Vendredi 3 novembre 2006 à 19:41
Sur ce blog je n'ai jamais parlé d'actualités.
La question est donc : pourquoi ?
Alors que c'est quelque chose qui me passionne et que je suis de très près. Pour dire vrai, je n'en sais rien. Et ça me parait aberrant. Donc, d'ici quelques secondes la création d'une catégorie : "entre les mailles du filet" pour parler un peu de ce qui se passe, ici mais surtout ailleurs.
Photo by : StudioFovea
La question est donc : pourquoi ?
Alors que c'est quelque chose qui me passionne et que je suis de très près. Pour dire vrai, je n'en sais rien. Et ça me parait aberrant. Donc, d'ici quelques secondes la création d'une catégorie : "entre les mailles du filet" pour parler un peu de ce qui se passe, ici mais surtout ailleurs.
Photo by : StudioFovea
Vendredi 3 novembre 2006 à 0:02
On est parti mes gens. Votez !!! Votez !! Votez !! Les histoires d'amours finissent mal et alors ? Il n'empêche pas que les gens peuvent y réagir d'une très belle manière.. La preuve avec ce concours. Alors je vous invite à relire les participation et à voter dans les coms de cet article !! Un seul vote svp, comme les participants ne sont pas nombreux.
(si vous avez encore des choses, n'hésitez pas, envoyez !!)
Mymy
Mymy
Vendredi 27 octobre 2006 à 17:41
Je ne sais pas si je vous l'ai dit (en fait je sais pertinemment que je ne l'ai pas fait..) mais demain je pars. Pour 5 jours, je reviens le premier. Où je pars ? Bande de petits curieux. Je pars à Lyon. Et oui encore ^^
Donc durant mon absence le blog sera.. sans baby sitter. Pour de nombreuses raisons. En attendant j'ai préparé des articles qui se mettront en ligne seuls, comme des grands. Si c'est pas beau la technologie chez cowblog !! Il y a aussi des participations au concours qui se mettront en ligne comme par Magie. Je tiens à préciser que les votes ne démarrent pas !!
Ils commenceront le 3, quand j'aurai eu toutes les participations et qu'elles seront toutes en ligne. Bon sur ce, je vais peut être faire mon sac moi. Je vous laisse le mot de passe invité (ce qui l'avaient déjà avant, gardez le, il reviendra à mon retour)
mot de passe invité (éphémère) : partie (c'est original n'est ce pas ?)
Donc durant mon absence le blog sera.. sans baby sitter. Pour de nombreuses raisons. En attendant j'ai préparé des articles qui se mettront en ligne seuls, comme des grands. Si c'est pas beau la technologie chez cowblog !! Il y a aussi des participations au concours qui se mettront en ligne comme par Magie. Je tiens à préciser que les votes ne démarrent pas !!
Ils commenceront le 3, quand j'aurai eu toutes les participations et qu'elles seront toutes en ligne. Bon sur ce, je vais peut être faire mon sac moi. Je vous laisse le mot de passe invité (ce qui l'avaient déjà avant, gardez le, il reviendra à mon retour)
mot de passe invité (éphémère) : partie (c'est original n'est ce pas ?)
Dimanche 22 octobre 2006 à 15:23
Tout est dit dans le titre. Ou presque. Comme tant d'autres je me mets aux concours. Certains accusent les blogueurs de faire cela uniquement pour avoir plus de visites. Je ne vous démontrerai pas par A+B que c'est faux, j'ai mon compte de maths pour la journée. Je vous demanderai donc de me croire. Si je fais cela c'est pour voir enfin ce qu'on est capable de partager par un concours. Puisque visiblement ca ne marche pas super fort avec le reste. ( Et je l'assume totalement, cela doit être de ma faute.)
Autant commencer par la fin. Par le meilleur donc si on en croit l'expression : le prix.
1°) Un lien, et une belle pub sur mon blog.
2°) 3 mois de premium que je vous paye ..
Vous voyez que ce n'est pas quelque chose que je prépare par dessus la jambe.
Ensuite.. et bien le déroulement du concours. Vous pouvez m'envoyer vos créations à cette adresse : reve_etoile_enelya@hotmail.fr
Vous avez pour cela jusqu'au 2 novembre.
Les votes commenceront dès le 3. Ou dès minuit si ce jour là je suis encore sur mon ordinateur.
Enfin.. le thème. Parce que oui je vous parle de créations mais je ne vous dis pas de quelle sorte ni sur quel thème.
Le thème le voici :
"Les histoires d'amour finissent mal... en général"
Ca en fait des choses n'est ce pas ?
Quant à ce que j'attends comme réponse.. et bien je n'en attends aucune. J'accepte tout : texte, poème, chanson, morceau, video, photo etc..
Vous pouvez disséquer la phrase, traiter la partie que vous voulez et que sais-je encore ? En gros vous êtes totalement libre !! Si c'est pas beau ça ???
Les votes se dérouleront dans les commentaires d'un article. Ou plusieurs je ne sais pas encore.
Je n'ai plus qu'a souhaiter bonne chance à ceux voulant participer.
1000 Bises Mymy
Autant commencer par la fin. Par le meilleur donc si on en croit l'expression : le prix.
1°) Un lien, et une belle pub sur mon blog.
2°) 3 mois de premium que je vous paye ..
