Samedi 20 janvier 2007 à 21:49

Je ne me sens pas continuer. Qu'ai je désormais en rapport avec eux ? C'est le fait de le vouloir qui m'attache, le passé. Qu'on idéalise, comme un avenir maîtrisable. Pourtant il ne l'est pas. Je me berce d'illusions. D'où suis-je quelqu'un ? La question se fait à chaque fois plus pressante. J'en détourne mon attention, mais je sais qu'elle reviendra.
Je passe vérifier presque toutes les heures mes boîtes de réception. Attendant un message. Dont je ne connais pas le contenu, et qui n'arrivera pas.
Question d'habitude.

Samedi 20 janvier 2007 à 21:23

Pourquoi cette période ?

Pouvoir passer un anniversaire tranquille, sans soucis, avec les personnes avec qui j'ai envie d'être.
Non. Je vois ce hasard malheureux. Je ne suis pas du genre à penser qu'il s'attache à moi. Au contraire. Je constate, et ça fait mal.

On peut m'accuser de beaucoup, mais de lacheté. Ca je ne l'accepterai pas. J'ai tendance à aller au fond des problèmes, des sentiments, je commence à me connaître, je sais que j'en souffrirai, cependant laisser les choses en latence c'est au-dessus de mes forces.

L'histoire se répète. Je veux changer cela. Je ne vis que pour ce changement qui tarde à venir.
A quoi tu penses ? Penses-tu seulement ? N'était ce pas une "vérité éphémère" ? Les acteurs ont changés. Mais l'actrice non. Et elle sombre un peu plus à chaque répétition.

Samedi 20 janvier 2007 à 20:56


Quand ma musique crie ce que nous ne voulons pas entendre.


On marche sans le savoir vraiment, on ne sait toujours pas vers quoi  on va mais on est bien parti pour y arriver bientôt.
Si seulement on arrêtait de se construire une bulle pour bien nous cacher des épreuves, si seulement pour une fois, on écoutait les autres, qui ne veulent que notre bien je présume.
On réussirait peut-être à faire quelque chose. Là nous sommes trop nombreux à souffrir à tour de rôle.
Autour les avis fusent, et se rejoignent, ils parviennent à nous transperçer de temps à autres, mais ne s'installent pas. C'est là que cela dégénère, c'est là que l'on déconne. La symétrie est parfaitement respectée.

Péché d'orgueil.

Est-ce bien moi qui écrit ? Je ne m'en suis pas aperçue.


Samedi 20 janvier 2007 à 14:20

Très mauvaise nuit. Enfin à partir de 3 heure je pense que l'on peut dire très mauvais matin. Je me comprends quoi (... là c'est fait exprès je vous rassure ! ) Mon dos m'a fait mal, mes yeux ne voulaient pas se fermer, j'étais fièvreuse et barbouillée. Anxieuse pour compléter le tout.  Le résultat : des rêves, qui ne viennent vraiment pas à propos.
Et malgré tout ça je garde un très bon souvenir de ma soirée. Parce que Nem n'aura peut-être plus longtemps avec moi le record de la plus longue conversation téléphonique.
Aujourd'hui je ne suis pas capable de vous décrire exactement mon état. C'est particulier.
Un mélange de .. beaucoup de choses. Mon corps est fatigué alors que cela faisait longtemps que mon esprit n'avait pas été aussi. Hum. Aussi, tel qu'il est actuellement.
Je ne peux pas écrire, je ne peux pas chanter, et je continue d'écrire des articles sans aucun sens pour vous. Encore plus qu'habituellement. Mais vous avez compris le mode de fonctionnement maintenant.


1000 Bises
Mymy




N.B : Photo de Silver.. bien sur.

Vendredi 19 janvier 2007 à 20:30

Maintenant c'est sur :

je couve quelque chose.

Jeudi 18 janvier 2007 à 21:06

Il fallait bien descendre un jour de mon nuage. J'y serai bien restée encore un peu. C'est visiblement impossible. Et oui je ne sais pas quoi dire ici, mais je le dis quand même. Complétement con vous ne trouvez pas ? Personne ne viendra me répondre.

