Mercredi 9 avril 2008 à 23:54

Que je suis bête... A coup de "orgasmique" "fellation et autres joies sexuelles" "baiser" etc... Bah oui ! Elles refilent des cochonneries les jeunes et innocentes demoiselles. Moi après ça je fais des fausses couches, quand on oublie pas le soutien-gorge, et je suis accusée d'avoir des relations avec des tic-tac. Sinon ma marraine x2 (baptême et confirmation), vient de récupérer mon adresse msn, alors je me dépêche de dire des cochoncetés avec qu'elle ne débarque sur mon blog. Puisqu'à ce moment là bien sûr, je prendrai les jolies pilules roses contre la schizophrénie, je boirai des tisanes pour bien dormir le soir, je n'écrirai plus comme une maniaco-dépressive et je ne serai plus une obsédée. Du tout. Ni sexuelle, ni mentale, ni physiologie, ni pathologique, ni rien de tout ça. Aaaaaaaah. Le monde ira mieux et j'irai faire ma prière avec mon chapelet chaque soir, mea culpa envers la vierge Marie que j'ai bien torturée et blasphémée il y a de cela quelques temps. Genre. On y croit. Humpf. Désolée Marraine. Oui oui, je suis fatiguée, il suffit de rien et me vlà partie.

Mais si. Je suis catholique pratiquante. Ce qui n'empêche pas d'avoir un pète au casque.
Ceci est une private joke avec moi-même. C'est une masturbation intellectuelle fort plaisante.
Oui je sais vous n'êtes pas habitués à ça. On prend son pied comme on peut. Surtout en 42.
Muhahaha.

Edit n°2 : mais j'ASSUME ma perversité. Si toi, première fille à commenter dont l'un des pseudos commence par un L et fini par un T en dix lettres, amie à moi, tu assumes que c'est à toi que j'ai dit un soir qu'il fallait en guise de torture, coudre l'anus d'un Monsieur. J'assume. Et toi donc ? :P

Mercredi 9 avril 2008 à 22:06

Reprendre ma plume. Comme une calligraphie sur un ancien cahier de poésie. L'encre ne ménage pas son effet. Après tout il n'y a pas de raison. Songer à qui l'on pourrait offrir quoi. Rayer des choses sur une liste de "conneries". Mon truc du moment. Mon quoi ? Mon trip ? Ma fixation ? Mon obsession ? Il faut mettre des mots sur les événements. Comme tu ne le sais pas ne cherche pas à faire semblant. C'est ce qui me fait me lever le matin. Et leur sourire encore durant toutes ces journées interminables. Futile ! Tu verras bien, si me faire vivre c'est futile. Il faudra me prendre au sérieux. Le temps qu'il faut. Peut-être. Larmes. Alarmées. Fuck it.



Ce n'est pas un carnet rouge. Ni une pochette noire. C'est un cahier bleu.

Mercredi 9 avril 2008 à 20:02

Je me prends la tête avec François.
Je n'ai plus de crédit.
Je n'ai pas envie d'écrire.
Je n'ai plus de films à regarder.
J'ai envie de souhaiter une bonne fête à une personne dotée d'une visions "très manichéenne" du monde mais que je remercie encore pour l'habillage Parapluies Amis.
L'homonyme d'où sont issus les guillemets semble ne plus vouloir entendre parler du mail que je devais envoyer.
Dommage.
J'espère qu'ils vont bien.
En même temps, pour aujourd'hui.
J'ai plus que hâte.
Je suis futile.
C'est nouveau, ça vient de sortir : je suis introvertie.
J'ai peur de ma deuxième semaine de vacances.
Vivement.
Vivement.
Bientôt.
Fuck.
Désolée pour Marine qui n'aime pas la musique.





Mercredi 9 avril 2008 à 17:12

Pour lire les mots d'une vraie Princesse.




Tellement qu'on ne peut la commenter.

