Mardi 10 mars 2009 à 0:01

Quand j'aurai du temps, éventuellement une vie sociale et citadine.

VOUS PARLER DE JULIEN BAER.

En attendant, Google mes amis, Google.

Lundi 9 mars 2009 à 21:52

Être tellement contente pour mon Monsieur Cerf-Volant.

"Dis, et si on devenait heureux."

He didn't say goodbye... Chanter avec lui. Encore et toujours.
C'est bien parti.

Samedi 7 mars 2009 à 15:10

"Les histoires qu'inventent les gens prennent tellement mieux vie dans leur silence."

Samedi 7 mars 2009 à 12:50

Rester zen. Se dire qu'il faudrait peut-être commencer à réviser, genre, un peu, pour le bac blanc. Avoir très peu d'heures de sommeil au compteur (!) et se lever à huit heures. Avoir prévu les réservations des billets de train, des chambres d'hôtel, pour Bordeaux. N'avoir finalement jamais eu aussi peu envie d'aller dans cette direction. N'en plus pouvoir de cette Gamine. Vouloir retrouver Adé et Manue, et surtout, surtout, se faire une soirée poufs. Pas grand chose.

Vendredi 6 mars 2009 à 22:18

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/LOSTITRANSLATION.jpg
Lost in translation ?

Photo de L-G.

Mercredi 4 mars 2009 à 11:05

Dans la bulle où je dois aller pour accéder au wifi ils passent du Céline Dion. Argh. Ce qu'on ne ferait pas pour un peu d'internet. A venir un article un particulier. Je cherche un nouveau casque car le mien est en fin de vie et je ne crois pas trop en la réparation proposée. Je peux à nouveau écouter We Looked Like Giants, ce qui veut dire que l'écriture va bien avancer dès que je serai revenue chez moi. Ou pas. Parce que j'ai envie d'être à la hauteur de notre Athéna au masculin. Comprendrons les stagiaires de Notre Dame de la Paix, peut-être, du moins Romain s'il passe par ici, fait très improbable, comprendra. C'est terrible de n'être en forme qu'à partir de 20h. Enfin, sachez que : "John Mayard Keynes (1883-1946) est un brillant intellectuel et haut fonctionnaire britannique qui après avoir suivi des études de mathématiques [pouah !] s'interessa à l'économie et devint professeur à Cambridge." sinon il avait aussi un groupe d'amis plutôt particulier, était homosexuel et s'est marié à une ballerine russe. C'est ce Monsieur qui redevient à la mode grâce à la crise. Sinon je rêve que l'un des pions de mon lycée est dans une ville qui est Lille avec les fontaine de St Amand, et qu'il est lui aussi homosexuel mais enceint.

Regarder euronews où un économiste avec un cheveux sur la langue parle encore et toujours de la crise peut avoir de fâcheuses répercussions sur votre sommeil.

Ah si, tout de même : le jeune homme qui disait m'aimer il y a un an et trois jours, six mois, et encore plus récemment deux semaines, fête aujourd'hui le premier anniversaire de son couple. Ca me fait doucement rire. J'adore ce type, son frère, sa soeur et sa copine. Ca n'est même pas ironique. En plus, j'suis invitée. Peut-être serais-je demoiselle d'honneur au mariage ! Vraiment, personnellement je m'en fous. Le problème c'est Jiska. Je lui dis quoi moi quand elle me sort "ahahaha, when I think that in summer 2007 Martin wanted to go out with you !" ? Tu vois ma Clarisse, même s'il est soutenable que quelqu'un puisse aimer deux personnes à la fois, j'suis persuadée qu'il faut qu'au moins une s'en foute et ne soit qu'une amie (le quelqu'un étant assurément un homme !). C'est pas toujours la place qu'on aimerait avoir, mais je te promets qu'elle est bien aussi.

Mardi 3 mars 2009 à 15:19

  Il est marrant n’empêche, Brel. Parce que l’on peut la raconter souvent l’histoire des amants qui ont vu deux fois leur cœur s’embraser. Mais quand l’autre est l’un de ceux-là et que vous n’êtes justement pas l’Autre en question. Ca devient beaucoup plus compliqué. Alors bon. Cette chanson est terrible car on ne peut pas en connaître l’issue. « Et quand vient le soir, pour qu’un ciel flamboie, le rouge et le noir ne s’épousent-ils pas ? » c’est encore cette phrase que je préfère.

 

[Don’t worry baby, ce texte est un vieux texte, dont je me suis souvenue grâce à l’article précédent.]

