Jeudi 3 avril 2008 à 21:21
[Et écouter de la vraie bonne musique, souriante, chez une mémé pas comme les autres !]
Jeudi 3 avril 2008 à 7:49
" - Do you still remember ?
- No, go to fuck."
" - What is the problem ?
- The problem is that I miss your brother even if I know that he is... I don't think you can understand like ass hole
- No, but I'm sure he is."
Et sinon, Anne, tu avais tout à fait raison concernant l'heure où le pic culmine. Mais j'ai failli oublier de prendre en compte deux facteurs primordiaux : le changement d'heure et, effectivement, la méchanceté naturelle. Sinon j'y suis presque.
Jeudi 3 avril 2008 à 6:09
Cet article a failli être quelque chose de bien.
Il a failli ne jamais être écrit ici.
Encore loupé.
Mercredi 2 avril 2008 à 18:17
Mercredi 2 avril 2008 à 18:06
Je ne suis pas une fille silence.
Je ne dirai pas pour autant que je suis courageuse.
Mais il y a des limites tout de même.
Surtout, ne jamais fermer sa gueule.
Aussi grande soit-elle.
Voilà ce que j'ai décidé d'apprendre.
N'en déplaise à certains.
Mercredi 2 avril 2008 à 17:52
Mais j'ai caché, j'ai enfoui, dans la plus profonde, la plus belle, la plus obscure boîte à souvenirs que j'ai. Je n'en ressors que parfois, pour retrouver un peu le monde que j'ai délaissé, voir quelques instants la direction dans laquelle il s'échappe. Il n'y a pas d'exception : je lui préfère mon noir alors je redescends vite aux milieux des fumées et des embruns, pour retourner m'enfouir avec ce qu'il en reste.
J'ai mis moins longtemps cependant je m'en détache pas plus.
Qui parle ? Moi ou lui ? Nous sommes semblables, dans des situations différentes, qui s'entrecroisent et s'entrechoquent.
Mercredi 2 avril 2008 à 12:37
Et encore plus, se casser.
Avant d'entrer en français. Se casser. La musique n'était pas celle prévue. Mais pourquoi pas.
Mercredi 2 avril 2008 à 12:31
Mardi 1er avril 2008 à 21:08
Mardi 1er avril 2008 à 18:40
Mardi 1er avril 2008 à 15:11
M'asseoir à côté de la chaise, ou presque. Eclater de rire, mais silencieusement. Ou presque. J'éclate de rire. Oh. J'éclate de rire. T'as vu ? J'ai appris à rire. Il ne reste pas coincé dans ma poitrine. Cette manie, cette habitude que tu avais remarquée et qui, je le crois, t'avais agacé. Aujourd'hui c'est si différent. J'ignore même si je vais reprendre ce dernier contact. Avec toi peut-être. S'ils l'ont fait, je peux le faire. Je pardonne mais n'oublie pas. J'arrête de souffrir mais faut faire comment pour oublier ?
Non. Ce blog n'est pas près de fermer.
Mais fèche alors.
Non, ça n'a jamais été normal, nous deux.
Et c'est de ma faute.
Mardi 1er avril 2008 à 15:02
"C'est le matin, c'est toujours difficile."
Il y a tout de même des matins plus durs que d'autres. Bizarrement. Ca étonne tout le monde là. Remonter le col du pull et s'endormir à l'intérieur. On a pas idée de porter des couleurs aussi vives. Orange. Non mais vraiment. Lutter pour garder les yeux ouverts. Faire craquer mon dos. Avoir des fourmis dans les jambes. Crayonner, stabiloter. Et puis compter. Le noir défoncé, la protection se barre peu à peu. M'endormir sur l'épaule de Jonathan. Non ? Ca se fait pas ?! Trop tard. Je ronfle.
Mardi 1er avril 2008 à 14:56
Ne pas être montée à cheval depuis une éternité ou deux mais retourner à l'écurie avec Marion et surtout Hélène. Retrouver Brèche et l'admirer sur la piste. Les odeurs de la ferme voisine qui se mêlent à celle des copeaux de bois que l'on vient juste d'apporter. Être crevée. Avoir mal partout et sourire à s'en crever les joues. Retrouver la douce atmosphère de la maison avec délice. J'ai hâte d'être à la fin du mois de Mai. Que Julie revienne un week-end sur deux, que Charlotte rentre d'Angleterre. Rester ébahie devant les deux soeurs en pleine séance de dressage. Retourner à Bruxelles. Vivre dans leur tourbillon parce qu'avec mes filles les jours passent plus vite.
Julie, Charlotte, moi et les autres auteurs.