Dimanche 19 novembre 2006 à 14:32



Viens-tu ici ? De temps en temps ? Je n'en sais rien.. c'est d'ailleurs agaçant. J'avais écrit un texte, inventé un souvenir. Oui, j'avoue, j'en avais envie. Alors je l'ai fait. C'est aussi simple que ça. J'en étais plutôt contente de ce faux-souvenir. C'était, assez bien fait, et il n'était pas désagréable.
Mais désormais.. il faudrait le réécrire. Pour qu'il soit à la hauteur de la réalitée. C'est vraiment troublant, la sensation d'avoir en face de soi quelqu'un qui connait un de nos rêves et qui fait le nécessaire pour le surpasser.






Samedi 18 novembre 2006 à 23:31



                                                                                                                                                                Romain ça fait deux mois. Il revient toujours dans mon esprit. J'ai pourtant réussi à l'oublier pendant deux heures cet aprem. Est ce une bonne chose ? Je ne sais pas du tout.
L'après-midi a été excellente. Ce genre d'après midi qu'on ne veut pas oublier. Juste parce qu'elles remontent le moral.
Demain compétition de judo. J'ai de grandes chances de tomber sur la championne de France de ma catégorie. On verra bien ce que cela donne.
Petit changement.. au final.. c'est bien aussi une playlist non ?
Photo prise... il y a longtemps. Au moins une vie de cela je crois bien.



Samedi 18 novembre 2006 à 23:18


J'aurai jamais du te regarder d'aussi loin...

Je t'apporte une espoir là où tu pars
Je te renvoie tes rires
Pour transformer tes soupirs
Je veux t'offrir tout ce que tu m'a laissé
Te chanter ce que ton coeur récitait

Tu as beau dire ce qu'il est je ne vois
Que ce que tu méritais.. au delà

Je ne saurai pas te retenir
Bien sur aucune envie de te voir partir
Mais te voir plus heureuse que tu ne l'es aujourd'hui
Quel sera le prix ?

J'ai l'impression de te voler tes moments
Pourtant je t'aime et ne sais faire autrement
Je te serre dans mes bras
En ne sachant si je veux pouvoir dire que tu es à moi

Je pourrai t'offrir tous les cadeaux du monde
T'aimer à chaque seconde
Réinventer les sentiments
Est ce que ça suffira seulement ?

Donne moi rien qu'un peu
De ce que j'aurai aimé trouver dans tes yeux
Je ne sais pas faire plusieurs offices
C'est un accord tacite
Que tu as pris seule.

Redonne moi un espoir.
Là où je te vois partir.
Tu emportes avec toi mes rires.
Tu sublimes mes soupirs.


C'est venu comme ça. Pour un ami qui me l'a demandé. Cela vient tard, 3 semaines après la demande. Mais c'est venu tout de même. Alors que je faisais ce qu'il aurait du faire depuis longtemps. Bref. Ne m'oublie pas surtout.


Samedi 18 novembre 2006 à 22:13

Pour le fond musical... retour en force de Lonah ! Parce qu'elle s'appelle Raphaëlle..
Des idées de musiques pour ici ? Dites ; )

1000 Bises Mymy

Vendredi 17 novembre 2006 à 20:48

 

mol to piu alto delle nuvole...



aussi haut, au-dessus de tout, et donc de n'importe quoi.
Il y a toujours un prix à payer pour pouvoir s'élever. Des sacrifices à faire pour pouvoir se dire exceptionnel. Et pour une vie normale ? Une journée sans pleurer, même intérieurement, sans crier, même silencieusement. La normalité existe-elle encore ? Est-elle aussi devenue une exception ?
On a tous quelque chose qui peut cacher notre soleil. C'est à nous de rendre cet obstacne assez petit pour pouvoir regarder à travers.


