Dimanche 1er octobre 2006 à 19:44

"Dance is movement, is action, and like all action, it reveals us to ourselves in the doing"

Gabrielle Roth



J'aime danser avec vous. C'est un tourbillon dont je ne voudrai jamais voir la fin, le repos. Je finis par avoir mal aux pieds. La tête qui tourne, les bras qui tirent. Ce n'est pas l'habitude qui me manque non. Peut être le plaisir que j'y prends ? Les gens. Ah ces gens, pourquoi j'en parle ? Je ne pourrai pas cesser un instant de les voir ? Je présume que non. Les gens donc, continuent de nous observer. ( Je pense que je viens de trouver ma solution, je ne les verrai plus quand ils cesseront de me regarder eux aussi, c'est à dire jamais.)
Nous le savons. Et ne sauront ni ne voudront savoir autre chose. Pour l'instant on danse. Je en suis pas sure que nous écoutions seulement la musique. On se laisse aller grace aux vibrations, qui sait ?
Promettez moi que nous recommencerons. Tout oublier. Juste en dansant. Je ne vous connaissait pas encore il y a de cela 30 minutes. De vos pas, de vos gestes j'ai l'impression de vous découvrir.

Samedi 30 septembre 2006 à 21:50

J'ai parfois cette impression étrange. Celle de regarder la vie à travers des yeux autres que les miens. Des yeux inconscients. Les yeux les plus innocents et les plus désenchantés.
Soudain je reviens dans ma tête. Je me demande ce que j'y fous. Je vous passe le refrain de l'ado désespérée, perdue dans la complexité de ses sentiments. Ce n'est pas ça. Et je ne le souhaite pas. Je sais qui j'aime. Je sais qui je hais. C'est simple dans ce cas de figure puisqu'elle est seule. Je sais également le pourquoi du comment. A certains les questions donnent mal à la tête. Ce sont les réponses qui me font cet effet là.
Ce soir je dois battre un record. 6h45 au téléphone. Je prépare le coca, la musique pour entre deux coupures, la batterie, les trombones et tout le reste. Et ce texte n'est pas du tout ce qu'il devrait être. Tant pis. Ou tant mieux.

Samedi 30 septembre 2006 à 21:32

Une envie subite de couleurs.
D'une chose belle.
Que je pourrai regarder sans me lasser.
Pouvoir me dire : ça oui c'est moi.
Ne pas avoir d'arrières pensées.
Une chose bien à moi.
Que je ne dois à personne.
C'est une envie à laquelle j'attends toujours une réponse.

Samedi 30 septembre 2006 à 21:24



Donc je n'ai logiquement plus à craindre les copieurs. Si j'ai fait cela c'est parce que je compte être publiée dans un journal (pas celui du lycée seulement je rassure) et que je compte vous mettre bientôt une chanson. J'ai eu trop souvent de mauvais tours.

Samedi 30 septembre 2006 à 21:18



"La musique électrise mon euphorie et sublime ma mélancolie."




Cette phrase est de Makiling.
Lorsqu'elle l'a trouvée. Avait elle conscience
de la portée que ces mots pouvaient avoir ?
Je sais pas.
Mais comme dit son maître :
Il y a des moments où tu fermes ta gueule et tu admires.
Alors ferme, là. Regarde. Et écoute.

Quand je dis que je veux vous faire partager.
Mots à lire : hop.hop.hop
Humeur : la victoire a toujours un goût amer.
Musique : je sais pas quoi mais je chante.
La photo est de moi. Hier. Encore.

