Lundi 10 mars 2008 à 21:38

Je me réveille. C'est toujours mieux d'avoir mal à la tête dans ce parc, près de la tour Eiffel. Je m'en suis pourtant éloignée. Il n'y est plus depuis longtemps. Je ne sais même pas quand il y était exactement. Ils sont importants ces temps passés : sans eux on s'ennuierait. Et puis ils tombent bien parce que le présent je le gâche et le futur je n'y crois plus trop.




Lundi 10 mars 2008 à 20:04

La loyauté... Ça oui. La loyauté. Il en connaît un rayon. Et puis le gris n'existe pas. C'est blanc ou c'est noir. Du coup son choix semble logique. Très logique même. Elle doit être le blanc. Parce que nous sommes trop différentes. Ou pas assez. Je n'en sais rien. A croire que je ne sais plus rien. Oui, excusez-moi, mais ma tête ayant implosé j'ai un peu de ma à connecter mes neurones entre eux. Ca n'est pas l'effet secondaire le plus désagréable mais il reste handicapant. La fidélité, tiens, pendant que nous y sommes. Parlons-en. Je m'en fous de la fidélité. Mais alors en long en large et en travers. Toi non. C'est pour ça que tu as décidé de ne pas l'être, fidèle. De suite ta logique est un peu plus bancale. Autour de nous les gens se mettent à crier, ils hurlent... Je préfèrerais entendre les loups chanter à la lune, et de loin. Toi aussi je pense. On ne choisit pas forcément. C'est le moins que l'on puisse dire. Avec tes conneries là j'ai perdu pied. Je me suis cassée la figure. Contrairement à eux je suis restée silencieuse, justement pour ne pas me perdre dans cette foule harassante.

Lundi 10 mars 2008 à 16:34

I'm going out with Jiska. But it's the same : I said the truth. I speak with you. It doesn't change anything. We aren't jealous.

Cinq phrases. Cinq.
Et un doliprane.
Même pas.

C'est pire. Avoir été prise pour une conne. En avoir souffert. Et en avoir fait souffrir. J'aurais pas du. Mais c'est pas pour ça que je m'arrête.



Lundi 10 mars 2008 à 16:20

Nous avons édifié une paroi, une immense paroi de mousse, de plumes et de sucre glace, dont les diagonales s'étendaient à perte de sens. Nous y avons fait venir tous nos souhaits les plus chers. Nous les avons alignés face à la douce paroi bien dégueulasse. Et nous les avons mitraillés.


Monochrome.dream
Parce qu'elle a des mots qui sont justes.



Lundi 10 mars 2008 à 16:00

Oh non. Je vais pas le tuer. Je vais aller crever dans un coin parce que ouais, enfin, ma tête vient d'exploser.

Lundi 10 mars 2008 à 14:08

J'ai écrit. J'ai pris un bain. J'ai rangé un peu. J'ai mal à la tête. J'ai pensé à l'appeler. Je n'ai plus de crédit. Msn ne veut pas se connecter. La tempête est en train de se finir. Je vais me recoucher.
J'ai rêvé en anglais d'msn. Je suis grave.

Lundi 10 mars 2008 à 13:40

J'accepte de venir avec toi si on part dans l'autre sens.
C'était une condition claire et nette. Sur laquelle elle sera intransigeante. Il y avait trop souvent brisé sa confiance. Il avait trop nourri ses rêves. Maintenant qu'elle en tenait un, un vrai, qui n'allait pas s'évanouir d'ici demain, et bien elle s'y tenait. Il lui avait offert ce rêve, sans le savoir, sans le vouloir et encore aujourd'hui il ne s'en rend pas compte. Elle n'a pas l'intention de lui expliquer. C'est le sien.
Je viens avec toi si avant je pars à Amsterdam et après dans le Sud. Voilà ma condition. Sinon je ne tiendrais pas. Vous non plus du coup. Là-bas j'étais vivante, non pas grâce à toi mais à cause de toi et grâce à eux. Alors maintenant, tu assumes ou pas, mais moi je sais ce que je veux. Amsterdam et le Sud. Tu n'as pas le droit de dire non. Parce que tu n'as pas le droit de perdre ta fille. Ce que tu as pourtant déjà fait.



