Vendredi 12 janvier 2007 à 19:23

Ce personnage là a été inventé de toutes pièces, à cause d'un  jour d'ennui  trop bien installé.
Il ressort de son coin sombre parce que j'ai besoin de lui.
Oh il ne veut de mal à personne. Bien au contraire.
Pas la folie de croire qu'il sait mieux qu'eux ce qu'il y a de bon pour leur bonheur. Il n'a déjà pas réussi à trouver le sien.
Eparse il s'en va en toutes directions.


Le chemin de chardons,                    le pont suspendu,           et la route en travaux.

IF                                                    A                               NYB





Pas folle...
Entièrement.

   Elle a eu les textes.           
Verdict Lundi ?           

Jeudi 11 janvier 2007 à 22:08

Et je te vole ce qui est peut-être le plus important pour toi parce que je n'ai que ça à portée de la main. Nous faison preuve d'une hypocrisie remarquable.
Je ne vois plus quoi dire. J'ai déversé tellement de rage, de chagrin et de souvenirs dans cette chanson.  Que dire enfin sans me dévoiler plus que raison ? C'est plus qu'un dilemne. C'est une danse sans fin dans laquelle on ne peut que s'aperçevoir sans jamais se toucher, sans jamais en arriver à trouver la même cadence.

Nos pas s'inscrivent sans s'effacer et nous les piétinnont un peu plus à chaque mesure.

Mercredi 10 janvier 2007 à 22:12

Ce frisson qui me parcoure l'échine qui s'infiltre et poursuit son ascencion fulgurante jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien à glaçer. Est-ce plus beau comme cela ? La question mérite d'être posée. Pas ce soir.
L'échec a été fidèle au poste ce matin. Ta musique suit un chemin direct. Au hasard de ces notes découvertes l'ambiance se retrouve sans jamais s'égaler ni se ressembler. La concrétisation d'un souhait. D'un mensonge éternel par la même occasion. Pourtant je n'en ai pas peur. Il serait complétement irrationnel d'avoir peur de ce qui vous fait vivre. C'est ainsi que la peur s'absente pour laisser place à une angoisse dont la profondeur n'est égalée que par celle que peut atteindre mon frisson. Être rationnelle ne m'intéresse pas. C'est laisser s'échouer trop de possibilités, de chemins à prendre. Tellement se sont déjà effacés derrière moi, eux, nous, elle, lui. Ouvrir les bras avant de laisser s'enfuir ce qui pouvait rester. C'est ne pas avoir assez pensé qui amène au problème ? L'inverse en crée un autre. De deux maux en choisir le moindre. Que faire quand ils se rejoignent ?


Aux dernières nouvelles, un possible retour à la normale demain.
Les siens. (cf catégorie)

Mercredi 10 janvier 2007 à 21:15


Si il le faut. Toujours ma porte d'ouverte.

Désolé.



Mercredi 10 janvier 2007 à 16:46

J'enrage. Je flippe. J'oublie ma rancoeur pour un moment et elle me reprend. Faut-il envoyer paître les derniers voyages ? Créer plus loin, plus haut, plus fous que jamais. N'est ce pas ce dont tu avais envie ? Cette liberté que tu chérissais, chéris tant. Tu crois vraiment que le destin en fait partie ?
Il n'y a que vous qui semblez pouvoir m'y faire croire. J'y ai repensé hier soir. Tellement besoin de m'accrocher à ça pour tenir. Et ton culot insensé, flatteur, amusant, et surtout confiant.

"...."











Tu m'as dit où je serai dans dix ans. C'est la seule chose qui me donne encore le courage de vouloir y parvenir.
Bien que je ne l'ai jamais désiré cette place.
Les gens pèsent tellement sur vous. Avec leur confiance.
Pas la tienne. Elle, elle me porte.
Dis moi que là-bas je te retrouverai. Que je ne serai pas seule.
Achève de me convaincre.

L'enfant doit grandir. Veut grandir.
Mes ses parents restent ses parents.
Envers et contre tout.

Mardi 9 janvier 2007 à 21:40

Je viens de le décider, ce sera comme ça . /
Quand mon nouvel habillage sera bel et bien fini, je supprime l'ancien.
Il commence à me pomper l'air.
Article pour ne rien dire ?
Yeap, j'en profite puisque je le peux encore.