Vous voyez que ce n'est pas quelque chose que je prépare par dessus la jambe.
Ensuite.. et bien le déroulement du concours. Vous pouvez m'envoyer vos créations à cette adresse : reve_etoile_enelya@hotmail.fr
Vous avez pour cela jusqu'au 2 novembre.
Les votes commenceront dès le 3. Ou dès minuit si ce jour là je suis encore sur mon ordinateur.
Enfin.. le thème. Parce que oui je vous parle de créations mais je ne vous dis pas de quelle sorte ni sur quel thème.
Le thème le voici :
"Les histoires d'amour finissent mal... en général"
Ca en fait des choses n'est ce pas ?
Quant à ce que j'attends comme réponse.. et bien je n'en attends aucune. J'accepte tout : texte, poème, chanson, morceau, video, photo etc..
Vous pouvez disséquer la phrase, traiter la partie que vous voulez et que sais-je encore ? En gros vous êtes totalement libre !! Si c'est pas beau ça ???
Les votes se dérouleront dans les commentaires d'un article. Ou plusieurs je ne sais pas encore.
Je n'ai plus qu'a souhaiter bonne chance à ceux voulant participer.
1000 Bises Mymy
Mercredi 18 octobre 2006 à 17:25
Bon nous y sommes .. ce n'est pas du chiqué.. c'est le 300ème article. Je voulais faire un grand truc. Un truc beau. Bien. Et puis la flemme ou le découragement m'ont pris comme d'habitude. MAIS 300 tout de même !!
Alors je vais mettre ici ce qu'on m'a déjà donné, et cet article je le fais devenir l'article des choses marquantes. Des gens marquants, m'ayant marquée depuis 300 articles. Je commence maintenant. Je ne finirai jamais. J'espère.
De la part de ma petite (grande paraît-il)soeur :
Et puis ensuite j'ai un beau texte.. qui n'a bien sur aucun rapport avec le blog, un texte de ma chère mise.a.nue :
Il était une fois...
Une petite planete bleue qui s'faisait détruire de plus en plus chaque jour. Sur cette petite planete jadis splendide, il y avait plusieurs continent. Afrique, pauvreté, Asie, technologie, guerre, Amérique, richesse, pollution, Océanie, désert, montagnes, saletés, Europe... L'Europe, L'Occident. Continent dévelloppé. Dans lequel on retrouve plusieurs pays. Dont la France. Notre belle France. Paris. La Capitale. La ville lumière. La Seine, les bateaux mouches. Notre-Dame, les cloches, la cathédrale. Le Sacré-coeur, la Tour eiffel. Les nombreux arrondissements. Les boites de nuits, les discothèques. Les quartiers mal famés, les cités. Les grands appartements riches. La mode, les défilés. Les pubs partout sur les murs. Le métro. Les gens pressés. Les petits cafés qui vendent croissant et café le matin. Les marchands de journeaux. Le Louvre. Les musées. Le Moulin Rouge. Les Champs Elysées. Et moi, mon pardessus noir, mes bottines, mes gants et mon sac à dos, perdue dans tout ça. Le coeur à l'envers. Emerveillée. Et peur. De quoi je ne sais pas. Moi qui habite un appartement de bonne au dernier étage d'un immeuble de bourges. Je descend les escaliers. Quatre à quatre. Sept étages. Essouflée, mes cheveux bruns en batailles, les joues rouges, je traverse la petite cour intérieure a grand pas, et pousse la porte cochere. Les passants passent. Pressés. Ils rentrent du boulot. Vont chercher les enfants. Les hommes en costumes. Les femmes en tailleurs. Moi en panta-large et débardeur. Cachés sous ce fichu pardessus. C'était son* pardessus. La seule chose qu'il me reste de Lui*. A cette pensée les larmes me montent aux yeux. Je les essuies rapidement d'un revers de main. Je presse le pas. Me fond dans la foule des gens pressés, stressés. Je m'arrete a un marchand de fleurs. Des iris blancs. Oui, trois, ce sera parfait. Merci beaucoup. Non pas de carte avec non. Non c'est pas pour offrir. Enfin... Non, non, ce n'est pas pour offrir. Merci. Au revoir. Et de retour dans la foule. Pressée stressée. Déprimée. Les fleurs à la main. Je prend le métro. Une piece pour celle qui joue du violon. Un sourire aussi. On étouffe dans ce métro. Heure de pointe. Je sors. Enfin. De l'air.