Samedi 30 septembre 2006 à 16:03

*On est chez nous partout. Tant qu'on est ensemble. On a beau être dans une ville totalement inconnue, ensemble est la seule condition pour s'y retrouver. Ensemble on a toutes les audaces, tout les savoirs, du moins ceux pouvant nous servir, toutes les sagesses, toutes les folies et attitudes.
A dix on peut chercher un café. En trouver un même, vide, ou tout comme, s'installer à la terasse, changer les habitudes de la maison et se comporter comme des habitués de longue date. Boire des bières (ohh... ok pour deux personnes seulement), des sodas, un café, ainsi qu'une boisson mal identifiée. Complimenter sur le ton d'une ironie feinte la patronne. Lui promettre de lui faire de la pub. Attendre que le patron vienne faire notre photo.
En mettre quelques uns à terre pour qu'ils rentrent dans le cadre. Tant d'autres choses possibles.. ensemble.


Je repense à cette demoiselle qui explique que :

     "ma ribambelle de gens elle est unique"

La mienne, (les miennes ?), est (sont ?) unique(s?), multiple(s?), changeante(s?) et eternellement identique(s?) à la fois.

Parce qu'il ne faut parfois que des amis pour vouloir refaire le monde. L'imaginer. Et le changer.*


Photo à venir.. je pars au judo XD
Je suis allée au judo.
Ca fait mal.
Mais ca fait aussi du bien.
Sur la photo il manque Alexis, Jérem et Florent.
Sale..
Je vous aime.
(ehh il y a une photo de moi.. hosana !!)

Mercredi 27 septembre 2006 à 21:37



Qu'est ce que le Séraphin ? Vous vous posez tous la question n'est ce pas ? Le séraphin c'est un ange. Un séraphin, dans les religions hébraïques et chrétiennes, est un ange de la première hiérarchie.
Dans la langue familière, le mot désigne également une personne d'une grande douceur et
d'une grande bonté. Mais c'est aussi le journal de mon lycée.. et ça revient strictement au même, puisque nous sommes tous d'une grande douceur et d'une grande bonté.. KOF KOF.
Enfin pourquoi je vous raconte tout ça ? Peut être parce que je suis en train de travailler pour le Séraphin.. et que je trouve l'équipe super simpa, avec Delphine, Fanny, Mlle Roux, Quentin, etc.. Et la plupart font du thêatre aussi ! Alors je dis total bonheur. Je veux connaître mieux ces gens. Alors voilà. Je le dis ^^
Tiens, et puis aussi parce qu'en ce moment je suis dans une période de collage donc c'est pour vous montrer la déco de mon carnet de journaliste :P

Allez 1000 Bises mes gens !!
Et à Samedi si je ne reposte pas ce soir !

Mardi 26 septembre 2006 à 22:03



Coup de speed
En peinture
S'il vous plaît !

Mardi 26 septembre 2006 à 21:46


Mardi 26 septembre 2006 à 20:17

Je vous ai dit que c'était en trasnformation et pour vous.. les événements ont relegués ces résolutions à une place moindre. Pour me faire avancer et nous faire avancer, elles reviennent, plus fortes que jamais.



Bientôt une machine à écrire..


1000 Bises !!! Mymy

Lundi 25 septembre 2006 à 20:09

"Je t'ai aimé. J'ai aimé notre vie forcenée. J'ai aimé le crime et l'aventure avec toi. Et nos étreintes, nos sales luttes de chiffonniers, et cette entente de complice que nous retrouvions le soir, sur la paillasse, dans un coin de notre roulotte, après nos coups. J'ai aimé ton monde noir, ton audace, ta révolte, ta connivence avec l'horreur et la mort, ta rage de tout détruire. J'ai cru avec toi qu'il fallait toujours prendre et se battre et que tout était permis."

                                               Médée, Jean Anouilh

Ca sonne comme un adieu. Surement parce que s'en est un. Plus rien. Aucune trace de toi. Tu cherches .. tu cherches. J'ai toujours été là.
Et tu as choisi de ne pas voir. Grand bien te fasse.
J'ai d'autres perspectives désormais.
Pourtant j'ai encore ce pincement au coeur en voyant certains de tes mots. Fais tu, dis tu cela pour moi ? Pour me remettre à ma place ? Ou pour me rendre jalouse ? Je ne crois pas. Tu dois me croire trop insignifiante.


