Vendredi 25 mai 2007 à 18:48



Ce matin je suis arrivée à 8heures à St Amand.
Et je me suis longtemps demandée si je n'allais pas partir pour la gare.
Je ne suis pas partie. Mais je ne suis pas restée non plus.

Vendredi 25 mai 2007 à 18:35

Elle s'était jetée dans son lit : elle avaut eu un coup de chaud en même temps que les larmes lui étaient venues, bien accompagnées par les tremblements de sa lèvre supérieure.
Elle savait à quoi elle ressemblait (l'expérience sans doute) une grande perche, une grande loque à semi allongée, la tête enfouie dans la couette amassée au bout du matelas, en dessous de ses bras.
Elle sent douloureusement son oreillle, le grand anneau argenté a été arraché par la gifle, elle sent aussi son mascara couler et couler, mêlé à ses larmes, ruisselant le long de son visage et de son cou blancs.
En abondance. Elle tente de reprendre une respiration normale mais est à nouveau secouée par un sanglot. Après un temps qui passe comme une éternité de pleurs.
Elle serre dans ses bras le tissu. Envie d'une cigarette. Et pourquoi pas aller lui en voler une et la fumer, sans se cacher, dans la chambre ? Elle n'est plus à ça près ce soir. Depuis deux jours elle se taisait de peur de reprendre la dispute inachevé d'il y a quelques semaines. Naïve qu'elle était. Maintenant c'est sur : rien ne sera jamais plus comme avant.
Elle descend les escaliers tout à fait normalment, après avoir séhé ses joues. Sa gorge la gratte, pas à cause des cris, non. Elle n'a pas crié. Oh non, elle a hurlé, de toutes ses forces.
Une insulte s'est gravée en elle, d'injustice et de cruautée, même si ce n'était pas la première fois, loin de là. A écrire ses mots elle lui revient comme un poignard dans sa chair et il faut s'arrêter un instant avant de repartir de plus belle.
Sa grand-mère, à qui elle ne peut penser qu'avec douleur. Mais non, pas de suite. Elle descend donc les escaliers et retourne au bureau, pour son bloc-notes et son stylo noir, qu'elle prend sans se cacher, devant sa mère, jouant sur l'ordinateur à des jeux sans sens et fumant des clppes dégueulasses.
Plus tard, depuis sa chambre, elle l'entendra tousser à s'en déchirer la poitrine, et aura envie de lui crier  "T'as bien raison ! Crève à 45 ans d'un cancer du fumeur". Non.  Là elle remonte et après avoir posé deux mots sur le papier elle pense aux autres et envoie un SMS. Etrange...
Elle se remet devant la feuille et écrit dans l'obscurité naissante, revivant de ce fait les coups, les injures, se sentant sale et étonnament souillé. Elle avait voulu frapper, faire couler ce sang dont elles partagent une partie alors qu'elle insultait l'autre.
Larmes à l'encre.
Elle s'était retenue et s'était vue, avec horreur mais aussi avec un certains délice sadique, sur le visage hystérique, les traits enlaidis par la colère, elle n'avait pu  réprimer cette envie de devenir folle et avait tenté de poursuivre l'affrontement, dans lequel les cris de rages, les jurons et les mouvements compulsifs lui paraissaient admissibles.
Elle échoua, c'est ainsi qu'en se trouvant en train d'écrire elle entendit ce qui lui parû extraordinaire "Margaux vient te brosser les dents". elle comprit qu'il convenait de ne rien en dire.
Et alors qu'on lui reproche son manque d'obéissance elle s'en va, machinalement, obéir à un autre aussi ridicule que dérisoire à cette heure nouvelle. Elle se brosse donc les dents, passe un coton sur son visage et enlève même les coulées de mascara marron. Alors qu'elle sait bien qu'elle restera pour longtemps encore, malpropre. Des piques, encore, absurdes et blessantes auxquelles elle ne répond qu'un "Bah !". Elle retourne à sa chambre, à son monde. Vérifie l'accusé de réception, remarque le mascara sur l'oreiller. Se trouve une subite envie d'aller sur le toit. Non, elle va continuer à écrire encore un peu. Puis elle décroche le méli-mélo "familliale", (pour elle ce n'est plus une famille, seul un vaste ensemble de personnes mêlant les coucheries et les trahisons), avec l'aide d'un couteau suisse.
Bizarre, les photos en quittant la place qui leur est dévolue depuis maintenant des années semblent se rapprocher d'elle, elle les voit plus, les rend vivantes. Les clichés prennent du sens.

