Mercredi 18 février 2009 à 23:14

Se perdre en les laissant ailleurs, ces foutus mots. Alors avancer coûte que coûte pour ne plus jamais voir la réalité me rattraper via google. Je t'aime. Je t'ai aimé. Je t'aimerai. J'aime, j'ai aimé, j'aime encore. Reprendre tous les temps mais vous trouver de nouveaux modes. Qu'importe la cohérence. Je veux ce sourire et ce rire, du lundi au samedi inclus. Voilà pourquoi je veux que les choses restent telles qu'elles sont. Se croiser pourquoi pas. Le temps de retrouver de quoi se poser. Quant à toi, tu écris toujours aussi bien, c'est beau, c'est fort, certes. Mais tu t'enfermes : tu te répètes.

Mercredi 18 février 2009 à 21:05

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/PICT0696.jpg

Et que feras-tu quand moi je serai tombée ? Entre la corde de Mi. Par exemple.

Mardi 17 février 2009 à 21:31

Trop de choses. En trop peu de temps. Reprendre son appareil photo au lycée. Envie d'une simple soirée. De nouveaux billets, accrochés près du cliché du photomaton. Bientôt faire un tri dans les petits papiers de couleurs et dans les cds du fond des boîtes. Paris de jour et Bruxelles de nuit.

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/DepuisMontmartre.jpg

Lundi 16 février 2009 à 22:19

On ne va pas jouer à ça entre nous. Autant le dire franchement : je suis une salope, une manipulatrice, la grande Prêtresse des garçes, une fille qui ne sait pas rester à sa place, une vieille qui zozote, une Eve en pire, la reine démoniaque, une lycéenne qui parle trop bien, une hypocrite, une lèche-cul et plein d'autres choses que je n'ai pas lues, pas vues, pas entendues, et dont je me fous.

Par contre.

J'ai les cheveux courts, ouais et J'AIME CA.


NB : ça défoule. Toute seule, comme une grande, sans dommages collatéraux, mais ça défoule.

Lundi 16 février 2009 à 20:48

Ca n'était pas une diagonale du vide. Bien au contraire. C'était plutôt une diagonale du plein, du tout. Rien n'existait en dehors de ces deux chaises. Les autres étaient accessoires. Fond de piano. Pour changer un peu de la guitare. Repartir en arrière. Et se dire que finalement... Ni remords, ni regrets. Il n'y avait pas d'autres solutions, pas d'autres options. Je n'avais pas à décider. Repartir en arrière pour se dire que ce qui se passe maintenant on y aurait jamais cru. Une cigarette. Une. Nouvelle marque pour lui. Ancienne pour moi. Blessure. Ou pas. Quoiqu'il en soit refermée. Y trouver un autre sourire.

Dimanche 15 février 2009 à 21:58

Vouloir chanter avec Elle


Dimanche 15 février 2009 à 18:00

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/Cocoonrouge.jpg

Ils reviennent dans la région. Au Main Square auquel je voulais absolument assister. La veille du concours. ZEN.

Dimanche 15 février 2009 à 12:16

Les maths, l'éco, l'histoire, l'anglais, les gens, la guitare, la chanson, le stage IEP, l'abonnement de train, le réglement, la JAPD, le code, Lille, Valenciennes, le bac blanc, le dossier social, l'admission post-bas, la soirée DVD, le lundi pourri, les cigarettes, la guitare encore, les photos, la lettre... Trop de choses à faire, trop de choses à penser, pas assez de temps, continuer d'écrire mais sans poser les mots, ni sur le papier, ni sur le clavier. Les laisser partir comme ils sont venus, c'est con parce que je me souviens qu'on aurait pu trouver des choses bien dedans, presque géniales. Mais non. Filer, filer. Attendre pour filer encore plus vite. Paris dans moins d'une semaine. Dijon dans plus de deux mois. Vouloir oublier les imbéciles et finalement toujours les retrouver en travers de son chemin. Jamais deux sans trois. Trouver tous les sens possibles au vocabulaire militaire. Achever une vieille histoire. Courir pour tourner les pages de tous les magazines et oublier d'en entamer une autre. Sauf dans mes rêves. Ma vie se disperse et mes rêves renversent tout sur leur passage. Chanter et apprendre les textes./

Vendredi 13 février 2009 à 20:43

C'est fou comme tout peut partir en live à partir de 16h50.

Mercredi 11 février 2009 à 18:52

Aller à Dijon voir la Cellule-mère. Vacances d'avril. Aller à Lille, Samedi. Passer une semaine à Lille, février. Bientôt retrouver Paris Majuscule. Trois cigarettes restantes dans le paquet. Vouloir m'occuper de ces deux mecs là. V. Préparer ma St Valentin(e). Chercher un cadeau pour Adeline. Selon toute vraisemblance, perdre notre pari, toutes les deux. Ne pas réviser l'anglais. Faire ce qu'on ne m'a pas demandé. Ne pas faire ce qu'on me demande. Remplir les formulaires. Être rassurée pour le DSE. Et décidément leur trouver beaucoup, beaucoup de classe.

Enfin, ce soir, ce long frisson qui n'en finit pas.