Vivante. Si les choses étaient ainsi.

Lundi 10 mars 2008 à 11:20

Je dois répondre aux gens, au téléphone. Ils veulent faire des surprises à ma mère, alors je prends des messages bizarres. Des gens qui en connaissent plus sur moi que je n'en connais d'eux. J'aime pas trop ça. Je préfère l'inverse. Je me débrouille toujours pour que cela soit l'inverse. "Je t'ai connue quand tu étais toute petite, mais tu avais déjà la langue bien pendue et puis tu étais très éveillée pour ton âge." En même temps ils ne connaissent souvent pas grand chose d'autre. Et si je n'étais que ça en fin de compte ? Une idée à creuser. La semaine dernière j'ai croisé une vieille connaissance : Gini. Gini c'est un peu mon papa, en plus beau et en plus grand. C'est comme ça que je lev oyais quand j'étais petite. Un CRS, collègue de mon père. Ils venaient de temps en temps, les CRS, à la maison, avec les motos. Et moi j'avais peut-être 5 ans que je m'accrochais déjà à eux à l'arrière. Petite-fille et fille de motards mais qui n'a pas droit à un scooter. C'est frustrant. Bref. Gini. Des souvenirs plein la tête, un album d'autocollants surtout. Son fils je ne me rappelle plus de son nom, mais il était plus vieux que moi, il était allé avec mes parents et les siens à Disneyland quand ma mère était enceinte de moi. Sa fille, elle, c'était Margot. Elle me manque un peu cette compagnie. Dilbetis et les autres dont j'ai oublié le nom, mais qui eux ne m'ont pas oubliée. Gini... Je ne l'aurais pas reconnu. Il ne m'a pas reconnu non plus. C'était au restaurant chinois. Ma mère l'a vu, s'est approchée de la table et puis ils se sont reconnus etc. Moi je ne comprenais pas, Benoît non plus. J'ai failli retourner vers la notre de table quand elle a dit son nom. C'était assez drôle. Au moins dix ans que je n'avais pas été en sa présence. Gini. Nous avons tous les deux écarquillés les yeux et nos bouches restaient ouvertes de stupeur. Un grand plaisir aussi. Qui n'a pas duré longtemps. Gini quoi.

Dimanche 9 mars 2008 à 21:15

MA MÈRE EST MAIRE !!!!!!!!!!

Putaing'...
Ca va être coton de se lancer en politique après ça !

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH.

Ils sont passés, 14/15, avec une liste préparée VRAIMENT à l'arrache et puis. OH quoi !

Dimanche 9 mars 2008 à 20:08

Moi aussi j'aurais bien besoin d'une douche. D'une douche brûlante. D'une douche qui endort et réveille à la fois. D'une douche qui dure une heure et demie, même plus. Désolée chère planète, mais là j'en ai besoin. Ou sortir au beau milieu de la nuit. Par le velux ou par la porte du garage. Avoir la peau tellement froide que le vent de mars la réchauffe. Boire un verre d'eau. Boire deux verres d'eau. Trois verres d'eau. Boire la bouteille. Boire deux bouteilles. Trois bouteilles. Compter par pack. Oublier de deviner. Ça donne mal à la tête de deviner. C'est une blague. C'était une blague. Une vaste fumisterie. On se fout de ma gueule. Royalement.

Non. J'ai besoin de quelque chose qui m'enlève cette douleur du crâne.
A en pleurer.

Dimanche 9 mars 2008 à 17:31



Même chanter me donne mal à la tête.

"Certaines tombent amoureuses, c'est pur, ça les élève,
moi je tombe amoureuse comme on tombe d'une chaise."


Mr Blue.

Et le reste.

