Lundi 5 mars 2007 à 15:47
*Je chante depuis ce matin 9h00. Et j'hésite. Est-ce que je peux mettre ici les enregistrements que l'on a fait ? Et si je le fais, je mets la version " à ma sauce" a capella et un peu bizarre, ou avec la musique derrière (plus dur).
*Vous tombez au beau milieu d'une après-midi bourrage de crane : il ne faut penser à rien.
*C'est assez paradoxal je vous l'accorde.
*Mais après tout c'est mon blog ici. En parlant de ça. Certains cowblogs ont été hackés. Prenez des précautions, sauvegardez vos articles.
*Mon père déménage. Pour la 4ème fois. J'étais vraiment bête, je faisais des projets.
Du coup ce sera la terre des ancêtres, ou le royaume de la moule.
Mais il a décidé de m'aider à partir cet été. Pour la voir. <3
*Je veux retourner à la gare.
*Un quatre-quart. Faire brûler la baraque, pourquoi pas.
*Vous tombez au beau milieu d'une après-midi bourrage de crane : il ne faut penser à rien.
*C'est assez paradoxal je vous l'accorde.
*Mais après tout c'est mon blog ici. En parlant de ça. Certains cowblogs ont été hackés. Prenez des précautions, sauvegardez vos articles.
*Mon père déménage. Pour la 4ème fois. J'étais vraiment bête, je faisais des projets.
Du coup ce sera la terre des ancêtres, ou le royaume de la moule.
Mais il a décidé de m'aider à partir cet été. Pour la voir. <3
*Je veux retourner à la gare.
*Un quatre-quart. Faire brûler la baraque, pourquoi pas.
Lundi 5 mars 2007 à 14:26
Elle * est à la batterie.
Egale à elle-même.
Egale à elle-même.
Elle ** est au piano/clavier.
Encore meilleure qu'avant.
Il* est toujours avec sa basse.
So magic.
So magic.
L'autre** à la guitare.
On rêve.
Lundi 5 mars 2007 à 12:17
Je l'envie. Les traits tirés. A 6h40 ce matin. Et à toutes les autres heures.
Lundi 5 mars 2007 à 0:45
Un soupir. Un relachement. Un larme qui perle au bout de son nez. L'histoire n'est toujours qu'un éternel recommencement. Quand elle partira elle en aura gros sur la patate, et ne sera pas avancée pour un sou dans ses sordides affaires. Elle semble régresser d'ailleurs. Nous sommes au mois de septembre. Comment ça non ? Tiens c'est vrai ça, il y a quelque chose en plus. Nous sommes bien au mois de mars. Tout s'équilibre, en bien comme en mal. Désormais ça ira mieux. Parce qu'à partir d'ici elle sait où elle met les pieds, elle connaît par coeur les chutes, les relèves et les fausses-joies.
Elle ne pouvait pas vivre en ayant plus de positif que de négatif, alors elle avait changé le bien en mal, mais ce soir, avec ce retour, l'équation a trouvé une nouvelle solution, qui n'est que l'assemblage de deux vieille recettes.
Que lui réserve l'avenir ? On verra en temps et en heure.
Elle ne pouvait pas vivre en ayant plus de positif que de négatif, alors elle avait changé le bien en mal, mais ce soir, avec ce retour, l'équation a trouvé une nouvelle solution, qui n'est que l'assemblage de deux vieille recettes.
Que lui réserve l'avenir ? On verra en temps et en heure.
Dimanche 4 mars 2007 à 23:58
Voilà tu es prévenu.
Elle te laisse plus me faire mal. Et moi non plus.
J'ai vraiment été stupide, au moins je m'en souviendrai.
Ce soir je réapprends doucement à voir ailleurs.
L'autre est toujours aussi doué pour choisir son moment.
Son entrée. Sa sortie.
Théâtral c'est le mot.
Mais tant mieux. J'en avais besoin.
J'existe à nouveau, et il n'y a pas à chiquer ça fait énormément de bien.
Il ne partira donc jamais.
Pas envie de m'en plaindre.
Et puis :
Un mac
Un (deux ??? stp..) voyage(s) Fantastique.
