Mardi 10 avril 2007 à 21:40

Une illusion, elle hésite. A force d'en rire, elle commence à prendre ce qu'il dit au sérieux. Elle glisse lentement sur cette pente raide et s'enfonce dans ses rêves. Elle se fait des films, invente des sénarios auxquels elle a envie d'y croire. Elle s'inspire de ses douces paroles qu'il lui murmure à longueur de temps, même si elle sait qu'au fond d'elle, il plaisante. Elle n'a pour seule motivation que de le voir, d'entendre sa voix. Les autres choses lui semble dérisoires, banales, futiles....Sans lui, elle trouve le temps long et inutile. Elle n'a de coeur qu'a écouter ses belles paroles et à espérer...espérer que ces paroles ne sont pas non exaustiles.

Miss-moliere

(j'espère que l'article a était digne de ton blog ma chère Margaux)

Lundi 9 avril 2007 à 0:24

Ps: désolé pour la taille de l'article              (L'auteur anonyme)

Ps 2: Si vous vous savez faire un article correctement, le mot de passe invité est toujours le même             (Mymy)

Lundi 9 avril 2007 à 0:19

J'ai un adorable secrétaire qui est là lorsque mon pc beugues, à qui je peux dicter les longs articles vous souhaitant bon amusement et tout le tralala(bien sûr pourri de référence et de sous entendus)

Même qu'il écoute de la bonne musique...MAIS FRANCHEMENT QU EST CE QU IL A UNE CONNEXION DE MERDE!!! En tout cas merci à lui(qui fais l'innocent mais qui se serait fait petit si on avait posté le 1er article et ces alignements de textes), à elle, à eux et à vous au passage, vous savez quoi les gens? Vous allez me manquer... Biz!      Mymy

Dimanche 8 avril 2007 à 21:35

Mademoiselle Mymy m'a demander par sms de vous prévenir que son ordinateur avait rendu l'ame.
Elle va bien mais, évidement, est dégoutée ( et moi de meme )
Donc, voila, ne vous en faites pas si elle ne poste plus, c'est normal, c'est pas qu'elle a mouru hein.



[ Désolée Mymy pour cet article lamentable ]

J't'aime très fort la miss, et reviens nous vite,
Fais un bisou-qui-guérit à ton ordi, ou un truc du genre.


.Coeur. Coeur. Coeur.
Etoiles.
Bisous.
Et tout et tout.

Si vous avez une quelconque [ ça s'écrit comme ça, ça ? ] question à lui adressé ou quoi, Je suis là.

Samedi 7 avril 2007 à 22:07

I woke up this morning
Hunger was gnawing my soul


Samedi 7 avril 2007 à 21:56

Faut-il être de ces ombres chétives qui planent sur tes rêves
Faire partie de ces mondes dans lesquels tu perds le sommeil

Vent de notes.

Je vois déjà la fin de l'histoire, si elle veut bien s'écrire. Je ne retrouve jamais cette amitié qui me manque, je perds même ce qui me reste de "qualités", de confiance... Ca me manque l'avant, mais je ne veux en aucun cas oublier l'élément déclencheur de la rupture. Si seulement je le pouvais, déjà.
J'oscille alors entre deux désirs contradictoires : à nouveau profiter des choses si simples, tout en gardant l'ivresse de ... Du reste.
Bric à Brac du Coeur.


Est-ce moi qui tangue ou toi qui vacilles ?
Sur ton pied d'estal...
Elle adoucit les mieurs.

Un rayon de soleil à travers le carreau, on retrouvera, juré, les vraies couleurs et ce qui va avec.
De quoi parle-t-elle ? Je devine à peu près, et pense connaître son exemple, électrochoc.
J'aurais pu l'être. Et d'une certaine manière je le regrette.
Ce n'est pas un mimétisme pour un mimétisme. Non, je veux m'en envelopper, pour réussir à comprendre le pourquoi du comment. Surtout le comment d'ailleurs. C'est indispensable à la répétition.

Enfant de Mots.


A mettre au final dans Grain de sable pour les conséquences, Perle pour la cause, Brouillard de pensées pour mes sentiments, et Eclair de pensée pour mon objectif, Dans les mailles du filet car je me suis prise au piège, Post-it puisque s'en est l'origine, et "Mademoiselle..."  c'est un minimum, elle y est dédiée, VouZémoi : je l'écris ici. Enfin, le reste.