La tête par le velux elle s'ennivre de la nuit parce qu'elle sait que là-bas c'est la même.
Va se coucher, reçoit une réponse et un autre sms.
Merci.

MAIS MERDE !!!
MA GRAND-MERE !

Jeudi 24 mai 2007 à 23:03

 



  Oubliez la tous. Lâchez la, c'était plus simple avant. Ca a déjà mal tourné.




[Dont ask me why]

Jeudi 24 mai 2007 à 21:45

Alors "les briques jaunes" cela vous dis quelque chose ? Si non, en étant un lecteur-d'un-article ici, tout va bien.
Par contre, si tu es un lecteur régulier et que ce nom ne te fait ni chaud ni froid, j'ose te dire que tu es un peu désespérant !
Si au contraire, tu es : exaspéré, énervé, eberlué, ou dans une très faible proportion, hilare, je te remercie de suivre ce blog avec assiduité.

Voilà un joli avant-propos. Parce que.

En effet c'est le troisième fois j'en parle. Et il y aura surement une quatrième, et oui, pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Bref, pour ce troisème coup de pub, j'ai décidé de me faire plaisir en usant et abusant des fameuses "private joke" (le maître en la matière) parce que, comme dit ci-dessus, ça me fait plaisir.

N'empêche... C'est à croire qu'il le fait exprès, qu' il déménage non pas pour améliorer sa plate-forme mais pour de la pub supplémentaire. Notons que c'est une des rares fois où je fais de la pub pour quelqu'un d'extérieur à notre communauté, mais bon, après le coup du sms [siii celui du DM d'anglais] cela n'étonne plus personne. Et puis, c'est bien connu, le machiavélisme c'est de famille.

Donc je reprends le speech habituel : les briques jaunes, jeune boîte de production, presque une affaire de famille, on y trouve le grand (qui y fait office de grand chef d'ailleurs, il est doué pour ça. Comme pour courir sous la pluie en chantant) et le moins grand (euhh comme l'impression que la formule ne convient pas) qui écrit des scénarios

J'ai été arrêtée. Je reprendrai plus tard.

Jeudi 24 mai 2007 à 18:32

Le front appuyé contre le carreau froid, les doigts pianotant avec vélocité sur les touches du portable.
Comment se tirer de là ? Elle voudrait à cet instant précis lire du Rimbaud et faire avancer les pages de son agenda. Elle peine à mettre en place l'indifférence qui lui tient tant à coeur. Alors elle fait avec ce qu'elle a. Son esprit est une machine qui ne s'arrête jamais, le mécanisme est parfaitement huilé, elle est simplement au sommet de son art.
Elle est rentrée dans une course infernale et épuisante, mais elle seule décidera de son arrêt, au moment qu'elle jugera opportun.


Jeudi 24 mai 2007 à 17:57



Parce que je cette fille je ne lui dis pas souvent (jamais ?) .
Mais je l'adore.

Ma grande et belle rousse.

Mercredi 23 mai 2007 à 20:45

"Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé.."

