parler aux gens avec qui ne je parlais pas (Charles, Pierre, Mathieu), j'ai revu des anciens (Fazou, Richard, le Derv...) rencontré de nouvelles personnes (Joker !), d'autre part j'ai passé de très bon moments, entre les costumes, dont la mise en place du "rembourrage" de Julie, les maquillage, même si je ne devais pas le faire à la base : "Jamais une fille n'a été aussi douce avec moi." Made in Pierre XD. Pour les esprits pervers qui se promènent par ici, et je les sais nombreux, je lui étalais juste du fond de teint sur le visage !
Quant à la réprésentation, je dois le dire, en toute modestie, on a vraiment assuré. La salle était comble, les spectateurs ravis, les acteurs stressés, dégoulinants, et autres choses sympathiques qui prouvent qu'une représentation est belle et bien réussie.
De mon côté je ne me plains pas, j'ai zappé une phrase du texte, mais elle n'était pas importante. Pour que je me permette de dire ça il faut savoir que j'avais un texte qui faisait trois pages A4 dont un monologue qui prenait à lui seul une page !
Sensation enivrante que celle des applaudissements, du salut. Les félicitations, Jeanne, Thomas, Simon, les profs.
Vraiment. C'est fini. Ouf. On recommence quand ?
Jeudi 17 mai 2007 à 22:48
Et puis des pots de peintures et un grand moment de défoulement.
"Oh la belle jaune !"
"Tu crois qu'en sautant sur le bidon ??"
"Faites gaffe que je vise mal ! "
"On oublie pas de bien vider les pots avec de l'eau !"
Vlan, vlan et vlan, sur le mur !
mur, briques, peinture, jaunes.
Mouais il faut que j'aille me coucher là.
Mardi 15 mai 2007 à 21:49
Autant dire que j'adore.
Les lumières de bars inconnus, l'ambiance, successivement bruyante, festive, branchée, feutrée.
C'est un bar à la mode, le Delta. Beaucoup de Français sont déjà à la terasse.
On commande, on les rejoint, on parle, on chante, on s'éclate quoi. Je m'empresse de regarder tout à la fois pour graver les images dans mon esprit. Victor qui revient avec cinq vodkas-red bulles, Denis et Rachel, à deux sur une chaise, Guilhem qui me redonne son classement à ma demande, Simon avec sa Kriek...
Ensuite le retour, la marche à deux dans les rues, et les discussions arrosées. Pfiu. Ca me manque. C'était il y a trois jours. Et on en revient toujours à la même chose.
Lundi 14 mai 2007 à 19:36
J'ai déjà parlé ici du Petit Prince, de lui, de ses chansons, du groupe dans lequel il évolue désormais etc.. Je recommence aujourd'hui parce que son groupe avance (bien, très bien) et il leur faut donc un programmeur pour créer un site... Vous pouvez avoir toutes les informations sur son blog. (Cliquez sur les liens dont cet article est rempli !) et même si vous êtes une quiche en informatique, allez-y quand même : cela vaut le détour !
Jeudi 10 mai 2007 à 21:54
Les briques jaunes
Colombe
Ladypirate
Mise à nue
Majupri
Fleur des champs
Silverwolf
Gamine
Histoire de fille
Et alors
Café de gare
Ciel VS nuage
Rêver de demain
Rue des orangers
Rémi
Le journal de Sophie
C'est déjà bien vous ne trouvez pas ?
Mot de passe invité : soñar.
Vous finirez pas le connaître !
Dimanche 6 mai 2007 à 16:07
Mardi 24 avril 2007 à 11:39
Lundi 9 avril 2007 à 0:24
Ps: désolé pour la taille de l'article (L'auteur anonyme)
Ps 2: Si vous vous savez faire un article correctement, le mot de passe invité est toujours le même (Mymy)
Vendredi 6 avril 2007 à 22:22
Je peux ne pas les connaître et vouloir m'émerveiller devant leur bonheur, y contribuer dans la mesure du possible et, s'il vous plaît, pouvoir admirer ces sourires, francs, sincères et qui me donnent sans que je le sache vraiment, l'envie d'être heureuse.