Mardi 9 janvier 2007 à 21:35

Pour en revenir aux bonnes vieilles habitudes, un article posté pour moi par un tiers.
Merci aux personnes qui ont félicité le nouvel habillage, mais je radote : je suis toujours à la recherche de quelqu'un pour réparer mes bêtises...
Je risque de ne pas beaucoup poster, bien qu'ayant un service de posteurs très efficace, cela va devenir compliqué.
Quand je parle de fatigue vous pouvez me croire j'ai l'impression de porter le monde sur mes épaules. (référence type sur Atlas, fort mais pas futfut) Je ne porte que mon (mes) monde(s) mais j'ai le dos fragile et la masse n'est pas insignifiante.
Vous m'excuserez donc, j'espère, de ne pas répondre à tous vos tags, commentaires, emails, je me rattraperai dès que je le pourrai.


1000 Bises x2
François & Mymy
Enfin Mymy, mais François.

Mardi 9 janvier 2007 à 18:05

Sur un bloc-notes bien fourni dont le nombre de feuilles va aller en s'amenuisant.
Qui a déjà fort bien diminué en fait.
J'écris au stulp noir. Depuis plusieurs jour c'est ce régime et pas un autre.
Et je ne peux pas poster. Alors que je pour une fois on peut trouver une certaine continuité dans les textes. Bref.
Ce matin j'étais prête. A l'exception d'une chose : j'avais oublié mon argent.
Ce n'est donc pas encore aujourd'hui que je te rejoins dans ta parure quotidienne.
Et puis du français, de l'anglais, et bien sur un DS d'SVT.
Sortir des cours, oublier toutes les notions qui tourbillonnaient dans ma tête. En espérant qu'elles vont y tourbilloner. Ce qui est certain c'est qu'après donc, j'irai prendre des photos. J'aurai ma veste, mon écharpe, je n'aurai pas oublié mon argent, et le reste.



La nouvelle et le script, les textes aussi.
A imprimer. A donner.
A ma prof, à mes profs.

                Et puis taper les textes.                                  
Qui seront dans le désordre.     
Fatiguée en général.
Alors pour trier...                                    

Mardi 9 janvier 2007 à 17:59

C'est vrai après tout, personne n'est sur de rien.
C'est ton enfance qu'à travers ces barres chocolatée hypercaloriques j'essaye de trouver.
Au réveil ma première pensée vagabonde et s'évapore dans des contrées lointaines et merveilles où je n'ai jamais mis les pieds.

Elle riste immobile. Sans rôle à jouer dans cette affaire complexe. Regarde t'elle seulement le spectacle ? J'en doute.

Pourtant j'ai découvert quelque chose à son sujet : "mes meilleures amies"

Elle n'en a pas le moindre soupçon, pitoyable.

Je m'en veux de m'être arrêtée à ce mois. Mon nom n'apparait pas. J'en suis un peu déçue ? Ce n'est ps dit. Je préfère ne rien entendre plutôt que de savoir ce qui va me démolir une nouvelle fois.

Lâcheté ou courage ?

Y répondre ou pas ?



Mardi 9 janvier 2007 à 17:44

Waou !

Ils sont tous malades. Je les aime tous pour ça.

Mardi 9 janvier 2007 à 17:42

J'aurai pu juste oublier, enfouir ça quelque part, un souvenir que l'on ressort entre copains copines les soirs un peu trop gais. C'était possible.
Ce ne serait ni devenu un conte de fées ni une histoire cauchemardesque. Entre les deux. A l'endroit dont on ne se préoccupe pas. Le milieu. Le médiocre ?
Impossible. C'est ce que tu me fais haïr chez les autres.
Comment alors tenter d'atteindre ce niveau sans offenser l'image que je me suis faite ?
Etrange, ce soir, et depuis longtemps en réalitée, je ressens un apaisement.
J'ai abattu mes cartes, les unes après les autres et chacune a été irrémédiablement balayée d'un revers de main que j'ose encore parfois croire accidentel. On ne supprime pas ce à quoi on attache aucune importantce.

Ce n'est pas un apaisement. C'est un vide.

