Mardi 31 juillet 2007 à 21:15

Il est de ces personnes que l'on croise au détour d'une réunion pour un journal de lycée, dans une troupe de théâtre. On sait donc qu'on va la côtoyer toute l'année, mais cela ne veut pas dire que cette personne deviendra notre amie.
Enfin, il y a déjà des centres d'intêrets communs, c'est bon à prendre. 
Moi ça m'est donc arrivé cette année. Le problème c'est que la fille dont je vous parler était en terminale, intelligente et déterminée à réussir. Une assez grande bosseuse à mes yeux. Bref, nous ne sous sommes pas énormément parlé. Sauf que voilà, le peu que j'en savais, je l'appréciais, et je l'admirais, aussi. De plus, toujours sympa, pas hypocrite, se souciant vraiment des gens.
De ce fait, je m'intéresse, ses démarches, ce qu'elle veut faire. Journaliste. Tiens, comme moi.
 Et PAM ! Elle lisait mon blog. S'en sont suivis quelques emails, avant la période de Bac bien sûr.
Publication des résultats : c'est l'une des premières dont je suis allée voir la mention sur internet. Mention très bien. Pas d'étonnement mais ça n'empêchait pas d'être ravie pour elle. Appel, félicitations sur un répondeur. Voilà voilà. Rien de spécial.
Avant-hier je me dis que je dois lui envoyer un nouveau mail. Hier elle m'interpelle, on parle en vitesse.
Aujourd'hui je reposte un article. Avant de faire ça, j'ai relu les commentaires qu'il avait reçu. Dont un d'elle. Aujourd'hui toujours, elle reposte un commentaire sur l'article. Lors de sa "réédition" dirons-nous. A vous de voir :



Cet article donc, pour remercier celle qui se nomme en ces lieux "ShOuks", avec qui j'ai pu passer de très bons moments cette année, mais trop courts et pas assez nombreux.
Merci aussi de me lire. D'être là.
En lui souhaitant toute la réussite qu'elle mérite et qu'elle aura, j'en suis sûre, dans ses études, son amour, sa vie.


Lundi 30 juillet 2007 à 0:04

Je viens de découvrir, parce qu'il était simplement posé sur mon bureau, un livre nommé "Histoires de lecture", édité et distribué à l'occasion de la manifestation Lire en Fête des 17, 18 et 19 Octobre 2003.
Je crois bien que je vais me sentir obligée de vous en publier une histoire par jour. C'est... L'écriture quoi. Il est 00h02 et je suis touchée comme jamais parce pouvoir qu'on certaines personnes.
Rien que ce soir,  Louchka m'a encore fait bondir de rage à l'intérieur de moi-même, juste en posant ses mots, parce qu'ils sonnent vrai, parce qu'ils appellent à quelque chose.
Demain normalement une chanson. Par envie.

Samedi 14 juillet 2007 à 22:39

Parce que je ne dois pas oublier, ça aussi, un bon nombre (bon pour moi, à vous de voir ensuite), de personnes m'a souhaité de passer de bonnes vacances. Celles avec mon père furent... Spéciales dirons-nous. Et celles à venir s'annoncent fantastiques. Mais je ne peux pas ne pas vous montrer les deux jeunes gens qui ont rendu ces vacances potables (aidés de leur soeur ? Euh, je ne suis pas convaincue par ce que je dis là), Martin et Gasper. Le premier est à moi, le second à MymY, vous êtes prévenues !



Bien entendu ces  jumeaux à partager entre deux clones sont plus beaux en vrai ; je remercie mon frère pour la nullité des photos. Et puis Martin n'a pas de lunettes normalement.



Ouais cet article est peut-être affligeant, je sais. Je revendique ce droit. D'être affligeante donc. Et puis merde quoi. Si je dois m'exiler ce sera la Hollande... Ou la Belgique, au pire.