Mercredi 9 avril 2008 à 15:54

J'avais dit l'an dernier qu'il faudrait s'y prendre plus tôt... Mais j'avoue que je ne m'attendais pas à si tôt. Mais en même temps cela signifie que les vacances d'été approchent : j'ai eu les premiers emails de l'année demandant si je pouvais surveiller tel ou tel blog durant les vacances. Bon. Je vais répondre de suite parce qu'aujourd'hui ça me fait particulièrement plaisir. Enfin. Pas tout mais vous allez comprendre...

Déjà, désolée mais je n'accepte de surveiller des blogs que lorsque je les suis correctement ou que je connais bien leur propriétaire. Donc si je suis flattée par les illustres inconnus me demandant de faire ça pour eux, je ne peux répondre que non. Veuillez m'en excuser.

Ensuite, le programme de cet été...

Alors, juillet est le mois paternel (retenez, c'est comme ça jusqu'à mes 18 ans), donc cela veut normalement dire une semaine de vacances horripilantes avec mon père et mon frère et le reste du moins chez moi, devant mon ordi. Normalement. Normalement. NORMALEMENT. Car oui, cet été je pars, enfin dans le Sud. Ce que j'attends depuis (plus ou moins) que je connais Bee. Donc, je vais partir du 5 au 21 du côté de Montpellier, ensuite je ne retourne pas chez moi puisque je fais Montpellier/Paris, Paris/Nantes. S'il y a des gens pour faire comité d'accueil (bagagistes... une valise pour un mois ça va faire mal au dos) dans chaque gare,  je ne dis pas non... *siffle* Bref. Le mois de juillet ce sera sans moi puisque les personnes auxquelles je tiens et qui me font venir sur cowblog et bien, je les aurai en face de moi. Pas tous et pas en même temps mais bon. Voilà. Smile. J'ai reçu mon premier billet aujourd'hui.

Pour le mois d'août... Mois maternel. Aucune idée pour le moment. A priori si il prenait à ma mère et mon beau-père l'envie de partir, ce ne serait pas plus de deux semaines. Le reste est vraiment à voir.

Tout ça pour dire que les chances pour que je joue la blog-sitter cette année sont minces mais pas nulles.

Mercredi 9 avril 2008 à 14:23

"Et puis sourire lorsqu'il me dit je t'aime."

Oui. Sourire. Tu n'as pas vraiment le choix. C'est ainsi. S'arrêter et vivre autrement. Faire cuire une pizza et aller chercher le courrier. Les feux de l'amour. Se laisser aller. Attendre une lettre qui ne viendra pas. C'est une grande spécialité à toi ça. Attendre. Et ne pas trouver les réponses dont j'ai besoin.

- T'sais quoi ?
- Non. Bien sûr que non.
- J'en ai marre.
- De quoi ? De qui ?
- De toi. De moi. De nous.
- Ah... C'est embêtant ça.
- "Ah..." oui, c'est exactement ça.
- Tu veux que je vienne ?
- Non.
-...
- Tu viens.

Mardi 8 avril 2008 à 23:26

En fait, on s'en fout d'être soi. Ou quelqu'un d'autre. Ce qu'on veut c'est que quelqu'un soit lui, ou elle, pour nous aimer, nous, soi, moi. C'est l'unique question que l'on se pose réellement. Est-ce que je suis assez moi pour trouver la personne qui va avec ? Si je suis quelqu'un d'autre, n'y a t-il pas encore quelqu'un d'autre pour aimer cette personne là ? Mais ce quelqu'un doit déjà être pris. Ça semblerait logique. Alors on cherche encore. Et on change toujours. On finit un livre et on démarre un livre. On a pas fini le film qu'on démarre une chanson... Sans cesse.

Mardi 8 avril 2008 à 18:04



Parce qu'il me fait penser à un vieil ami.





Et de suite après, m'arrêter de sourire en chantant puisque je vois sur msn : "The truth is, that I miss you". Ne pas savoir que répondre à cet autre ami. Juste. "We will sing together a day, I promise. I'm always here for you." L'écouter jouer du piano et repartir dans cette musique.

