Mercredi 25 avril 2007 à 22:06

“An Ugly Fact Of Life “

"Le sublime touche, le beau charme"


E. Kant chez… Cliquez sur le lien !

 Les pages tournent et se perdent au fil des lectures. Je m'étais promis d'agrafer cette « œuvre », comment la qualifier autrement ? Mes sentiments n'ont pas changés et les bravades comme les mises en garde m'empêchent à peine de prendre ce qu'il me reste d'honnêteté pour aller faire mon mea culpa.
J'apprends à l'instant que l'autre titre de « Your Hand In Mine » c'est « Goodbye. »
Ahaha.
Certes je n'ai pas fait beaucoup de découvertes par moi-même, mais celles-là j'en suis très fière.
Mes rêves se voient à nouveau habités par des chimères inattendues, ou en retard. Le temps est venu de se faire une raison ne crois-tu pas ? Inconscient sans réponse.
Je dois dire bravo, tirer les feux d'artifices, dérouler le tapis rouge, t'adresser mes plus sincères félicitations : tu as réussi à abandonner tes rêves.
Je ne t'en croyais pas capable. Je ne voulais pas t'en croire capable. Ce soir on a perdu quelque chose de beau, quelque chose de grand. Ce soir c'est une estime qui tombe aux oubliettes.

 

Les 4 lignes ci-dessus ne sont que le fruit que d'un pur mensonge. C'est mon problème. Et la solution qu'il me faudrait.



Enigmatiques ? J'espère qu'ils le sont encore un peu.

 

Mercredi 25 avril 2007 à 18:39

Désolée mais je n'arrive pas à me réjouir pour elle, c'est au dessus de mes forces.

J'ai l'impression qu'on m'a volé quelque chose. La place qui m'est due.

Et malgré cela je ne sais bien que je ne saurais pas être mesquine ou jalouse d'elle, je l'adore. C'est sa position qui me dérange. Et merde. Merde. MERDE !!

C'est à se taper la tête contre les murs. Ca pourrait être une solution valable ça quand j'y pense… A noter.

« Cherche pas ma fille oublier un sourire pareil c'est impossible. » La mémoire. Un de mes thèmes de prédilection ? Non juste ce qui revient très souvent parce que tout est lié.

J'ai un article assez délicat à écrire. Je le mettrai en ligne au mois de juillet, quand je serai partie avec mon père. Parce que. Bonne soirée à tous.

 

Mardi 24 avril 2007 à 23:30


Je me souviens des cerisiers, un été, il y a longtemps, du moins c'est ce qu'il me semble. Une bande de gamins qui passe entre les barbelés pour aller déplier des sachets plastiques piqués dans un tiroir, grimper le plus haut possible sur ces arbes qui nous paraissaient gigantesques, pour enfin, récolter un maximum de cerises. J'aimais et je n'aime toujours pas les cerises. Mais c'était pas ça l'important.
On arrivait là avec nos vélos récupérés après qu'ils aient appartenus aux grands frères et aux grandes soeurs. Jalousie envers celui qui en avait un neuf. Des couleurs.
Les cerises écrasées sur le t-shirt blanc de Mathilde, la peinture et les paillettes du fameux VTT, c'était ridicule.
Cyrielle courre apporter chez elle trois sachets remplis à ras bords, y'en a qui vont être invités à une collation. On magouille un peu partout dans le village.
Léa on pouvait lui faire la courte échelle, et quand elle était sur mes épaules nous faisions pile la bonne taille pour plier les branches les plus hautes. On va remplir un dernier panier.
Celui là c'est pour la cabane. En chemin on croise cet ancien boulanger qui nous pose des additions, et quand on a bon il ne le reconnaît pas... Encore maintenant.
Les gants de jardins, les cisailles, hop les ronces sont dégagées d'un côté. Et cet énorme tronc mort, avec les mecs cranant quand ils y travaillaient. Nous pendant qu'ils étaient partis chercher de quoi goûter (bah oui, le goûter c'est sacré !) on l'avait retourné ce tronc. Vaut mieux trois filles, deux petits gabarits et un modèle hors-norme, que quatre gars qui roulent des muscles plus qu'ils ne les utilisent.
Ca aussi c'est toujours vrai maintenant.
J'y pense en rangeant mon armoire, ce t-shirt que je porte depuis le CM2, je l'avais échangé avec elle, Léa toujours, juste avant la remise des bulletins, un porte bonheur, on pensait se ressembler beaucoup, et pourtant, une de nous s'est fait avoir, et ce n'est pas elle. Mais aucun ressentiment. 55. Chiffres fétiches. Egalité parfaite encore. La petite brune et la grande blonde. Nées à 22heures d'écart.
Les fêtes de l'école (le feu dans le creux de l'arbre et "Mr le Maire" avec son seau d'eau), les mecs qui regardent par dessus la fenêtre des toilettes des filles, le camping sous la flotte, les bagarres sous le préau, les punitions derrière la mairie, les fouilles archéologiques chez Manon, dans la glaise, les fouilles gemmelogiques, les fêtes de la musique "Tu danses un rock ? " les feux d'artifices, la poussière sur tous les vêtements, les garnements cachés dans le tas de bois qui va être sacrifié pour le feu de la St Jean. Passsés.