Un voyage à Montpellier.
Deux cadeaux.
Du crédit.
Je sens que je vais recommencer le baby-sitting moi.
Dimanche 4 mars 2007 à 18:52
Dimanche 4 mars 2007 à 18:20
Elle est pressée, monte les escaliers à toute vitesse, se débarasse de ses vêtements noirs et enfile presque au hasard un jean, ainsi qu' un maillot à rayures et un poncho, rouges. Un premier sac de renversé. Deux anneaux, et elle redescend les escaliers encore plus vite. Craquement. Pause. Musique.
Sa paire de chaussures noires, un second sac renversé, d'un coup, d'un seul, tout sur la table de la salle à manger, un foutoir monstre, et au milieu un tube noir, un rouge à lèvres, vermeil, pétant, rouge quoi. Une main passée dans ses cheveux, un long manteau, une porte qui claque. Elle est partie, aussi vite qu'elle est devenue une autre. Parce que les circonstances l'imposaient. Fondu.
Sa paire de chaussures noires, un second sac renversé, d'un coup, d'un seul, tout sur la table de la salle à manger, un foutoir monstre, et au milieu un tube noir, un rouge à lèvres, vermeil, pétant, rouge quoi. Une main passée dans ses cheveux, un long manteau, une porte qui claque. Elle est partie, aussi vite qu'elle est devenue une autre. Parce que les circonstances l'imposaient. Fondu.
] Deux carrés de chocolat. [
Dimanche 4 mars 2007 à 17:51
Je me suis relue. Pour la première fois. Je me suis arrêtée au 15 janvier.
C'est vraiment spécial, et comme quoi je ne m'entendrai jamais avec moi-même, je préfère ces articles là.
Je dois trouver quoi dire mais je n'y arrive pas. Je suis tiraillée entre deux sentiments profondément contradictoires. Il est encore possible de s'échapper ? De prendre cette main qu'on me tend, et de m'envoler, oui de m'envoler, pour quoi je n'en sais rien, mais la réponse au pour qui est évidente.
Je cherche de la nouveautée, ici je ne fais que me répéter, reprendre les expressions d'un article à l'autre. Vous devez saturer au bout d'un moment. J'attends qu'ils partent, tous. A partir de là j'aviserai, j'improviserai. Gagner ou perdre, ça n'a plus aucun sens. Je pars afficher un dessin, sur un mur abîmé.
Mon coeur se fait la malle pareillement.
C'est vraiment spécial, et comme quoi je ne m'entendrai jamais avec moi-même, je préfère ces articles là.
Je dois trouver quoi dire mais je n'y arrive pas. Je suis tiraillée entre deux sentiments profondément contradictoires. Il est encore possible de s'échapper ? De prendre cette main qu'on me tend, et de m'envoler, oui de m'envoler, pour quoi je n'en sais rien, mais la réponse au pour qui est évidente.
Je cherche de la nouveautée, ici je ne fais que me répéter, reprendre les expressions d'un article à l'autre. Vous devez saturer au bout d'un moment. J'attends qu'ils partent, tous. A partir de là j'aviserai, j'improviserai. Gagner ou perdre, ça n'a plus aucun sens. Je pars afficher un dessin, sur un mur abîmé.
Mon coeur se fait la malle pareillement.
Dimanche 4 mars 2007 à 11:57
Il est 1h50 cette nuit, la lune rouge est passée et mon sms a eu une réponse (si, vous savez le sms que j'ai envoyé à six personnes au lieu d'une seule...) Je me replis encore plus dans mes couvertures et cherche après mon mp3, je le démarre (ce qui parait logique mais on sait jamais, j'aurai pu vouloir m'étrangler avec les écouteurs) et vlan dans ma gueule :
If I
Was to walk away
From you my love
Could I laugh again ?
If I
Walk away from you
And leave my love
Could I laugh again ?
Again, again...
You're killing me again
Am I still in your head ?
Again - Archive.
Pretty killer.. little crime dancing with another guy..
No more DJ to save my life..
I've forgot to take my knife...