Mardi 3 mars 2009 à 14:57

La vérité c’est qu’il n’était plus le même. Il avait changé du jour au lendemain. Elle qui avant n’était pas attachée l’était alors devenue. Plus on la rejette plus elle aime, cette imbécile. On ne s’attache Jamais de la même manière. Maintenant, lorsqu’elle relit ces messages d’un autre temps, elle se sent encore rougir. Mais tout a changé. Car ils sont aussi d’une personne différente. Une personne qui lui manque et qu’elle ne retrouve que dans certains gestes, certains mots. Des messages d’un Autre à une Autre. Elle aurait pu les appeler ainsi. Dans « Mademoiselle… » également.

 

Dimanche 1er mars 2009 à 22:05

Pour des raisons personnelles et pourtant très simples à comprendre (j'ai assez de choses en tête en ce moment pour rajouter ces souvenirs), le module permettant de retourner un an en arrière vient d'être supprimé par mes soins. Jusqu'à... Je ne sais pas quand. L'an prochain à la même époque peut-être bien ! A la place les mots-clés. Cela m'obligera au moins à les mettre ! Voilà, rien de plus à dire ce soir sinon cela déborderait trop. Un peu de musique et longue vie au patapon ! Ah, et au fait, demain je pars en vacances. Donc peu ou pas d'articles. Voilà, cessons le médiocre.

Dimanche 1er mars 2009 à 17:43

Et je ne peux imaginer ta voix autrement que sur des notes. Même quand je te reconnais dans des éclats qui ne sont pas les tiens. Tu as beau dire que tu arrêteras, je n'arrive pas à te croire. Depuis le temps que tu es là. Si tu pars je ne le supporterai pas. Parce que nous fonctionnons à l'instinct. Et que c'est très bien comme ça. Nous ne serions pas nous autrement. Ce serait tout gâcher. De ne pas être nous. C'est vrai quoi. Bref. Chut. Souviens-toi. J'aurais pu te dire les mots que tu voulais entendre. Si j'en avais eu la force. Un regret qui aujourd'hui m'indiffère. Je ne te dirai jamais "je t'aime". C'est très bien comme ça.

Dimanche 1er mars 2009 à 16:40

J'ai reçu aujourd'hui un arbre magnifique. Avec des mots. J'aurais tellement de choses à répondre que je n'en dirais que très peu. Merci. Déjà. Un grand Merci à cette Demoiselle.

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/arbre.jpg

J'ai été soufflée par cette finesse. Et, soit dit en passant, j'assortis toujours la couleur de mon fard à paupières à celle de mon maillot ;)

Dimanche 1er mars 2009 à 0:18

Je suis le "je t'aime" d'un soir qui n'existe pas.

A seize minutes et un bug près, celui là.

Samedi 28 février 2009 à 21:48

C'était... Compliqué. Pour changer. Trop de choses, trop de gens, trop de regards, trop de sourires. C'était positif, biein sûr. Mais une overdose malgré tout. C'était surtout troublant. A croire qu'elle marchait par grandes périoeds. Que si l'Histoire était un éternel recommencement l'Histoire chez elle ne durait qu'une année. Cette soirée. Cette nuit. Ou pas. Trop de rêves, aussi. Elle courrait dans la ville, éclatait de rire à cause d'un voeu. Trouvait ce mec vraiment formidable et voulait fixer son regard dans son esprit. Cette douceur et cette affection. Affection, voilà le mot.Sauf qu'il étaient plusieurs. Et dans son idée, cette phrase ne comportait aucune erreur de conjugaison. Elle voulait le retrouver. Le problème c'était de savoir où ? Fichu sort, fichu hasard, fichue compétition, fichues capacités... Fichu concours ? Ensuite elle passait à autre chose. Croyait-il qu'ils pourraient se retrouver à deux dans la mer ? Un jour ? pour de vrai... Elle était une femme de miettes.


***

Je rentre chez moi demain. Je repars lundi matin. Il semblerait que mon ordinateur soit mort là-bas, je verrai. Février sera une parenthèse. Février finit cette nuit. Ces vacances seront donc une parenthèse. Il est tellement plus dur de parler sur des personnages imaginaires une fois qu'on les a rencontrés.