La gare. Les gens qui s'en vont. Loin. Ou pas. Pressés aussi. Des valises ou sacs plus ou moins gros. Les billets à la main. " Le train en provenance de Bordeaux va entrer en gare voie C. Les voyageurs..." Les voix des "hotesses" se perdent dans le brouhaha environant. J'achete mon billet. Voie D. Je monte. Il est déjà là. Il va partir. Je me dépêche. Mes joues encore rouges. Le souffle cours. Trouver une place assise. Là. Près de la fenêtre. Parfait. Mon mp3. La musique dans les oreilles. Je regarde le paysage qui défile. On quitte Paris. Le train accelere. Les champs passent de plus en plus vite. Les maisons. Les villages. Les patelins. Au bout d'un moment on arrive. Enfin. La mer. Le bruit des vagues. Qui s'échoue sur le sable. Qui s'éclatent sur les rochers. Les fleurs en main je pend le bus. Place assise près de la fenetre. J'ai de la chance aujourd'hui. Les yeux perdu à l'horizon, là ou la mer et le ciel se confondent. Là ou plus rien n'est réel, là ou tu es parti, et tu n'es jamais revenu. On arrive au village. Le bus me dépose sur la place et continue sa route.*
Les volets des bicoques de la place sont clos. Tout est silencieux. Je traverse le village endormi en cette fin de journée. Ils doivent tous être au café. Comme d'habitude. Oui. J'entends quelques éclats de voix. Ils s'estompent alors que je m'éloigne. J'approche de la falaise. Ferme les yeux un instant. Une larme roule sur ma joues. Mes levres gercées me brulent a cause de l'embrun salé. Le vent est froid. Je serre les dents, me retourne. Je monte la petite cote. Pousse la grille en vieux fer forgé. Avance dans l'allée, entre les dalles. Ne regarde pas de part et d'autre des vieux cyprès. Tourne à droite. Deux fois à gauche. Et tu es là. Devant moi. Sous terre. Je dépose les fleurs. Murmure. " Je t'aime." Eclate en sanglot. Toi que la mer m'a pris par un jour d'automne, il y a un an. Toi qu'elle m'a arraché. Cette mer tellement belle que tu aimais tant. Naufrage. Orage. Tempete. Quatre personnes. Trois survivants. Et toi... Toi... Je me retourne. Cours. Repousse la grille. Vois la falaise. Cours; Cours. Tombe. Dans l'herbe. Pleure. Cris. Hurle. serre les poings. Me calme.
Me releve. Rentre au village. Tape à la porte de l'hotel. Je passerai la nuit ici. Je rentrerai demain sur Paris. J'irai travailler au journal comme d'habitude. Je sourirai. J'irai peut-être à la patinoire. Ou au cinéma. Je sortirai avec mes amies. Et puis, je m'acheterai un nouveau manteau.
Alors je vais mettre ici ce qu'on m'a déjà donné, et cet article je le fais devenir l'article des choses marquantes. Des gens marquants, m'ayant marquée depuis 300 articles. Je commence maintenant. Je ne finirai jamais. J'espère.
De la part de ma petite (grande paraît-il)soeur :
Et puis ensuite j'ai un beau texte.. qui n'a bien sur aucun rapport avec le blog, un texte de ma chère mise.a.nue :
Il était une fois...
Une petite planete bleue qui s'faisait détruire de plus en plus chaque jour. Sur cette petite planete jadis splendide, il y avait plusieurs continent. Afrique, pauvreté, Asie, technologie, guerre, Amérique, richesse, pollution, Océanie, désert, montagnes, saletés, Europe... L'Europe, L'Occident. Continent dévelloppé. Dans lequel on retrouve plusieurs pays. Dont la France. Notre belle France. Paris. La Capitale. La ville lumière. La Seine, les bateaux mouches. Notre-Dame, les cloches, la cathédrale. Le Sacré-coeur, la Tour eiffel. Les nombreux arrondissements. Les boites de nuits, les discothèques. Les quartiers mal famés, les cités. Les grands appartements riches. La mode, les défilés. Les pubs partout sur les murs. Le métro. Les gens pressés. Les petits cafés qui vendent croissant et café le matin. Les marchands de journeaux. Le Louvre. Les musées. Le Moulin Rouge. Les Champs Elysées. Et moi, mon pardessus noir, mes bottines, mes gants et mon sac à dos, perdue dans tout ça. Le coeur à l'envers. Emerveillée. Et peur. De quoi je ne sais pas. Moi qui habite un appartement de bonne au dernier étage d'un immeuble de bourges. Je descend les escaliers. Quatre à quatre. Sept étages. Essouflée, mes cheveux bruns en batailles, les joues rouges, je traverse la petite cour intérieure a grand pas, et pousse la porte cochere. Les passants passent. Pressés. Ils rentrent du boulot. Vont chercher les enfants. Les hommes en costumes. Les femmes en tailleurs. Moi en panta-large et débardeur. Cachés sous ce fichu pardessus. C'était son* pardessus. La seule chose qu'il me reste de Lui*. A cette pensée les larmes me montent aux yeux. Je les essuies rapidement d'un revers de main. Je presse le pas. Me fond dans la foule des gens pressés, stressés. Je m'arrete a un marchand de fleurs. Des iris blancs. Oui, trois, ce sera parfait. Merci beaucoup. Non pas de carte avec non. Non c'est pas pour offrir. Enfin... Non, non, ce n'est pas pour offrir. Merci. Au revoir. Et de retour dans la foule. Pressée stressée. Déprimée. Les fleurs à la main. Je prend le métro. Une piece pour celle qui joue du violon. Un sourire aussi. On étouffe dans ce métro. Heure de pointe. Je sors. Enfin. De l'air.