You and me have seen everything to see
From Bangkok to Calgary
And the soles of your shoes are all worn down
The time for sleep is now
It's nothing to cry about
Cause we'll hold each other soon
The blackest of rooms
[...]
If there's no one beside you
When your soul embarks
Then I'll follow you into the dark
Then I'll follow you into the dark
Et puis la dernière je ne peux pas m'empêcher de la mettre entièrement même si c'est du rabachage :
You could be happy and I won't know
But you weren't happy the day I watched you go
And all the things that I wished I had not said
Are played in loops till it's madness in my head
Is it too late to remind you how we were
But not our last days of silence, screaming, blur
Most of what I remember makes me sure
I should have stopped you from walking out the door
You could be happy, I hope you are
You made me happier than I'd been by far
Somehow everything I own smells of you
And for the tiniest moment it's all not true
Do the things that you always wanted to
Without me there to hold you back, don't think, just do
More than anything I want to see you go
Take a glorious bite out of the whole world
If I
Was to walk away
From you my love
Could I laugh again ?
If I
Walk away from you
And leave my love
Could I laugh again ?
Again, again...
You're killing me again
Am I still in your head ?
Again - Archive.
Pretty killer.. little crime dancing with another guy..
No more DJ to save my life..
I've forgot to take my knife...
Pretty Killer - Lily Margot (avec Alex Beaupain <3).
Je la réecoute tout à l'heure pour vous donner les paroles.
Je la réecoute tout à l'heure pour vous donner les paroles.
You and me have seen everything to see
From Bangkok to Calgary
And the soles of your shoes are all worn down
The time for sleep is now
It's nothing to cry about
Cause we'll hold each other soon
The blackest of rooms
[...]
If there's no one beside you
When your soul embarks
Then I'll follow you into the dark
Then I'll follow you into the dark
I'll follow you into the dark- DCFC.
Et puis la dernière je ne peux pas m'empêcher de la mettre entièrement même si c'est du rabachage :
You could be happy and I won't know
But you weren't happy the day I watched you go
And all the things that I wished I had not said
Are played in loops till it's madness in my head
Is it too late to remind you how we were
But not our last days of silence, screaming, blur
Most of what I remember makes me sure
I should have stopped you from walking out the door
You could be happy, I hope you are
You made me happier than I'd been by far
Somehow everything I own smells of you
And for the tiniest moment it's all not true
Do the things that you always wanted to
Without me there to hold you back, don't think, just do
More than anything I want to see you go
Take a glorious bite out of the whole world
You could be happy- Snow Patrol.
Samedi 3 mars 2007 à 22:08
Parce qu'il faudrait que je sache quoi faire. Avant de commencer. On verra tout ça demain. Mais j'avais une bonne idée en tête pour une fois. Le problème c'est que ça n'a pas marché. Mais ça m'a donné d'autres idées, plus dures à mettre en place. Déjà il faudrait que je trouve une image de fond.
Pour tout vous dire, pour les anciens qui connaissent bien cowblog, j'aimerai quelque chose dans le genre des premiers habillages de la demoiselle Dreams, c'était un fond blanc, mais avec un agencement et des touches de couleurs qui rendait le tout vraiment très agréable à lire et à regarder. Bon. OK, je ne suis pas aussi douée qu'elle. On peut toujours rêver non ? Le probème principal c'est l'image, ensuite je n'aurai plus qu'à faire tout le Css, les cadres, les menus, les marges, les liens.. etc.. etc.. De la rigolade.
J'avais pensé prendre le dessin que Bee m'a envoyé dans sa dernière lettre, mais il est trop plié ><. Je ne désespère pas.. (Ceci n'est pas un message subliminal : si vous avez un beau dessin, une belle image, colorée, et sur un fond blanc, pensez à moi, qui sait.. (ce message n'est pas adressé à mon abeille préférée..) (ni à son prince qui fait des beaux habillages) ). Voillàààààààà.
Comment ça je suis en train de faire la politique de l'autruche ?
Mais pas du tout.
Voyons.
Ze laïfe ize bioutifoul.
Je veux du blanc et des couleurs. C'est tout.