Ils ne le sont pourtant pas à tous les coups.
Jeudi 5 avril 2007 à 22:22
Vendredi 30 mars 2007 à 21:35
Elle ne m'en voudront pas (trop) je pense (j'espère)
Mais c'était pour vous montrer Caroline et Hélène, qui au lieu de faire le cours de chant avec moi aux collégiens (votre serviteuse était en train d'apprendre son texte de théâtre) se sont senties partir pour un "Encore du temps", un peu (beaucoup) à l'arrache, avec le MP3 dans les oreilles c'est sur qu'on a vu mieux, surtout quand elles le font à deux voix XD.
M'enfin on les aime comme ça, que voulez-vous.
Mercredi 21 mars 2007 à 18:28
J'avais la flemme de faire l'article moi-même. Et puis peur d'oublier quelque chose. A préciser que cette grande danseuse à découvert la danse contemporaine grace à Carolyn Carlson dont j'ai déjà parlé ici.
"Une femme qui danse" : portrait de Marie-Claude Pietragalla
Il y a des artistes qui semblent réunir tous les dons, et Marie-Claude Pietragalla est sans doute de ceux-là : ex-danseuse étoile de l'Opéra de Paris, interprète des plus grands chorégraphes contemporains, elle est aussi chorégraphe et directrice de ballet. Une personnalité forte, exigeante et passionnée.
Dans Signes, de
Carolyn Carlson (2000).
Actrice, danseuse et chorégraphe, d'origine Corse née en 1963.
En 1981, à l'issue du traditionnel concours annuel, elle accède au rang de « coryphée ». L'année suivante, elle devient « sujet ». Le chorégraphe Maurice Béjart n'hésite pas à lui confier Bakhi III où l'on remarque sa silhouette élancée, son port de tête altier, son énergie à ciseler dans l'espace les mouvements anguleux. En 1984, avec son partenaire Wilfried Romoli, elle interprète ce pas de deux au Concours international de danse de Paris ; ils remportent sur la scène du Théâtre des Champs-Elysées le premier grand prix par couple et la médaille de vermeil.
En 1988, Marie-Claude Pietragalla est nommée « première danseuse ». Cette année-là, on la remarque dans In the Middle Somewhat Elevated, le ballet virtuose de William Forsythe, dans la mise en scène du Martyre de saint Sébastien, que signe Bob Wilson, et dans le personnage d'Esmeralda, qui semble avoir été écrit pour elle par Roland Petit. Dans ce dernier ballet, la danseuse fait valoir des qualités dramatiques naturelles alliées à une rare intelligence de la scène.
En 1989, le jury de l'Association pour le rayonnement de l'Opéra de Paris (AROP) lui accorde son prix annuel, destiné à récompenser un jeune talent. Le 22 décembre 1990 marque une date importante dans la carrière de la danseuse. A l'issue d'une représentation de Don Quichotte dans la version de Rudolf Noureev, elle reçoit le titre tant convoité de « danseuse étoile ».
En 1986 elle crée Arepo, de Maurice Béjart et Fantasia Semplice, de Dominique Bagouet, un jeune chorégraphe trop tôt disparu. Suivent Leçons de ténèbres, de Maguy Marin et Magnificat, de John Neumeier (1987), TanzSchul, de Jiri Kylian (1989), Points in Space, de Merce Cunningham et L'Histoire de Manon, de Kenneth Mac Millan, Dances at a Gathering, de Jerome Robbins (1991), Giselle, dans la version iconoclaste de Mats Ek (1993).