Mardi 8 avril 2008 à 17:25

La chambre a été vidée. Dans les cartons s'entassent les 17 ans d'une vie bien remplie. Des petits mots à la mode durant l'année de 5ème aux longues lettres reçues d' un peu partout en France cette année. Les cartes postales et les correspondances prennent à elles seules deux bons gros cartons.
Y'a les albums, les CDs gravés et toutes mes paroles imprimées, retravaillées, tordues au possible, ayant été pliées et dépliées des centaines de fois. Un carton supplémentaire.
La première histoire, celle des deux jumeaux, tous les textes qui restent là à traîner, la pochette noire, les nouvelles, les ébauches de romans, le roman... 3 cartons encore.
Les livres, les contes et les BDs, les histoires vraies, les documentaires, les dossiers, les vieux cours, les vieux jours, de soleil mais plus souvent de pluie. Rajoutons cinq cartons.
Les babioles diverses et variées, des cartes aux posters accrochés aux murs en passant par les encens et les bougies. Deux cartons.
Les fringues les brics et les brocs, j'ai arrêté de compter.

C'est que vivre ça prend de la place, au final.

Mardi 8 avril 2008 à 16:39

A toutes les personnes qui me connaissent.
Qui connaissent J-D.
Je trouve franchement ça pitoyable.
Je ne vais pas le redire.
Je vais faire en sorte que cela ne se produise plus.
Je ne vais pas chercher à savoir qui.
Mais si j'en ai un jour connaissance...
Je jure que quelqu'un, quelque part, morflera.

Mardi 8 avril 2008 à 15:52

Tu n'imagines pas la chance que tu as de l'avoir. Vraiment tu n'imagines pas. Moi j'imagine très bien mais je n'ai pas cette chance. Alors. Je suis censé faire quoi ? T'en coller une afin que tu réalises ? Crois bien que j'en serais ravi. Mais même ça je n'ai pas le droit. En même temps, si je le pouvais cela vourdrait aussi dire qu'il n'y a plus de problème. Une fois de plus ce que je dis n'a aucun sens. J'ai rarement eu de sens. C'est pas entièrement de ma faute. Je peux citer des dizaines de répliques de théâtre expliquant encore pourquoi ça n'est pas de ma faute. Je ne vais pas le faire. Les citations ont toujours pris beaucoup de place. J'y retourne. Avec elle. Pour ne pas perdre le peu de temps qui me reste. Quand elle est encore un peu pour moi. Sauf en pensées. M'enfin. J'ai pas le droit. Non plus. Elle n'a jamais été à moi. Seulement elle veut bien me laisser le croire de temps à autres. Vraiment. Tu n'imagines pas.


[C'est toujours dangereux d'écrire à deux.]

Mardi 8 avril 2008 à 0:02

Commentaire de Makaveli :
va te coucher mon enfant ^^


Promis, un grand frère comme ça je ne dirais pas non.


[Ça se troque les frères ? Non ?]

Lundi 7 avril 2008 à 23:44

Pour vous dire qu'au final la fille qui courait dans sa rue, la veille de Noël, avec un peu de champagne dans le sang, cette fille qui se demandait si elle allait continuer avec cette année qui arrivait à grands pas... Et bien, cette fille a continué. Sans connaître l'essoufflement elle veut continuer. Aller toujours plus vite. Battre tous les chronos. Balancer le chrono derrière le grillage du jardin. Se coucher ébouriffée, débraillée, dans un lit pas fait. Déborder de partout. Elle l'attendait cette phrase. A ce point débordante qu'elle est devant, derrière et ici à la fois. Ça en fait du chemin.

... L'ambiance du lundi sept avril.