Dimanche 9 mars 2008 à 14:12

  • « Pays-Bas » et « Hollande » désignent le même pays ?
  • un quart de la superficie des Pays-Bas se trouve au-dessous du niveau de la mer ?
  • la Cour internationale de Justice se trouve à La Haye, au palais de la Paix ?
  • les Pays-Bas comptent en moyenne 480 habitants au km 2 ?
  • avec 0,008 % de la surface du globe, les Pays-Bas sont le troisième pays exportateur de produits agricoles ?
  • les Pays-Bas sont l'un des pays fondateurs de l'Union européenne ?
  • les Pays-Bas ont 15 000 km de pistes cyclables ?
  • le néerlandais est aussi parlé en Belgique, dans le nord de la France, au Surinam, aux Antilles néerlandaises et à Aruba ?
  • les Pays-Bas possèdent encore un millier de moulins en activité ?
  • la population néerlandaise est la plus grande d'Europe ?
  • Amsterdam est entièrement construite sur pilotis ?
  • les Pays-Bas ont toujours un gouvernement de coalition, ce qui en fait le pays des compromis ?
  • les Pays-Bas comptent près de mille musées, dont pas moins de 42 pour la seule ville d'Amsterdam ?
  • presque chaque Néerlandais a un vélo, et qu'il y aux Pays-Bas deux fois plus de vélos que de voitures ?
  • les Pays-Bas occupent le huitième rang mondial pour les exportations ?
  • aux Pays-Bas, le hareng se mange cru, avec des oignons ?
  • environ 30 % des bébés néerlandais naissent à la maison ?
  • à Amsterdam, vous pouvez voir 22 tableaux de Rembrandt et 206 oeuvres de Van Gogh ?
  • de tous les États membres de l'Union européenne, les Pays-Bas comptent le plus d'emplois à temps partiel (4 salariés sur 10) ?
  • le point culminant des Pays-Bas se trouve à 323 mètres au-dessus du niveau de la mer, ce qui lui vaut la dénomination de « montagne » ?
  • la plupart des Néerlandais ont un bouquet de fleurs dans leur salle de séjour ?
  • Amsterdam est la capitale des Pays-Bas, mais que le gouvernement siège à La Haye ?
  • la plupart des Néerlandais parlent une langue étrangère ?
  • un Néerlandais sur trois est un membre actif d'une association sportive ?
  • après les Scandinaves, les Néerlandais sont les plus grands consommateurs de café du monde ?
  • Amsterdam compte près de 200 nationalités différentes ?
  • les Pays-Bas sont l'un des pays où le vieillissement de la population est le moins important ?
  • en atterrissant à Schiphol, votre avion se trouvera à 4,5 mètres au-dessous du niveau de la mer ?
  • les Pays-Bas sont le pays le plus câblé d'Europe ?
  • Amsterdam compte 1 281 ponts ?
  • les Néerlandais pavoisent leur maison lorsque leurs enfants ont réussi leur examen de fin d'études ?

Que lagrandemymy s'en trouve profondément embêtée ?

Dimanche 9 mars 2008 à 12:47

Et ces chansons de Cabrel quand je t'avais dans la peau
Cette mille et unième rituelle que j'écrivais dans ton dos
Lorsqu' enfin passait le soir, quand nos histoires se couchaient tard
Je pouvais voir que ton monde n'était pas aussi noir
Que ton monde n'était pas aussi beau

Les envies d'ailleurs, des foudres qui n'avaient pas d'heure
Commun peu mortel de deux anges ayant perdu leurs ailes
Se souvenant avec faiblesse d'un passé fait de promesses
Pauvres fous créateurs dont les œuvres n'avaient plus de valeurs
Au milieu des autres, tombés d'une chaise comme d'un ciel

Dimanche 9 mars 2008 à 11:17

Elle prend ses pinceaux et ses couleurs et se déchaîne sur les murs comme elle ne l'avait jamais fait. Il ne fallait pas la laisser comme ça ce soir.

On pourrait l'observer en croyant avoir devant les yeux une vidéo accélérée.  Sauf que la cassette n'est pas de très bonne qualité et qu'il y a de la neige sur l'écran.
Par contre le son est excellent et emplit la pièce, alors que lui il n'existe pas.