Parait que tu étais mon
"prince charmant",

tes fleurs sont fanées, ton avenir inexistant et tes sourires oubliés.
Et moi.. moi JE RIS !


Je ris de cette place au soleil que j'ai. Je ris du bonheur que j'ai sans toi, ou que je crois avoir, c'est du pareil au même. Je ris de savoir ce qu'on te dira de moi. Tout sauf ce que tu croyais connaître, ou ce que tu croyais être en droit d'attendre.
Je ris parce que toi, pauvre prince charmant déchu, toi, en cherchant ailleur, tu m'as brisé le coeur, et se faisant, je suis devenue Reine.

Adieu.





bande son : M'en voulez vous ? juste le début
                 T'es beau ? juste le début.
Les débuts pour signer une fin, paradoxe à étudier.

remerciements : françois, une page de tournée. Tes traces dans mon dos XD

Lundi 25 septembre 2006 à 18:06

"Chaque victime devient un jour bourreau" C'est un ricochet dont on ne peut se libérer.



Ne t'excuse pas. Tes excuses je les rejette de toute ma force. Je suis déjà assez heureuse que tu te souviennes du mot de passe. Ecris. Ecris. C'est le seul lien sur que je conserve avec toi. Et je suis contente de le voir utilisé aujourd'hui. J'en avais besoin pour tenir aujourd'hui et demain. J'aurai aimé te voir jeudi.

Dimanche 24 septembre 2006 à 23:18

Pour quel monde suis-je fais ?

Un endroit où je serais seul. Totalement seul, loin de cet enfer que sont les autres, tous les autres. Car aucun n'est innocent, et, par leur présence, ils vous rappellent que vous êtes comme eux, ils vous montrent vos facettes les plus sombres, ils les attisent, et même parfois involontairement, ils les provoquent, réveillant en vous de bas instincts dont vous ne voulez pour rien au monde.

Je les hais. Absolument tous. Et je déteste encore plus ceux que j'aime, parce qu'ils gâchent tout, en restant liés aux autres, ces autres insupportables, ces autres pour qui ont croit faire des sacrifices, et ces autres qui vous les renvoient en pleine face, comme un insulte à votre âme, un couteau dans le cœur.

Pourquoi suis-je tombé ici, avec eux ?

J'ai toujours su que j'étais exceptionnel. Et à cause d'eux chaque jour le doute grandit, il s'insinue en moi comme un poison que ces vipères me crachent en pleine figure, et je lis dans leurs yeux une satisfaction perfide. Et je devine dans les miens l'incompréhension, le dégoût d'appartenir à leur espèce… De savoir que je suis capable des mêmes horreurs.

Mais quand viendra le temps où je serai la vipère et un autre le martyr, je sais que je serai aveuglé à mon tour, et que, malgré tout la force que j'aurais employée pour m'y préparer, m'y refuser, mon venin se versera sur l'innocent, qui à son tour deviendra un reptile, et d'horreur en malheur, la suite, nous la connaissons tous. Mais personne ne s'est demandé ce qu'il arrivait à la vipère, une fois son venin libéré. Je me pose toujours la question. Et je crains que ce ne soit elle qui me pousse vers ce que j'essaye de fuir.

Pourquoi suis-je ici ?

Si je le pouvais, est-ce que je partirais ? Est-ce que je franchirais le cap ?

A cet instant, mon cœur me dit oui.

Mais quand un sang glacé coulera dans mes veines, le cœur de la vipère me murmurera-t-il la même chose ?

 

J'entends d'ici son sifflement strident. Ma hantise.


(Merci M. de m'offrir cet asile des mots, et navré de ne pas t'avoir demandé la permission au préalable)

Dimanche 24 septembre 2006 à 20:34

"Regarder couler la vie lentement devant soi, sans chercher à la retenir."