1000 Bises Mymy
Qui revient peu à peu.

Jeudi 16 novembre 2006 à 22:12


You could be happy


You could be happy and I won't know
But you weren't happy the day I watched you go

And all the things that I wished I had not said
Are played on loops 'till it's madness in my head

Is it too late to remind you how we were
But not our last days of silence, screaming, blur

Most of what I remember makes me sure
I should have stopped you from walking out the door

You could be happy, I hope you are
You made me happier than I'd been by far

Somehow everything I own smells of you
And for the tiniest moment it's all not true

Do the things that you always wanted to
Without me there to hold you back, don't think, just do

More than anything I want to see you go
Take a glorious bite out of the whole world



Faut pas grand chose pour se remonter. Le bonheur d'amis. L'envie de se battre pour quelqu'un. Ou pour sauvegarder sa fierté. Qu'on peut raisonnablement considérer comme de l'orgueil. Pour sortir la tête de l'eau il suffit parfois d'un moment. D'une chanson. Pour réaliser tout ce qu'on a à perdre. Tout ce qu'on a à gagner. Si pas pour quoi on fait notre vie, comment on veut la faire. Suffit d'une situation pour se rappeler les autres qu'on a pu avoir, les souvenirs qu'on en a, et ceux que l'on veut se créer.

Jeudi 16 novembre 2006 à 22:01

Je reviens


Apaisant. Cela faisait longtemps que je n'ai pas utilisé ce mot. Je cherchais sans le trouver.

Je suis dans mon lit, cette musique fabuleuse dans l'oreille droite, il faut donc préciser que j'ai mon casque d'ordinateur en guise d'écouteurs... Fait remarquable, je n'ai pas peur pour demain. Demain, pour vous lecteurs, aujourd'hui, ce sera ma fête : St Marguerite. On fête donc les Margaux. Ce prénom est d'origine persanne et veut dire perle. Certains pensent que j'en suis vraiment une : merci.
Demain, je serai au lycée, espérant, sans trop me faire d'illusions que quelqu'un pense à cette fête.. insignifiante.. Oui, mais ça fait tant plaisir. Pas tant que l'on souhaite votre fête.. plutôt que l'on pense à vous. Demain, j'aurai aussi mon MPS, et ma musique, renouvellée, et retrouvée de surcroit. Demain je vais écrire, je vais observer. J'irai chanter à la pause méridienne.. Demain sera, aujourd'hui c'est, je l'ai décidé, une bonne journée.

Comme quoi la vie n'est qu'une chose ridicule de par son déroulement. Et l'avenir trop insaisissable, même pour quelques heures.



bande son : You could be Happy (les paroles au prochain article..)
Les notes me portent, la chanson m'envole avant d'avoir écouté les paroles. C'est rare.
1000 Bises Mymy

Jeudi 16 novembre 2006 à 19:18


" Pensée 427] Il n'aime plus cette personne qu'il aimait il y a dix ans. Je crois bien : elle n'est plus la même, ni lui non plus. Il était jeune et elle aussi ; elle est tout autre . Il l'aimerait peut-être encore, telle qu'elle était alors. "

Pascal

Jeudi 16 novembre 2006 à 17:53




"Puisque ma vie n'est rien, alors je la veux toute.
Tout entière, tout à fait et dans toutes ses déroutes,
Puisque ma vie n'est rien, alors j'en redemande,
Je veux qu'on m'en rajoute.. "
         Carla Bruni, La dernière minute


Aujourd'hui, l'ennui profond. Je marchais par automatismes. Je parlais pas réflexe. Je souriais sur commande. Ma seule échappée a été musicale.
 Il me manque quelque chose. Je n'ai pas pu parler ces derniers jours. Serait-ce déjà ce manque là ? Si c'est  cela je suis mal barrée. En tout cas je vais essayer de remédier à cette carrence, nous verrons bien si ça s'arrange du même fait.
Soyez heureux... je l'espère pour toi. Cela me rend heureuse de te savoir en forme. Mais sans moi ?

 Et dire qu'hier soir.  [to be continued..]


Mercredi 15 novembre 2006 à 15:39

Prenez un abonnement chez TPS...