On retrouvera.

Mathieu, Thibault, Manon, Nicolas, Simon, Léa, Mathilde, Cyrielle...

Ecrit le 12/04/07.
Je dois préciser. C'est agaçant.

Mardi 24 avril 2007 à 19:21





Paris parait déjà si loin

Paris parait petit

Nous serons mieux nous serons bien noyés dans la city

Qu'importe qu'il pleuve sur Kennedy Airport

J'ai peur pendant l'atterrissage

Mais tu me tiens la main

Alors comme un garçon bien sage

Je pleurais dans mon coin

Qu'importe le ridicule si tu m'escortes

 

Sur le pont de Brooklyn ma petite amoureuse

Riait face aux buildings

Comme une enfant joyeuse

 

Avril dépose sur Manhattan du soleil et du bleu

Comme une éternité qui plane

Central Park à nous deux

Qu'importe ton écharpe que le vent emporte

 

Jusqu'à l'heure où Broadway s'agite

Nous dansons sur le toit

Du 218 Adam street

Moi Robert toi Lisa

Qu'importe New York, New York, si ta voix porte

 

Sur le pont de Brooklyn ma petite amoureuse

Défiait les buildings comme une enfant teigneuse

Je te jure sur nos Amériques

Si je retourne là bas

Si je retraverse l'atlantique

Je t'emmène avec moi

Qu'importe mon amour que tu sois morte

 

Loin du pont de Brooklyn loin de l'Hudson river

De l'empire States Buildings

De la Chrysler Tower

Loin du café Florent

De New York au printemps






Alex Beaupain -
Brooklyn Bridge

Mardi 24 avril 2007 à 16:27





Ca n'avait aucun sens. Et alors ? Elle ressentait, elle vivait, le reste.. Qu'il demeure là où il est le reste.
Les musiques reviennent, des mélodies qui restent et qui à chaque seconde vous rappellent ce qu'est le bonheur. Les éléments extérieurs se font oublier et on ne vit plus que pour ça, un truc, une infime partie, une voix, une photo, une parole, un regard ou une quelconque poussière.
C'est l'été, il fait chaud, on est bien, juste bien. Y'a pas de problèmes à l'horizon, et puis, même si c'était le cas on a des solutions à revendre. C'est un soulagement, la réponse à une attente devenue lointaine et vague, on ne se souvient pas exactement du pourquoi, mais le comment nous contente largement.


Cette fille est très douée.
Lui il l'est simplement trop.