Pour tout vous dire, pour les anciens qui connaissent bien cowblog, j'aimerai quelque chose dans le genre des premiers habillages de la demoiselle Dreams, c'était un fond blanc, mais avec un agencement et des touches de couleurs qui rendait le tout vraiment très agréable à lire et à regarder. Bon. OK, je ne suis pas aussi douée qu'elle. On peut toujours rêver non ? Le probème principal c'est l'image, ensuite je n'aurai plus qu'à faire tout le Css, les cadres, les menus, les marges, les liens.. etc.. etc.. De la rigolade.
J'avais pensé prendre le dessin que Bee m'a envoyé dans sa dernière lettre, mais il est trop plié ><. Je ne désespère pas.. (Ceci n'est pas un message subliminal : si vous avez un beau dessin, une belle image, colorée, et sur un fond blanc, pensez à moi, qui sait.. (ce message n'est pas adressé à mon abeille préférée..) (ni à son prince qui fait des beaux habillages) ). Voillàààààààà.
Comment ça je suis en train de faire la politique de l'autruche ?
Mais pas du tout.
Voyons.
Ze laïfe ize bioutifoul.
Je veux du blanc et des couleurs. C'est tout.
Samedi 3 mars 2007 à 19:13
Parce que le texte que j'ai écrit ce jour là je ne sais pas si je vais le mettre. Flemme ou peur ? Je ne m'en souviens pas. Mon portable, mon seul lien encore. Je vois que sur cette photo mon fond d'écran n'est pas visible. Mon Mp3. Parce que oui, la musique est une drogue, la sienne surtout. Mon stylo, qui a versé son encre sur plus de 200 pages lors de ce séjour. Mon carnet violet. Ce texte. Cette fenêtre qui s'ouvre sur la ville que je ne connaitrai peut-être jamais autrement, un de mes dessins/gribouillis qui me font tant de bien, et puis une phrase, repassée au stylo, parce que j'aime faire des phrases comme ça. Parce que c'est elle, qui m'a dit " Ahora, su corazon ya tiene dueno, no puedes" .
En français cela aurait été trop facile. Elle le savait.
PS : Qu'on arrête un peu. C'est pas le printemps.
Samedi 3 mars 2007 à 19:05
Je me suis fait rire toute seule. Comme une grande. Et bien en plus de cela. Parce que ce soir je vais les chercher, avec Safia et Letitza et on va faire comme il y a de cela deux ans, oui déjà deux ans... Comme si rien ne s'était passé durant ce laps de temps. Pourtant ils m'ont manqué, cette famille, et surtout les deux frères. Même si nous nous sommes quittés en assez mauvais termes, la distance a eu tôt fait de nous souder comme jamais. Pour en arriver là. J'ai hâte et un peu peur à la fois. Je vous raconterai. Et comment je me suis fait rire ? J'ai voulu reprendre cette habitude d'il y a trois ans, de ma 4ème, de cet été là, et de celui qui a suivi, le long trait noir sous les yeux. Au khôl. Je me suis vue prendre un coton-tige pour enlever l'excédent de khôl. J'ai éclaté de rire. Toute seule, dans ma chambre. Prise en flagrant délit de Fantastiques². Je ne m'en lasse pas.
Samedi 3 mars 2007 à 18:59
Création d'une nouvelle catégorie, une petite catégorie. Pour ranger le dernier article. Et ceux qui vont suivre.
Post-it.
Samedi 3 mars 2007 à 17:12
Y'a tellement de villes à voir je ne peux pas m'arrêter avec/pour toi.
Je n'ai pas le temps d'attendre ton départ.
Si tu veux c'est maintenant ou après.
Tu vas (devoir) attendre (?) que je repasse de ton côté.
Restée toujours ici d'une certaine manière.
Dis moi juste où je peux poser mon bagage.
Sur quel bras de fauteuil je peux m'endormir.
Quelle place occuperont mes pantoufles.
Je suis prête à tout cela.
Aux efforts inconsidérés.
Aux cadeaux nazes devant lesquelles je dirai "C'est trop gentiiiil"
Aux attentions qui en font trop, quand je ferai semblant de faire semblant d'être génée.
