Jeudi 5 juillet 2007 à 9:20



Je retournerais bien en Belgique moi.
Il sait vraiment tout faire.
Ecouter du Coldplay.
Mode nostalgique.
Merci.

Jeudi 5 juillet 2007 à 0:12

Elle s'avance doucement vers les portes et sent qu'elle commence à avoir peur. Les effluves de son parfum planent encore dans l'air et l'entêtent progressivement. Putain ça ne rime à rien. Je m'arrête de suite.
On a tué ma fierté, mon orgeuil. Et le "on" c'est moi.
Je me souviens et c'est ça le plus chiant.
Comment écrire quelque chose d'impersonnel ? Qui ne me lie pas directement. Je n'y parviens pas et cela m'énerve au plus au point.
Je ne saurai plus faire sans musique. Le piano et une belle voix d'homme. Ca me remue comme si c'était encore la première fois.
En fait vous avez tous raison, je ne cherche pas la compréhension, ni l'adhésion et je ne vous parle pas de la compassion.
Cela m'indiffère.
Je veux le croire.
Arrêter d'être lisse et passive.

Mercredi 4 juillet 2007 à 22:30

J'ai une nouvelle idée pour "Mademoiselle..." en tête. Elle va germer durant quelques temps puis je viendrai la poser ici.
Je vous préviens aussi, comme je serai trois semaines sans internet (répétons nous : Vendée avec mes amours de père et de frère, du 7 au 14 juillet, puis Lyon avec Eux du 15 au 27) ce blog ne sera plus tenu à jour quotidiennement. Vous êtes donc invités à poster, je laisse le soin à quelques demoiselles de juger de la pertinence des articles ppubliés. Le mot de passe va changer, désormais il suffira d'un simple "merci" (sans les guillemets, non mais je précise) pour poster en invité. Pas mal d'entre vous ayant du mal avec la ~.
Voilà voilà. Vous savez tout. Pour ce soir. Si un problème se pose vous pourrez tenter de me joindre à cette adresse email : reve_etoile_enelya@orange.fr mais je ne promets rien quant à l'efficacité de ce service.

Mercredi 4 juillet 2007 à 16:11

http://members.lycos.nl/notdefined/

Mercredi 4 juillet 2007 à 15:40

Ce qu'il y a de pratique avec les gens qui ont décidé d'être de mauvaise humeur c'est qu'on ne sait jamais à quel moment cela va tomber. On est juste aussuré qu'à un instant donné cela tombera sur nous, il ne saurait en être autrement. On reste dans l'ignorance la plus totale quant au pourquoi du comment du qui. Mais bon, en même temps, le savoir ne nous avançerait pas à grand chose.
Un livre qui traîne ? Un CD mal rangé ? Ou encore un texte lu d'une voix pas assez ferme.
Les prétextes sont nombreux lorsque l'on en a vraiment envie, je parle en connaissance de cause et ne blâme donc personne. Ainsi je vous demanderai juste de ne pas passer vos nerfs sur moi, après tout personne ne vous oblige à venir ici.

Merci d'avance.

Mymy.

Mardi 3 juillet 2007 à 22:48

Elle s'est laissée tomber dans son lit. Et sur ce lit on trouve plus d'une dizaine de livres, de L'éducation sentimentale aux Enfants terribles en passant par une anthologie de Verlaine ou des guides d'analyses littéraires. La musique tourne, Death Cab For Cutie, I'll follow you into the Dark, Brothers on a Hotel Bed et What Sarah Said. Alanis Morissette, That I would be good et Again d'Archive.

Ca c'est dit, ça c'est fait.

 Elle se demande si il y a une vraie différence quelque parte. Entre elle et les autres.
Quand on ne peut pas vraiment changer les choses on rêve de l'avoir fait. On se voit en train de refaire le monde. On s'arrête un instant, immobile et on fixe notre regard.
Sur la seule personne qui tourne encore.

Celle qui n'offre rien et dont on prend pourtant tout. Celle sur qui on veut crier, celle qu'on veut pouvoir regarder le matin au réveil en sachant que chaque seconde compte parce que chaque seconde peut-être l'avant dernière. Je me lèvre malgré moi.

Sur la seule personne qu'on aime vraiment.

?

Mardi 3 juillet 2007 à 19:34

"Mais les sentiments, l'attachement sont quand même là."