Lundi 7 avril 2008 à 21:47

Et pourquoi pas après tout. Passer la soirée devant un film que je ne devrais pas regarder. Il veut dire trop de choses. Pour trop de gens. D'abord. Et je le regarde tout de même. C'est l'exemple typique de la fille totalement masochiste. En VOSTF pour tout arranger. Puisque j'aime l'anglais, je ne vais pas m'en priver. On fera l'impasse sur tout ce que l'anglais veut dire pour eux également. Faire l'impasse sur beaucoup de choses en fait. Comme dans ce film. Même de dos il continuera à me traumatiser ce con. D'ailleurs il dessine pareil. Pareil. J'en peux plus d'être pareil. D'ailleurs il faut que je change. Mais ça aussi ce sera pareil. Sauf que lui il n'était pas là. Alors oui. Je vais redevenir rousse. C'est comment les histoires qui finissent bien ? Dites-moi un peu ? Je ne rêve pas. Je me réveille toutes les nuits.

Lundi 7 avril 2008 à 19:49

J'aimerais savoir, mais alors parce que je ne trouve pas ça drôle du tout : qui s'est permis de se connecter à mon msn (déjà ça.. humpf, mais encore, j'ai envie de dire que ce sont les règles du jeu) mais plus que tout s'est permis de bloquer un de mes contacts msn. Un. Oui. Parfaitement. D'autant plus que ce contact là je ne peux que voir qu'il a été bloqué. Alors si c'est un message, il vaudrait mieux le signer. Ou il sera juste jeté à la corbeille.

Lundi 7 avril 2008 à 14:04




Aller commandé.
En attendant, non pas l'été mais le reste, j'ai aussi, surtout, l'impression de ne servir à rien.

Et pas mon enregistrement aujourd'hui parce que j'ai trop mal.

Dimanche 6 avril 2008 à 22:24

Ne songer à rien. Aller chercher le gilet noir, parce que j'ai froid. Aller chercher le casque, parce que c'est moi qui écoute le piano. Personne d'autre. Ouvrir WordPad par automatisme, ne pas vraiment entendre les doigts sur le clavier grâce au casque. Trouver génial de voir ces lettres apparaître sur l'écran sans en entendre le bruit. Presque par magie. C'est de la magie d'ailleurs, puisque de toute manière je ne sens plus mes doigts. Sentir mon corps qui court un peu partout dans mon cœur sauf à la place qui lui est normalement attribuée. Resonger aux choses, aux gens, aux sourires, aux larmes, aux éclats de rires. Tout au pluriel. Parce que sans lui la vie est tellement fade. Vouloir le rejoindre par moment, ce pluriel, celui qui est parti. Laisser le doute planer. Fermer les yeux. Et revoir la place, derrière la mairie, entendre à nouveau les notes de musique. Revoir surtout cette fuite qui n'en était pas encore une, à vélo, alors que je me demandais pourquoi ils étaient tous réunis, gravement, en cercle, au beau milieu du passage. Passer à un autre souvenir, plus récent. Ce matin d'avril. Du trois d'ailleurs. Ce matin aux fautes d'orthographe dont je me fiche. Ce matin énervé, où il ne fallait pas venir troubler ma tranquillité, dans le bus ou ailleurs. Ce matin où une fille tentait de se rappeler ce qu'elle avait voulu oublier tant de fois. Même si elle le savait encore parfaitement. Mais il fallait semblant de trouve cela difficile, suivre sa logique jusqu'au bout. C'est vrai que les notes étaient un peu parties, la voix ne s'y pose plus comme avant. Avec la technique et la connaissance. Elle a fini par s'enregistrer tout de même, en ayant changé de place, assise sur le béton humide, dehors, là où le temps est vrai. C'est alors qu'elle a perdu l'émotion supplémentaire. Ça n'était plus qu'une chanson. Ou presque. Le temps de la chanter elle devait devenir autre chose. Ou bien tout allait déborder. Il ne fallait pas que cela déborde, je pense. Cette chanson qui la creuse. De fond en comble. A en devenir aveugle et muette. Tout est à l'intérieur. Quel besoin de l'exprimer ? Les images défilent sous ses paupières fermées. Les mots les suivent, toujours dans la même obscurité. Tout est vain. Sauf ces quelques notes de piano. Qui marquent un début, qui marquent une fin, qui marquent une vie enlevée, qui marque une vie anticipée... Qui marquent. Se relire, malgré tout. Trouver une nouvelle fois un lapsus :"Sentir mon corps qui court un peu partout dans mon cœur..." et alors. C'est bien comme ça aussi. Ça n'a pas à être bien d'ailleurs. C'est ainsi. Un début de soupir qui n'ira pas jusqu'au bout. Une main sur le ventre. Une main sur la main. Après. On y sera après.