Jeudi 26 février 2009 à 21:59

Ce stage me fait me lever tôt. Ce stage m'oblige à rester chez mon père, ça n'est pas chez moi. Ce stage est intensif. Ce stage me coûte cher.Ce stage nous a fait passer en histoire d'un niveau bac - quelques mois à un niveau bac +5. Ce stage est à Lille. Ce stage est fatiguant. Ce stage m'a refait faire de la littérature(oh yeaaaaah baby !) Ce stage m'a fait découvrir une super prof d'éco. Ce stage me rassure quant à la philosophie. Ce stage me montre que l'an prochain, avec ce type de matières, je vais prendre mon pied (surtout que niveau rythme, ça sera difficilement pire). Ce stage m'a permis de vérifier que je savais prendre un cours avec un ordinateur et le cours le plus rapide de cette planète, au moins. C'est encore de bonne augure. Ce stage me fait connaître des gens biens. Ce stage nous montre qu'on est tous dans la même galère. Et on aime ça. J'aime ce stage. Et vive l'homogamie !

Mercredi 25 février 2009 à 23:53

Finalement les choses ne sont jamais ce que l'on croit. Ou alors très rarement. Alors que demander de plus ? Se contenter. Si, l'histoire est un éternel recommencement je suis bien partie. Sauf qu'il n'y a pas de 29 février cette année. Négliger demain et espérer aujourd'hui. Désolée Sénèque, certains soirs j'aime faire semblant de n'avoir pas compris. Comparis avais-je écrit. Aussi. Pourquoi pas après tout.

Mardi 24 février 2009 à 21:56

Elle avait énormément de choses à faire dans la ville encore couverte de brouillard. Les gens passaient et se croisaient, les têtes restaient baissées. Qu'y avait-il de si intéressant sur ce sol ? Quelques taches de vieux chewing-gum, rien de plus, rien de moins. C'était surtout rien. Autre chose que les yeux de ceux que l'on pourrait voir. Il est difficile de supporter le regarde d'un aveugle ; on cherche son âme. Les gens avaient peur une fois de plus. Peur de ne trouver que du vide là où les pupilles étaient censées vivre. Alors ils fixaient le sol. Tous. Et c'est ce faisant qu'ils perdaient leur âme, véritablement. Elle marchait d'un bon pas, n'ayant même plus mener la réflexion pour en arriver à ce constat. Elle l'avait intériorisé depuis longtemps. Elle passait son temps à regarder le ciel. C'était terrible de ne même plus avoir l'occasion d'être déçu.

Lundi 23 février 2009 à 20:29

Où ont-ils atteri ? Les ai-je seulement laisser s'envoler ? Eux, les autres ? Où les ai-je posés ? Ce serait vraiment stupide de les avoir perdu. Surtout maintenant. TGV Paris Lille. Je ne sais plus. Je le voyais dans le carnet orange et ils n'y sont clairement pas. Ah. Si, je sais. Bien sûr. Les fiches. Soit.

Paris. Matin. Gare du Nord.
La question que je me pose à chaque fois que je suis assise à cette table c'est celle de l'attribution des rôles. Derrière la vitre qui est l'acteur et qui est le spectateur ? Est-ce un spectacle de rue ou un spectacle en salle ? Des mimes sans saveur. Qu'importe. Ou presque. Je m'en fous. Tu n'es ni l'un ni l'autre, pour une fois. Sourire figé.

"On le voit au chocolat chaud." D'après mon grand-père c'est selon les toilettes. Je ne te l'ai jamais dit.

Lundi 23 février 2009 à 18:37

Il y a énormément de choses à dire pour ce coup ci. Les choses. Les gens. Les cowblogueurs. Une journée trop remplie pour être racontée entièrement. Donc ça viendra par petit bout. Comme là, le Flurk dans ma Camboard. Les autres. Le stage. Paris. Lille. J'essaye de reprendre tout ça. Attraper le train en route en fait. Le plus important en fait peut se résumer très rapidement : du pareil au même.

Vendredi 20 février 2009 à 19:07

A croire que l'histoire ne s'est pas finie quand j'ai jeté le texte de la dernière scène à la poubelle.

Jeudi 19 février 2009 à 21:13

Envie d'être à Lille mais pas à Orchies. D'être à demain mais pas à cette nuit. De prendre les risques sans risquer que cela tourne mal...Des photos réussies sans mise au point. Alors demain j'écris une lettre et j'oublie d'oublier. Laisser les minutes s'écouler puisqu'elles m'ont prouvé aujourd'hui qu'elles pouvaient me réserver de très belles surprises. Comme si tout cela était naturel. Dans l'ordre des choses. Deux chaises. Deux tables. Huit chaises. Quatre amis ou une douzaines de camarades, qu'importe. Musique, guitare, piano. Dormir. Remettre la machine en route.

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