Dimanche 25 février 2007 à 21:39

Dès que je suis de retour je fais mon maximum. Et il sera scotché. Au double face. Non pire. Collé. A l'extra forte, UHU n'aura qu'a bien se tenir.

Dimanche 25 février 2007 à 21:00

Je me sens toute faible. Pas assez courageuse pour affronter ce que je vois me foncer dessus. Cette semaine il n'y aura pas d'ordinateur. Argh. Pas de portable pour garder un peu le contact non plus...
Donnez moi une corde.

Et ma Valentine, qui m'a déjà manquée comme pas possible alors qu'on avait nos portables cette semaine, qu'est ce que cela va être à partir de demain ? Moi je veux lui crever les joues de bisous par ondes radio, ça ne va pas être possible. Vous le ferez pour moi pas vrai ?

Et Toi*, qui me fait peur. J'ai peur pour toi, tu sembles ne plus vouloir y croire. Ouvre donc les yeux ! Tu es doué, tu n'as pas besoin de moi pour l'être. Je me répète puisque tu ne m'as pas répondu ; si tu fous en l'air ta chance, je retourne à Paris juste pour te décoller la tête, ça va te remettre les idées en place.

Et TOI !! (Oui je suis particulièrement énervée ce soir) tu ne réponds pas aux sms, tu ne donnes pas un signe de vie de la journée, alors, peut-être que le crédit a été épuisé, peut-être que la journée a été utilisée pour faire des choses bien plus intéressantes, auquel cas ce que je suis en train d'écrire là est totalement déplacé, mais en sachant que je pars en Belgique demain, et ce pour une semaine, qu'on a établi hier soir le record toutes catégories confondues de nombre de blancs dans une conversation, qu'on risque de pas pouvoir se parler avant longtemps, alors, excusez du peu j'ai légérement les boules.

Tout en sachant que le Toi n°1 , va me faire encore plus peur parce qu'il aura très mal pris la présence du Toi n°2 dans cet article, que je vais culpabiliser, pas beaucoup dormir ce soir, ben je dis MERDE !
Je vais chanter et puis parler avec Bee. Comme je l'ai déjà dit, les autres.. Pfiiu.

Dimanche 25 février 2007 à 17:06


"Emmène-moi où tu voudras
Mais plus dans mes songes s'il te plait laisse-les moi, laisse-les moi"

Debout Sur Le Zinc
La lettre perdue

J'avais vraiment raison, concernant les rêves, connus d'une manière ou d'une autre et qu'on dépasse.
C'était au début. J'ai songé ensuite qu'ils pouvaient tourner au cauchemar. Maintenant cette chanson. Arrêter de rêver, cela me ferait le plus grand bien, c'est vrai. Je ne contrôle pas mes rêves. Et merde.
Tu chantes vraiment bien. Pourquoi ne me l'avoir jamais dit ? Tu sais que j'ai moi aussi un pincement au coeur quand je repense à tout cela. Un pincement.. C'est bien en dessous de la réalitée.
Il aurait fallu un ailleurs, et un autre temps.


~ Les mots se font rares pour regretter les fragments d'une illusion.
Il aurait été bon de croire à une autre façon.
Les ombres ne cachent pas les blessures
Tes ondes rendent juste nos vies plus dures.
Cristallise les souvenirs du passé
Les envols d'hier ne me font plus rêver ~

La demoiselle qui vous parle.
Nulle part.