Jeudi 18 janvier 2007 à 12:08

J'ai passé mon temps à me triturer les méninges pour trouver une solution qui serait à peu près valable. Je retourne le problème dans tous les sens je n'en vois qu'une seule. Elle n'est pas facile à mettre en oeuvre. Je ne peux pas couper les ponts, je ne peux pas faire semblant de rien alors je continue. Je parle, je ris je ne pleure plus,il y a eu suffisament de larmes versées pour ce sujet. Et toujours le mensonge qui me suit comme une ombre, il est là pour ne pas blesser les gens, pour qu'ils puissent être, du moins essayer d'être heureux avec ce fardeau en moins. Je prends les coups à leur place, je les rends aussi, parfois, quand je ne me sens pas d'humeur à laisser couler, ou qu'un regain d'énergie me dit qu'il ne sert à rien de baisser les bras pour maintenant.

Le matin quand je vois passer cette ombre qui régit nos vies, je n'attends que de pouvoir la détruire.

Je me mords la lèvre inférieure, jusqu'à ce que je sente un petit goût salé dans la bouche. Là je suis stoppée net, je ne veux pas que n'en arrivions au même stade.

Vivement cet après-midi, vivement ce soir.

Mercredi 17 janvier 2007 à 21:42

Ce sont quelques images, développées en noir et blanc qui défilent sur un petit écran, dans la pièce du fond, celle qui n'est pas chauffée.
Ce sont quelques morceaux, qui étreignent ma pensée, qui changent la manière dont mon coeur bat.
Ce sont quelques mots de plus en forts, que je lis par besoin, dont j'ai besoin par envie.
Ce sont quelques images, en couleurs sur une vidéos, qui m'interpellent et m'envoient par millier les sensations d'un(e) autre.
C'est le talent et sa décadence qui font que je suis toujours ici à essayer de comprendre ce que je peux bien vouloir dire au lieu d'avancer vers ce à quoi j'aspire.
Sans oublier mon crédit qui baisse plus vite que prévu.
La pénible sensation d'avoir à répondre de ses actes.
Et des collages à finir.
Ce sont aussi, j'ai failli l'oublier, les mêmes gestes, les mêmes mots, les mêmes gens et les mêmes fenêtres.
De temps en temps, quelqu'un qui vous demande "ça va ?" et dans ces deux mots tu perçois plus de sincérité que dans ceux prononcés durant des heures par d'autres. Alors tu t'arrêtes. Et tu réalises que tu ne sais pas quoi répondre.


Il semblerait, selon ce qu'une imbécile bienheureuse ou presque que nous ne citerons que par le pseudonyme de Margaux R, alias, My**, a écrit, que nous ayons environs une tonne cinq de travail à faire. Ce que nous ne ferons bien sur pas, soyez rassurés.

Comment ça je les fréquente trop ?

Trouve une catégorie à cet article toi. Je t'en prie.


Mercredi 17 janvier 2007 à 21:21

C'est stupide. Mais je n'y peux rien. C'est venu, un flash au beau milieu du magasin. Et je me suis posée la question, et oui pourquoi pas ?
Après tout on a encore du temps, on peut continuer comme ça avant de se décider pour autre chose.
J'ai toujours quelque espoir de te faire changer d'avis. Il peut se passer tellement de choses d'ici que nous arrivions à l'endroit de ma vision, un peu trop extrapolée, je le reconnais.
Un besoin subit de relire le début. J'ai eu peur. C'était le 11/11/06 et déjà une allusion. Je n'ai pas réalisé ce que je m'étais donnée comme objectifs. C'est vraiment con les objectifs vous ne trouvez pas ?
Surtout quand on n'arrive pas à les atteindre.
Oui ce soir j'ai envie de me dire que rien n'est perdu. Alors oui, je veux pouvoir revenir dans cette boutique, dans 4 mois et claquer mon argent dans une ridicule illusion faisant partie intégrante d'un bonheur maniéré et sur-programmé.



Mardi 16 janvier 2007 à 21:25

La journée fut sans charmes, banale, du genre de celle que l'on a pas envie d'oublier. On ne veut pas garder de traçes d'elle. C'est plus radical.
Triste à en mourir, je commence à réaliser le chemin que je semble emprunter. Il faut maintenant que je décidé si il me plait ou non. Les aventures ont défilées trop longtemps devant moi, trop belles et lointaines, trop charmeuses puisqu'impossibles. Autour les gens se noient par manque de choix. Puis-je oser me plaindre alors d'en avoir trop ? La réponse se fait comme une évidence.
J'ai beau regarder le ciel je ne vois pas le même qu'eux. Les nuages défilent, c'est un ballet improvisé, dont la complexité me fait perdre la tête. En allant vers eux, vers cet idéal, les choses s'effacent tour à tour. L'angoisse me prend, celle de faire se perdre le plus important. On ne peut retourner en arrière, c'est bien pour cela que je n'avais rien décidé. Avant de comprendre que l'absence de décision en était une en soi, il était trop tard. L'histoire est un éternel recommencement. Mais je n'ai pas fini de l'écrire ... si seulement j'avais commencé.