Lamartine

J'aime voir le jour qui se lève, c'est calme, et, selon les jours, on peut avoir envie de se lever en fanfare ou d'aller se recoucher avec délice pour retomber dans un sommeil que nous croyons immédiat.
Il est possible également de voir le jour arrriver alors qu'on est déjà levé et éveillé depuis longtemps, en ce cas, on admire et on se laisse songer à ce que nous réservera la journée. Voire celle d'après. Oui, on peut. C'est bien beau. Moi je pense à toutes celles qui ne m'appartiennent pas, à toutes celles que je ne vivrai pas… C'est ainsi que contrairement à un nombre chaque jour grandissant je ne m'éternise pas devant un coucher de soleil plein de mélancolie. C'est la naissance qui m'importe. La phrase me revient en tête « Un peuple qui pleure ses nourrissons et fête ses morts » je sais pourquoi je me sens proche d'eux. 

C'est rare, ça n'en est que plus sublime à mes yeux.




Mercredi 23 mai 2007 à 20:01

Bruno si tu ne viens pas me chercher à 17 heures...
Je ne veux pas y aller en sachant cela.
Merci tout de même pour l'invitation?
Trop risqué : cela pourrait lui faire plaisir en plus de tout.

Décembre je crois.
Quel charabia.

Mercredi 23 mai 2007 à 19:56

Elle peine à se déplacer, son visage est d'une paleur cadavérique et ses traits son tirés.
Courbée, elle avance lentement et son regard paraît flou. Elle nous inquiète alors que nous savons pertinemment ne rien pouvoir faire pour l'aider. C'est angoissant et énervant à la fois.
Personne ne mérite ça, cette jeune fille là encore moins que les autres.
Le hasard a voulu que cela tombe sur elle. Il n'a pas loupé son coup : c'est tombé, vite et fort.

Ca n'est pas forcément ça.
Mais si Vanille tu passes par ici, du fond du coeur,
un prompt et durable rétablissement à toi.

Mercredi 23 mai 2007 à 19:28

La grande et belle amitié avec une fille, pas une amitié exclusive mais voilà : avoir une meilleure amie.
Je suis vite retournée à mes principes de base avec la claque que je me suis prise au bout de deux ans. Quelle était cette claque ? La pire de toute : aucune.



Mercredi 23 mai 2007 à 15:03


Quand on veut être optimiste on trouve un aspect pratique à tout : avoir été réveillée à 1h04 du matin par un sms sympa et inattendu m'a permis de faire mon DM d'anglais en lieu et place de ce matin, dans le bus.

Et quand on veut être pessimiste on trouve un aspect pénible à tout : j'ai été réveillée à 1h04 ce matin alors que je dormais superbement bien et même si j'ai pu faire mon DM d'anglais à cette heure-là, il devait être pitoyable et cela n'aura de toutes manières servi à rien puisque étant mal réveillée et de mauvaise humeur à 7 heures, je l'ai oublié sur mon lit.

Après 15 ans, tournerais-je enfin à l'optimisme ?
Smile. = )


Jeune fille responsable et ayant l'expérience des enfants (animation, baby-sitting) cherche enfant à garder et/ou ayant besoin d'une aide aux devoirs.

Et je loue aussi mes services pour les DMs et les leçons de Français, Histoire, Anglais, Espagnol, Eco, SVT et Musique pour un niveau allant jusqu'à la seconde.
(Maths et physique-chimie  jusqu'à la 4ème.. Faut pas abuser !)
Caté aussi.

Non ?
Moi je vous le dis : si !!!

Mardi 22 mai 2007 à 22:39

Laisser la voiture m'emmener d'un endroit à un autre parce qu'elle le fait en seize minutes et treize secondes. Lever la tête et voir le ciel qui fond par endroit, plein de nuance et d'éclats, trouver la seule étoile déjà levée et la voir disputer à la lune le monopole de la lumière sur un fond bleu azur.
Se projeter, une poignée de secondes, dans un futur si proche qu'il en devient lointain. Imaginer le monde à ma manière, comme il me convient.
Remonter à la surface pour me dire que...
Demain matin je me lève à l'aurore pour faire mon devoir d'anglais. Je crois que j'ai loupé un ou deux paliers de pression.
J'ai ravalé les larmes et je n'ai pas expliqué. C'eut été inutile.
Il me tarde de pouvoir refaire des photos, avant cela je dois retrouver mon appareil et mon chargeur.
Bon, on va encore attendre un peu.
Une nouvelle aurore et un nouveau défi : suis-je capable de la surpasser ?