La gare. Les gens qui s'en vont. Loin. Ou pas. Pressés aussi. Des valises ou sacs plus ou moins gros. Les billets à la main. " Le train en provenance de Bordeaux va entrer en gare voie C. Les voyageurs..." Les voix des "hotesses" se perdent dans le brouhaha environant. J'achete mon billet. Voie D. Je monte. Il est déjà là. Il va partir. Je me dépêche. Mes joues encore rouges. Le souffle cours. Trouver une place assise. Là. Près de la fenêtre. Parfait. Mon mp3. La musique dans les oreilles. Je regarde le paysage qui défile. On quitte Paris. Le train accelere. Les champs passent de plus en plus vite. Les maisons. Les villages. Les patelins. Au bout d'un moment on arrive. Enfin. La mer. Le bruit des vagues. Qui s'échoue sur le sable. Qui s'éclatent sur les rochers. Les fleurs en main je pend le bus. Place assise près de la fenetre. J'ai de la chance aujourd'hui. Les yeux perdu à l'horizon, là ou la mer et le ciel se confondent. Là ou plus rien n'est réel, là ou tu es parti, et tu n'es jamais revenu. On arrive au village. Le bus me dépose sur la place et continue sa route.*
Les volets des bicoques de la place sont clos. Tout est silencieux. Je traverse le village endormi en cette fin de journée. Ils doivent tous être au café. Comme d'habitude. Oui. J'entends quelques éclats de voix. Ils s'estompent alors que je m'éloigne. J'approche de la falaise. Ferme les yeux un instant. Une larme roule sur ma joues. Mes levres gercées me brulent a cause de l'embrun salé. Le vent est froid. Je serre les dents, me retourne. Je monte la petite cote. Pousse la grille en vieux fer forgé. Avance dans l'allée, entre les dalles. Ne regarde pas de part et d'autre des vieux cyprès. Tourne à droite. Deux fois à gauche. Et tu es là. Devant moi. Sous terre. Je dépose les fleurs. Murmure. " Je t'aime." Eclate en sanglot. Toi que la mer m'a pris par un jour d'automne, il y a un an. Toi qu'elle m'a arraché. Cette mer tellement belle que tu aimais tant. Naufrage. Orage. Tempete. Quatre personnes. Trois survivants. Et toi... Toi... Je me retourne. Cours. Repousse la grille. Vois la falaise. Cours; Cours. Tombe. Dans l'herbe. Pleure. Cris. Hurle. serre les poings. Me calme.
Me releve. Rentre au village. Tape à la porte de l'hotel. Je passerai la nuit ici. Je rentrerai demain sur Paris. J'irai travailler au journal comme d'habitude. Je sourirai. J'irai peut-être à la patinoire. Ou au cinéma. Je sortirai avec mes amies. Et puis, je m'acheterai un nouveau manteau.
Et tout le reste.. après quand j'aurai eu le temps de finir le bordel qui s'accumule en ce moment autour de moi !
300x1000 Bises Mymy
300x1000 Bises Mymy
Mardi 17 octobre 2006 à 21:47
Le 299ème .. et tout ce que j'ai à vous dire c'est que je me bats encore avec me Css.
Pour une raison inconnue, mes titres ce sont mis en liens standards.. pas moyens de les changer, de plus, je n'arrive pas à centrer comme il faut et je me suis découverte une véritable passion pour les marges.
Ceci est donc.. environ le 10ème SOS que j'envoie à travers ces pages. Si quelqu'un manipulant aisément le Css pouvait passer faire le ménage dans ma feuille de style. Je demande pas des changements de couleurs, de bannière ou autre. Un petit passage, deux, trois améliorations avec les propriétés que je ne maîtrise pas. Voilà c'est tout je crois.
Si des gens veulent participer au 300ème article du blog par des mots, des textes (réservés aux anciens et aux amis.. ils se connaissent) des dessins ou des photos, il faut me les envoyer rapidement.
Même si j'en ajouterai, je pense après le premier envoi de cet article.
Le 300ème. Ca en fait du temps passé avec vous à débiter mes conneries mine de rien.
Ca en fait des mots, des photos, des dessins, des pensées, des réflexions, des sentiments, et des visites. Ca me donne chaud au coeur. Et je fois vous avouer que j'en ai besoin ce soir.
Cela fait un mois que j'ai appris que Romain s'est tué dans cette chute d'arbre. Je me sens seule. Alors je continue de taper sur ce putain de clavier qui me fait mal aux doigts.
Encore et toujours je me répète dans ce monde que j'ai eu la bonne idée de me créer un jour. Encore et toujours je vous répête des choses dont vous n'avez cure.
Demain j'arriverai au lycée. J'aurai froid. Je serai triste. Et personne ne saura pourquoi.
Ce n'est pas dur pourtant de le dire. Je le fais à chaque article ici. Mais que quelqu'un du lycée lise cet article et vienne me voir demain, cette pensée ne s'installe pas une seconde dans mon esprit. Les gens qui lisent ce blog, j'ai beau en connaître certains, dans cet espace je parle éternellemnt à des inconnus, ou aux gens qui n'auront jamais mes messages.
On fonctionne comme ça depuis 299 articles et bientôt un an. Pourquoi changer ? Pour évoluer oui, comme je l'ai dit dans un article également. En tout ce temps cela a évolué, les design, les pensées, les moyens d'expression, paraît que j'ai grandi aussi. Là dessus je reste plus que sceptique. M'enfin. Vous voyez comme ça va vite un article ? Des mots qui s'enchainent, s'emboitent et se suivent tout seuls ? Presque pas besoin de réfléchir. Ils viennent naturellement. Nous sommes passés d'un problème récurrent de Css à une problématique récurrente chez moi. Et à cette réponse, toujours identique :
MERCI A VOUS !!