Dimanche 25 février 2007 à 15:31

Pour ne pas changer les bonnes vieilles habitudes,
voici le mot de passe invité (ouais encore )
soñar

Dimanche 25 février 2007 à 15:20

Son pendentif est un C. Elle s'appelle Célia j'en suis persuadée. Effectivement elle s'appelle Célia. Elle est jolie comme un coeur. Un légérement typée méditérranéenne, des cheveux noirs agrémentés d'une mèche chatain clair qu'elle passe derrière son oreille, un peu nez aplati sur le bout, une grande bouche à moins que ses lèvres ne paraissent ainsi que parce qu'elles sont constamment étirées en un sourire ? Elle a des fossettes et les joues un peu rouges, ses yeux sont marron, très foncés, noir je crois.
Elle dessine. Elle peste contre le TGV "Il bouge de trop il m'a fait louper mon trait", elle s'amuse à tamponner, ou à tenter d'écouter de la musique sur une réplique-jouet d'ipod, visiblement cassée, moi assise sur le fauteil en face sa tante, je l'observe. Elle me fait sourire, rire aussi. Les voyages passent parfois très vite, pour peu que l'on soit bien accompagné. Elle m'a prêté ses écouteurs, qui, eux, marchent. Je lui propose d'écouter deux trois chansons. Je repars. Elle me fait des grands signes dans le couloir, et moi un coucou de la main et un clin d'oeil.

En souvenir d'une autre grande daduche. Qui avait 17 ans alors que j'en avais 9.

Dimanche 25 février 2007 à 15:05

Elle s'apprête à vivre une très belle journée. Très pleine, remplie quoi. C'est peut-être indigne mais elle n'y pense pas. 
Ce sont quelques photos. Ce sont 60€ envolés en une journée. Deux images. Des sourires. Ce sont 4 fils de laine tissés à mon poignet, on s'est fait plumer et alors, c'était bien fait, il n'empêche qu'il en reste un voeu, pour de vrai. C'est bête n'est ce pas ? Mais quand je tourne une page de mon carnet pour revenir en arrière, je vois ceci "Je ne veux pas penser à eux, la chanson finit bien."




Les gens sont étranges aujourd'hui. J'ai peur que cela finisse mal.

Vendredi 23 février 2007 à 21:12

Les gens m'énervent à parler d'Ingrid Bétancourt en sortant des conneries bien plus grosses qu'eux.



Alors, Ingrid Bétancourt est une ancienne candidate à l'election présidentielle colombienne, qui, comme vous le savez est emprisonnée depuis 5 ans exactement aujourd'hui par la milice des FARC. Comme je n'ai pas le temps de faire un article correctement rédigé ce soir, je vous copie/colle, le début de son article Wikipédia, et je vous renvoie à plusieurs liens.

Ingrid Betancourt est née à Bogotà en Colombie, le 25 décembre 1961 . Fille d'un ancien ministre de l'Éducation et d'une ancienne sénatrice, elle a vécu la majeure partie de son enfance à l'étranger et surtout en France, où elle étudie à l'IEP (Sciences Po) , où enseigne alors Dominique de Villepin (notre actuel Premier Ministre, si si il y est encore ) avec qui elle se lie d'amitié. Française par son premier mariage, elle milite pour les Droits de l'Homme et contre l'injustice, la corruption et les narcotrafiquants. Elle est otage des FARC depuis le 23 février 2002.


Vendredi 23 février 2007 à 20:55




Elle est vraiment magnifique.
Je ne sais pas vraiment d'où elle vient.
Mais je la connais presque par coeur.

Vendredi 23 février 2007 à 20:27



"I Will Follow You Into The Dark"

Love of mine some day you will die
But I'll be close behind
I'll follow you into the dark

No blinding light or tunnels to gates of white
Just our hands clasped so tight
Waiting for the hint of a spark
If Heaven and Hell decide
That they both are satisfied
Illuminate the NOs on their vacancy signs

If there's no one beside you
When your soul embarks
Then I'll follow you into the dark

In Catholic school as vicious as Roman rule
I got my knuckles bruised by a lady in black
And I held my tongue as she told me
"Son fear is the heart of love"
So I never went back

If Heaven and Hell decide
That they both are satisfied
Illuminate the NOs on their vacancy signs

If there's no one beside you
When your soul embarks
Then I'll follow you into the dark

You and me have seen everything to see
From Bangkok to Calgary
And the soles of your shoes are all worn down
The time for sleep is now
It's nothing to cry about
Cause we'll hold each other soon
The blackest of rooms

If Heaven and Hell decide
That they both are satisfied
Illuminate the NOs on their vacancy signs

If there's no one beside you
When your soul embarks
Then I'll follow you into the dark
Then I'll follow you into the dark


Je vais chanter cette chanson là pour un Monsieur. Avec un peu de chance j'arriverai à faire quelque chose de correct ce soir. Je programmerai donc sa mise en ligne (je parle toujours en étant le 23/02). Si ce Monsieur ne se reconnait pas, je l'enquiquine jusqu'à ce que mort s'en suive.