Vous voulez de la musique en plus de ça ? Allez-y à l'aveuglette. Ce sera parfait.

Samedi 7 avril 2007 à 15:10

Je ne pense pas avoir le temps d'écrire. Et pourtant vous êtes en train de me lire. Oui, mais ce n'est pas de l'écriture, ce sont des mots, jetés, pas malmenés, sur des cachiers de brouillons et des feuilles volantes.

Les vacances : les choses sérieuses commencent.

Dernier essai... Réussir la transformation serait...
Préférable.

Vendredi 6 avril 2007 à 22:22

C'est vrai, je suis la première à le dire, ils peuvent faire mal, ils peuvent blesser, dans l'amour, dans l'orgeuil, mais sans "mes mecs à moi" je ne serai vraiment pas grand chose. Même si bien souvent ils ne savent pas à quel point je tiens à eux.

Je peux ne pas les connaître et vouloir m'émerveiller devant leur bonheur, y contribuer dans la mesure du possible et, s'il vous plaît, pouvoir admirer ces sourires, francs, sincères et qui me donnent sans que je le sache vraiment, l'envie d'être heureuse.

Ils ne le sont pourtant pas à tous les coups.


Vendredi 6 avril 2007 à 22:06

Et ces filles que l'on pouvait voir pleurant toutes les larmes de leur corps, on perçevait dans leur voix des trémolos dûs à l'émotion quand elles récitaient presque, des paroles dénuées de sens, de celles qu'il ne voulait comprendre... Pour finir elles s'effondraient, de tristesse et de fatigue dans les bras de la personne la plus proche. Où sont-elles à présent ?

 
Il n'y a désormais plus personne et ce sont des gens parmis ceux dont les visages étaient les moins marqués qui gardent aujourd'hui les souvenirs en tête, ils y pensent au quotidien et qui, on peut le dire maintenant, n'oublieront jamais.

Envie de rien : cela ne sert à rien, sauf à salir un peu plus sa mémoire et ça je ne le permets pas.
Mais quand même, ces actes sont de vraies claques qu'on prend de plus en plus fort dans la gueule, pour chaque mot une nouvelle fois prononcé.

Pourtant il faut continuer et se dire que les cailloux lançés n'atteindront jamais leur cible.
Putain ce que c'est dur, et la grossièreté ne soulage pas, comme le reste elle fait semblant. Pour dire de.

Je me revois avec eux, et pensant à eux, les souhaitant auprès de moi comme piliers qui pouvaient seuls me soutenir, des remparts contre tout le reste.
Ce n'était pas possible. Alors je vous ai vu, et on a compris, à plusieurs ce qu'il voulait dire dans ses sourires.
Au milieu des larmes et des lamentations, le rire, le rire, puisque c'était ridicule, clownesque. Que faisions-nous vraiment là ?

Avant que la norme ne récupère l'emprise qu'elle a sur nous. C'est ce qui fait aussi très mal.


Jeudi 5 avril 2007 à 22:33

C'est inachevé.. Mais merde d'où ça vient ?

Navré, il regarde ses amis ; ils étaient en France, pas lui. C'est comme si après avoir attendu ce moment, lorsqu'il était enfin là, devant lui, l'étincelle n'allumait pas le feu de joie prévu.
Mais ce n'était pas une désillusion. Tout ce à quoi il s'attendait était à sa place. Les petits détails, les bruits de l'aéroport, la foule cosmopolite, et même la bulle dans laquelle il espérait

Et voilà.

Quant à ce que je vais dire.. Si moi même je pouvais en avoir ne serait-ce qu'une très vague idée.

Jeudi 5 avril 2007 à 22:22

On trouve toujours des choses interessantes sur le site du Asahi Shimbum (en anglais, je ne parle pas, malheureusement, japonais),  et c'est ainsi qu'on apprend qu' Antoine de St  Exupéry nous réserve encore des surprises alors que le 31 juillet prochain cela fera soixante-trois ans que son avion s'est écrasé..

Mercredi 4 avril 2007 à 21:44


Le clip est aussi beau que le reste.

Mercredi 4 avril 2007 à 16:55

On m'a demandé si je savais pourquoi je n'étais pas excellente ici. Oui je le sais. Et je ne peux pas vraiment y remédier, seule la vérité peut me sortir de là, et c'est précisément cette dernière dont je ne veux pas entendre parler. Un sursaut d'orgeuil tout de même : l'ouverture d'une nouvelle petite catégorie "Mademoiselle...". Ca ressemble un peu à Post-it. (Il faut d'ailleurs que je m'énerve pour celle-là.) Pourquoi ces deux petites catégories ? Parce qu'elles se retrouvent dans les principales mais il y a des articles que je veux mettre à part maintenant. C'est une évolution dans le bon sens. Je crois.