Mardi 24 avril 2007 à 15:31

Tu sais que ça n'ira pas mieux, bien au contraire, mais pourtant tu ne peux t'empêcher d'y croire encore. C'est vraiment y croire pour y croire. C'est comme ça voilà tout. On efface pas facilement les rêves et les espoirs, ils savent s'accrocher, à un tas de petits riens, ils tiennent bon. Ce sont des bestioles coriaces.
On ne peut pas être toujours au bon endroit au bon moment, il faut se faire une raison pour ça aussi. Les coincidences mettent à mal ma paranoïa. Je dois avouer que c'est un difficile. Deux ou trois bestioles qui s'accrochent un peu trop voyez-vous.

Mardi 24 avril 2007 à 14:26

Et les deux finalistes sont...

Mesdames et messieurs, bonsoir. Dans trente secondes, il sera 20 heures et vous verrez apparaître les visagers des deux candidats arrivés en tête au premier tour, qui se retrouveront face à face le 6 mai. Attention : 5, 4, 3, 2, 1... Gérard Schivardi et Frédéruc Nihous sont les deux finalistes de l'élection présidentielle ! C'est une énorme surprise, personne ne s'y attendait, aucun institut de sondage ne l'avait pronostiqué ! Vous découvrez les chiffres en même temps que moi : Gérard Schivardi 22 %, Frédéric Nihous 21,5 %. Loin derrière arrivent Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy dans une parfaite égalité : 15 % l'un et l'autre. Puis François Bayrou 12 %, Jean-Marie Lepen 11 % . Et enfin, tout en bas, Olivier Besancenot 5 %, Marie-George Buffet 2,5 %, Arlette Laguillier 1,5 %, Dominique Voynet 1 %, José Bové 0,5 % et Philippe de Villiers 0,0001 %. Tout au long de cette soirée, nous allons tenter de comprendre les raisons de ce véritable tremblement de terre, d'en mesurer l'ampleur, d'en évaluer les conséquences. Mais, d'abord, place aux réactions des deux vainqueurs inattendus de ce premier tour.

On me dit que nous avons en ligne Frédéric Nihous, directement sur son portable.  Allô, monsieur Nihous ? Vous êtes en direct sur... - Hein ? Quoi ? Chut ! Vous allez me faire manquer une touche ! -Euh... Désolé, monsieur Nihous, mais vous êtes arrivé deuxième avec 21,5 % des voix et... -Si c'est pour me raconter des conneries que vous dérangez la ruralité, franchement, je ne vous félicite pas. Je suis en train de pêcher, j'ai autre chose à faire que vous écouter, alors s'il vous plaît, laissez-moi tranquille... -Mais je vous assure, monsieur Nihous, les chiffres sont formels, ce n'est pas un poisson d'avril ! - C'est ça, c'est ça... Zut j'ai loupé mon coup ! Tout ça par votre faute ! La ruralité ne vous remercie pas, monsieur ! Au revoir ! -Je... Et bien nous essaierons une nouvelle fois de joindre Frédéric Nihous... En attendant, voici Gérard Schivardi qui pénètre dans le studio, laissons-lui le temps de s'installer, voilà... Alors monsieur Schivardi, votre première réaction ? -Euh... Vous êtes surs de votre coup là ? -Tout à fait, absolument, vous êtes en tête du premier tour, vous petes en situation de devenir le prochain Président de la République ! -Attendez, je ne joue plus, moi ! Pouce ! Président de la République ! N'importe quoi ! Pourquoi pape tant qu'on y est ? Bon je me suis bien amusé, j'ai eu toutes les télés, toutes les radios, j'ai pu raconter tout ce que je voulais, mais président de la République, vous plaisantez ! Je démissionne, moi ! J'abandonne la course ! Je donne tous mes pouvoirs à l'autres, là, Frédéric Nihous ! -Mais il est à la pêche...  -Il a bien raison, tiens ! Je vais faire la même chose ! Allez, bien le bonjour chez vous, je rentre chez moi ! -Mais vous ne pouvez pas partir comme ça, monsieur Schivardi ! Je vous rappelle que vous avez... Eh bien ça y est, il est parti...
Bon. Bien. Très bien.