C'est ce que me souhaite. Et en fait elle va être capable de comprendre ce que j'écris ici. Bienvenue dans ce cercle restreint.
Personne n'est vraiment innocent, sinon ça ne serait pas drôle. Vous ne croyez pas ?
On a conseillé à une amie de "laisser sa conscience au placard", moi il faudrait que je l'en sorte de temps à autre.
Muhaha. Ce qu'il y a de formidable ici c'est que je me contredis d'un article à l'autre.
Au final j'aurais pu environ 24 litres d'eau aujourd'hui. Et fumé une cigarette, en ayant préalablement enfilé une chemise.
J'ai aussi laissé une petite traçe chez Et.al0rs
Nous sommes d'accord, j'ai une vie passionnante et plusieurs addictions très sérieuses.

*

Le soleil est à peine levé mais elle est debout depuis longtemps. Dormir. Quelle bonne blague. Du sommeil des bienheureux. Encore mieux. Son esprit lui présente des images qu'elle connait par coeur désormais, souvent, trop souvent, sans aucun répit.
Dès qu'elle ferme les yeux elle les revoit, toujours les mêmes, synonymes de confusion, de douleur mêlée de nostalgie et de fierté.
Les mains glaçées. Et sa quête, stupide et obstinée qu'elle est elle ne risque pas de lâcher le morceau.
Après tout, on lui offre un jeu de hasard, normal qu'elle y joue. Mais elle s'est promis de s'arrêter dès qu'elle empocheraît le plus petit gain. Y arrivera-t-elle seulement ?

Mardi 3 juillet 2007 à 13:41

"Je l'aime. J'ai pas le droit. (Juste besoin de le dire à quelqu'un désolée...)"
Une réponse.
"J't'adore".

Que répondre à ça ? Je vous aide et ça ne changera rien. Pas même besoin d'éteindre mon portable.
J'leur en veux pas. C'est juste que je ne comprends pas pourquoi moi ?
Comment en suis-je arrivée à être pour tous de bons conseils ? Ou du moins réputée comme telle ?
Et ça, ça ne changera pas non plus. Je vais continuer à leur envoyer des baisers, des sourires, des chanson et des mots, à panser leurs petites plaies sans pour autant me dire que ce que je fais c'est bien.. Je ne sais pas si j'ai trop de conviction ou pas assez. Aider les gens c'est s'oublier. Ouais.

N'arrêtez pas à cause de cet article hein. Je ne sais pas ce que je ferais.

Mardi 3 juillet 2007 à 12:47

Pourquoi mon monde ne tourne-t-il qu'autour d'une seule chose à la fois ? Je suis un terrain de jeu rêvé pour l'obsession. D'ailleurs à ce moment précis j'ai envie de prendre l'assiette posée devant moi et de l'éclater contre un mur. Totalement inutile comme geste, je sais, mais ça doit soulager.
Je suis excessive, oui. J'ignore les "parfois" les "presque" et autres mots dont la vie semblent se borner à une limitation.
Pourtant cette assiette à la con je vais la prendre et la mettre au lave-vaisselle, avec les couverts. Je démarrerai un progamme court et économique. Je ne fumerai pas, je ne lirai pas. Je n'irai pas non plus en ville, ne vous inquiètez donc pas.
Ca va. La stabilité c'est pas mon truc, voilà tout.
Je souris à nouveau, parce que ça a toujours marché ainsi. Pas parfois non, toujours.
Je regarde les gens, je vois les intrigues, je découvre et réfléchis aux conséquences. Il faut bien que quelqu'un le fasse. C'est tombé sur votre dévouée servante. Bon gré, mal gré, je ne sais vous faire mal. Et là c'est un présent de vérité universelle. Générale c'est trop peu.


Mardi 3 juillet 2007 à 7:52

J'ai été réveillée à  7h00 pour pouvoir conduire mon frère à l'école. A pied et sous une pluie battante, cela va de soi, à 8h35, pour 9h00 parce qu'il a mal à la jambe. Trop de joie tue la joie.
A la recherche d'une activité autre que le postage intensif sur mon blog qui n'a pas vraiment mérité ça, je suis allée sur le chat de cowblog, à tout hasard, bizarrement personne ne réponds à mon appel désespéré, preuve en image :



N'espérant plus rien je me suis appliquée à corriger deux trois codes dans le blogs d'amis à moi, tout en buvant un chocolat chaud insipide. Oui, c'est possible.
J'écoute une chanson magnifique dont je n'ai pas envie, pour une fois, de vous donner le nom. Sachez néanmoins (ça fait plusieurs jours que j'ai envie de caser un néanmoins) que vous ne la trouverez pas en fond sonore chez les gens qui ont un lien ici. Plus que quelques milliers de blogs à couvrir... Courage ! Je suis d'humeur généreuse ce matin : ce n'est ni de la chanson française, ni du rap, ni de la techno, ni du reggae, et plus étonnant, ce n'est pas non plus du rock. D'ailleurs, si vous trouvez quel style donner précisement à cette chanson, je suis preneuse.