C'est la deuxième fois que quelqu'un de chez tps m'appelle .. en m'appelant Nicolas. Et non ce n'est pas chez moi ! Mais vraiment, je rends hommage aux mecs de tps, ce sont vraiment les plus doués !! Aimable, souriant (si si ça s'entend..) vraiment géniaux ! C'est presque à regret que je viens d'expliquer à Jamel, que non il doit y avoir un problème dans la base de données... Abonnez vous chez tps !!
Et oui, c'est un article pour ne rien dire. Parce que ca faisait longtemps. Juste pour braver l'interdit.. aussi !

Demain ne pas oublier...
Message à faire passer : alors vas-y et arrête de m'ennuyer.

Lundi 13 novembre 2006 à 20:58

Chapitre I .. scène 1
Acte I .. scène 1...

Je suis fatiguée.
Mais attention j'arrive.
Privée d'ordi.
On verra si c'est pour longtemps ;)

(j'ai mes combines)


1000 Bises
Mymy

Dimanche 12 novembre 2006 à 21:48




Myriam***





Elle est fatiguée. Ses muscles sont raides, les traits de son visage tirés.La nuit a été difficile. Depuis 19 heures hier, elle est anxieuse, inquiète. Plus pour les autres que pour elle. Bien que les histoires entendues ne la rassurent pas pour la sienne. Pourquoi les gens ne peuvent ils donc pas s'empêcher de se haïr au bout d'un moment. Se dire stop, c'était bien mais on arrête, sans déclencher un pugilat, ce n'est pas possible ? Elle, elle est  au mileu. Prise dans un feux croisés. Et personne ne viendra la chercher. Si elle était du genre à se plaindre, c'est là dessus qu'elle se plaindrai. Alors qu'eux ils sont tellement omnibulés par l'idée de se détester qu'ils en oublient pourquoi. Mais elle n'est pas de ce genre là. Alors elle regarde plus loin. Essaye d'imaginer des lendemains qui chantent. Faut bien trouver quelque chose pour la faire tenir. Sinon, à qui se raccrocheraient les autres ?



Un texte trop court. Pour des nuits trop longues.

Samedi 11 novembre 2006 à 23:34




Je n'ai pas beaucoup de morale. Enfin, selon les gens c'est compliqué. Je reconnais aisément ce tort parce que je le considère pas comme tel. J'ai ma propre morale, mes propres limites, qui ne sont pas rigides, qui évoluent selon les situations. Cela me suffit. Et ces limites se foutent éperdumment, tout comme moi, des cadres fixés par la norme.

Je suis capable de pleurer parce qu'une amie, ou un ami à moi est malheureux, je suis capable de sourire bêtement durant des heures parce qu'on leur a annoncé une bonne nouvelle. Il paraît que peu de gens sont comme ça. Je m'en fous.

Pourtant, pour d'autres, je suis capable de les mettre à terre, de les enfoncer, encore et encore jusqu'à ce qu'ils supplient. J'ai peur de ne pas savoir m'arrêter. Une autre partie de moi éprouvera des regrets après. A l'instant je m'en fous.

N'allez cependant pas croire que je me fous de tout. La réalitée est bien différente. Les choses, les gens m'interessent, à un point tel, que dixit un ami à moi, j'en arrive à effacer les autres personnes pour me concentrer sur quelqu'un. Vouloir être honnête c'est me forcer à dire que dans la plupart des cas je le sais, et ce n'est pas fait pour, mais je n'ai pas envie d'y changer quelque chose.

Alors, suis-je quelqu'un ayant du coeur ? Une fille altruiste ? Ou une brute, qui n'a aucune conception, ni perception des limites ?

De mon avis non. J'ai la sensation d'être une jongleuse, ou une grande tranformiste, qui décide d'être, de par-être et de paraître, ce dont elle a envie. Il y a bien sur des loupés. Les erreurs sont là pour forger une expérience. Enfin c'est ce qu'on répète.

Quelqu'un, a fait un commentaire ici. Qui m'a profondément.. enquiquiné dirons nous. Je vous le remet pour pouvoir y réagir.

" tu as écris plus tôt : "Les textes ne sont que des brouillons, écrits n'importe comment quand j'en avais envie. Pour m'améliorer, avec le temps."