1000 Bises,
Mymy, ses fautes d'orthographes et le reste.
Ce soir j'ai le courage de rien.
Je voudrai juste avoir de l'affection, pouvoir en commander sans en faire la demande.
Bizarre ouais. Qui est le con qui a dit que j'avais grandi ?
Mercredi 11 octobre 2006 à 20:08
Il y a eu un bug. Tout le Css ou presque est à refaire.. tant pis ou tant mieux. Ce sera tout beau pour le 300ème article !!
1000 Bises
Mymy, technicienne de maintenance.
1000 Bises
Mymy, technicienne de maintenance.
Dimanche 8 octobre 2006 à 21:35
Ce soir je n'ai pas d'inspiration. De plus en plus de gens viennent ici pour lire avec nous. Je ne sais pas pourquoi je dis avec nous. Si vous lisez ceci c'est que vous faites partie de ce nous. M'enfin bref, je ne m'arrange pas.
Pourtant, en ayant rien à dire, je ressens l'envie, presque le besoin de venir écrire.
Taper quelques mots sur mon clavier. Et appuyer sur ce fameux bouton "Envoyer".
Je connais des gens qui se livrent totalement sur leur blog. Ils arrêtent au bout d'un moment. Moi, cela vous paraît peut être à petites doses,mais j'ai l'impression d'en dire plus que je ne l'avais jamais fait. Est ce pour cela que j'ai cette désagréable sensation de sans cesse me répéter ? N'hésitez pas s'il vous plait à me faire part de vos remarques, suggestions, avis. Je voulais cet espace comme un espace de partage.
L'impression d'être la seule à pouvoir parler s'installe en moi. Si mes textes ou mes images vous touchent dites le, je vous en supplie presque. Pour que je puisse savoir si mes mots sont ou non jetés à un vent autre que le mien.
Avant je faisais des efforts pour donner des couleurs. Maintenant il y a juste ce que j'ai envie de mettre. Je me force encore à essayer de ne pas me répéter dans les polices. Mais pourquoi ? Je me pose la question. Je dois apprendre à ne pas vouloir contenter des avis inaudibles.
Qui se souvient du début ? Des premiers articles. Des premières chansons ? Quand le fond était bleu. Quand le fond était indien. Quand le fond était noir. Celui qui est resté longtemps. Celui à cause du quel je dois encore éditer des vieux articles et ce n'est pas fait.
Encore 1000 Bises.
De la grande mymy. Bien petite décidement.
Samedi 30 septembre 2006 à 21:24
Mardi 26 septembre 2006 à 20:17
Je vous ai dit que c'était en trasnformation et pour vous.. les événements ont relegués ces résolutions à une place moindre. Pour me faire avancer et nous faire avancer, elles reviennent, plus fortes que jamais.
Bientôt une machine à écrire..
Bientôt une machine à écrire..
1000 Bises !!! Mymy
Dimanche 24 septembre 2006 à 14:17
Lundi 18 septembre 2006 à 21:14
Ce n'est pas une exposition. Pas une exposition de sa mort. Pas une exposition de la douleur. C'est ce sur quoi j'ai besoin de mettre des mots. Pour comprendre.
Comprendre, on ne comprend jamais. Pour accepter.
Comprendre, on ne comprend jamais. Pour accepter.
Vendredi 15 septembre 2006 à 18:46
Je passe la main.
Pour quelques jours ou quelques temps. Ceux qui ont mon mot de passe invité sont invités à poster, ça tombe sous le sens.
Mais le contrôle du blog revient à François. Qui me préviendra de tout soyez rassurés. Donc n'hésitez pas à laisser toujours plus de messages.
Pourquoi François.. bonne question. Parce qu'il est toujours là pour moi. J'ai l'impression de le connaître depuis des années, alors que cela fait à peine deux mois.
Deux mois où il n'a pas maché ses mots. Il a connu mes faiblesses et mes forces de la même manière que j'ai connu les siennes. Aucun pied d'estal. Deux personnes qui se regardent dans les yeux et qui comprennent, qui peuvent voir ce qu'elles seraient devenues.
Et puis à lui la main pour poster ce qu'il veut. Des textes encore et toujours de moi aussi. Tout compte fait, je parle de lui dans certains textes, il ne trouve pas lesquels. Du moins pas encore. Peut être qu'il y arrivera après être passé de l'autre côté de l'article. Aidez le si il vous le demande. Vous ne le connaissez pas mais moi si. Il le mérite.
Samedi et Dimanche. Championnats du Monde de judo. Et la fête au village.
Le coeur ni à l'un ni à l'autre.
La perspective d'essayer d'aller chanter une fois chez Caroline. Bien.
On m'a demandé de l'aide. Je ne m'y attendais pas. Je ne m'y fais pas. Etrange comme quelqu'un en train de se noyer aura toujours la volonté de plonger plus profond pour aider quelqu'un d'autres.
- Ca c'est pas les gens Margaux. Il n'y a que les gens comme toi.
- Comme nous.
- Oui. Si tu le dis.
Voilà pourquoi je lui laisse mon blog. Mon alterego.
Recommandations avant le départ :
Pour quelques jours ou quelques temps. Ceux qui ont mon mot de passe invité sont invités à poster, ça tombe sous le sens.