Bon, voilà quoi. Quelque chose à rajouter ? N'oubliez pas que le GMS est bon, grand, généreux, et qu'il vous invite à Nantes ou à Lille, le 26 août 2007 (le rhum est bon pour étancher votre soif d'informations) .

Lundi 2 juillet 2007 à 23:04

Avoir la juste certitude que tout ce que l'on fait est inutile. Parce que d'autres le font mieux que nous, pour eux c'est facile, ils y prennent même du plaisir. Alors que nous nous devons trimer pour obtenir ne serait-ce que le droit d'espérer. Non, ce n'est pas un droit acquis, ce serait simple. Et la priorité n'est pas à la simplicité. Elle est au mérite et au talent, lorsque l'un des deux fait défaut il n'a plus qu'à mettre l'autre en scène, en croisant les doigts pour qu'il ne nous fasse pas faux bond. C'est vicieux ces trucs là. On ne sait jamais à quoi s'attendre. Alors, du coup, on attend pas. On observe. Chaque découverte semble sceller une nouvelle porte au moment où l'on pense trouver une brèche dans le mur. Trois pas en arrière, un en avant.
Eux c'est trois pas en avant un pas en arrière. Si, je vous jure, à longue on en devient patient.

Lundi 2 juillet 2007 à 18:16

Et ton silence bleu et froid
Glace mes lèvres avides de ta voix
Et je me tais face à tes désaveux
Même si je sais que tu m'aimes si  peu
Dans ce silence faufilant
Les soirs d'octobre où le lit est trop grand
Mes doigts te cherchent et ne trouvent aucun dos
Mes doigts se brûlent en effleurant ta peau







Lundi 2 juillet 2007 à 15:39

"I think myself into love, and I dream myself out of it"


Ce n'est pas cette phrase là.
Que dire à partir de là ? Que c'est vrai, que je suis d'accord même si je le vis autrement.
C'est con, je lis toujours plus et une phrase, une seule, me revient à chaque fois. Je l'avais dans la tête depuis plusieurs jours, je savais d'où je la tirais mais le contexte m'échappait totalement. Juste parce que ça n'était plus fondamental.
J'aurais pu la dire, à un point tel que je me suis demandée si en effet, elle n'étais pas de moi. J'ai donc vérifié, et non, elle n'est pas de moi. Il est 15h35 et je ne sais pas ce que je vais faire.
J'ai dit que cela allait s'arranger. C'était un rêve ça aussi ?
Chut, musique maestro.

Je vais savoir aujourd'hui. Le bac de mes bacheliers adorés, je ne ferai pas de liste parce qu'ils sont trop nombreux.
Les postes.


Lundi 2 juillet 2007 à 14:26

Pour récapituler un peu :

Piano forte fortissimo par Servane.
Au-dessus des nuages par c0lombe
Paris en ce jour par moi (^^)
Parapluies amis, Pyrus et moi (surtout Pyrus)
Voyage en plein ciel par miniklem0u

Merci à eux 5 !

Lundi 2 juillet 2007 à 0:24

Un peu de nostalgie, quelques vieilles photos, s'être cramée la nuque et les bras parce que je n'ai pas l'habitude de rester si longtemps dehors. Avoir fait du baby-sitting, pour Lyon et pour Montpellier. Apprendre que mon beau-père va être en charge de la région parisienne : donc il va à Paris en début de semaine : et merde. En avoir marre des mauvais coincidences. Attendre demain : les résultats du bac, la liste des postes à pourvoir dans la police. Pour que mon père lui s'installe en région parisienne. Même en voulant le faire exprès ils ne pourraient pas mieux faire.
Prendre un chocolat chaud en fin de matinée, parce qu'il pleut sur la ville et que j'en ai envie.