Alain Rémond.
Extrait de "Et les deux finalistes sont..."
Pour le n°521 de Marianne.

Pour lire les réactions de Sarko, Ségo, Bayrou, et de monsieur Jesaistout, directeur d'un institut de sondage, il vous faut lire ce numéro de Marianne. Numéro dont vous aurez d'autres extraits "Le vrai Sarkozy, ce que les grands médias n'osent pas, ou ne veulent pas dévoiler".
Parce que non, s'il vous plaît, ne nous collez pas Sarko Président.

Mardi 24 avril 2007 à 11:39

Encore une bonne idée piquée à Grenier Public...

Le nuage des filles


Juste pour tous les magnifiques blogs qui se trouvent là-bas.

Lundi 23 avril 2007 à 22:51







Et je la sentais, qui coulait entre mes doigts comme cette eau obscure et froide.
Elle dont on se souvient plus qu'on ne l'a vécue. C'est dans sa forme qu'elle nous reste attachée. Incomparable. D'elle je ne sais que peu de choses : ses rêves, ses ambitions, ses peurs, ses amis, ce qui la traverse.
J'ignore sa couleur préférée, le numéro de sa classe, sa chanson, ses qualités et ses défauts, le nom de son chien, ce qu'elle voulait faire "quand elle serait plus grande", l'agencement de sa chambre ou de son bureau, à quoi même elle ressemble à l'heure qu'il est. Mystère. Les réponses arrivent au compter-gouttes traînant dans leur sillage des flots entiers d'interrogations nouvelles.
Muni d'une seule et unique certitude, évidence imposée par la douleur, j'attends de trouver en moi ce petit "truc" qui va faire que. Ce cri resté trop longtemps dans ma poitrine  et donc je vous épargne aujourd'hui la perçée déchirante. C'est archi-connu, vu et revu, déjà exploité à fond. C'est indigne.

Et puis, même si tout allait pour le mieux dans le meilleurs des mondes, ce qui est loin d'être le cas, enfin bref, cet argument expliquerait ma trouille. Lequel ? J'ai oublié. C'est ce qui arrive quand on tarde à faire ce que l'on doit faire.

C'est pas un rêve.
Pas un fantasme.
Une folie.
Merde.

Her Ghost - Jack the Ripper.

Lundi 23 avril 2007 à 22:01

On reprend les bonnes habitudes : les mains qui courent sur le clavier, vérifiant régulièrement que personne ne s'approche du bureau, et cette chère amie, la déprime inconnue qui revient frapper à ma porte, on lui ouvre bien sur grand les bras et on lui réserve une belle chanson pour lui souhaiter un agréable retour dans ses quartiers virtuels. Je pense à *joker*, à ma Val, qui me manque et que j'aimerais pouvoir réconforter plus efficacement que je ne l'ai fait aujourd'hui, aussi à cette petite fille avec qui je suis restée une après-midi entière devant Pocahontas et qui m'a dit, mot à mot que "tes yeux à toi aussi ils sont remplis de nuages"... Y'a des jours comme ça.
Je refais mon monde. Mon fond d'écran est d'un rose criard. Pas pour longtemps.



Alex Beaupain - Au Ciel.

Lundi 23 avril 2007 à 21:02

Et vlang, ça arrive sans que vous n'ayez rien vu venir. Un 700ème article. Allez Mymy, tais toi pour une fois, offre leur des vacances. Ok.
Maintenant que ça c'est fait passons aux choses sérieuses. (Tout est relatif.)

Je viens de passer 5 bonnes heures à lire. Qu'on m'excuse de n'avoir laissé aucun commentaire. Le temps que je me remette.

Le 21 avril 2007.. Quelle soirée mais quelle soirée ! Neils a été fantastique à la guitare et au chant, Letitza lors du duo a été, comment dire, égale à elle même, et Safia est vraiment une prodige, une magicienne dès qu'elle s'installe derrière un piano.
Pour résumer, un "kiff" monumental lors de ce mini-concert. Je ne sais trop comment remercier les gens qui m'ont permis de le faire. Alors voilà.