C'est cet état là qu'elle a atteint que je suis censée retranscrire.
 Alors que cela fait des mois que je m'accroche à la moindre petite parcelle de vie qui passe devant moi.
Mais cette via là s'en fout. Elle continue son chemin sans se retourner, sans voir ni regarder les gens qu'elle laisse derrière.
Elle, c'est une petite femme, qui n'a d'autre choix que de mourir. Que pourrait elle faire d'autre ? Elle ne le sait pas. Et par conséquent nous non plus.
Alors on l'a suit. Qui a t'il d'autre à faire ?
Et cet article toujours pas fini.


1000 Bises

Dimanche 24 septembre 2006 à 14:17



ICI


Copyright






Dimanche 24 septembre 2006 à 13:50

" J'ai été la première à croire au jour aujourd'hui."
             
                                                          
Antigone , Jean Anouilh

Moi j'ai été la première à croire en la pluie hier soir. Assise sur la plate forme d'un escalier montant en colimaçon. Tout en haut. La musique dans les oreilles. Les gens sortaient parfois pour se griller une clope, ils ne me voyaient pas. Quels frissons, quelle étrange sensatation de voir les gens et d'être invisible à leur yeux. Ils auraient très bien pu me voir. Je suis restée immobile. Au cours de l'heure précédente, passée sur cette plate forme, je m'étais rendue compte en me concentrant uniquement sur ma vue, que je remarquais bien les gens par leur mouvement. C'était une idée que j'avais depuis longtemps, en occultant mes autres sens  j'en ai fait une certitude.
Une goutte m'est tombée sur le bras. Elle a brulé une blessure. D'autres ont suivies. Il ne faisait pas froid. Une sensation étrange. D'être seule la nuit, dans une ville inconnue, au dessus des gens, et de les observer.
Soudainement, je prends conscience de ma respiration. Avais je avant continué de respirer ? L'impression me disait le contraire. Je me calme. Et reprends cette respiration dont je n'ai pas conscience.
Il est sorti. De la musique dans les oreilles aussi. S'est assis sur le bord d'une plate bande.
Mon coeur a battu plus fort. Être invisible aux yeux inconnus est plus dur qu'aux yeux d'un ami tel que lui. Il relève la tête, me fixe et rentre.
Je me mets debout et pars dans la ville. Je marche. Tout est tellement différent la nuit. Tu marches au milieu de la route, les volets sont baissés, et seul dans ton silence tu entends le bruit que tu fais.
Il se met à pleuvoir pour de bon. Je retourne à l'escalier. Cependant je change de place. A l'intérieur de l'escalier, sous la plate forme. Je m'étais assise sur le dossier d'un banc, il pleuvait trop. Non pas pour moi, pour le mp3 et j'avais pas de poche. A travers les barreaux j'observe le voile que forme les pluies devant les lampes. Le clapotis des gouttes tombant sur les marches. Formant un chemin construit dans une structure aléatoire.
Il ressort. Va s'asseoir là où j'étais quelques instant plus tôt. Rien. On écoute. On observe. Tout sauf l'autre. Au moment où je me persuade presque d'aller lui dire de venir avec moi au lieu de se tremper, il part. Loupé.

" Si tu as fini d'être essoré, il ne pleut plus dehors."

Mot écrit sur un morceau de nappe.

Dimanche 24 septembre 2006 à 12:36


Vendredi 22 septembre 2006 à 11:43




"Marching Bands Of Manhattan"

If I could open my arms
And span the length of the isle of Manhattan,
I'd bring it to where you are
Making a lake of the East River and Hudson
If I could open my mouth
Wide enough for a marching band to march out
They would make your name sing
And bend through alleys and bounce off all the buildings.

I wish we could open our eyes
To see in all directions at the same time
Oh what a beautiful view
If you were never aware of what was around you
And it is true what you said
That I live like a hermit in my own head
But when the sun shines again
I'll pull the curtains and blinds to let the light in.