Elle a raison. Avec ça, c'est Chopin. Opéra 32, n°2.
Se souvenir d'Ella et de Vincent. Bien qu'ils ne soient plus là.
Se souvenir de Victoire et Ronan.
Les psys n'y connaissent vraiment rien.
Merci Servane.
Être un peu lasse. Mais un peu seulement.

Dimanche 1er juillet 2007 à 23:02

Et puis, pour ce millième j'attendais un sms, d'Elle, bien sur, j'allais lui demander d'y penser, par texto toujours, quand j'ai reçu le sien. Ca ne s'invente pas.

Je dois aussi dire que cet article à pris du retard. Parce qu'aujourd'hui j'ai du aller à un anniversaire, pour information j'ai cramé.

Mais voilà :



En arrivant sur ce blog, on commence à lire les textes. Et on pris dedans. Ils parlent de la vie alors on est forcé de s'y reconnaitre. Et puis on découvre les habillages et on ne sait jamais si l'on préfère se retrouver au milieu des nuages, d'un champ avec parapluies, ou sur les toits de Paris.
On ressort de là des étoiles dans les yeux, le sourire aux lèvres.
Le pseudo lui va bien, vous savez.
La grande Mymy.
Elle est vraiment grande. De taille, d'esprit et de cœur.

Ma Val'

Quand on entre ici c'est comme si on laissait nos soucis dehors, ici on se sent bien. Enfin moi je m'y sens bien, je pourrais y rester une heure sans me lasser, c'est comme une île où l'on peut lire des mots sensés, des jolies phrases.
Ici c'est particulier il y à toute une atmosphère et souvent on n'ose pas trop s'égarer à laisser des commentaires dans nos premières visites parce qu'on aurait l'impression de n'être pas à notre place, de faire tâche dans le décor.
Puis petit à petit on apprend à ce connaître on se laisse des petits messages, qu'on ose finir par  « bisou ». Pour moi ça n'à pas toujours été simple vous savez.

Mais la grande Mymy elle, elle n'est pas comme ça elle te prend dans ses bras à travers son écran avec ses 1000 bises.
Elle écoute, elle lit, elle écrit.
Le mot qui la qualifierait pour moi ce serait bienveillante.

Lagrandemymy c'est comme si on la connaissait tous, elle fait partie de notre entourage de notre quotidien. Tous les matins je vais voir ce qu'il y à de nouveau et c'est toujours un plaisir
d'aller et venir dans ce monde.
Oui, ici c'est un monde, tout un univers un tout qui rempli les poches de sourires.
Quand j'ai vu que j'avais un lien ici ça ma fait très bizarre à l'intérieur, je me suis même demandée si je le méritais parce que je trouve que je n'arrive pas a la cheville.

 

Vous savez ça ne m'étonne pas qu'elle ait plein de visites moi je la trouve magnifique on la découvre souvent à travers ses articles à travers des musiques aussi et puis ce n'est pas le genre de personne à se la raconter : elle est très vraie.
On change entre les habillages, on trouve celui où l'on se sent le mieux moi c'est Paris en ce jours je me sens au dessus du monde dans un autre monde sur mon ile comme je vous le disais je l'admire.
Elle voulait une description je crois que c'est ce que j'ai fait parce qu'on peut-dire que cette madame elle m'inspire je crois que c'est plutôt pas mal

Je t'adore ma mymy tu sais ?
Ne me répond pas non sinon ça va pas aller.
<3

Ma Clarisse.

 

Par collee.a.la.bouche


Instantané ça a été le coup de foudre. Instantané comme ses mots. Posés la. Comme dans une minute silencieuse. Comme si elle vous parlez face a face. droit dans les yeux. Alors toquez a sa porte, et souriez...
=)

 

Par c0lombe 

Rofl.
Ca s'ra dur pour moi de faire ça de façon impersonnelle.

Blog de l'année, Lagrandemymy
Mymy, quel magnifique surnom si beau si spontané si...

On la refait. ça c'était pas objectif du tout.

Cette année, nous avons découvert un atelier : un atelier de l'esprit. Un esprit qui vagabonde, entre littérature, musique, tout en restant bien accrochés à ses nuages. Nuages de rencontres, de "perles", d'amitié, SES nuages, qui quoiqu'il arrive resteront dans un ciel bleu. Parce que ce ciel bleu, c'est ce qui peuple soudainement notre esprit à nous, quand on atterrit sur le blog de Lagrandemymy.