Et puis Jean-Clément aussi, mon bon génie de l'informatique qui a (à peu de choses près) remis ma becane en état de marche.

Tant que nous y sommes, j'ai eu très peur en voyant le score qu'a fait Nicolas Sarkozy, attendez vous d'ici peu à un article qui, je l'espère, fera peut être évoluer l'opinion de certains d'entre vous concercant cet homme, bien que j'estime pour ma part que ce candidat manque cruellement d'humanité.



Lundi 23 avril 2007 à 17:12

Aloooors.
Après une lecture attentive de mes boîtes mails, je crois qu'un grand MERCI s'impose.

A ceux qui sont venus sur ce blog lors de cette absence, laissant coms, tags et messages de soutiens.
A ceux qui ont envoyé des emails, des sms des messages différés...

A (dans un ordre aléatoire, et dans une liste où je vais surement oublier beaucoup de monde) :
Bee, les fantastiques, fleur des champs, grenier public, majupri, distantwaves, ladypirate, mots de tête, putain d'illusions, mr niark, le petit prince, papy kaa, kadja, miss-molière, l'auteur anonyme ....

Et bien d'autres perles cowblogueurs ou non, pour avoir été là, pour avoir posté posté et posté, ce qui me donne des tonnes de choses à lire.

On arrête mes bêtises, preuves que le sentimentalisme existe encore dans un obscur coin de ma personnalité et je me remets au boulot. J'ai énormément de choses avec lesquelles j'ai bien l'intention de vous bassiner !

Lundi 23 avril 2007 à 16:29

Liste des choses à faire (dans l'ordre) quand on récupère son ordinateur après 23 jours (ou presque) :

Se résigner devant la résolution d'écran et la piètre qualité des couleurs
Se recréer une nouvelle session
Réinstaller Wanadoo
Réinstaller Firefox
Poster un article sur son blog juste pour le plaisir de dire : " Je suis là !!"
Se désespérer en parcourant sa boîte mails - Réinstaller MSN
Se dépêcher de tout récupérer !
Réogarniser sa session.
Récupérer un maximum de fichiers (ma musiiiiiiique)
Vous dire à tout de suite !

Mardi 17 avril 2007 à 23:26

Tu la vois qui déambule le long de tes souvenirs? Qui coule sur ta plume pour finir au bout de la mienne?
"Toute victime deviendra un jour boureau." Ah, oui. Le seul problème dans notre histoire c'est que c'est la même personne sur qui on s'acharne et qui sur nous s'acharne ensuite. Trop drôle: maintenant je lui parle à "elle" et je la rejoins quelque part, c'est la meilleure. Elle pèse sur ma vie car je suppose qu'elle hante toujours la sienne, à travers laquelle j'aimerais tout voir.
Et puis Gorillaz.
(Piquée ou pas "et puis", manie commune?)
La même.

Vendredi 13 avril 2007 à 22:22

Pourquoi le mot "extraordinaire" ?

Avec toi je ne suis pas persuadée qu'il veuille dire quelque chose. Tu relèves de l'extraordinaire dans ta personne entière, dans tous ses aspects, sans que tu t'en rendes forcément compte (fait d'autant plus peu banal)
Et puis, simplement, en bonne égoïste que je suis peut-être (probablement..) je pense avoir voulu ce mot parce qu'il explique pourquoi je n'étais pas inclue parmis elles.
Sans oublier que je présume qu'il est plus facile de niveller vers le bas que de tirer vers le haut. Ou un autre truc du même genre. (Voyez, ça commence, je suis douée pour ça.)

Qui peut le plus peut le moins.
Tu es soulagé d'apprendre que mes archives de conversations sont effacées ?
Il reste mes post-it.
Mais je ne peux en aucun cas oublier, alors.
4 jours, je demande 4 jours, comme ceux qu'elle a pu avoir.