Je..
Et mon bras de fauteuil est un peu bizarre.
Hors-article : La flemme de continuer à "bosser" ce design, j'ai abandonné l'espoir de le finir un jour.
Les musiques défilent au hasard. Je me noies.
Je n'ai pas le temps d'attendre ton départ.
Si tu veux c'est maintenant ou après.
Tu vas (devoir) attendre (?) que je repasse de ton côté.
Restée toujours ici d'une certaine manière.
Dis moi juste où je peux poser mon bagage.
Sur quel bras de fauteuil je peux m'endormir.
Quelle place occuperont mes pantoufles.
Je suis prête à tout cela.
Aux efforts inconsidérés.
Aux cadeaux nazes devant lesquelles je dirai "C'est trop gentiiiil"
Aux attentions qui en font trop, quand je ferai semblant de faire semblant d'être génée.
Je..
Et mon bras de fauteuil est un peu bizarre.
Hors-article : La flemme de continuer à "bosser" ce design, j'ai abandonné l'espoir de le finir un jour.
Les musiques défilent au hasard. Je me noies.
Samedi 3 mars 2007 à 16:09
J'ai buggé. Mon premier essai était comme je le voulais. J'en ai marre.
Et si j'y retournais ? Au début. Aux sourires de politesse, avec le mien qui restait un peu trop longtemps sur mon visage pour n'être que ça, (mais je ne pouvais pas le dire, et ne peux normalement pas encore) aux vraies-fausses bêtises, aux mots qui tombaient sans vouloir rien dire. Quand je courrais presque pour t'entrapercevoir, te dire bonjour, te parler, simplement. Mes pensées courraient en tout cas. Maintenant je leur courre après, ce sont les images, les mots, les souvenirs, juste pour me rappeler à ça, oui j'étais là. Rougir dans le noir, et sentir se détacher quelque chose au creux de ma poitrine, ça tombe loin, très loin, et vite, mais ça remonte encore plus vite, très vite, trop vite, dépasser son point de départ. Ca m'avait collé un sourire énorme, que rien ne pouvait diminuer, pas même la maladie, et si je ne comprenais pas bien pourquoi il était là je ne voulais pas qu'il s'en aille. Ce n'est déjà plus le début, et depuis longtemps. On se trouve toujours plus heureux avant. C'était sali ? C'est sali ? Je ne pense pas. Je ne veux pas le penser. Trop tard. Les choses sont ce qu'elles sont.
Certaines, petites, que je n'arrive pas à supporter (encore). Je ne vais pas me condamner à travers cette histoire là.
D'autres me font tenir. Et puis je ne peux pas m'en empêcher. Alors je me tais. Je compose.
Avec ça : Goin' Down, Jack the Ripper.
Et si j'y retournais ? Au début. Aux sourires de politesse, avec le mien qui restait un peu trop longtemps sur mon visage pour n'être que ça, (mais je ne pouvais pas le dire, et ne peux normalement pas encore) aux vraies-fausses bêtises, aux mots qui tombaient sans vouloir rien dire. Quand je courrais presque pour t'entrapercevoir, te dire bonjour, te parler, simplement. Mes pensées courraient en tout cas. Maintenant je leur courre après, ce sont les images, les mots, les souvenirs, juste pour me rappeler à ça, oui j'étais là. Rougir dans le noir, et sentir se détacher quelque chose au creux de ma poitrine, ça tombe loin, très loin, et vite, mais ça remonte encore plus vite, très vite, trop vite, dépasser son point de départ. Ca m'avait collé un sourire énorme, que rien ne pouvait diminuer, pas même la maladie, et si je ne comprenais pas bien pourquoi il était là je ne voulais pas qu'il s'en aille. Ce n'est déjà plus le début, et depuis longtemps. On se trouve toujours plus heureux avant. C'était sali ? C'est sali ? Je ne pense pas. Je ne veux pas le penser. Trop tard. Les choses sont ce qu'elles sont.
Certaines, petites, que je n'arrive pas à supporter (encore). Je ne vais pas me condamner à travers cette histoire là.