Jeudi 5 juillet 2007 à 17:18

Avant La Haine (Romain Duris & Joanna Preiss)



Lui :
Sais-tu ma belle que les amours
Les plus brillantes ternissent
Le sale soleil du jour le jour
Les soumet au suplice

J'ai une idée inattaquable
Pour éviter l'insupportable

Avant la haine, avant les coups
De sifflet ou de fouet
Avant la peine et le dégout
Brisons-là s'il te plait

Elle :
Mais je t'embrasse et ça passe
Tu vois bien
On s'débarrasse pas de moi comme ça

Tu croyais pouvoir t'en sortir,
En me quittant sur l'air
Du grand amour qui doit mourir
Mais vois-tu je préfère
Les tempêtes de l'inéluctable
A ta petite idée minable

Avant la haine, avant les coups
De sifflet ou de fouet
Avant la peine et le dégout
Brisons-là dis-tu


Lui :
Mais tu m'embrasses et ça passe
Je vois bien
On s'débarrasse pas de toi comme ça


Lui :
Je pourrais t'éviter le pire

Elle :
Mais le meilleur est à venir

Ensemble :
Avant la haine, avant les coups
De sifflet ou de fouet
Avant la peine et le dégout


Regarder ce film à ce moment là n'est certes pas

une idée des plus brillantes.


Samedi 30 juin 2007 à 12:07



Ma Val'.
Celle dont je suis clonée.
Ma Ladypirate.
Les Fantastiques.
Tous les autres..

Mercredi 27 juin 2007 à 14:31

Pourquoi certaines plus que d'autres ? Parce que c'est un autre monde. Parce qu'elles me ressemblent plus ?  Pour des petites choses complétement bêtes mais qui font que.

En fait si vous allez chez Elle, vous lisez son dernier article, le retour d'Ella, et si vous réfléchissez un peu, si vous êtes touchés, et si et si vous ne savez plus quoi inventez, et ben vous m'avez compris.

Ella.

Mardi 26 juin 2007 à 21:08



Pour dire que c'est de ma faute.

Mardi 26 juin 2007 à 11:00

Je n'avais pas le coeur à ça, aujourd'hui non plus d'ailleurs, mais bon, il faut battre le fer tant qu'il est chaud. Hier nous fêtions le 150ème anniversaire de la première édition des Fleurs du Mal, de Charles Baudelaire. Voilà, c'est dit.

Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige,

Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir!

Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;

Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.

 extrait d' Harmonie du Soir

Lundi 25 juin 2007 à 19:39

"Est-ce que tu n'as jamais pensé alors que si c'était un être que tu aimais vraiment,qui était là, couché dans cette boîte, tu te mettrais à hurler tout d'un coup ? A leur crier de se taire ? De s'en aller ?"

Dimanche 24 juin 2007 à 22:18

Je remercie du fond du coeur Pyrus, encore et toujours fidèle au poste, à qui je dois vraiment beaucoup, MymY, ma clone qui s'est portée volontaire et bataille avec nous pour un design, et ma Clarisse adorée qui au lieu de se perdre dans des révisions de dernière minute m'a fait un autre design.
Un énorme merci à vous trois, et à Maky (elle en fait j'ai même pas besoin de raisons), "Paris en ce jour" est sauvé, "Parapluies" n'est pas loin de l'être et peut-être deux autres designs...

Et puis... Cédric, mon cerveau partagé qui a eu raison de me rappeler que l'important c'est le fond, et non pas la forme.

Pourtant je tente de faire un minimum quoi.

Ces personnes m'ont évité une belle crise ce soir, et ça c'est inestimable.


Dimanche 17 juin 2007 à 0:11

Jeune homme (trop) sérieux parlant avec une jeune fille que le sérieux ennuie (trop) :

- Et sinon vous avez des passions dans la vie ?
- Oui, je suis nymphomane.

Samedi 16 juin 2007 à 13:52

Je crois que je ne respire plus. Pas sûre, mais il y a de fortes chances.
Je me laisse porter part la musique, et surtout par sa voix, sa voix grave et chaude qui se pose là où mon coeur se cache. C'est une révélation. A un point tel que même ses respirations et ce petit bruit que l'on entend lorsqu'il rouvre la bouche, me paraissent faire partie de l'oeuvre.
J'ai envie de fermer les yeux et de laisser tout le reste s'en aller doucement, pour ne plus garder que ces notes, et ma tête sur ta poitrine...