Je rêve d'une clé en or, de rubans, de demi pointes et de médailles.
Qui m'explique comment réussir à tout faire ?

Avec Explosions in the sky.
Cela n'a aucune espèce d'importance.

Mardi 16 janvier 2007 à 10:30

Elle crayonne sur un bout de papier, c'est si simple comme occupation. Et ce faisant je sens bien qu'elle s'éloigne de moi à une vitesse incroyable, comme poussée dans une pente vertigineuse. Où as tu décidé de partir ? Si je venais avec toi ? Pas le temps de lui demander, il ne reste déjà plus que les dernières traces de son parfum.                                                                                                       

Sur le bord de la route je reste à observer s'en aller la dernière attache qui me criait sans le vouloir, sans le savoir aussi, de rester avec eux, de faire semblant d'aimer les choses comme ça et de me contenter de ce que nous pouvions avoir. Sa silhouette finit par devenir invisible à mes yeux trop fatigués et à ce moment précis, aucune émotion, aucun ressenti.                                                      
Elle s'en était allée et le sombre idiot que je suis ne le réalisait pas.

Avec le recul je vois bien que je me suis trouvé à vivre ailleurs. A moins d'avoir appris à me contenter.

Mardi 16 janvier 2007 à 10:07

L'article d'hier, d'avant hier maintenant, était résolument trop optimiste. Moi qui voulais rajouter une note de gaieté... Je me retrouve obligée de démentir, ou presque. 22h. Une envie impossible, celle de tout plaquer. Alors je cherche quelqu'un, une de ces personnes qui peuvent me calmer, ou me rendre folle, selon les jours. Mister S. est là. Avec lui c'est .. spécial. Ca y est on est lancé. On peut tenir très longtemps dans ces soirées là. Mais il en a été décidé autrement. Un quart d'heure après les premières salutations d'usage le portable sonne.

Résultat ; la nuit a été d'autant plus bonne qu'elle a été courte.

"15 heure je me réveille comme une fleur, marguerite dans le macadam a besoin d'un doliprane."

Ce n'était pas vraiment cet état d'esprit. Il était 6heure du matin, j'avais dormi moins de 5h (euphémisme quand tu nous tiens) et je chantais.

Yeah !

En ce moment c'est plutôt : "Il faudrait essayer d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple." Jacques Prévert.

Lundi 15 janvier 2007 à 20:56

Je tremble à l'idée de te perdre. Les mots ne sont pas suffisants pour exprimer ce que je ressens aujourd'hui. Je vais me taire alors. Essayer du moins.

Dimanche 14 janvier 2007 à 18:16





Il me fallait mettre cettre phrase ici. Comme ça exactement. Il ne pouvait en être autrement.
C'était important. Pour se souvenir des joies comme des peines. Les unes ne vont pas sans l'autre. Je vis à 100 à l'heure, et je jongle entre les émotions comme certaines peuvent le faire avec des balles colorées. D'une personne à une autre mon état d'esprit sera différent. Ce matin encore une énorme pensée pour Romain. Mais ce n'est pas lui qui occupe mes journées. C'est Eux, tous. Et même les disputes, les mots blessants, les froids et les vides, peuvent devenir positifs. Ils prouvent leur présence. Lorsque j'écoute des plaintes, des problèmes, au fond de moi j'ai un petit éclat qui me permet de garder la force de leur dire que cela s'arrangera, d'une manière ou d'une autre. Que ça ne peut que s'arranger. Parce que malgré tout je vois que c'est un nous. Qu'on a quelque chose de commun. Ca, même après cela restera.
Il nous reste 14 jours avant ton départ. Ce départ c'est d'ailleurs transformé en votre départ. Cela va être très dur, il ne sert à rien de le nier.

Samedi 13 janvier 2007 à 22:55



Y'a des étoiles là-haut.
Tellement loin,
mais tellement belles.