... J'ignore si tu arrives à prendre du recul sur tes textes, je n'y parviens pas souvent, mais si comme moi, ton soucis principal est la symbiose des mots, l'enchainement des idées en toute fluidité pour pouvoir faire passer un message fidèle à nos pensées, alors sur cet article là, crois-moi, c'est réussi."

Je tiens avant tout à dire à cette personne qu'elle ne doit pas prendre mal ce qui va suivre. On a eu suffisament de discussions pour que je vois derrière ce commentaire. Mais si il avait été de quelqu'un d'autre.

1° Du recul sur mes textes. Mes textes, drôle d'ensemble que celui là. Cela ne veut à mon sens rien dire. Ces textes sont si différents. Certains sont effectivements des purs moments de mise en ligne de ce qu'il me semble que je ressens alors que d'autres sont totalement fictifs. On m'a fait remarquer qu'en écrivant, sur des textes bien différents,  c'est parfois comme si j'étais au théâtre, je prends la place de quelqu'un d'autre, en connaissant peu ou prou son histoire et je mets des mots dessus. C'est tout à fait ça. Alors, puis-je vraiment prendre du recul ? Cela semble possible mais pas partout. Comme il est impossible de revivre à la nuance d'émotion, de perception près un moment. Oh, j'aimerai me convaincre que si. Que mes textes me font cet effet là. Ne serait-ce pas me bercer d'une illusion ? Que dois vivre parfois.

2° Mon soucis principal.. la symbiose des mots. Pour moi il n'y a pas de symbiose des mots. Les mots n'ont pas d'ordre, les mots doivent découler comme une émotion. Osez m'affirmer que vos émotions sont toujours dans l'ordre. Soit je suis d'une nature résolument différente en terme d'organisation psychique, soit, comme je le pense, nous avons tous une manière de ressentir qui nous est propre. Bien sur certaines se ressemblent plus que d'autres. Voilà pourquoi on ne peut jamais toucher, faire comprendre à l'humanité la même chose dans le même texte, la même photo, le même dessin, la même musique, la même interpréation. Création. Cela doit être pour cela que mes textes paraissent incompréhensibles à certains. Je ne cherche pas à écrire dans l'ordre, ou dans un style très correct. Je ne passerai pas 35 minutes à reformuler, recopier, faire attention aux répétitions  etc.. Cela m'arrive, je le concède, rarement. Mon but premier est de saisir les mots, comme ils viennent. Je peux me mettre à écrire, pour rien, n'importe où. Si je n'ai pas idée de ce que je vais dire, je parlerai de ce que je ne sais pas dire. Et alors, cela dérange quelqu'un ? Non. Bien sur. Je veux saisir les mots, au vol, les poser, n'importes quels mots, les miens ou ceux d'autres.
Ce blog est le mien. Il est décousu. Il part un peu n'importe comment. Il n'y a pas vraiment de logique. Sauf celle que l'on veut bien lui donner. Puisque en posant des mots ici. Je vous les donne. Piètre cadeau oui. Je suis d'accord. L'important est ce que vous en faites.

C'est ça mon but premier.


Cet article en est la preuve. Vivante. J'ose dire.



Samedi 11 novembre 2006 à 22:44

Je n'ai pas beaucoup de morale. Enfin, selon les gens c'est compliqué. Je reconnais aisément ce tort parce que je le considère pas comme tel. J'ai ma propre morale, mes propres limites, qui ne sont pas rigides, qui changent selon les situations. Cela me suffit. Et ces limites se foutent éperdumment, tout comme moi, des cadres fixés par la norme.
Je suis capable de pleurer parce qu'une amie, ou un ami à moi est malheureux, je suis capable de sourire bêtement durant des heures parce qu'on leur a annoncé une bonne nouvelle. Il paraît que peu de gens sont comme ça. Je m'en fous.
Pourtant, pour d'autres, je suis capable de les mettre à terre, de les enfoncer, encore et encore jusqu'à ce qu'ils supplient. J'ai peur de ne pas savoir m'arrêter. Une autre partie de moi éprouvera des regrets après, mais à l'instant je m'en fous.
Alors, suis-je quelqu'un ayant du coeur ? Une fille altruiste ? Ou une brute, qui n'a aucune conception, ni perception des limites ? J'ai plein de choses à dire, à écrire. Je veux m'en libérer. Et je ne le ferai pas ici ce soir. Parce que ce mon PC bug.. tout en même temps décidement. FAIS CHIER.Encore un article inachevé !!