Comme un marteau qui tape de plus en plus fort sur une enclume, qui produit un vacarme assourdissant, qui n'aura pas de repos avant que cette foutue enclume soit enfouie six pieds sous terre.
Elle s'exclame, elle jure, elle rit et elle pleure dans différentes langues  visiblement sans se soucier de  ce qu'il peut y avoir autour d'elle. Ça n'a jamais été une fille très sensée certes, mais là les sommets sont atteints et dépassés.

Ce qui m'inquiète c'est de me voir complètement passif par rapport à ces événements et ces actions inconsidérées, me sentir capable de rester là, à l'admirer, des années durant alors que c'est à cause de moi qu'elle est dans cet état, et je sais qu'au fond ça lui fait mal. Mais mon orgueil reste invincible ; me connaître comme l'élément déclencheur d'une réaction que je trouve si belle, m'ôte tous les moyens que je pensais avoir. Je n'ai pas envie d'interrompre son spectacle et donc, d'une manière ou d'une autre, quand je trouverai le courage d'aller lui avouer ce qui porte mon cœur c'est que elle, elle aura posé le mot fin, de trois façons différentes chacune plus que l'autre définitive.

Est-ce que je pense avoir plus que le temps qui m'est imparti ?

Dimanche 9 mars 2008 à 11:10

Ne pas être de droite.
Ne pas être communiste mais adorer l'histoire Russe.
Vouloir faire de la politique et avoir une mère tête de liste presque à l'arrache pour les municipales.
Être fatiguée et avoir la migraine.
Prendre son petit déjeuner.
Ecouter.


Ma mère qui chante l'INTERNATIONALE !



C'est fun ces élections décidément.

Samedi 8 mars 2008 à 23:04



C'est sous ce ciel que j'aurais aimé vivre plus longtemps.
Au moins autant.

Samedi 8 mars 2008 à 21:45

C'était peut-être ça la banalité : n'avoir qu'une seule envie, mais une vraie, une grande... Celle de m'endormir dans ses bras. S'y réveiller c'est moins important. Le mieux reste de s'y endormir. Quoique, s'y réveiller c'est un moyen de réaliser. Et de ne pas en faire une déception. De ne pas en faire un artifice de mon auto-persuasion. C'est juste avoir cette envie qui me fait me lever chaque matin, qui parfois me met debout en me faisant sauter de mon lit à pieds joints. Un sourire sur les lèvres. Un sourire sur mes lèvres. Un sourire sur les siennes. Avoir oublié tous les moments de doute ? Avoir oublié l'attente ? Non. S'en souvenir, y repenser encore, parfois, et me dire que c'est loin derrière nous cette vie là. Si c'est ça la banalité je suis d'accord. Pour ça aussi je saute à pieds joints. Le paysage qui défile et mes yeux qui ne le voient pas, je suis plus loin. Je suis devant. Ou derrière. Devant de ma vie. Derrière dans le défilement des secondes. Défilez vite mes chéries, je veux en voir d'autres. Je veux trembler pour les bonnes raisons. Je veux avoir des crampes à force de sourire. Je veux me dépenser en rires et en chants. Je veux, je veux. A croire que je ne pense à ça. Et bien oui, c'est vrai. Mais c'est faux également. Je ne veux pas vraiment. J'ai hâte. L'histoire se répète. Pourrait-on dire, pourrait-on croire. Si vous le voulez. Il y a toujours, au fond, des peurs et des obstacles, internes ou externes. Sinon ce serait trop simple. Comme si cela pouvait être trop simple. Tout faire pour ne rien perdre. Tout faire pour tout. Tout faire pour rien. Pour une parole, pour une chanson, pour un moment, un soleil, un ciel. Une trouvaille qui nous excite et nous effraie sans que nous sachions pourquoi. L'inconnu. Sa splendeur terrifiante. Je n'en ai jamais eu peur. J'ai longtemps craint qu'il ne vienne pas au contraire. Être un paradoxe. Vivre un paradoxe. Le vivre correctement. Par envie. Non. Le mot "envie" ne me plaît pas. Il y en a bien un autre... Mais on l'utilise à tort et à travers. Je ne sais pas. J'hésite. Je doute. Ah ! C'est justement ce qu'il faut éviter de faire, par envie. Par amour.