Mais le contrôle du blog revient à François. Qui me préviendra de tout soyez rassurés. Donc n'hésitez pas à laisser toujours plus de messages.
Pourquoi François.. bonne question. Parce qu'il est toujours là pour moi. J'ai l'impression de le connaître depuis des années, alors que cela fait à peine deux mois.
Deux mois où il n'a pas maché ses mots. Il a connu mes faiblesses et mes forces de la même manière que j'ai connu les siennes. Aucun pied d'estal. Deux personnes qui se regardent dans les yeux et qui comprennent, qui peuvent voir ce qu'elles seraient devenues.
Et puis à lui la main pour poster ce qu'il veut. Des textes encore et toujours de moi aussi. Tout compte fait, je parle de lui dans certains textes, il ne trouve pas lesquels. Du moins pas encore. Peut être qu'il y arrivera après être passé de l'autre côté de l'article. Aidez le si il vous le demande. Vous ne le connaissez pas mais moi si. Il le mérite.
Samedi et Dimanche. Championnats du Monde de judo. Et la fête au village.
Le coeur ni à l'un ni à l'autre.
La perspective d'essayer d'aller chanter une fois chez Caroline. Bien.
On m'a demandé de l'aide. Je ne m'y attendais pas. Je ne m'y fais pas. Etrange comme quelqu'un en train de se noyer aura toujours la volonté de plonger plus profond pour aider quelqu'un d'autres.
- Ca c'est pas les gens Margaux. Il n'y a que les gens comme toi.
- Comme nous.
- Oui. Si tu le dis.
Voilà pourquoi je lui laisse mon blog. Mon alterego.
Recommandations avant le départ :
Lundi 4 septembre 2006 à 17:08
"As long as the mind is enslaved, the body can never be free"
Martin Luther King
Je redécouvre des citations ou de proverbes.. juste pour faire réfléchir quelques instants. S'arrêter un peu même (surtout ?) si on n'a pas le temps. Et je sais ce que je dis. Afin de faire taire des rumeurs ridicules quant à mes derniers textes : c'est quelqu'un que j'ai vu pour la dernière fois en décembre dernier et que je ne compte pas revoir. Aucun rapport avec ce que j'ai entendu. D'ailleurs cela va un peu mieux. Oh je ne dis pas que je dors comme un bébé, mais les mauvais rêves remplacent désormais plus souvent l'insomnie.
Je devais vous dire un truc.. important ou pas je ne sais plus.. les mots glissent et me trompent.
[...]
Non je m'en souviendrai pas. Noir. Blanc. Arc-en-ciel. Les courleurs se confondent. Existent elles vraiment ?
Martin Luther King
Je redécouvre des citations ou de proverbes.. juste pour faire réfléchir quelques instants. S'arrêter un peu même (surtout ?) si on n'a pas le temps. Et je sais ce que je dis. Afin de faire taire des rumeurs ridicules quant à mes derniers textes : c'est quelqu'un que j'ai vu pour la dernière fois en décembre dernier et que je ne compte pas revoir. Aucun rapport avec ce que j'ai entendu. D'ailleurs cela va un peu mieux. Oh je ne dis pas que je dors comme un bébé, mais les mauvais rêves remplacent désormais plus souvent l'insomnie.
Je devais vous dire un truc.. important ou pas je ne sais plus.. les mots glissent et me trompent.
[...]
Non je m'en souviendrai pas. Noir. Blanc. Arc-en-ciel. Les courleurs se confondent. Existent elles vraiment ?
[...]
Hier en début de soirée, si ça interesse quelqu'un j'ai encore fait deux trois mises au point. Importantes elles aussi. Subconscient en travaux pour j'espère plus trop longtemps.
[...]
J'ai laissé passer mon 200ème article. Le 222ème aussi. Ainsi que le 232ème.
Le temps passe vite avec vous.
J'ai presque mon grand écart droit.
[...]
Une phrase retenue de Anaïs (la chanteuse, pas la mienne) : Et quand son rêve se casse, un autre le remplace.
[...]
Ce blog n'est pas bien interessant en ce moment, vous m'en voyez navrée.
[...]
1000 bises, Mymy
Hier en début de soirée, si ça interesse quelqu'un j'ai encore fait deux trois mises au point. Importantes elles aussi. Subconscient en travaux pour j'espère plus trop longtemps.
[...]
J'ai laissé passer mon 200ème article. Le 222ème aussi. Ainsi que le 232ème.
Le temps passe vite avec vous.
[...]
Une phrase retenue de Anaïs (la chanteuse, pas la mienne) : Et quand son rêve se casse, un autre le remplace.
[...]
Ce blog n'est pas bien interessant en ce moment, vous m'en voyez navrée.
[...]
1000 bises, Mymy
Vendredi 1er septembre 2006 à 17:42
Les plus perspicaces d'entre vous (kof kof) c'est à dire à peu près tout les gens qui ne viennent pas sur ce blog pour la première fois, remarqueront que j'ai changé le fond musical.
J'aimais bien l'ancien, mais parfois (quand j'actualisais 20x en quelques minutes parce que je travaille le Css par exemple) il m'énervait légérement XD.
Alors pour la rentrée, parce que même si comme moi vous avez décidé de vous voiler la face, elle arrive quand mêmen et bien changement. Retour d'une valeure sure, Milestone !!