Samedi 11 novembre 2006 à 22:41

Rame... rame, rameur, ramer, on n'avance à rien dans ce canoë.. là haut.. on te mène en bateau tu pourras jamais tout quitter t'en aller, t'étoiler, tais toi et rame..

Et oui, tu rames, je rame. On rame quoi. Pour quoi ? L'amour ? Le bonheur ? La survie ?.. tout simplement ?
Quand je vois les gens autour de moi se déchirer, je fais mon possible pour les aider. Souvent ca ne mène à rien. Les choses se passent comme elles l'avaient décidés.
Un seul point diffère. C'est que je souffre aussi alors que je n'aurai pas du.
Journée de merde. Je jette l'éponge pour le Css. Du moins ce soir. Parce que j'ai l'impression de passer à côté de mon blog. Mais si toujours une bonne âme.. etc.. etc..

demain je vous enregistre rame.. etc.. pas ce soir, je bug trop.


petit délire avec audacity :

Samedi 11 novembre 2006 à 17:07

... ce soir le blog risque de passer sous mot de passe, parce que j'espère avoir le courage de me remettre au Css, je l'enleverai dès que ca ressemblera à quelque chose. Mais il y a de grandes chances pour que je ne fasse pas tout d'un coup, alors ne vous inquiètez pas ! Quand la version finale sera installée pour de bon vous serez prévenus !

Vendredi 10 novembre 2006 à 22:32

Ce jour là, as-tu quand même eu une pensée pour moi ? Je ne dis pas nous,je crois que ce nous est mort depuis longtemps dans ton esprit, c'est encore plus vrai dans ton coeur. Ces moments que j'ai eu avec toi, sont-ils repparus à la surface ces derniers temps ? Tu es sur le point de m'effacer, de tous les effacer, complétement de ta vie. Ma pauvre personne, elle, te donne toujours une place prédominante. Tu hantes mes nuits, mes rêves, et tu ressurgis sans crier gare au beau milieu de mes journées. C'est une machine infernale qui s'est imiscée en moi. Elle a un pourvoir sur mes pensée, sur mes réactions, aussi bien psychiques que physiques. Son mécanisme douleureux fait le rappel incessant de choses si heureuses qu'elles font mal parce qu'au passé. Dès que je croise le visage d'une personne portant ton prénom, je m'efface et t'imagine à sa place. Ma tête se vide, mes yeux voient ailleurs, mon rythme cardiaque prend une marche folle, irrégulière, et mon visage perd les expressions du monde alentour pour parfois s'éclairer de celles d'une vie perdue. Mais quand mes yeux se rouvrent sur cette oppressante réalitée, quotidienne de surcroît, je ne me sens la force de plus rien. Je t'ai aimé. Je t'aime encore ? Un peu, surement. Je me mens. Où sommes nous passés ? Les expressions paraissent longues pour moi, alors dénudée de mon émotion, elles restent courtes, froides, presque impersonnelles. Drôle de tournure que celle de mon existence.

Vendredi 10 novembre 2006 à 22:13

Parce que je dois bien ça.. à un ami.. qui se reconnaîtra.