Tu sais qu'il y a aussi des étoiles en bas ? Oui j'en suis persuadée, tu les connais également. Des petites lueurs dans notre vie de tous les jours. Ces petites chose qui paraissent infimes alors qu'elles sont d'une importance capitale. C'est quand elles ne sont pas là qu'on s'en rend le mieux compte. Une nuit sans étoile c'est vide, presque angoissant.
Alors toute une vie. Ces riens qui m'éclairent tu en fais partie. Ca aussi je devais te le dire. Je suis pas une grande scientifique. Ni une matheuse. Comme toi en maths j'ai tendance à faire autre chose. Donc je ne serai jamais une astronome très douée. Mais j'en ai découvert des étoiles.
Et parfois j'ai l'immense plaisir d'en retrouver une dans ma boîte de reception. Ou dans ma boître aux lettres. Dans ces moments là je reçois de la poudre pailletée dans les yeux. Je peux la garder longtemps. Elle fait un drôle d'effet cette poudre. J'ai un grand sourire qui reste planté sur mon visage par exemple. Ce n'est pas désagréable ça change. Parce que nous sommes des étoiles justes accessibles.
Il y en a certaines qui brillent fort fort, tellement qu'elles nous aveuglent, et on ne se rend pas compte de suite qu'elles nous font mal. Et que nous n'irons jamais jusqu'à elles.



Samedi 13 janvier 2007 à 22:34



J'aimerais écrire des mots d'amour
Parce que parler c'est pas mon fort.
J'aimerais écrire des mots d'amour,
Les faire jaillir de mes trois accords, mais
J'ai un peu froid, comme a dit l'autre,
Et ce long frisson qui n'en finit pas.
J'ai un peu froid, mauvais apôtre,
Mon cafard me lâche moins souvent qu'autrefois.

J'aimerais écrire des mots d'amour
Parce que le reste, c'est pas grand-chose.
Je l'ai appris et à mon tour
Je te le livre un peu ; je te propose
De laisser le long du discours
Nos contentieux et les comptes à rebours,
D'oublier le temps d'un refrain
Ce bon vieux réflexe ; moi j'en garde pour demain.

Des mots pour toi mais que je n'dis pas.
Ceux-là.

Quel était le refrain du jour ?
Si je l'oublie, je cède encore.
J'aimerais écrire des mots d'amour,
Jeter l'éponge, un peu, tenter le sort.
Une pause ici pour poser là,
Entre deux conflits, entre deux coups d'éclat.
Une pause pour dire autour de moi,
Mon ami, mon frère, mon amour, écoute-moi.


Samedi 13 janvier 2007 à 22:05

Et ces fille qui me racontent excitées comme des puces comment elles sont allée faire les soldes. Quels vêtements elles ont obtenu à quel prix.. etc.. J'acquiesce, pour ne pas choquer, pour ne pas dérange, je n'en ai pas la force pour l'instant.
Je me laisse porter par les gens, par leurs malheurs, leur petites anecdotes dont ils font tout un plat la vie me submerge sans qu'elle ait une quelconque emprise sur moi. Seules les musiques peuvent encore réveiller  ce que je garde au plus profond, elles n'ont pas forcément de paroles, de reconnaissance avec mon histoire. C'est ce qu'elles ont de merveilleux. Je trouve les clés malgré cela. Des gens me parlent encore. Je les entends, je parle avec eux, mais mon esprit est ailleurs. Il ne doit pas non plus être dans ces quelques mots que je tape. Mes doigts courent sur le clavier et mes yeux fixent le texte mais en voyant au delà. Je suis sur un nuage. Plus rien ne me touche. Je suis endormie ? En ce cas ils font partis de mes rêves. Tous ? Ensemble ? Réunis ? Impossible, même en rêve. C'est donc le monde réel que j'ai à affronter. Le constat n'est pas plaisant. Jamais je n'y arriverai.
Alors le flot continue de me faire avancer au gré de ses humeurs. Ainsi j'arriverai peut-être à vivre ?
En me laissant balloter.

Pour dire aux hommes de ma vie, surtout à ceux que je peux vraiment avoir auprès de moi, que je serai toujours là. Et que lorsque je parle d'un rayon de soleil qui éclaire nos existences, je mens. Vous êtes 7. A tour de rôle soleil et lune.

Il faut écouter Your Hand in Mine avec ça. D' Explosions in the sky.
Là vous pourrez ressentir.