] Mon oeil [

Vendredi 23 février 2007 à 20:20

Ce jour là j'avais refait une lecture intensive du blog de Distantwaves, de Lucas, de Bee, de Laurine et de Fleur Eteinte. Parce qu'ils ont le don. Dans ces jours là. Vraiment.
Cette.. Chose a deux sens, trois, quatre, sens de lecture. Un recto et un verso. Je ne peux vous montrer le recto.
Elle a été commencée le 17, complétée dans sa majeure partie le 20, avec l'aide de Kiki. (dont vous allez entendre à nouveau parler d'ici peu) et saturée ce soir (le 23/02).
Voilà. Mon univers.

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Rassurez-vous. Je n'écris pas réellement comme cela.

Jeudi 22 février 2007 à 18:42

J'ai recommencé. Je ne sai pas si je m'en veux ou non. On verra bien. Demain une pile. Et le reste. De toutes manières je vais avoir un passage à vide. Durant une semaine. Il* me manque. Pas toi l'autre. Arf. Vous êtes tous des boulets.




Un éclat métallique. Là, ne bouge plus. Juste au fond de ses yeux. Regarde bien ! Tu vas le trouver. Il va falloir stopper son enchaînement de victoires. Elle est allée loin, elle est passée sur mon terrain, et je le maîtrise totalement, son trop plein de confiance en elle va la perdre. Avant qu'elle ne découvre contre qui elle se bat j'aurai réussi depuis longtemps . Quelle idiote. Ne pas jouer sur ce tableau c'était à la fois se préserver et m'enlever un avantage considérable.  J'ai presque peur de réussir si facilement que je n'en retirerai rien. Le jeu est serré.
Je tente tout de même.
Au bluff ou non, je n'ai pas grand chose à perdre.
Restez simples spectateurs ; les mensonges, les découvertes, les coups bas, les attentions, sont désormais entre nous deux. Uniquement entre nous deux.
Cela devait tourner mal. C'était pas très futé en même temps : porter ce prénom... On a pas idée.
Je ne peux pas encore poser mon premier argument. Mais dès que je commencerai, il deviendra impossible de m'arrêter.

Mercredi 21 février 2007 à 20:56

Parce que d'abord. Je suis de bonne humeur. Il ne me faut pas grand chose.
Une après-midi à Valenciennes avec des amis. Environ deux heures de "j'ai envie de çaaaa" à la Fnac. Une sortie de la Fnac avec un sachet contenant (enfin) Paris Je t'Aime, et non pas Garçon d'honneur d'Alex Beaupain (ils ne l'avaient pas) mais Promesses, de DSLZ.
Les autres..

Mercredi 21 février 2007 à 14:15

Emmène-moi où tu voudras
Mais plus dans mes songes s'il te plait laisse-les moi, laisse-les moi
L'aurore se fait sombre
À mes réveils j'ai la gorge qui se serre et pourtant
J'ai passé le temps du deuil
Les bras ouverts à la félicité
Le coeur prêt à effeuiller les pétales
Mais nulle part, non nulle part où aller, où me poser

Quel siècle est-il à ta montre
As-tu seulement vu passer mon absence et mes monstres
Saigne-tu encore
Tu parles si peu ici fais-moi signe au réel
J'ai des rêves au bout des doigts
Des clefs pour libérer nos voeux secrets
Des odes et des symphonies mais pas l'envie
De claquer des doigts pour une autre que toi

Laisse-moi mes rêves, laisse-les moi
Retire tes fantômes de mes draps
Et disparaît à jamais, à jamais

Évidemment je me perds
À la frontière entre terre et paradis, tu es
La lettre perdue
De celle qui termine les guerres, perdue au grès du vent, pourtant
On peut lire la bonne adresse
Tu parles d'ultimatum et de détresses
De clef sans serrure, de coeur qui cogne
Mais tout ça dans les mains de quelqu'un qui ne comprend pas

Laisse-moi mes rêves, laisse-les moi
Retire tes fantômes de mes draps
Et disparaît à jamais, à jamais.