Pourquoi pas ?
Bonne nuit.



Mardi 22 mai 2007 à 19:27

Questions bêtes : une chanson de Carla Bruni et un peu de mon écriture, vous voulez ?


"  - Le problème essentiel, quand on est sur scène, c'est d'avoir quelque chose à dire. Nous avons donc un problème.
- Un problème essentiel. "

Il n'y a pas qu'au théâtre. Ici c'est du pareil au même, j'ai la tête ailleurs et ça ne sert à rien de faire semblant. Oh, non ce blog ne fait pas de pause, mais comme vous l'avez peut-être remarqué depuis quelques jours,  je poste pour poster, pour moi.
La "fameuse intuition féminine" me dit m'enfuir le plus rapidement possible, de prendre mes jambes à mon cou et de m'en aller sans un regard en arrière.
En réponse à Alexis ; oui je vais remettre en ligne les vidéos.

J'ai réussi pourtant.

Mardi 22 mai 2007 à 18:29

J'ai à peine le temps de mettre les pieds chez moi qu'on me hurle que "Ce soir on va au restaurant !!".
Bon, d'accord, je crois que mon DM d'anglais ce sera pour demain matin dans le bus, pour changer.

Pour le plaisir, mon travail d'espagnol, mon CV. Parce que lorsque je l'ai relu ce matin je me suis dit que j'étais vraiment tarée. Et non pas taret. (On se venge comme on peut.)

Curriculum vitae :

Civilidad  => **** Margaux
                        24 años
                        Soltera
                        *********** (une certaine adresse)
                        ************* (un certain code postal, une certaine ville)
                        Francia
                        Teléfono casa : 01 ** ** ** **
                                         movil : 06 ** ** ** ** ** o 06 ** ** ** ** **
                                         margaux.****@hotmail.fr

Formacion (avec l'accent mais voilà quoi ) - Estudias =>

 ~ Diplomada de la escuela de sciencas politicas de Paris y la universidad de Salamanque.
~ Diplomada de literaturia y de idiomas, grande escuela de Arras "hypokhâgne"
       
~ Idiomas : francés  (lengua materna)
                    inglés (hablado, escrito)
                    español (hablado, escrito)

Experiencia => Practica de un año al parlemento europeo, con la escuela de sciencas politicas de
                             Paris.
                             Practica de quince días en una grande empresa de communicacion con el instuto de
                             educacion segundaria.

Actividades => Baile, canto, deportes (futbol, judo), informatica, lectura, y fotografía.


Et pour ce DM... J'ai eu 6,5/ 20 !!! Alors que je n'ai, après correction (de ma prof bien sur) aucune faute ! Je dis un grand merci à la solidarité en classe d'espagnol et à l'organisation des relevés de notes !




Lundi 21 mai 2007 à 21:19

Le briquet est vide. Elle s'énerve sur la roulette jusqu'à s'en brûler les doigts, pourtant ce n'est pas cela qui allumera une hypothétique cigarette.
Elle revoit sa journée, celle d'avant, et celle d'avant celle-là, et encore avant... Elle peut remonter loin ainsi.
Il n'en sera rien, elle sait parfaitement où s'arrêter. Elle rembobine et revit  les (approximativement) neuf heures qu'elle avait passé dans son cauchemar. Après coup elle a trouvé ce qu'elle aurait voulu dire, à quel moment, pourquoi, et quelles en auraient été les possibles conséquences.
On ne revient pas en arrière. Pas encore.
 