Vendredi 15 juin 2007 à 16:34

Ce soir c'est feu de joie avec les cours de physique-chimie de l'année !


Ahhh. Si j'étais une fille normale.

Jeudi 14 juin 2007 à 23:28

OK Pyrus. Tu es mon idôle.

Jeudi 14 juin 2007 à 14:32

Je ne peux même plus danser comme je l'entends : mes demi-pointes ont mystérieusement disparues. Par un heureux hasard j'avais décidé de planquer mes vieux chaussons de jazz ailleurs. Mais bon, il faut comparer ce qui est comparable… >_<

D'la merde, j'arriverai tout de même à me faire une choré pour cet été qui n'arrive décidément pas assez vite.

Tout ce rien pour vous faire découvrir ou redécouvrir quelques morceaux, un groupe par la même occasion : Explosion in the Sky





Mardi 12 juin 2007 à 23:50

J'ose toujours Pyrus... J'ose toujours.



Vendredi 8 juin 2007 à 17:32

Mon papa, il faut pas croire, il est nul à la moto.
C'est pour ça que je me souviens de longue promenade en forêt avec la grosse BMW de la police.
C'est pour ça que je me souviens de la vitesse et de mes cheveux qui volaient partout, en dehors et en dedans du casque.
C'est pour ça que je me souviens de la dame qui lui a foncé dessus alors qu'il traversait un point.
C'est pour ça que je me souviens de l'hôpital, avec l'odeur de la maladie et du produit aseptisant.
C'est pour ça que je me souviens de la vente de sa première moto. Et que je pensais même qu'il allait pleurer. C'est  fort pourtant mon papa.

Hier il a gagné un rallye moto CRS. 3ème à la gym-canaux, premier à la course et premier au classement. Mais faut pas croire, il est nul mon papa.






Mercredi 6 juin 2007 à 14:01

Des fois qu'il aurait survécu.
Je dis encore, Attendez-moi j'arrive.
Faudrait crier au secours.
Crier très fort. T'es pas bien, si quelqu'un
s'amenait. Gueuler. Promettre d'être sage. Avec
des sanglots. Et des Maman maman.
  J'ai passé l'âge.

Après.

Dimanche 3 juin 2007 à 21:28



Je pense à Amélie Nothom et sa Biographie de la Faim. Sa manière de parler de New York. J'aimerais la citer, là, ici, maintenant. Mais j'ai la flemme de monter prendre le livre dans ma chambre. Et puis, c'est risqué. Alors, juste, ça ressemblait à : "Extasie toi ou crève. Le flingue sur la tempe." Un truc du genre.
Après,  d'Annie Saumont. Lis ou crève. J'ai préféré lire.

Samedi 19 mai 2007 à 21:38



J'aime ce livre qu'on m'a offert alors que j'étais en sixième.
C'est une collection "Junior", à partir de 10-11 ans mais autant pour certains livres la tranche d'âge est sous-estimée, autant pour celui là elle est surestimée. Je mets au défi n'importe quel enfant de 11 ans de lire ce livre et de comprendre l'intrigue de bout en bout.
Ca fait donc 5 ans que je relis ce livre et j'y trouve encore pas mal de surprises.
Vraiment si vous en avez l'occasion et que vous aimez les polars, lisez le Parfum de la Dame en noir. C'est juste agréable et la narration, assez particulière donne une touche original, peut-être prise de tête.
Il faut aimer pour sur. On ne peut pas savoir si on aime si on n'essaye pas d'autre part.
Voilà.

Faudrait même que je pense à lire "Le Mystère de la Chambre Jaune", qui précède cet épisode là. Depuis le temps. Et puis, j'adore cette couverture, le titre aussi.

Demain je suis à Paris.
Ce sera sans nouvelles photos puisque je n'ai pas récupéré mon APN.
Flemme quand tu nous tiens.

Ecouter : "Not going anywhere" ou "Ending Song",
Keren Ann.


<< Page précédente | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | Page suivante >>

Créer un podcast