Et quand ma Valentine reviendra, il va falloir qu' Elle* m'envoit cette chanson. D'abord. Je l'aime Elle*. Et puis c'est décidé. Les autres. Pfiuuu !



Mardi 20 février 2007 à 22:10

En tenue de soirée : pantalon de jazz noir, débardeur noir, trop grand, pull noir, trop court, de la musique, de l'eau, ou autre chose, elle ne demande plus rien, elle ne cherche plus rien.
C'est "je". Je dois apprendre à être honnête avec moi même. C'est moi. Je ris seule. Moi. Si je savais déjà qui est ce "moi". Et ce flot interminable de conneries que je peux débiter. Je trouve ça impressionnant. Je me suis persuadée de tout. Comme résultat on a vu mieux. Croyez ce que vous voulez. Je ne suis pas une attraction. Si cela continue j'abandonne. Je ne garderai que deux choses : un peu de musique dans mes oreilles et la volonté de réussir. J'apprends à être patiente, comme elle me l'a conseillé. Je réussirai. Dans 10 ans. Parce que j'aurai laissé tomber le reste. Je pourrais devenir une bête de travail. Laisser ce blog être supprimé, les faire tous partir, j'ai largement de quoi le faire. Et ne pas recommencer.
A moins de recommencer ? Ailleurs ? Pas Paris. Pas St Amand. Peut-être. Oui, peut-être.

Et puis demain elle a un DS d'anglais qu'elle n'a pas révisé. Qu'elle ne révisera pas. Ce qu'elle regrettera probablement. Ou pas.

Mardi 20 février 2007 à 21:44

Elle se dépêche, elle court presque, sa valise noire la suivant, j'ai peur que cette fichue valise passe devant elle, l'entraînant. Mais qu'est ce qu'elle en sait ? Elle ne me voit pas, et ne ralentit pas son allure. Le ciel est couvert et un train est déjà en gare. Vers quel avenir s'enfuit-elle à cette vitesse ?
Que quelqu'un lui réponde. Lui donne les moyens de l'affronter, cette autre, qui lui souffle de faire l'exact opposé de ce qu'elle a décidé de faire. Il n'est jamais trop tard. Mais la réponse n'est pas là. Ni ailleurs. Elle a un point d'interrogation comme itinéraire, quatre morceaux de carte et une seule existence.



En fin de compte c'est nuit.

Mardi 20 février 2007 à 10:28

C'est vraiment hilarant. Non mais vraiment. Rien que pour ça j'aurai du partir. C'est vrai pour toi tout va bien tout est facile, [censure, je suis vraiment trop gentille, pour en arriver à m'auto-censurer sur mon propre blog] Je n'en sais rien en fait. Tu as juste ce cas là, à part, selon tes propres dires, moi ce qu'il me reste bah... Fiuu, je m'interroge tous les jours depuis 1 mois et je ne vois pas l'ombre d'une réponse satisfaisante. Tu voudrais lire mes 35 pages. Et puis quoi encore. Toi tu gardes tes silences en regardant le ciel, moi en noircissant des pages et en mettant des mots sur mes pensées. Tu préfères ne rien dire, devant les autres comme devant toi seul. J'ai parlé mais je resterai seule. Je ne vois pas ce qu'il y a d'autre à faire. Les 2 derniers trimestres de 2006 ont été très calmes, pourquoi en serait-il autrement en 2007 ? Je le vois venir gros comme une maison, le "il ne s'est rien passé", il est déjà là, pour "rire" mais il y a derrière un accent d'auto-persuasion qui me dérange. Je m'enferme dans ma musique. Je me rachète des piles. Je souris. Comme noté en rouge, souligné, dans un de mes devoirs " Pourquoi chercher compliqué quand les choses simples sont les plus efficaces ?!?! " C'est ce qu'ils pensent.