Vendredi 12 janvier 2007 à 22:12

Le Magicien d'Oz est finalement devenu le fond musical de ce blog. Ce n'était pas le but.
Il est impossible de trouver les paroles sur internet. Zut alors. J'ai tellement d'émotions posées sur ses paroles.

Il est magicien d'Oz le mot devient prose..
Il fait du mot une arme de charme

Il lui suffit de prendre les mots de se les appropier et j'en oublie tout le reste. C'est une obsession. Au minimum.


Un parterre de poussières écloses..

Tu viens de ce qu'il reste de toi, des moments cassés que tu sublimes jusqu'à ce qu'ils atteignent un infini que nous ne devrions pas pouvoir imaginer.

Il écrit des vies faites d'argile de pluie, de fragiles comédiens, de mages.

Les gens semblent passer entre tes mains pour finir dans tes textes, puis ils repartent, reviennent, dans un mouvement irrégulier que toi seul contrôle. Ce que tu ne fais même pas.



Tout l'inspire, il m'inspire

C'est pour lui que j'ai écrit la quasi-totalité de ce blog.



Cet article n'est pas fini. J'aimerai décortiquer toutes les paroles, puisque j'y associe une tonne de choses. Demain surement. Et la chanter aussi. Vous la mettre. Peut-être plus tard.
Il me faut d'une façon comme d'une autre les paroles.
Et cette catégorie ose s'appeler "Elle adoucit les moeurs" ? Pauvre fille.

Vendredi 12 janvier 2007 à 21:32

Ca fait 13 pages imprimées depuis Word. C'est ridicule. La démarche aussi est ridicule, aussi bien sur le papier, imprimée ou non, qu'en pratique. 
Dans quoi j'entraîne mon monde ? Cela ne mène nul part.
J'en viens à penser que l'important ce n'est pas tant le but du voyage mais les gens avec qui on l'entreprend.
13 pages, ce n'est pas 12, ou 14, mais treize.

Ca a beau être ridicule.

C'est tellement colossal.                         



bande-son : Le Magicien d'Oz. J'ai trouvé le moyen de la mettre ici. Donc surement un article très prochainnement sur cette chanson qui représente beaucoup de choses pour moi.

(d')humeur : aux questions.

demain : des maths, du foot, des appels et une routine dans laquelle je ne suis pas sure de trouver quelque chose d'agréable. Malgré tout ce que j'ai pu lui dire à ce sujet.


Vendredi 12 janvier 2007 à 21:11

Ce squattage est involontaire. Mais quand je reçois des lettres de Bee.. et des trucs pareils, je ne peux faire autrement. Elle sait pourquoi. (Du moins je l'espère.)
Sur une feuille 21x29,7, quadrillée, grand carreaux, perforée classeur standard. Feuille verte.

*un petit dessin, comme une serrure à l'envers, on un vieux klaxon) " Quand je vois la mer, je ne bois plus la tasse..." (Pauline Croze - Mise à nu ).  [ Je le savais voyons !! ] *un petit dessin, une note*

*cf au dessus, une fleur* Je ne sais jamais commencer mes textes. Je tourne des millions de fois des phrases, des mots, et des idées dans ma tête, je cherche, je trouve, je laisse, je rature, je recommence.
Ce n'est jamais bon. Et je ne sais pas si cela le sera un jour. Ce texte par exemple.
En dehors de la citation, il commence par "Je". C'est horripilant un texte commençant par "Je". J'vais finir par croire que je suis narcissique ! Bref. Après le dévellopement du texte . C'est problématique ça aussi. Souvent j'm'arrête faute de mots. Ou de maux ?! Car c'est vrai.. Si j'étais tout le temps heureuse est-ce que j'écrirais autant ? Est-ce que j'écrirais tout court ? Mes malheures, et mes déprimes nourrissent mon inspiration et mon imagination. Je préfère écrire des choses tristes et être heureuse dans la vie plutôt que l'inverse. Non ? Je crois que je pourrais écrire encore des pages et des pages mais tu finirais par t'ennuyer je pense. ^^'..


J'aurai pu écrire la même chose. Et j'ai failli le faire hier soir. Faute de temps c'est passé à la trappe. La difficulté de ne pas commencer par "Je" et la relation tristesse/écriture.
Cette fille m'impressionnera toujours.


<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | Page suivante >>

Créer un podcast