Dimanche 6 avril 2008 à 21:50

Rien. Personne.

Je ne le suis plus.
Il va bien falloir arrêter de rêver. Toi comme moi. Juste vivre. Si la vie ressemble à un rêve, tant mieux. Sinon tant pis. Je ne suis pas sous influence. C'est ce que nous pensions. C'est ce qui avait tout fait. Du début jusqu'à, jusqu'au, le reste quoi. C'était ça l'histoire : un monde de l'impossible, qu'on ne peut atteindre. Lorsqu'on l'a enfin atteint il perd énormément de son charme. On se rend compte, on réalise. Que oui, c'est un monde très banal. Vraiment pas de quoi s'en faire tout une histoire. Finie l'histoire. Pas jetée au feu, pas rangé précieusement. Juste oubliée sur le coin d'un meuble poussiéreux. La chambre et vide et aucun éclat n'y est attendu avant longtemps. Le jour qui se lève après une nuit sans lune, le soleil qui mentirait presque : "Youhouuu, c'est l'été !!!" mais non. L'été n'est pas là. Alors on ne va pas l'y chercher. Là, ici, ou là-bas. Le portable s'est perdu dans le lit et n'a pas d'excuse. Il finira balancé contre un mur un de ces jours... Comme le reste.

Dimanche 6 avril 2008 à 21:24

Et si j'avais été plus cruelle encore avec elle ?

Le corps qui lâche. Son visage est blanc par nature, là il est simplement livide. Aucune différence entre la couleur de ses lèvres et celle de son menton, aucun éclat, nulle part. Son nez qui pourtant est souvent rouge, ridiculement rouge sur sa peau pâle, reste au milieu du visage sans attirer les regards. Elle a maigri, beaucoup trop maigri. En trop peu de jours. Les épaules saillantes, la clavicule plus que visible... Elle n'est que ça désormais. Des os. Un tas d'os. L'expression n'a jamais aussi bien pris tout son sens. Ca n'est pas sans conséquence. Des douleurs. Des irrégularités. Ce sont pires que des irrégularités d'ailleurs. Mais elle ne veut pas réaliser. C'est dur de réaliser, c'est accepter de se regarder dans un miroir, accepter de lever les fringues larges, quatre tailles de plus que la sienne, accepter de compter les jours sur le calendrier, vers l'arrière, vers la peur et pire : l'angoisse d'être quelqu'un.
On est pas sérieux quand on a 17 ans. Surtout pas lorsque la seule grosseur que l'on trouve sur son corps de jeune femme se trouve sur un ventre qui torture.


Heureusement que je ne suis pas cruelle. N'est ce pas ?

Dimanche 6 avril 2008 à 20:14

"Quand Alicia compose un bouquet de roses, le monde est suspendu, à ses lèvres et pour cause, elles sont d'un rose, inattendu."

Vous pensez qu'on peut se retrouver si facilement ? J'hésite, ça me semble bizarre. C'est pas que m'éparpiller me réjouisse au plus haut point... Mais c'est ainsi.
C'est offert par la maison. C'est toujours offert par la maison. Je flotte, je suis dans un état indescriptible. Ça sonne faux. Je traduis des mots qui perdent leur force au fil des jours. Je crois en des idées trouvée au coin d'une rue trop bruyante. Posé sur le bureau, comme abandonné là, le réveil continue son "tic tac" et rien de tout cela ne me semble réel.




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