Que voulez-vous. Je suis bien partie pour rester quelqu'un d'illogique.

"Margaux, Margaux, ou plutôt, Anne, ma soeur Anne ne vois tu rien venir ?"

"C'est du réchauffé"

"Je sais"

"Jamais deux sans trois"

"Tu crois qu'il va arriver ? Cela fait tout de même un sacré bout de temps qu'il est parti"

"On peut bien se passer de lui."

"..."

"Qu'il reste où il est"

"Mais... (.Quelque chose sans importance, j'ai oublié quoi)

"On ne parle pas de la même personne"

"Ah."

Et le pire, c'est que je n'en veux à personne. Sauf à moi.

Je vais bien en plus de ça.

Mardi 20 février 2007 à 10:11

Je m'installe. Na ! D'abord. (Dans ma chambre)

Hop. Ca c'est fait ça a été décidé, hier soir, comme toujours en fait. J'en ai un peu ras le bol de répéter cette histoire à chaque fois, mais c'est à croire que je ne peux pas faire autrement.

Si vous avez une décision à prendre, je vous conseille une nuit assez froide, un velux ouvert, une bonne dose d'alcool, une unique cigarette, deux biscuits, un bon bouquin et un portable en mode silencieux.

Maintenant je ne sais pas trop ce que je vais faire. On me propose de faire un bac L au lycée Wallon, un des meilleurs lycées de ma région également, juste quand je me disais que le bac ES avait vraiment des avantages,celui de ne pas me faire changer de lycée entre autres. Je n'en peux plus de l'administration, je ne vais pas dire que tous les élèves vont me manquer, mais j'ai beaucoup de connaissances qui restent là, et partir équivaut à abandonner pas mal de projets, théâtre, chant, théâtre, jeux européens, une reprise éventuelle de la danse.. etc.. Mais en même temps, Wallon c'est à Valenciennes et je serai beaucoup plus libre là bas. Et il y a un nombre d'options phénoménal.

Ah, hier j'avais remis mes articles en ligne, aujourd'hui, dès que je suis arrivée on m'a fait changer d'avis. Donc je profite de cette heure de CDI pour remettre en hors ligne. Cela m'énerve particulièrement.

Pour continuer cet article à classer dans une catégorie "blablatage bloguesque", je vous annonce que j'ai supprimé les deux autres habillages, le but est de paufiner celui là, d'arriver vraiment à ce que je veux (il me reste à régler la taille et le style des polices, le bas de page, par exemple), avant de me remettre à un autre habillage. Paris ou New York, une grande ville, de nuit ou de jour, je n'y pense pas trop pour l'instant.

Enfin, je pars en vacances du lundi 26 février au dimanche 2 mars, la brochure du Sun Park où je me rends, à la gentillesse de m'informer que la "bulle" est équipée du réseau wifi... Yeah ! Mais, petit rappel, je n'ai pas l'ordinateur pour. Yeah.. Et puis, Ô joie intense, Ô joie contagieuse et non dissimulée : c'est en Belgique, (je salue d'ailleurs tous nos amis belges qui nous mettent chaque année la patée aux jeux européens) et pour ainsi dire, àa n'est pas très bon pour nos crédits respectifs de s'appeler ou même de s'envoyer de sms quand je suis sur le réseau Mobistar.

Positivons. Samedi 24 février, 8h02 je serai à la Gare de Lille Europe, en partance pour Paris. Une journée. Mercredi j'ai deux heures de DS d'anglais, et je passe l'après midi avec ma mère (hum), avec PEUT-ÊTRE, la possibilité de passer, enfin, à la fnac.. Il serait temps.