Lundi 21 mai 2007 à 19:58

Elle voyait la maison. Et les cris de joie à l'intérieur, le père qui descendait à la cave pour aller chercher une bouteille de champagne. La fierté dans les yeux de tous, ajoutée aux larmes dans ceux de la mère.
Le héros du jour s'arrête un instant et fige son sourire pour qu'ils ne voient pas l'éclair passé en lui.
Si il avait été là, tout aurait été parfait. Il avait mérité d'être là. Mais non. Qu'on ose seulement lui dire que quelques moins ne comptent pas dans une vie. Bref. Si il était parti la tête haute, si il s'était promis de revenir de la même manière, quelque soit le résultat, c'est parce qu'il lui devait.
Toujours présent, toujours investi, c'était son projet autant que le sien.
Son nom n'était jamais apparu mais cela n'avait aucune espèce d'importance.

Maintenant j'espère que le cadre est juste.
Le reste, non, ça fait mal.


Lundi 21 mai 2007 à 19:17

"Faire un pastiche..." : sujet de français.

 Muhaha. Ca me connait le pastiche, certains de mes articles sont des pastiches, mes goûts sont des pastiches, mes passions sont des pastiches... Je crois bien que ma vie est un pastiche.
Il y a juste certains soirs où j'ai envie d'être exécrable pour me défouler de ce que j'ai pu me prendre dans la figure durant la journée, presque leur donner raison, parce que cela fait de temps en temps beaucoup de bien.

Muhahaha.

Oui je vous n***e tous !
Oui je suis la meilleure en français !
Oui je sais écrire !
Oui je suis la meilleure en histoire !
Oui notre représentation théâtrale était super !
Oui j'ai passé une excellente journée à Paris !
Oui je suis 5ème !
Oui j'aimerais pouvoir poster cet article en m'arrêtant là et en étant crédible !

Mais non. Parce que je n'y crois pas. Alors si vous passez encore par ici, au moins, allez voir dans mes liens, là il y a des blogs, non pas qui méritent d'être lus, mais que vous pourriez un jour regretter de n'avoir pas vu avant.

PS : je ne suis pas pessimiste et ce n'est pas de la fausse modestie. Je suis juste énervée ce soir. Ca m'arrive souvent en ce moment, je sais.

Lundi 21 mai 2007 à 18:03

Quelqu'un connait le :

 06 62 14 77 39

?

Dimanche 20 mai 2007 à 21:45

Le TVG passe près de l'aéroport Charles de Gaulle. Du moins on voit l'aéroport Charles de Gaulle et je veux déjà retourner en arrière, il y a approximativement cinq heures.
Ironie du sort, je suis placée d'une manière telle que je vois Paris s'éloigner.
La France s'orgueillie d'avoir le train le plus rapide du monde et à ce moment précis il roule comme au ralenti. C'est énervant. Mais belle journée, sans aucun doute. On a plus qu'à attendre juillet.

Après le morceau je n'ai pas de suite retrouvé le sourire :
parce que cela fait huit mois et trois jours.

Juste, je les adore :
Distantwaves
Bruno
Maky
Silver

Samedi 19 mai 2007 à 21:38



J'aime ce livre qu'on m'a offert alors que j'étais en sixième.
C'est une collection "Junior", à partir de 10-11 ans mais autant pour certains livres la tranche d'âge est sous-estimée, autant pour celui là elle est surestimée. Je mets au défi n'importe quel enfant de 11 ans de lire ce livre et de comprendre l'intrigue de bout en bout.
Ca fait donc 5 ans que je relis ce livre et j'y trouve encore pas mal de surprises.
Vraiment si vous en avez l'occasion et que vous aimez les polars, lisez le Parfum de la Dame en noir. C'est juste agréable et la narration, assez particulière donne une touche original, peut-être prise de tête.
Il faut aimer pour sur. On ne peut pas savoir si on aime si on n'essaye pas d'autre part.
Voilà.

Faudrait même que je pense à lire "Le Mystère de la Chambre Jaune", qui précède cet épisode là. Depuis le temps. Et puis, j'adore cette couverture, le titre aussi.

Demain je suis à Paris.
Ce sera sans nouvelles photos puisque je n'ai pas récupéré mon APN.
Flemme quand tu nous tiens.

Ecouter : "Not going anywhere" ou "Ending Song",
Keren Ann.


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