Lundi 14 janvier 2008 à 18:53
Lundi 14 janvier 2008 à 18:30
- Pourquoi ? Tu vas pas me dire de suivre tout de même ?!? XD
- Non, c'est juste que t'es en train de te faire mal là.
J'ai probablement du mal à voir les gens qui me sont proches ces temps-ci. Demain c'est tempête. Je suis déjà en plein dedans et je cherche un roc auquel m'accrocher. De toutes mes forces. Ma tête est remplie de grelots et eux aussi s'agitent déjà. Ça fait un bruit d'enfer et en même temps si l'enfer ressemble à ça ce serait assez acceptable. Je reviens après. Je finirai, ou pas.
Sinon la phrase de la journée ce serait bien "Ils n'avaient qu'à la flinguer." Je suis limite flippante.
Lundi 14 janvier 2008 à 18:01
J'espère que tu aimes ton cadeau !
Et puis vous, je vous informe : cette fille est géniale et mérite bien plus que cet article.
Une prochaine fois ; promis.
Lundi 14 janvier 2008 à 11:09
I'm sorry that she's still in your mind
And I can't do anything
But I would like
I'm listening you without a word
Trying to leave my feelings
Why is it forbidden to forget ?
Days are just too long for us
Which doesn't prevent my nights
From being haunted by her strange figure
Dreams harbour forbidden thoughs
That's why we are scared to kill her
Again...
Dimanche 13 janvier 2008 à 22:14
Ça n'est plus une boîte à souvenirs. C'est un cercueil à souvenirs. Quand le temps viendra il faudra juste faire une dernière autopsie.
Dimanche 13 janvier 2008 à 18:38
Oui, j'ai déjà entendu ça, souvent en plus. Mais j'ignore si c'est réellement vrai. Je supppose que certaines adaptations sont si contradictoires qu'elles sont totalement incompatibles. J'ai peur d'en voir arriver une énorme. Vraiment grosse. Le genre de contradictions qui vous projette à terre et vous piétine. Même si l'adapation se fait partiellement. On, ce prénom imbécile, dit encore qu'il faut alors trouver une source de motivation suffisante. Et si c'est cette source qui est la cause des problèmes ? Je fais comment moi ?
Dimanche 13 janvier 2008 à 0:47
Y'a la :
l'Envie Compulsive De Pouffer Facilement
Dimanche 13 janvier 2008 à 0:46
Remonter sur le toit, s'asseoir sur les veluxs et gueuler aux étoiles de me répondre.
On me dit que ça se fait pas... Tant pis.
Dimanche 13 janvier 2008 à 0:17
Samedi 12 janvier 2008 à 22:59
Cependant la musique reste universelle et c'est une superbe consolation.
Il est temps de remettre les compteurs à zéro.
Désormais pour faire valoir un passé commun il faudra faire vivre mon présent.
Na. D'abord.
Merci à thegrannysmith qui m'a fait souvenir de ma phrase manquante.
Samedi 12 janvier 2008 à 11:59
Samedi 12 janvier 2008 à 1:24
De rien
Une façon de répondre à ton mot de passe, ou à toi. J'sais plus. Bah, on commence à avoir l'habitude, hein...
Un jour j'me déciderai à venir chez toi poster un truc constructif ( ouai ouai j'ai bien dit constructif...)
[ Ha ouai et puis... Ca compte pas... ]
Vendredi 11 janvier 2008 à 22:44
Rire un peu. Parce que Männe a 25 ans et que décidément, ça lui va bien.
Tout annuler et revenir encore ailleurs.
Vendredi 11 janvier 2008 à 18:34
Claire.
Son piano. Son bar.
Et un jour peut-être, avec de la chance, un piano-bar en Belgique. Avec beaucoup de jazz.
Je te souhaite un excellent anniversaire ma chère et j'en profite pour te remercier du fond du coeur.
Vendredi 11 janvier 2008 à 15:26
Il m'a chatouillée.
Comme on chatouillerait un oisillon en piètre état pour savoir s'il est encore en vie. En fait.
Et j'ai réagi. J'étais visiblement encore en vie. J'ai ouvert les yeux et je me suis pris son sourire dans la gueule.Il était devenu le mur du fond, celui de cette pièce dont je craignais d'ouvrir la porte. La porte était ouverte et la pièce restait à découvrir, éclairée et accueillante.
L'oisillon n'était pas mort. L'oisillon était un oiseau à qui on avait brisé les ailes et qui les avait donc repliées. Pour l'instant il est en pleine réeducation et vous salue.
Vendredi 11 janvier 2008 à 14:23
C'est tout ce que je n'espérais pas. Décidément ma chance est unique.
Une petite pensée pour Justine ; au moins mon amant inexistant (et impuissant)
ne me trompe pas. Ouais, c'est déjà ça de gagné, et encore, je ne suis pas sûre.
Je m'excuse de ne pas avoir écrit hier mais une histoire de yaourt m'a tenue éloignée de l'ordinateur.
Si si, vous lisez bien, une histoire de yaourt. Un paquet de pépitos à qui trouve pourquoi.
Je n'écrirai pas beaucoup non plus ce soir à cause du DS de maths du lendemain. Même si je doute que réviser
serve à quelque chose pour maintenant. Mes envies restent très paradoxales.
Par exemple, je ne veux pas quitter le lycée. Je veux juste quitter les cours. Je ne suis pas sortie de l'auberge.
Je suis en manque de sourires. Pas des siens, je sais qu'ils sont vrais et je ne sais plus quoi dire pour l'en remercier, c'est pas génial à dire mais j'ai encore besoin d'autre chose.
Mercredi 9 janvier 2008 à 23:02
Sans déc', à la descente du train j'espère qu'il y aura Bee, parce que en plus de vouloir la voir absolument, s'il n'y a que cette demoiselle, moi je ne vais jamais la reconnaître.
Magnifique.
Mercredi 9 janvier 2008 à 22:53
Ce soir c'était IEP, Martin et le Reste. Je dois tout de même faire une dernière chose.
Sms.
Un premier.
Un second.
Un troisième.
A minuit et seize minutes.
Un éclat de bonheur qui sonne comme un rire.
Seule dans mon lit, mais eux au milieu du coeur.
Mercredi 9 janvier 2008 à 22:19
J'en arrive d'ailleurs à oublier d'être moi-même. Il m'aura vraiment tout fait et tout fait faire ce con. Paraît que j'ai signé, que je suis d'accord. La prochaine fois je penserai à vérifier les petits caractères écrits en néerlandais au bas du contrat.
Mercredi 9 janvier 2008 à 18:08