J'aime particulièrement celle là. Alors n'hésitez pas à donner votre avis.
Encore un petit goût de vacances dans la bouche. J'ai hâte qu'il s'en aille.
J'aimais bien l'ancien, mais parfois (quand j'actualisais 20x en quelques minutes parce que je travaille le Css par exemple) il m'énervait légérement XD.
Alors pour la rentrée, parce que même si comme moi vous avez décidé de vous voiler la face, elle arrive quand mêmen et bien changement. Retour d'une valeure sure, Milestone !!
J'aime particulièrement celle là. Alors n'hésitez pas à donner votre avis.
Encore un petit goût de vacances dans la bouche. J'ai hâte qu'il s'en aille.
Dimanche 20 août 2006 à 15:16
L'article précédent, je dois l'avouer à été inspiré d'une vidéo que je me dois de vous présenter.
Hier soir ou plutot la nuit dernière j'avais fait un magnifique texte d'introduction à cette vidéo avant que mon ordi ne bug... Je n'ai pas trop le courage de recommencer maintenant. Mea Culpa.
Allez, un peu quand même.
Cette vidéo m'avait bouleversée car sous les traits de la danseuse Polina Semionova du Staatsballett Berlin qui danse dans ce clip du chanteur Herbert Grönemeyer j'avais retrouvé Enelya. Qui est le pur fruit de mon esprit. Et cette danseuse n'était autre qu'ELLE.
Ses yeux, son jeu, son doigt qui touche presque la caméra dans cette quasi pudeur qui s'arrête et qui nous arrête. Juste avant que la danseuse ne se dévoile totalement sans rien voir d'autre autour que sa danse.
Le début dans un décor plutot sombre avant que l'on ne découvre un grand theâtre.
Enelya c'est la même chose et ce théâtre au final elle le découvrira comme le grand dans lequel elle jouera la pièce de sa vie.
La danseuse vole littéralement et moi ben... c'est comme si je voyais mon personnage prendre vie ailleurs que dans mes mots. Une sensation haute en émotions variées.
Alors, Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, Cher(e)s Ami(e)s, Cher(e)s Bloggeu(ses)rs j'ai aujourd'hui l'inexpliquable joie de vous faire découvrir Enelya. Sous les traits de Polina Semionova.
Hier soir ou plutot la nuit dernière j'avais fait un magnifique texte d'introduction à cette vidéo avant que mon ordi ne bug... Je n'ai pas trop le courage de recommencer maintenant. Mea Culpa.
Allez, un peu quand même.
Cette vidéo m'avait bouleversée car sous les traits de la danseuse Polina Semionova du Staatsballett Berlin qui danse dans ce clip du chanteur Herbert Grönemeyer j'avais retrouvé Enelya. Qui est le pur fruit de mon esprit. Et cette danseuse n'était autre qu'ELLE.
Ses yeux, son jeu, son doigt qui touche presque la caméra dans cette quasi pudeur qui s'arrête et qui nous arrête. Juste avant que la danseuse ne se dévoile totalement sans rien voir d'autre autour que sa danse.
Le début dans un décor plutot sombre avant que l'on ne découvre un grand theâtre.
Enelya c'est la même chose et ce théâtre au final elle le découvrira comme le grand dans lequel elle jouera la pièce de sa vie.
La danseuse vole littéralement et moi ben... c'est comme si je voyais mon personnage prendre vie ailleurs que dans mes mots. Une sensation haute en émotions variées.
Alors, Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, Cher(e)s Ami(e)s, Cher(e)s Bloggeu(ses)rs j'ai aujourd'hui l'inexpliquable joie de vous faire découvrir Enelya. Sous les traits de Polina Semionova.
Dimanche 20 août 2006 à 1:44
Dans l'article précédent vous avez découvert Myriam.
Seconde de mes héroïnes à qui j'ai décidé d'accorder un type de texte.
Enelya que vous connaissez déjà, jeune, talentueuse, ambitieuse et acharnée.
Myriam dont vous venez de faire la connaissance, talentueuse, ambitieuse, indépendante et dynamique.
Raphaëlle, qui va arriver, talentueuse, ambitieuse,belle, nomade et libre.
Elles ont toutes comme vous l'avez remarqué deux points en commun. C'est fait exprès.
On m'a dit qu'il me manquait une chose principale pour accomplir mes rêves. Le talent.
Mais qu'arrive t'il à trois filles si différentes, si semblables et qui, au final sont toutes un peu à l'intérieur de moi ? Le talent fait il vraiment tout ? Je ne crois pas. Il faut autre chose à côté. Qui peut considérablement varier d'une personne à l'autre. Et parce que je n'oserai même jamais oser penser à rêver d'être une de ces filles, d'avoir leur talent, et bien je ne rêve pas je les écris.
Ces jeunes filles, jeunes femmes ou femmes vous réservents bien des surprises.
Pas que dans les textes. Elles me réservent des surprise à moi aussi.
Seconde de mes héroïnes à qui j'ai décidé d'accorder un type de texte.
Enelya que vous connaissez déjà, jeune, talentueuse, ambitieuse et acharnée.
Myriam dont vous venez de faire la connaissance, talentueuse, ambitieuse, indépendante et dynamique.