Mercredi 11 février 2009 à 16:21

Cet article est protégé par mot de passe :  

Mercredi 11 février 2009 à 13:25

Naturelle. Ton jean, ton maillot rouge et un gros gilet noir. Le plus étrange c'était de te voir sans tes bijoux. Sans les bijoux c'était déjà autre chose. Sans les émotions portées sur ta chair. Tu es redevenue belle. Belle comme avant. N'écoute pas les gens. Ils t'ont fait toutes les marques que tu avais sur la peau et dans le coeur. Tu es belle. Comme avant. Les deux yeux grands ouverts, et les traits neutres. L'instant figé. Mon Dieu oui, tu es belle. Comme avant. Et si je ne t'avais pas connu alors j'aurais voulu te connaître. Mais la voilà la chance de ma vie : je te connaissais. Et je suis passé à travers. Je peux à nouveau te regarder droit dans les yeux et te dire que tu es belle. Démarque toi des autres, deviens les autres si ça te chante, mais je t'en supplie laisse-moi voir ça. Comme avant. Encore, je suis arrivé après le plus gros de la tempête. Ton univers je ne l'ai pas connu. Pourtant tu l'as encore, et il ne cesse de s'agrandir. Te verrai-je un jour telle que tu étais avant mon arrivée ? Avant la leur surtout. Ils m'ont gâché une chance de te voir. Pas plus belle. De te voir. Autrement encore. Chaque découverte me bouleverse, chaque découverte m'élève un peu plus. J'aurais aimé. Si un jour, peut-être, est-ce que je te reconnaîtrais seulement ?

Je ne crois pas. Ils furent celle que je suis.

En oublier même de qui je parlais. Ou pas.

Mardi 10 février 2009 à 18:36

Une ivresse qu'elle n'avait pas connue depuis trop longtemps. Piquer un sprint, sous la pluie, avec le vent de face, un vent de tempête, pour arranger les choses. Reprendre son souffle au bout de la course, arrêtée lorsque les douleurs dans ses jambes et son dos se sont faites trop lancinantes. Elle reste dehors, au milieu de son coeur. Les gouttes d'eau lui mouillent le visage. Le vent envole son écharpe. Un sourire aux lèvres, un rendez-vous manqué à reprendre et un avenir en dents de scie mais plein de promesses. Que demander de plus ? L'affection.

Lundi 9 février 2009 à 22:02

Fume trop, chante trop, parle trop, écrit trop dans sa tête, joue trop, écoute trop, s'intéresse trop, réfléchis trop, les voit trop, les aime trop... Mais ne vie jamais assez. Mon bémol a oublié d'être mineur. Mieux vaut avoir des remords que des regrets. Bis. Les opportunités sont tellement belles. Ca serait bête de se limiter, de choisir. Même si j'ai perdu le papier, le plus important.

Dimanche 8 février 2009 à 12:36

Grandir, on ne peut pas faire sans. Grandir c'est naturel, presque un passage obligé si tu veux. Ce que l'on cherche dans l'enfance n'est notre innocence et notre émerveillement. On peut retrouver tout ça à l'âge adulte*, grandir ça nous ouvre d'autre portes et permet d'avoir plus d'opportunités. L'émerveillement peut rester si la volonté et la curiosité restent, l'innocence aussi. Chercher l'innocence à l'âge adulte c'est être lâche car l'innocence de l'enfance est principalement causée par l'ignorance. Alors, tu choisis quoi ? Si tu restes là je veux bien prendre ta place ma chérie, ne t'inquiète pas.

J'en ai marre des gens qui citent Wilde et d'autres grands auteurs et à côté de ça revendiquent ne pas aimer lire, parce que "lire c'est chiant" et "on a assez de livres à lire avec l'école".

Cf : Pacôme, Clignotants, Castille et toutes ces autres demoiselles.

Dimanche 8 février 2009 à 11:30

- Et toi, n'es-tu pas un élément contraire ?

- C'est probable.

- Tu t'en fiches.

Notez que ça n'était pas une question.

- La sensibilité d'une femme est une arme à feu dont la crosse est un poignard.

Samedi 7 février 2009 à 14:54

C'était délicat de lui expliquer tout ce qu'il perdait. Surtout qu'il ne l'avait jamais eu. Et il ne s'y attendait tellement pas... Dès lors c'était impossible de prendre des chemins de traverse. Alors nous attendions tous. Qu'il comprenne, qu'il apprenne, ou quelque chose d'autre. Qu'il arrive pour sourire. Enfin, ça c'était peut-être en demander un peu trop et ils le savaient. Alors. Qui vivra verra. La soirée sera rouge. Autrefois ce fut une nuit.

Vendredi 6 février 2009 à 19:01

Ils avancaient. Encore. Toujours. A la même vitesse. Dans le même monde. En se regardant, parfois. En se souriant, parfois. Jamais en même temps et surtout, de son côté, sans jamais l'assumer. Mais après tout deux parallèles peuvent bien se couper. Tout dépend du niveau.

Jeudi 5 février 2009 à 18:38

Je suis acceptéeeeeeeeeeee  ! =D

Bon, c'est juste un stage de préparation mais... RAH ! Ca me sauve la journée ça !

Mardi 3 février 2009 à 21:11

Y'a des soirs où ça sature. Entre les souvenirs et les illusions qui nous manquent, les souvenirs et les désillusions que l'on ne veut pas retrouver, pas maintenant, pas tout de suite, parce que l'on avait pas prévu les choses comme ça. Ajoutez à ça les gens qui vous ignorent, ceux qui feraient mieux de faire, le manque de nicotine, le manque d'alcool, le manque de fête, le manque de sexe, le manque d'amour, aussi... Alors on remplit, remplit, remplit, jusqu'à en déborder d'insignifiant. On tente par tous les moyens de combler ces fichus vides. Et au final il n'y a qu'une seule chose qui ressort de tout ça. Un sanglot.

<< Page précédente | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | Page suivante >>

Créer un podcast