D'autres me font tenir. Et puis je ne peux pas m'en empêcher. Alors je me tais. Je compose.
Avec ça : Goin' Down, Jack the Ripper.
Samedi 3 mars 2007 à 14:05
Je dois faire ça, ça et ça. La première c'est du Myriam Abel, oui je sais ce n'est pas très glorieux mais je ne peux pas toujours choisir.
Vendredi 2 mars 2007 à 21:57
La tête qui tournent, les jambes comme de la guimauve. Ca va vite ce manège. Dis moi, est-ce que c'est normal tout ça ? Je ne sais plus faire la différence entre la norme et l'excès. Des rires dans ma tête, des pleurs aussi, c'est un gigantesque pot-pourri. Ce soir mes yeux me font mal. Je ne peux pas aller sur msn. Je tape juste ces quelques lignes pour dire quoi. Oui je suis revenue. Qu'est ce que ça peut bien vous faire ? Vous passez comme des ombres, des riens indispensables, qu'on aura bientôt rangés dans l'immense dossier "inoubliables passés".
Et pourtant, chaque jour qui passe me conforte dans cette idée que je ne peux plus vivre sans eux. Et chaque jour j'ai un peu plus peur de leur faire mal, de les détruire, ou du moins de les abimer. Sans pouvoir m'empêcher des les aimer, d'aimer chaque seconde passée ensemble. De la haïr d'autant plus.
J'en ferai mon adage. "Je t'aime tant je te hais, je te hais tant je t'aime".
Où est ce putain de changement, cette maturité qu'on me cuisine à toutes les sauces ?
J'ai des étoiles dans les yeux, et j'ai honte à le dire, mais elles ne sont pas là que grace à elle. Les autres sont coupables.
Zut c'est passé.
Ca ne revient pas.
Et je défile.
Dire merci. C'est important.
Si ça revient vous serez les premiers informés.
Ah voilà.
On me dit que mon blog est apaisant. J'en suis heureuse. Vous croyez que je réussirai à m'apaiser aussi un jour ?
Merci et désolée. Je me répète.
Finir ce fichu design. Vous mettre mes photos.
Et pourtant, chaque jour qui passe me conforte dans cette idée que je ne peux plus vivre sans eux. Et chaque jour j'ai un peu plus peur de leur faire mal, de les détruire, ou du moins de les abimer. Sans pouvoir m'empêcher des les aimer, d'aimer chaque seconde passée ensemble. De la haïr d'autant plus.
J'en ferai mon adage. "Je t'aime tant je te hais, je te hais tant je t'aime".
Où est ce putain de changement, cette maturité qu'on me cuisine à toutes les sauces ?
J'ai des étoiles dans les yeux, et j'ai honte à le dire, mais elles ne sont pas là que grace à elle. Les autres sont coupables.
Zut c'est passé.
Ca ne revient pas.
Et je défile.
Dire merci. C'est important.
Si ça revient vous serez les premiers informés.
Ah voilà.
On me dit que mon blog est apaisant. J'en suis heureuse. Vous croyez que je réussirai à m'apaiser aussi un jour ?
Merci et désolée. Je me répète.
Finir ce fichu design. Vous mettre mes photos.
Vendredi 2 mars 2007 à 21:12
C'est histoire d'avoir le beurre, l'argent du beurre, et la cremière.
Certains y arrivent.
[Pour les mauvais esprit, oui je sais, sur l'image c'est la laitière, et non pas la cremière, et ben je vous crotte.]
Je suis de retour.
Et bien en plus de ça.
Et bien en plus de ça.
Lundi 26 février 2007 à 22:12
Un manteau doux comme de la soie.
Au début il est inconfortable, même lourd à porter. Une rouge pâleur s'installe sur nos pomettes, un sourire qui sort d'où on ne sait vient trahir notre gêne, notre manteau nous donne des frissons.
Et puis, ce manteau, on s'y habitue de plus le plus malgré le peu de temps depuis quand nous l'avons. Il est soyeux, il est câlin, il nous fait frêmir et fait à nouveau pâlir d'une teinte rosée notre visage qui persiste à sourire, sans s'en rendre compte, lui aussi il est heureux.