Mercredi 4 avril 2007 à 16:50

"Mademoiselle, tu m'avais promis de danser."

Un autre jour peut-être, qui sait ? Lors d'un autre rêve, du moins si tu es encore là. Te souviens tu de ce qui s'est passé ? Les gens autours ne voyaient pas comme nous, comme moi plutôt. Alors un masque de sourires et de paillettes. Ils s'éloignaient le plus vite possible et ceux qui m'avaient approchée par erreur repartaient dans l'instant en chuchotant ce que tant d'autres avaient déjà dit à voix haute.  Où étais-je ? Je ne m'en souviens plus. Un jour. Des incohérences, la tête dans un ailleurs présent.
Et puis je me suis rendue compte de ce que je faisais. Mes jambes ont flanchées. Je suis repartie lentement, pensant avoir effacé mes traces pour toujours. Mais je ne l'avait pas fait. J'avais bien été présente . Quelques preuves ici et là, un ticket de métro violet, quelques pixels pour une photo, un tissu presque noir, trop porté...
Et les regarder m'a fait partir pour de bon. Je me suis perdue en plus de ça.  Pas vraiment de rapport, mais ils le connaîtront eux aussi. Alors, pour une danse.


Mercredi 4 avril 2007 à 16:26

Où se trouve donc cette différence dont ils me parlent tous ?

Lundi 2 avril 2007 à 20:18




Y'a des jours où l'ont se dit que c'est si simple d'être heureux.
Une pause méridienne, dans la cour d'un lycée.
Des gens assis dans l'herbe. D'autres sur les bancs.
Adeline, Clémence, Lucie, Simon, Thomas et moi.
Même qu'on m'appelle Clémence et qu'on appelle Clémence Margaux.
Mais il y a toujours quelque chose pour m'y ramener.

   


Et puis demain les lunettes de stars.

Lundi 2 avril 2007 à 20:01

Parce que les messages de O'Malley m'ont fait extrèmement plaisir.


Là je suis en train de bosser. Si si.


Dimanche 1er avril 2007 à 23:56

Il est beau ce cadre. Enfin c'est subjectif. Le fond est rouge, il y a quelques petites touches blanches qui ont survécues, ailleurs on trouve le noir, du noir des mots usés par les répétitions vaines.

Au milieu, à la place d'une photo qui se devrait d'être joyeuse pleine de vie et autres conneries depuis longtemps abandonnée dans l'espace dont je vous parle, on ne voit que la couleur du carton. C'est le fond du cadre, il manque de quoi le remplir.

Ce n'est pas de la beauté, c'est de la souffrance. De la souffrance à son plus haut degré, d'autant plus puissante qu'elle est concentrée.

Les raisons et les conséquences on s'en moque éperdument, on s'en contrefiche, pourquoi chercher des questions sans réponses ? 

On en prend tellement plein la gueule, plus que rassasiés nous n'en pouvons plus, et nous continuons, malgré ces cris déchirants qui nous supplient de faire cesser cette torture.

Dimanche 1er avril 2007 à 18:57




C'est à vous donner envie d'aimer le café.
Ce sont des sucres pour informations.
Et cet article court et futile pour vous (te) dire merci.


Il ne faut pas dire son nom.
Ni sa fonction d'ailleurs.
Double merci.

Dimanche 1er avril 2007 à 14:22



"Observez perpétuellement, observez l'inquiétude, la déconvenue, la venue de l'âge, la bêtise, vos propres abattements, mettez sur papier cette seconde vie qui se déroule derrière la vie officielle, mélangez ce qui fait rire et ce qui fait pleurer."

Virginia Woolf.


Nous sommes d'accord, ce n'est pas le plus important, mais ça ne doit pas m'empêcher de vous dire merci. Merci d'être de plus en plus nombreux à venir ici et à me laisser un message par email, tag, ou (beaucoup) plus rarement, commentaire. ^^'
Ce mois-ci n'a pas été le plus facile pour moi, mais ça va aller, je vais trouver plus de temps.
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4000 Bises et Mercis.

Mymy

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