Samedi 8 mars 2008 à 21:09

J'aime pas ces soirs où les gens ne sont pas sur msn. Où je n'ai pas de crédit sur mon portable. Ces soirs où je suis sans nouvelle. Parce que moi j'en ai des choses à dire. J'en ai des choses à écrire. Des choses à crier même. C'est comme ça que les gens tiennent le coup et je ne fais pas exception à la règle. J'aimerais avoir des explications. J'aimerais avoir des certitudes. J'aimerais pouvoir me dire "voilà de quoi demain sera fait". J'aimerais sourire et frissonner de froid à cause du bonheur. J'ai lu ça il n'y a pas longtemps. Mes frissons sont bien là pour prouver que j'ai froid, pas pour prouver que je suis heureuse. J'aimerais rire. J'aimerais remplacer ce "souvenir vieux et blessant" par d'autres, des souvenirs qui me feraient avancer. Une semaine de présentation ne suffit pas. Surtout quand elle a lieu avant mon plus grand cataclysme. C'est après, maintenant encore, que tout est à reconstruire. J'aimerais comprendre. J'aimerais pouvoir faire comprendre. J'aimerais entendre des mots qui réinsèreraient les condors dans les Andes de mon bas-ventre. J'aimerais être ailleurs. Où ? Là où ta réponse sera la même que la mienne.

Samedi 8 mars 2008 à 20:06

C'était bête. Tellement bête qu'elle avait vachement envie d'y croire. Comme si elle, elle quoi, elle pouvait vivre ça. Elle y avait laissé des mois, et des milliers de plumes, avec pour seul bénéfices des désillusions de plus en plus douloureuses. Maintenant qu'elle y était elle avait du mal à y croire. Hey les gars ! Elle est planquée où la caméra cachée ?? Non mais sérieusement maintenant faut arrêter ! Heureusement, il y a toujours quelques belles emmerdes à côté pour lui dire que oui, c'est bien la réalité. Pourtant elle n'y croit pas, pas totalement. Le doute. Le manque de confiance. Serait peut-être "trop" beau. Elle ne le mériterait pas. Parce que c'est comme ça, depuis toujours. Et si justement il était temps de changer les choses ? Pourquoi pas. Et puis, pourquoi d'ailleurs ? Pourquoi maintenant ? Le temps n'est pas un ami sur lequel elle peut compter. Elle s'en méfie. Elle se méfie aussi de lui. Elle se méfie avant tout d'elle-même. A force d'aimer des mensonges, à force de s'en créer de nouveaux, lorsque l'un d'eux rejoint la réalité elle a du mal à s'en persuader.

Est-ce que ce cadeau est vraiment (fait) pour elle ?

Samedi 8 mars 2008 à 17:42


"Pourquoi quand les choses commencent à aller mieux il faut que quelque chose vienne tout gâcher ? Pourquoi écrire pour tout expliquer  ? Je comprends pas. J'aime pas que tu te rendes malade, mais je comprends, tout est chamboulé et tu sais plus trop quoi penser ou faire. Il va falloir que tu réfléchisse et que tu te demande si tu veux retrouver ce que tu as perdu. Si tu as envie que les choses redevienne comme avant même si ça ne sera jamais plus comme avant. Et pourquoi est-ce que le cœur et le sourire ne seraient pas pour toi ?
Tu ne vas pas tout foutre en l'air."


La première c'est LA grande question.
En italique c'est "déformé". Il y a des passages enlevés.
Je ne veux pas et ne peux pas revenir sur mes pas. J'y suis sans y être parce que je pense. Je ne vais rien foutre en l'air. Sauf que je n'ai pas vraiment. Je n'en suis pas loin. Et je la remercie. Surtout je la remercie.

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