J'ai chaud, il me réchauffe mon manteau, il me rend ivre de joie, ses caresses me parcourent tout le long du corps, ses baisers doux et ennivrant viennent lentement carresser mes lèvres, un goût de mangue s'imisse dans nos baisers.
Ce manteau redonne vie, il réveille et donne également du courage, il m'a pourtant fait du mal, mais je ne regrette rien, il s'est fait pardonner, et quel pardon.
Cette minute, ce moment, ce baiser, ce et cette, j'ai tellement de merci à dire, tellement.
Mon manteau me va comme un gant, un peu grand, mais bien fait, doux, et beau.
Parfait.
Chère mymy ( s'annonce un sermon ^^ ),
je met un petit morceau de moi dans ton blog, pour ainsi te remercier, tout d'abord du plaisir que tu me fait en venant quotidiennement dans mon blog, ensuite d'être une personne si aimable, bien que jeune, si intelligente et bordel de queue si belle.
Ta façon d'écrire me fascine et me laisse sans voix, je ne laisse pas souvent de commentaire, c'est vrai, je m'en excuse et tâcherai de m'améliorer de ce côté là, promis =)
Petit bout de femme qui grandit avec tant de volupté, petit bout de femme qui en bave parfois et qui fait face tant bien que mal, petit bout de femme devant qui j'ose me prosterner du haut de mes 17ans 3/4 ( quuooi ^^ ), les mots me manquent malheureusement, je ne suis pas très cultivée, mais je sais quand même une chose
ma chère:
Tu es ce genre de personne qui part le biais d'un texte peut faire beaucoup de bien, et tu es ce genre de personne qui par elle-même inspire confiance et générosité.
Chapeau demoiselle, chapeau.
Au début il est inconfortable, même lourd à porter. Une rouge pâleur s'installe sur nos pomettes, un sourire qui sort d'où on ne sait vient trahir notre gêne, notre manteau nous donne des frissons.
Et puis, ce manteau, on s'y habitue de plus le plus malgré le peu de temps depuis quand nous l'avons. Il est soyeux, il est câlin, il nous fait frêmir et fait à nouveau pâlir d'une teinte rosée notre visage qui persiste à sourire, sans s'en rendre compte, lui aussi il est heureux.
J'ai chaud, il me réchauffe mon manteau, il me rend ivre de joie, ses caresses me parcourent tout le long du corps, ses baisers doux et ennivrant viennent lentement carresser mes lèvres, un goût de mangue s'imisse dans nos baisers.
Ce manteau redonne vie, il réveille et donne également du courage, il m'a pourtant fait du mal, mais je ne regrette rien, il s'est fait pardonner, et quel pardon.
Cette minute, ce moment, ce baiser, ce et cette, j'ai tellement de merci à dire, tellement.
Mon manteau me va comme un gant, un peu grand, mais bien fait, doux, et beau.
Parfait.
Chère mymy ( s'annonce un sermon ^^ ),
je met un petit morceau de moi dans ton blog, pour ainsi te remercier, tout d'abord du plaisir que tu me fait en venant quotidiennement dans mon blog, ensuite d'être une personne si aimable, bien que jeune, si intelligente et bordel de queue si belle.
Ta façon d'écrire me fascine et me laisse sans voix, je ne laisse pas souvent de commentaire, c'est vrai, je m'en excuse et tâcherai de m'améliorer de ce côté là, promis =)
Petit bout de femme qui grandit avec tant de volupté, petit bout de femme qui en bave parfois et qui fait face tant bien que mal, petit bout de femme devant qui j'ose me prosterner du haut de mes 17ans 3/4 ( quuooi ^^ ), les mots me manquent malheureusement, je ne suis pas très cultivée, mais je sais quand même une chose
ma chère:
Tu es ce genre de personne qui part le biais d'un texte peut faire beaucoup de bien, et tu es ce genre de personne qui par elle-même inspire confiance et générosité.
Chapeau demoiselle, chapeau.
Bon baisers de Paris, MaJuPri.