Sorrow drips into your heart through a pinhole
Just like a faucet that leaks and there is comfort in the sound
But while you debate half empty or half full
It slowly rises, your love is gonna drown [4x]

Your love is gonna drown [4x]
Your love is gonna...







Drole de rêve.C'est fini. Cette partie là du moins.Vivre pour deux.Chanter, Danser, tu m'aimais comme ça.Vis aussi pour moi.Plus rien à dire.Ce n'est pas accepté. C'est compris.Je croyais l'inverse.

Jeudi 21 septembre 2006 à 21:43

"Like a bird on the wire,
like a drunk in a midnight choir
I have tried in my way to be free."

~ Leonard Cohen ~



Je vais aller me coucher. Et m'endormir d'un long, très long sommeil.
 D'un sommeil sans rêves. Demain matin je me leverai "tard" 8h30.
En attendant, emmitouflée dans les couvertures je cesserai d'avoir froid. Je cesserai de trembler. De penser même.
Espérant que mon portable marche. Envoyer un sms et c'est tout. Je n'ai plus de crédit depuis longtemps. Juste c'est tout alors.
Ce soir je plonge dans un sommeil sans rêves. Dans un sommeil sans richesse ni pauvreté, sans mal ni bien, sans beautée ou laideur. Sans mort, sans vie.
Ce soir je plonge dans l'oubli.

Il n'y a qu'un pas à faire.

Un mirage de liberté. Une rupture dans la continuité. Une nuit sans noirs.



1000 Bises retrouvées.
Mymy

Jeudi 21 septembre 2006 à 18:06


Quand il faut écrire une carte avec nos noms. Pour la mettre sur la plaque. Et réitérer encore une fois notre soutien à la famille.
En rentrant dans le salon. Voir son frère assis à ses côtés, une homme qui en une semaine a perdu, son frère, son meilleur ami, et semblerait il sa jeunesse. Il parait vingt ans plus vieux.
On veillit vite.
Romain est là. Bien sur. Je suis venue pour ça. Et je n'y suis pas assez préparée. C'est pourtant le maximum. Allongé dans un lit. Je l'observe. Il va se lever là non ? Sa poitrine vient de se soulever avec une respiration. Je te vois qui cligne légérement des yeux. Allez.. arrête !!! Tu joues ça très mal ! Arrête je te dis. ARRETE.
...
Je l'embrasse. Doucement. Sebastien est surpris. On ne se rend pas compte d'à quel point on aime les gens. Et on ne se rend pas compte d'à quel point les gens sont aimés.

Les larmes coulent une nouvelle fois. Ma poitrine se soulève au rythme d'une respiration haletante. Ce que je vais faire rendra la chose définitive.
 Aucun retour en arrière ne sera possible. Il n'a jamais été possible. C'est juste l'illusion qu'il l'est qui va disparaitre.

Je bénis le corps. Le métal du bâton est glacé. Je suis glacée. Il est glacé.
Sortir. Sortir. Je dois sortir. Je sors. Un mot sur le livret. Je tache d'une goutte d'eau salée la feuille.



L'enterrement. Eprouvant. Je reste avec la famille pour les soutenir. Va avec mes amis pour qu'ils me soutiennent.
Un baiser déposé sur le bois. La main qui glisse sur la longueur du cerceuil.
La petite église est archi bondée. Nous sommes tant à t'avoir aimé. A t'aimer. Bruno fait un sermont magnifique. Un silence. Un amour. Un chemin. Une lumière.
Je me devine des liens de parentés par des ressemblances physiques. Je retrouve des amis d'autrefois. Je voulais vous revoir. Pour maintenant j'aurai préféré que cela ne soit pas le cas.
J'ai dit aussi une fois que je voulais pleurer en chantant. C'est fait. Ce n'est plus ce que je voulais.
Les gens sont anéantis. Nous sommes anéantis.
Ca y tu es parti. Nous avons essayé de t'accompagner le plus loin possible.
Je te reverrai Romain. De l'autre côté du bord.










Photo Silver.

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