Dimanche 7 janvier 2007 à 14:54


Je sais maintenant à peu près ce que je veux faire comme designs. Le "en travaux" a un peu évolué, mais comme c'est le dernier jour des vacances et que j'ai une flemme horrible je ne l'ai pour l'instant modifié qu'avec le module. Rassurez vous donc ça ne restera pas comme ça.
Un autre est en train de naître dans mon esprit (si si je vous jure ce n'est pas qu'un désert aride) il sera assez spécial. Mais j'y tiens beaucoup. Lors de sa réalisation le blog passera peut-être en mode sécurisé avec un mot de passe. Pour faire les choses correctement.

 Ensuite je tiens encore à dire merci à tous les gens qui postent des commentaires et des tags. D'ailleurs merci aux personnes qui viennent ici tout simplement. Pour le mois de Décembre 2006 nous n'étions pas loin des 2000 visites... je dis waou !! ( Kezox sera assez aimable pour ne pas ramener ses 11000 visites dans ma face ici ! )

En résumé, au lieu de bosser je fais joujou ici. Pas bien. Ouais je sais. Ouais je m'en fous.

D'autres questions ?

Technorati Profile

Samedi 6 janvier 2007 à 23:00



Envie de me casser dans un appart enfumé dans Lille. Les saladiers sont remplis de paquets de cigarettes et de briquets. Des narguilés, des coussins dans tous les coins. Les bouteilles qui circulent et se vident à une vitesse impressionnante même pour nous. Le lendemain se réveiller sans vraiment savoir ce que je fous là, qui est avec moi et autres considérations futiles et ne pouvant que me pourrir la journée. Rassembler mes affaires qui se sont éparpillées un peu partout dans les pièces sans que je sache vous expliquer comment. Enfiler mon manteau, mes gants, récupérer deux/trois indispensables qui ont échappés à la nuit bien agitée et repartir plus tôt que les autres. Laisser une vague impression d'amusement flotter sur le souvenir de ma soirée. M'éloigner en me les gelant vers l'endroit où je devais passer la nuit. C'est moi la silhouette qui se sépare du noir des rues que par la tache blanche qui lui sert d'écharpe. L'écharpe c'était à la base pour mes cordes vocales. Très délicate intention. Un cadeau aussi utile que beau. Mais de toutes manières ma prof de chant piquera une crise jeudi midi.

Et c'est comme ça que j'aime ma vie.

Samedi 6 janvier 2007 à 18:56



Je devais lui rendre hommage. A cette petite qui se croyait grande. Qui pensait pouvoir résoudre ses problèmes ou faire avec. Elle était jolie n'est ce pas ? On lui disait. Maintenant elle peut inspirer le dégoût des uns ou des autres, et on vient encore lui dire ensuite que l'honnêteté est toujours récompensée.. Laissez la s'étouffer. Dire la vérité, elle l'a fait, à deux reprises, ses deux plus belles erreurs. Alors je lui rends hommage. Parce que juste quand elle n'y croyait plus, elle a recommencé. A zéro, ou encore en dessous. Elle hésite encore. Idem pour moi.



Samedi 6 janvier 2007 à 18:44



Des tas et de tas de choses écrites mais est ce qu'elles valent la peine d'être mises en ligne ? C'est une question à laquelle je dois apporter une réponse. Rapidement. De préférence. Tiens, en message défilant. Avec l "esclavagiste" de cowblog en prime !
Je ne pensais pas y retourner avant longtemps. Je dois lui dire merci. Et puis  tant pis...

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

Allongés, ils ne voient rien autour d'eux. Le monde n'est qu'une ridicule histoire qu'ils sont forcés de vivre un peu plus chaque jour. Sauf pour elle, qui ne peut faire sans voir ailleurs, alors elle prend son courage à deux mains et lui dit. Qu'elle ne peut pas l'aimer vraiment, qu'elle le veut, mais que ce serait un mensonge de dire qu'elle le veut de tout son être. Une partie lui appartient, c'est sur. Le seul problème c'est que cette partie prend de l'importance, par période, s'étend plus quand l'occasion se présente.