Vendredi 13 avril 2007 à 22:08

Elles me font hurler de rire, ces poupées de chiffons qui trouvent mon monde trop sombre pour leur belles consciences.
Ce sont des confettis, oui, je trouve la comparaison judicieuse. Elles sont nombreuses, colorées, insignifiantes individuellement pour plaire, elles ne peuvent amuser qu'en grand nombre, mais dans les deux configurations elle peuvent se révéler horripilantes.
Ensuite, comme les confettis de carnaval, ces bouts de papiers pour fêtes, elles sont (très) éphémères, une utilisation et on les jette. Non, c'est pire que ça, être jetées c'est ce qu'elles peuvent espérer de mieux. Mais elles l'attendent, le grand jour, pour quelques dixièmes de seconde où elles brilleront quelque part.

Vendredi 13 avril 2007 à 21:51

Je connais un PC qui va finir défenestré. Le mien, tout simplement. Là j'ai une connexion internet (alléluia) donc je ne vais plus toucher à rien et me résoudre à abandonner toutes idées de faire quelques choses de bien sur cette.. chose.
Tout de même, 15 minutes après avoir écrit le précédent article cela merdait à nouveau. En trois jours j'ai réinstallé au bas mot, huit fois Windows XP.. Je sature on peut le dire. Donc contentons nous d'être médiocre : c'est mieux que rien.
Merci pour vos mails et messages.
1000 Bises Mymy.

Jeudi 12 avril 2007 à 11:51

(Ô joie, j'ai reussi... J'avais tout simplement pas pris le bon mot de passe. )

Voilà je voulais juste laisser ça ici, comme ça. Je suis bien contente que tu sois un jour passé par chez moi. Je l'adore moi cette Trés Grande Mymy !!

Mercredi 11 avril 2007 à 21:18

Vous savez quoi ? J'ai récupéré le net !! Oui oui c'est bien Mymy qui vous parle. Cette même Mymy qui tape cet article avec une résolution d'écran minimale, un ordi qui n'a jamais été aussi rapide (normal tout mon disque dur a été effacé : photos, vidéos, musique [ Ma bibliothèèèèque], textes, fichiers en tout genres, archives de conversation etc..., )et puis preuve de ma détresse : je suis, il faut le souligner, sur internet explorer.

Donc je n'ai plus qu'à attendre, avec la patience qui me reste, que l'ordinateur redevienne un tant soit peu ce qu'il était avant ce cette veille de Pâques de l'année 2007, journée que je maudis à jamais.

En plus de cela, je récupère internet le jour où ma miss Bee part en Espagne.. J'adore.

Enfin, je ne pense pas passer beaucoup de temps ici pour deux raisons principales :

Vue la gueule qu'a ce foutu PC ça me rendrait malade de rester trop longtemps dessus.

Je suis déjà malade (ahh une angine à J-10, on ne pouvait rêver mieux.)

J'adore les passages à la ligne avec internet explorer. Vraiment.

Je ne suis pas prête de récupérer msn non plus.

Ah, oui, pour finir en beautée : ma belle moyenne de visites dont j'étais si fière en début de mois s'est effondrée, pour ne pas employer d'autres termes, plus forts, et plus appropriés.

Positivons : c'est mieux que rien. Je suis soulagée malgré ces (quelques) déconvenues. Vraiment, ce blog, j'y suis accro. Hâte désormais de pouvoir repartir à zéro. A défaut de pouvoir continuer sur de bonnes bases. (Ou hâte d'avoir un ordinateur portable, aussi.)

Mardi 10 avril 2007 à 21:49



Article éclair pour te dire ( mais tu le sais déjà ) que j't'aime très très très ( ... ) très fort.
Qu'je t'envoie des milliers de bisous ( je les glisserai dans l'envelloppe de la carte postale de Barcelone )
Et des milliers d'étoiles ( Il te suffit de lever la tête. )

J'te Bee-zOou-te. Reviens nous vite.

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