Je vois mon papier blanc
Mes mots d'amour, s'effacer lentement
Et puis, je vois le doute et le gris s'approcher
Je vois des murs devant
Et nos soleils s'éteignent doucement
Je vois nos portes closes et plus aucune clé

Mais

Qu'est-ce qu'on peut faire pour respirer un peu
Donner de l'air mettre du bleu entre nous deux
Peut-être regarder derrière
Retrouver nos chemins, retrouver nos repères
Peut-être chercher droit devant,
Retrouver les trésors que nous a volé le temps

Je vois nos solitudes nos yeux baissés nous éloigner de nous
Et toutes ces habitudes se glisser n'importe où
Et puis j'oublie ta peau et tes douleurs me deviennent étrangères
Peut-être on se connaît aujourd'hui moins qu'hier

Mais

Qu'est-ce qu'on peut faire pour respirer un peu
Donner de l'air mettre du bleu entre nous deux
Peut-être regarder derrière
Retrouver nos chemins, retrouver nos repères
Peut-être chercher droit devant,
Retrouver les trésors que nous a volé le temps

Le temps nous a volés

Chorale : Qu'est-ce qu'on peut faire
Peut-être regarder derrière
Retrouver nos chemins, retrouver nos repères
Chorale : Qu'est-ce qu'on peut faire
Peut-être chercher droit devant,
Retrouver les trésors que nous a volé le temps
Oh qu'est-ce qu'on peut faire

Vendredi 10 novembre 2006 à 18:45

Comme certaines l'ont remarqué.. petit problème avec la pop-up commentaire.. A moins de copier coller depuis un traitement de texte, et je sais qu'on a pas toujours que ça à faire.. il est impossible de relirer aisément ce qu'on tape comme commentaire ! Continuez cependant à m'en faire XD les fautes de frappe, on connait. Moi la première ; )
Et si décidement ça vous énerve, mais que vous avez des choses à me dire, n'oubliez pas mon e-mail, je vous le redonne : reve_etoile_enelya@hotmail.fr
1000 Bises à tous et merci de votre soutien ; P

PS : j'ai envoyé un mail aux admins (les pauvres ><) mais si quelqu'un à la solution.. veneeeeeeeeeez à moi !

Jeudi 9 novembre 2006 à 17:55

Y'a des moments dans la vie, comme ça, qui arrivent de manière aléatoire, des moments où l'on a pas le choix. Faut lever la tête et essayer d'avancer, se foutre des obstacles et des choses qui font mal. Quand tu te sépares de ton copain et qu'il ressort trois jours après avec une fille dont tu as souhaité le bonheur sincérement en la consolante. Toi tu restes sur le carreau, sans savoir ni quoi penser, ni quoi faire, ni qui haïr.
Et puis hier je me suis retrouvée devant un étal gigantesque.. mais vraiment gigantesque, de livres, des centaines, d'autant plus de mots, de tournures, d'histoires, de sentiments à découvrir ou à redécouvrir... Le genre de choses qui me clouent littéralement sur place. Je devais en choisir un.. pour mes cours. Dans un coin, un petit receuil, attire mon regard, et je ne peux plus me détacher.

 Une Saison en enfer

Est il utile de le préciser, de Rimbaud. J'ai du quand même partir et laisser le livre dans le coin qu'il occupait. Sans faire de bruit. Demain je vais l'acheter.
Pour information, non je ne sais pas quoi vous dire. Je dois cependant vous informer que je suis privée d'internet. Ce qui explique que je ne poste, et ne posterai pas souvent. La preuve, quand je poste c'est d'une qualité... inqualifiable dirons nous. Venez quand même. Il y a 341 autres articles qui n'attendent que d'être lus. Même si certains, je vous l'accorde, doivent être encore pire que celui-ci. Disons qu'une bonne centaine d'articles pas trop mal attendent d'être lus. Comme me l'a dit une demoiselle, ici c'est mon bazar, mon dépotoir en quelque sorte. Rien ne me satisfait totalement. Les textes ne sont que des brouillons, écrits n'importe comment quand j'en avais envie. Pour m'améliorer, avec le temps.

A la différence près que c'est un dépotoir que j'aime à la folie. Et que j'aime partager. Je ne peux faire autrement que d'être ravie lorsque je vois le nombre croissant de personnes qui aiment et découvrent ce petit monde. Qui comme tous les autres, a des choses belles et d'autres moches. Je n'entends pas créer une utopie. Les choses sont claires.

1000 Bises.
Mymy.



PS: la mise en page fait des siennes.. comme si j'avais besoin de ça ><

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | Page suivante >>

Créer un podcast