Dernière petite chose, ça fait donc plus de 5 mois.

Lundi 19 février 2007 à 22:37



Me perdre là-bas c'est blanc, c'est calme et fougueux à la fois, indescriptible pour faire plus simple.
Immaculée, une immense toile vierge à peindre, à colorier, à écrire, à déchirer, à créer. Et une musique qui me rentre dedans, je suis conquise et elle  ne veut plus partir.

Quelques silences. Être entourée, de partout, de tout temps, ne pas connaître ce dernier, sentir le courant autour de moi, ne lui laisser aucune prise sur qui je suis. Ou crois être.

Assembler les nuées comme d'autres assemblent les gens, séparer les moutons blancs des moutons noirs, faire vivre l'un sans l'autre.

 Se réveiller. Dans des tons gris et verts. Des lueurs peu enclintes à me garder dans ma folie imagée. Trouver de vieilles photos à qui le noir et blanc irait parfaitement, sentir son coeur se faire lacérer , elles datent d'hier, ou d'un peu avant.

 Qu'est ce que cela change ?



Il en reste une mélodie, à chantonner quand il n'y a rien d'autre.

Ou les soirs comme celui-ci. Les soirs de rechutes.

Lundi 19 février 2007 à 22:31



Me perdre là-bas c'est blanc, c'est calme et fougueux à la fois, indescriptible pour faire plus simple.

Immaculée, une immense toile vierge à peindre, à colorier, à écrire, à déchirer, à créer. Et une musique qui me rentre dedans, je suis conquise et elle  ne veut plus partir.

Quelques silences. Être entourée, de partout, de tout temps, ne pas connaître ce dernier, sentir le courant autour de moi, ne lui laisser aucune prise sur qui je suis. Ou crois être.

Assembler les nuées comme d'autres assemblent les gens, séparer les moutons blancs des moutons noirs, faire vivre l'un sans l'autre.

 Se réveiller. Dans des tons gris et verts. Des lueurs peu enclintes à me garder dans ma folie imagée. Trouver de vieilles photos à qui le noir et blanc irait parfaitement, sentir son coeur se faire lacérer , elles datent d'hier, ou d'un peu avant.

 Qu'est ce que cela change ?



Il en reste une mélodie, à chantonner quand il n'y a rien d'autre.

Ou les soirs comme celui-ci. Les soirs de rechutes.



Lundi 19 février 2007 à 21:07

Elle avait vu, sur une durée relativement courte, le monde tourner sans elle. Ce qu'elle avait vu ne lui avait pas déplu. Alors il fallait qu'elle se décide.
Les gens autour semblaient voir ça comme une tache aisée, ce qu'ils sont loins de la vérité.
Elle se souvient encore de la théorie de "l'effet papillon" d'une convertsation qu'elle a eu sur ce sujet il y a de cela 3 jours. Une question lui vient à l'esprit : la réciproque est-elle vraie ?

Est-ce qu'un tremblement de Terre à Tokyo
va modifier le battement d'ailes d'un papillon ?



***********************************

En quelques secondes je viens de perdes le sujet de mon texte. Ah c'est revenu. Nous somme le 11/02/07 il est 22h49. (Ceci n'a aucun rapport avec la suite.)

a quoi tu joues ? La question revient sans cesse, se faisant de plus en plus insitante. Je ne pense pas me tromper en disant qu'ils s'inquiètent pour moi. Il n'y a pourtant vraiment pas de quoi.  Je viens de songer à ceci : c'est aussi de ce que je fais qu'ils s'inquiètent. Cela devient de suite plus épineux, oui épineux est le terme approprié. Comme ces quatre pages qu'elle a pu faire. Quatre pages que personne ne va comprendre, en tout cas personne dont la compréhension aiderait considérablement la chute de l'histoire en la poussant dans la bonne direction.


Elle me tue. "Sois patiente". + La phrase sur mon fond d'écran. Expliquer aux autres pour se convaincre soi-même. Si si, je vous promets que ça marche.

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