Lundi 3 mars 2008 à 15:14
Dimanche 2 mars 2008 à 23:46
Dimanche 2 mars 2008 à 22:18
Au jardin de l'oubli.
Quand un oiseau soudain se pose...
Sur les arbres endormis.
Ainsi s'éveille la lumière, dans mon coeur engourdi.
Ma vie est comme une prière et mon coeur s'y blottit."
Sur ce, demain je retrouve Marjorie et je dois renvoyer un mail à Ségolène.
Dimanche 2 mars 2008 à 20:06
Du bout des hanches et de son regard de velours,
Quand il se penche, quand il se penche, mes nuits sont blanches,
Et pour toujours... Hmm
J'aime les notes au goût de miel, dans le prénom de Raphaël,
Je les murmure à mon réveil, entre les plumes du sommeil,
Et pour que la journée soit belle, je me parfume à Raphaël...
Peau de chagrin, peintre éternel, archange étrange d'un autre ciel...
Pas de délice, pas d'étincelle, pas de malice sans Raphaël,
Les jours sans lui deviennent ennui, et mes nuits s'ennuient de plus belle.
Pas d'inquiétude, pas de prélude, pas de promesse à l'éternel,
Juste l'amour dans notre lit, juste nos vies en arc-en-ciel, Raphaël...
A l'air d'un sage, et ses paroles sont de velours,
De sa voix grave et de son regard sans détours,
Dimanche 2 mars 2008 à 12:33
D'ici le premier anniversaire ça devrait être fun.
Je ne demande pas, j'amène. Je sais pas par contre pourquoi j'ai attendu autant.
C'est pratique les petites soeurs.
Le printemps a commencé le 29 février. C'est pas moi qui le dit, c'est le ciel.
Dimanche 2 mars 2008 à 11:01
Parce que décidément j'aime ce groupe.
Parce que je n'ai toujours pas trouvé de poster d'eux.
Parce que je suis plus qu'heureuse d'avoir pu faire découvrir cette musique.
Parce que cette chanson me fait penser à beaucoup de souvenirs.
Parce qu'aujourd'hui ces souvenirs ne font plus mal.
J'avance, je chante. Et j'ai même ressorti les demi-pointes.
Il fallait cela en centième "Elle adoucit les moeurs".
Parce que c'est tellement vrai à l'heure actuelle.
God bless the daylight, the sugary smell of springtime
Remembering when you were mine
In a still suburban town
When every thursday I'd brave those mountain passes
And you'd skip your early classes
And we'd learn how our bodies worked.
God damn the black night with all it's foul temptation
I become what I always hated
When I was with you then
We looked like giants in the back of my grey subcompact
Fumbling to make contact
As the others slept inside
And together there
In a shroud of frost, the mountain air
Began to pass from every pane of weathered glass
And I held you closer than anyone would ever get
Do you remember the JAMC?
And reading aloud from magazines
I don't know about you but I swear on my name they could smell it on me
I've never been too good with secrets.
No...
And together there
In a shroud of frost and mountain air
Began to pass through every pane of weathered glass
And I held you closer...
PS : pour écouter la chanson c'est juste un peu plus bas, mais je pense la remettre alors...
Dimanche 2 mars 2008 à 0:48
"On s'est loupé de
peu je crois, je ne comprends pas
Que nous deux
c'est terminé, que nous deux rien ne va
J'avais tellement
envie de toi, tu ne comprends pas non
Je ne comprends
pas non."
Tu vois j'ai cette chanson, qui me revient sans cesse en tête. De tout ce que j'aurais pu te dire, tout ce que je ne t'ai pas dit, ou de travers, ou trop tard. De toutes manières, à quoi bon. Tout cela ne sert plus à rien, et je n'ai plus rien à dire. Je me suis accrochée le cœur, et à croche cœur on avance plus, ou de travers. On tombe à la renverse sans trop comprendre pourquoi. Pour qui. Pour toi ?
J'ai les mots qui fuient, tu vois quand je pense à toi, il y a tout qui part en lambeaux, tout qui s'en va, qui s'envole. Je ne sais plus quoi dire, que faire, je n'arrive même plus à réfléchir. Je ne veux pas te voir alors que je le souhaite tellement fort, je veux que tu partes alors que je ne le veux pas, je veux que tu me parles mais je ne fais rien pour ça.
Je voudrais que tu comprennes. Enfin non. C'est trop tard maintenant. Il ne faut pas, jamais, que tu saches, que tu devines. Je suis bien trop attachée et toi bien trop peu. Je fais bien trop attention à ce que je dis ou fais avec toi. Tu le vois mais ne le sais pas. C'est bizarre tu sais. Que tu devines tellement de choses, mais pas le principal, au final. Que tu en saches autant sur moi sans rien savoir. Que tu cherches à en savoir plus sur tout ce futile, alors que tu n'effleures même pas le principal.
Tu vas partir et je ne vais rien te dire, comme d'habitude. Ou si peu et si camouflé que tu ne le comprendras pas. Ou de travers. Comme d'habitude. Tu sais, je ne supporte plus les gens. J'ai du mal. Je deviens de plus en plus susceptible. Oui je sais. Comme toi. Là c'est grave. Je me raccroche sûrement à une image, une idée toute faite, tant pis. On se raccroche à ce que l'on peut, mais même là, l'image vient de se déchirer et je chute. Tant que je ne m'écrase pas, ça ira.
Tu vois, cette chanson. Parce qu'on s'est louper de peu je crois. Mais… Ma vie ne s'arrêtera pas à toi, tu sais. J'aurais des regrets, de ce qui aurait pu se passer peut-être, de ce qui ne se passera jamais. Ça aura été bref, ça aura été comme un souffle en été, en pleine chaleur. Mais je continuerai sans toi. Je vivais bien avant, alors pourquoi pas après. Tu me manqueras, quand même, je crois. C'est tout.
Dimanche 2 mars 2008 à 0:44
<3
Sache juste que la revanche n'est pas terminée.
Mouhahaha.
Samedi 1er mars 2008 à 23:09
Un but ? Faire sourire les gens. Et elle y arrive bien. Très bien même.
D'ailleurs, ça me manquait.
Samedi 1er mars 2008 à 22:30
- Oui ?
- Elle s'était finie comment ton histoire ?
- Oh, ils ont vécu heureux et eurent beaucoup de cartes adhérents (clubs SNCF).
- Alors c'était bien !
- Tu sais, les cartes on les a mais on ne les joue pas forcément.
- Comme une pioche ?
- Comme une pioche.
- Et tu aimerais tomber sur qui ?
- Le cavalier.
- C'est pas aux échecs ça ?
- Si, justement.
Samedi 1er mars 2008 à 22:24
Quitte à s'en faire des trous dans la peau.
Et ne pas regretter son dernier jour.
Hard. A moins qu'il ne soit pas le dernier.
Samedi 1er mars 2008 à 19:30