ça fait message de blog de mois ? Non mais parce que j'aurais pu faire beaucoup mieux, du genre lacrymogénie dans toute la salle, mais sur la page d'accueil de cowblog, j'le verrais mal figurer.

N'est-ce pââs.

Bisous mon clone !

 

 

 

Je ne suis pas forcément douée dans les descriptions, mais ce que je peux dire de ton monde, c'est qu'il est plein de charme, que les mots sont accrocheurs, qu'on est ému, qu'on sourit, qu'on rit même parfois. Que tes habillages sont touchants, très bien choisis, qu'on se sent comme chez soi ... Qu'heureusement que tout reste intact, parce que tes articles méritent leur place ici.
Bref en un mot ? Splendide... En tout cas moi j'aime et je ne partirai d'ici pour rien au monde

 

                                                                                                                                       Dreams

 

Et ma Ladypirate

 

Alors comment décrire ton blog... Une image me vient en tête ! Un tableau sur lequel sont punaisés des mots... des images.. des sons.. pleins de petites choses dans lesquelles ont essayent de se retrouver. Entre les réalités et la fiction.. l'autocensure et les sous-entendus.. Un univers simple.. et des textes tellement bien écrit que même si on est fatigué.. qu'on veux dormir si on lis le premier mot on ne te lache plus..

C'est pas terrible je trouve parce que j'ai du mal à trouver les mots justes..

 

 

 

 

Il manque des tas d'autres personnes, mais je ne peux pas attendre une descritpion de tout le monde, je le sais bien. Même si il y a encore d'autres personnes dont j'aimerais avoir l'avis sincère.

Si j'ai voulu leur donner la parole pour ce millième article ce n'est pas pour me jeter des fleurs (quoique…) non non. C'est parce que c'est grâce à eux que je continue. Ses lecteurs, anonymes ou non qui font vivre mon blog.

Je pense aux demoiselles, les premières, qui ne portaient pas alors leur nom actuel : Grenier.Public et Majupri, je pense au forum Harry Potter qui m'a fait découvrir à travers ke blog/histoire  d'une jeune fille/perso cette plate-forme, je pense aux fantastiques qui m'ont donné un jour l'envie d'écrire, je pense aux musiques, je pense aux nouvelles connaissances, MymY, Bee, Clarisse, Louchka, Et.Alors, Pacôme, J-D, tous les Montpelliérains, je pense aux admis, je pense à Britaned, à Kaa, à Kadja, je pense à Pyrus, je pense à Servane, je pense à Dreams, à chetive, à Puke, à ruban-blanc, à rue des oranges, à Sophie,je pense à St-Exupéry parce qu'il a été le premier à m'accueillir sous le pseudo de Mankija, je pense à vous tous et la liste ne sera jamais exhaustive, faut me pardonner.

 

Parce que ouais, ce millième article me fait quelque chose. Parce que ouais, chaque article me fait ce quelque chose d'extraordinaire.

Je découvre des dizaines de personnes formidables et c'est pour moi une torture de ne pas pouvoir les connaître parfaitement. Voilà, je ne sais pas quoi dire. Je sais que cela va continuer et c'est chaque jour qui passe qui le prouve et qui l'exprime, pas cet article, pas un autre, parce qu'au final ça ne représente qu'un gros tas de mots qui sans lecteur, et sans auteur, ne veut strictement rien dire. Comme  le reste. Les journées entières (et les nuits... Faut dire ce qu'il en est) passées ici et ailleurs, toujours avec vous.


Faudrait dire merci là. Je crois.

Dimanche 1er juillet 2007 à 12:32

Il fait à nouveau beau. Et chaud en plus de cela. J'ai encore eu un rêve bizarre, tu nous disais merci et tu t'éloignais, tu partais sans que nous sachions où, ni pourquoi.
Cela paraissait tellement réel, parce que si vraisemblable. On aimerait te faire promettre de ne jamais t'en aller de cette manière, mais cette promesse serait complétement vaine, on ne retient pas les gens contre leur gré, on ne peut pas non plus les obliger à être heureux. Pourtant on le voudrait parfois.
Si seulement nous pouvions être honnêtes, ce serait déjà une belle avancée. Je n'aime pas jouer à cache-cache.
Ce n'était qu'un rêve. Oui, mais ce n'est pas cette version la que je voulais voir se réaliser.

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