Raphaëlle, qui va arriver, talentueuse, ambitieuse,belle, nomade et libre.
Elles ont toutes comme vous l'avez remarqué deux points en commun. C'est fait exprès.
On m'a dit qu'il me manquait une chose principale pour accomplir mes rêves. Le talent.
Mais qu'arrive t'il à trois filles si différentes, si semblables et qui, au final sont toutes un peu à l'intérieur de moi ? Le talent fait il vraiment tout ? Je ne crois pas. Il faut autre chose à côté. Qui peut considérablement varier d'une personne à l'autre. Et parce que je n'oserai même jamais oser penser à rêver d'être une de ces filles, d'avoir leur talent, et bien je ne rêve pas je les écris.
Ces jeunes filles, jeunes femmes ou femmes vous réservents bien des surprises.
Pas que dans les textes. Elles me réservent des surprise à moi aussi.
Samedi 19 août 2006 à 16:41
Parce que ce blog m'a manqué. Parce que je veux remercier les gens qui lui rester si fidèles.
Je bidouille le Css... j'améliore.
Et ce qui me tue c'est que certains changements ne sont visibles qu'avec IE.
Le comble pour une firefoxeuse comme moi...
10000 Bises Mymy
Je bidouille le Css... j'améliore.
Et ce qui me tue c'est que certains changements ne sont visibles qu'avec IE.
Le comble pour une firefoxeuse comme moi...
10000 Bises Mymy
Vendredi 18 août 2006 à 19:28
J'y pensais, j'y pensais, et j'y pensais encore. A chaque moment. Toujours cette idée fixe cette obsession. Mais ce n'était qu'un rêve, un fantasme, ça n'était pas possible et je le savais. Comment ai je pu être aussi stupide ? Pourtant aujourd'hui et cela fut une grande surprise et bien.. cela s'est réalisé, mes voeux se sont réalisés, mes tortures mentales et physiques ont portées leurs fruits. Je ne sais pas si je dormirai ce soir. Mais ce sont déjà deux énormes poids en moins. J'approche de plus en plus de ce que j'attends, peut être qu'il faut laisser les choses un peu se tasser ? Et parler plus tard à tête reposée ?
De nouvelles questions dont les réponses cependant m'angoissent beaucoup moins que les précédentes. Tout vient à temps pour qui sait attendre.
J'ai aussi dit, il y a un certains temps que je me vengerai.... aujourd'hui j'ai hésité. Mais parce que je l'ai dit, parce que je l'ai pensé au point de vous le dire et de trouver en moi la force de me le promettre, je le ferai.
Comme quelqu'un me l'a fait remarquer les choses évoluent vite. C'est bien vrai.
Comme quelqu'un me l'a fait remarquer les choses évoluent vite. C'est bien vrai.
On m'a fait évoluer plus vite que prévu. Et plus vite qu'on ne le saura jamais.
Je suis en train de refaire les anciens articles, et certains noms vont sous peu apparaitre.
Je vous le dis. Un jour tout les textes déjà présents seront révélés en entier.
Mais sans nul doute que d'autres seront apparus d'ici là.
1000 bises Mymy
**********************************************************************
ce qui m'a permit de tenir durant les vacances c'est de vous écrire.
et de les appeler.
Les plus observateurs reconnaitront l'article "Envie, secret de l'espoir"
et puis derrière il y a aussi une chanson que je prépare depuis un certains temps déjà .. Le chemin qui plonge.
A suivre.
Vendredi 18 août 2006 à 0:38
et encore une fois tout changer ou presque.... Garder le regard et voir disparaitre la honte.
Sans remords ni regrets c'était ma devise, elle a été anéantie en quelques jours. Félicitée d'abord, c'est trop facile, et bien trop accomodant.
On en arrive à voir ce qui n'était pas, ce qui n'est pas et à se projeter dans ce qui ne sera pas.
Petit conseil parce que c'est bien pour ça que je suis là aussi.
VouZémoi veut dire quelque chose.
Voici le conseil donc :
REVENEZ EN ARRIERE
revivez les moments,
jours après jours,
minutes après minutes,
le temps efface tout (ou presque)
même la honte
même l'amour
mais il n'efface pas les mots
que je change après le temps
parce que j'ai le pouvoir de gagner cette course
juste pour cette fois
trouve aussi cette envie
de changer le cours du temps
le fil des événements
on est maître
non pas des sentiments
mais des pensées
et encore une fois
des mots..
reviens en arrière
Ici
Sur ce blog
Comme ailleurs.
Et si tu en as besoin
Surtout écris.
Ne garde pas pour toi
Ce que tu veux changer.
VouZémoi veut dire quelque chose.
Voici le conseil donc :
REVENEZ EN ARRIERE
revivez les moments,
jours après jours,
minutes après minutes,
le temps efface tout (ou presque)
même la honte
même l'amour
mais il n'efface pas les mots
que je change après le temps
parce que j'ai le pouvoir de gagner cette course
juste pour cette fois
trouve aussi cette envie
de changer le cours du temps
le fil des événements
on est maître
non pas des sentiments
mais des pensées
et encore une fois
des mots..
reviens en arrière
Ici
Sur ce blog
Comme ailleurs.
Et si tu en as besoin
Surtout écris.
Ne garde pas pour toi
Ce que tu veux changer.
pix de moi.