Voilà, j'aime un souvenir, mais pas simplement. Tu sais que je suis une gamine orgueilleuse, prétentieuse, ambitieuse et butée.. Comment cela aurait-il pu ne pas s'appliquer à ce souvenir là ?

Je sais, je te lis. Je sais depuis longtemps que je ne peux pas revendiquer autre chose que ce que j'ai déjà. Pourtant il faut toujours garder un espoir.

C'est ce qui me détruit de ce côté.

Je sais.

Depuis combien de temps ?

Depuis que je t'aime.

Ca ne veut pas dire grand chose pour moi.

Juin 2005.

On venait de se connaître.

Que veux tu, je suis peut-être un peu romantique au final.

Mais tu étais avec ...

Oui.

....

J'étais déjà comme ça ?

Si  j'ai bien compris depuis ton premier calcul, et même avant.

Samedi 6 janvier 2007 à 17:00


Demande comme ça : quels films à voir, quels livres lire, quels albums écouter ?


J'ai de l'argent. Je dois passer à la Fnac.

Samedi 6 janvier 2007 à 16:29



Le doute n'a maintenant plus lieu d'être. Je sais ce que je vais faire du temps qu'il me reste. En écoutant ta musique, j'essaye de deviner tes mots. En chantant ton amour perdu je voudrai retrouver le mien et c'est pour ça que je suis attachée à toi. Tu me fais vivre ailleurs, ou les emmerdes sont justes plus profondes et les joies plus grandes tu me donnes ce que je demandais sans l'oser. Et on se fout du pardon des autres, ils n'ont aucune espèce d'importance, une fois qu'on aura retrouvé la signification du mot "paisible" ce qui n'est pas près d'arriver, on pourra se dire que c'était beau

Samedi 6 janvier 2007 à 12:26



Suffit de retrouver les quelques notes, les quelques paroles, qui faisaient ce moment et je sens le rouge me monter aux joues en même temps que j'aimerai pouvoir pleurer sur ce qui est parti.
Une image passée fugitivement a détruit la tranquillité que je pouvais avoir . Et elle ne s'en est pas rendue compte.
Je veux repartir vers cet ailleurs. Ton retour ne peut signifier qu'une remise à zéro des compteurs.
Je m'énerve vite. M'emballe encore plus vite.
La différence c'est que chez moi on ne trouve rien de bien là dedans.




Vendredi 5 janvier 2007 à 21:41



Tu t'es retounée, tu m'as fait un sourire, doux et pétillant, un de tes sourires que je ne voudrai qu'à moi et tu m'as souhaité bonne chance. Je revois ce sourire. Non je ne le revois pas, il ne cesse de s'imposer dans ma pensée.
La vie a un sens de l'ironie qui m'épatera toujours. Comme si pour ça j'avais besoin de chance. Le résultat m'est déjà connu, alors que pour toi je n'ai aucune idée de là où je mets les pieds. Enfin si, j'en ai trop justement. Des songes à demi-éveillés, après avoir passé la journée à amasser de quoi sentir ta présence alors que ton absence me déchire le coeur, à un point tel que je pense me  l'arracher  pour arrêter de le sentir autant tiré ves toi.
Puis c'est le travail de mon imagination, des matins brumeux, des volutes de fumées, des gens emmitouflés dans leurs petites laines, le bruyant silence de Paris, les mains autour d'une tasse fumante, l'impatience du jour où je te connais à nouveau et surtout ces demi-tours brusques mais ô combien délicieux puisque inévitables.


De toutes ces choses qui n'arriveront pas ce sont celles qui me manquent le plus.
Sans les avoir jamais connues.



Jeudi 4 janvier 2007 à 19:44

C'était suffisant. Enfin contentée. Prendre conscience sans brûler les étapes que c'est toi et pas quelqu'un d'autre.
L'amour sera durable puisque construit avant même d'exister. Le coup de foudre est réel, ce n'est pas moi qui vais le nier. Mais on ne m'entendra plus dire qu'il mène quelque part

Et je ne finirai pas cet article puisque ma mère est une imbécile de la plus belle espèce. Je vous remercie de venir toujours aussi nombreux sur ce blog et vous invite à poster en prenant l'initiative, tout débordements sera supprimé par un ami à moi.

Mot de passe : soñar

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