Aucun des plus grands chorégraphes actuels n'échappe à la curiosité de l'artiste. L'année 1993 marque une importante rencontre pour Pietra : celle de Carolyn Carlson, grande prêtresse de la danse moderne en France qui crée à son intention le surprenant Don't Look Back, sur une musique de René Aubry. Carolyn Carlson fera également appel à la danseuse étoile en 1997 lorsqu'elle sera invitée à monter Signes, pour le Ballet de l'Opéra, dans la scénographie du peintre Olivier Debré. Artiste polyvalente, Pietragalla participe aussi bien à la recréation d'un ballet de Nijinski Till Eulenspiegel (1994) qu'à la nouvelle présentation des Variations d'Ulysse (1995), la pièce qui fit connaître, au début des années 80, un tout jeune chorégraphe nommé Jean-Claude Galotta.
Interprète de grand talent, la danseuse se risque à la chorégraphie dès 1988 avec un premier essai intitulé Boromabile sur une musique de Hugues Le Bars, connu pour ses collaborations avec Maurice Béjart. D'origine corse, Marie-Claude Pietragalla imagine justement Corsica (1996), une œuvre dramatique inspirée de la culture de l'île de Beauté, et elle fait appel au compositeur Petru Guelfucci pour le support musical.
En 1998, Marie-Claude Pietragalla prend tous les risques. Elle accepte de quitter le Ballet de l'Opéra de Paris pour prendre la direction du Ballet national de Marseille ainsi que de l'Ecole nationale supérieure de danse. Elle a la lourde tâche de succéder à son fondateur, Roland Petit, et entend mener une politique artistique toute différente. Elle inscrit au répertoire des classiques, mais dans des versions rajeunies, modernisées. C'est ainsi que Rudi Van Dantzig présente son Roméo et Juliette et que Eric Quilleré, premier danseur à l'Opéra de Paris, se voit donner une chance de monter une version toute personnelle de Giselle. A leurs côtés, on relève la présence de chorégraphes comme Paul Taylor, mais aussi Claude Brumachon et Maryse Delente avec lesquels Marie-Claude Pietragalla entend mener une collaboration de longue haleine.
Monstre de travail, Marie-Claude Pietragalla a écrit une Légende de la danse et rassemblé, sous le titre Ecrire la danse, une série de textes de grands auteurs inspirés par l'art chorégraphique. Sa devise : « Quand on veut fortement, constamment, on réussit toujours. » Elle l'a tout simplement empruntée à un certain Bonaparte.
Jean-Claude Diénis Journaliste au mensuel Danser
Je veux voir un de ses spectacles. Même si ce n'est pas mon répertoire de prédilection.. Tout de même.
Samedi 17 mars 2007 à 17:27
Petit récit de la journée, riche en émotions..
Première surprise en arrivant ce matin à 8h30 devant l'IEP, (alors qu'il se décideront à ouvrir les portes à 9h au final ><) le quartier est comme qui dirait un peu "bouboule" mais un club est mitoyen des bâtiments de l'institut.. Quant aux "voisins" d'en face, une école de danse et une école de chant. Bon alors là je dis chapeau. Plus tard dans la journée, je parlais à des premières années (il faut toujours passer des feuilles à votre voisin d'amphi, ça peut servir) et j'apprends qu'une amie du jeune homme, ma foi, fort sympathique et musicien par dessus le marché que j'ai rencontré, suit des cours de chant dans l'école dans face. La chance me sourit décidement ; il m'offre d'aller déjeuner avec eux. Autorisation soutirée auprès de ma mère me voilà partie à la rencontre de cette Cléa dont j'entends parler depuis quelques heures et qu'il me tarde de rencontrer...
Et là je crois que vraiment j'étais ce matin vernie de chez vernie, je découvre une fille très ouverte, prête à répondre à mes questions, à mes petites curiosités, au demeurant extremement agréable et, comble de ma stupéfaction, qui me ressemble ! Et pour que je dise ça en une demi-journée passée en sa compagnie, je vous prie de croire que c'est vrai. Je suis repartie avec un CD gravé et un morceau de nappe surchargé d'horaires, d'adresses et de numéros !!
Impression générale : et je vais encore devoir attendre 3 ans dans le meilleur des cas pour intégrer une IEP. Argh.
Bande-son : je ne sais pas exactement quelle chanteuse de soul que Cléa avait enregistrée sur son CD.
Jeudi 15 mars 2007 à 22:10
Jeudi 15 mars 2007 à 21:42
Lundi 5 mars 2007 à 14:26
Egale à elle-même.
Elle ** est au piano/clavier.
Encore meilleure qu'avant.
So magic.
L'autre** à la guitare.
On rêve.
Dimanche 25 février 2007 à 15:20
Elle dessine. Elle peste contre le TGV "Il bouge de trop il m'a fait louper mon trait", elle s'amuse à tamponner, ou à tenter d'écouter de la musique sur une réplique-jouet d'ipod, visiblement cassée, moi assise sur le fauteil en face sa tante, je l'observe. Elle me fait sourire, rire aussi. Les voyages passent parfois très vite, pour peu que l'on soit bien accompagné. Elle m'a prêté ses écouteurs, qui, eux, marchent. Je lui propose d'écouter deux trois chansons. Je repars. Elle me fait des grands signes dans le couloir, et moi un coucou de la main et un clin d'oeil.
En souvenir d'une autre grande daduche. Qui avait 17 ans alors que j'en avais 9.
Lundi 12 février 2007 à 22:24
Ce quelqu'un on peut vouloir lui décocher des sourires. Juste avec 5 mots, une virgule et deux points, oublier tous les soucis qui vous tourne dans la tête pour être heureux de voir une attention. Et quelle attention. On ne connaît pas forcément les détails, mais ce qu'on a nous suffit amplement. A partir de là il n'y a plus qu'à. Alors on tisse là-dessus, avec des week-ends trop courts, avec une poste trop longue, avec des maladies trop présentes, des coeurs trop meutris, des mots trop chargés de douleur mais si vrais, si bons à lire, parce qu'ils veulent dire quelque chose, des photos si pleines de sentiments, des chansons si pleines de sens et de sentiments, avec des sourires si "tu-es-en-train-de-me-remonter-en-flèche-là-et-tu-sais-même-pas-pourquoi". Après tout le pourquoi c'est ce qui fait mal. On a le comment, le reste on s'en fiche. Je ne sais pas pourquoi je me sens si proche de toi. Et je m'en fiche. Je constate. Et ce que je constate me plait.
J'ai pensé à toi en écoutant la chanson Be my princess. Alors voilà. Je voulais la mettre mais elle ne marche pas ce soir. Je voulais aussi une image. Je suis retombée sur un dessin. Je l'ai piqué par un moyen détourné, je me suis rendue compte de ce qui était noté à côté. Je me dis.. wouah.
Jeudi 8 février 2007 à 22:27
Trois mots maigres et pâles, si pâles. Les sept lettres ressortaient à peine sur la blancheur des draps.
Il me semble qu'elle nous souriait, la petite phrase.
Il me semble qu'elle nous parlait :
- Je suis un peu fatiguée. Il paraît que j'ai travaillé. Il faut que je me repose.
- Allons, allons, Je t'aime, lui répondit Monsieur Henri, je te connais. Depuis le temps que tu existes. Tu es solide. Quelques jours de repos et tu seras sur pied.
Tout le monde dit et répète "Je t'aime". Il faut faire attention aux mots. Ne pas les répéter à tout bout de champ. Ni les employer à tort et à travers, les uns pour les autres, en racontant des mensonges. Autrement, les mots s'usent. Et parfois, il est trop tard pour les sauver.
La Grammaire est une chanson douce.
4ème de couverture.
Mercredi 7 février 2007 à 15:36
La demande principale : "S'il suffisait d'aimer" Celine Dion. Je n'ai jamais compris pourquoi les gens veulent que je chante ça aux mariages. Parait que c'est beau et approprié.