Samedi 19 mai 2007 à 11:58

Bien sur le bac ES est un bon bac. Qui peut me convenir parfaitement. A part les maths, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes avec ce bac. C'est même le bac conseillé pour faire ce que je veux faire. Dans ce cas pourquoi j'ai ce pincement au coeur dès que j'entends quelqu'un parler de la fillière L ?
Pourquoi à chaque fois que je me mets à lire un livre, classique ou qui fait couler beaucoup d'encre, je me demande si en fillière L il est possible de l'étudier ?
Lors de mon stage de juin je vais devoir prendre le train, tous les matins à 7h15. Quand on me l'a dit ma première réaction a été celle-ci : "Comme si j'étais allée à Watteau pour le bac L. "
Je ne me fais cependant aucune illusion, au-delà du veto parental et professoral (pour la plupart de mes profs j'entends) : je n'ai pas démarré avec les bonnes options et je ne fais plus de latin.
J'en arrive presque à avoir le regret de ne pas être allée à Couteaux. Mais mon dieu pourquoi me suis-je laissée convaincre si facilement en troisième lorsqu'on m'a dit que je pouvais continuer la seconde dans la même institution, abandonner le latin et voir ensuite ?
Je pourrai faire comme un certain prof de maths, qui, à son époque, a passé l'équivalent du bac S puis en candidat libre l'équivalent du bac L. Oui, je pourrai, mais ça ne servirait à rien, je veux ce bac pour son contenu, pas pour son diplôme.

Brin, faut vraiment que j'arrive à rentrer en hypoghâne par la suite.

Samedi 19 mai 2007 à 0:17

Un petit article pour vous raconter un peu. (Petit et un peu parce que la famille n'y est pas allée de main morte sur le champagne ^^)
Le théâtre, ce soir, aujourd'hui, cette semaine, ce fut génial, super, grandiose etc.. etc...
Déjà, j'ai pu parler aux gens avec qui ne je parlais pas (Charles, Pierre, Mathieu), j'ai revu des anciens (Fazou, Richard, le Derv...) rencontré de nouvelles personnes (Joker !), d'autre part j'ai passé de très bon moments, entre les costumes, dont la mise en place du "rembourrage" de Julie, les maquillage, même si je ne devais pas le faire à la base : "Jamais une fille n'a été aussi douce avec moi." Made in Pierre XD. Pour les esprits pervers qui se promènent par ici, et je les sais nombreux, je lui étalais juste du fond de teint sur le visage !
Quant à la réprésentation, je dois le dire, en toute modestie, on a vraiment assuré. La salle était comble, les spectateurs ravis, les acteurs stressés, dégoulinants, et autres choses sympathiques qui prouvent qu'une représentation est belle et bien réussie.
De mon côté je ne me plains pas, j'ai zappé une phrase du texte, mais elle n'était pas importante. Pour que je me permette de dire ça il faut savoir que j'avais un texte qui faisait trois pages A4 dont un monologue qui prenait à lui seul une page !
Sensation enivrante que celle des applaudissements, du salut. Les félicitations, Jeanne, Thomas, Simon, les profs.
Vraiment. C'est fini. Ouf. On recommence quand ?

Jeudi 17 mai 2007 à 22:48

Parce que c'est juste un scandale que cette boîte toute jeune ne croule pas sous les demandes, les emails, les sms, les appels, les courriers, et les relances. Ou alors je ne suis pas au courant. En tous les cas ça m'hérisse et m'exaspère, alors, s'il vous plaît, pour éviter de m'énerver ce soir (en gros soyez charitables, j'ai envie de vivre après ma sortie de scène demain vers 20h30 et donc, de ne pas me faire étriper par le grand chef) : cliquez
Et puis des pots de peintures et un grand moment de défoulement.

"Oh la belle jaune !"
"Tu crois qu'en sautant sur le bidon ??"
"Faites gaffe que je vise mal ! "
"On oublie pas de bien vider les pots avec de l'eau !"

Vlan, vlan et vlan, sur le mur !
Oh, je n'ai même pas fait attention :
mur, briques, peinture, jaunes.
Mouais il faut que j'aille me coucher là.

Jeudi 17 mai 2007 à 21:25

Le 800ème me fait surement un peu peur.
Je me demande ce qui ne me fait pas un peur en fait.
C'est pas grave. Ca va aller. Il n'y a pas de raisons.
Et les gens viennent encore me voir pour que je les réconforte, pour que je les écoute, ou juste pour que je sois présente. Ca ne me dérange pas, au contraire, cela me flatte d'une certaine manière, je crois, et je suis heureuse de me dire que je peux servir à quelque chose. Mais parfois j'aimerais qu'on me réexplique pourquoi moi. Ah, Lonah.
Ne pas oublier de changer le fond d'écran principal, et le fond d'écran clapet.
Regarder la Science des Rêves.
Ecouter Not Defined et Coldplay.
Du miel, du lait et dormir.
Danser.

Jeudi 17 mai 2007 à 19:45

Merde, je lâche prise et je me rends compte de ce qui m'ennuie réellement, de ce qui gâche mes tentatives trop timides. Ces essais de vies. Cela reste discret et caché derrière les mondes que les Hommes s'inventent chacun de leur côté.

Où suis-je ? Je me perds. Je divague.

C'était fatal, les poussières posées sur les photos font naître une nostalgie et des regrets insidieux, je m'enferme dans le silence et dans la solitude. Au lieu de ça je parle ici pour ne rien dire, pour l'illusion d'agir, puisque je ne trouve rien d'autre.

Froid et dur.

Je continue, j'encaisse les coups.

 

Jeudi 17 mai 2007 à 19:33

J'ai eu ma période cynique où je me laissais porter au gré de mes envies, avide de rencontres et ravi de jouer un rôle qui me rendait exécrable aux yeux de tous, aux miens aussi.
Le plein d'amertume.
Cela m'ennuie de le reconnaître mais désormais j'aime la place que j'occupe.
Je ne suis pas présent, je ne suis pas absent, je vois les choses avec un recul proche de l'indifférence, parfois je me mets à vivre comme eux. Pas avec eux, non, ça je pense le faire chaque jour, sans qu'ils le sachent. Cela m'ôterait un trop bonne protection. Croyez-moi ailleurs.

Si vous pouviez tous vous rencontrer et parler ensemble,
mon mystère serait levé.


Jeudi 17 mai 2007 à 19:20

Des valises sous les yeux, je suis fatiguée, complétement exténuée en fait.
Des ratures, les paupières qui s'abaissent et les sourires qui énervent. Les bruits tambourinent alors que les voix hurlent dans ma tête.
C'était calme et je dormais.  La vague devait venir, elle était attendue, autant que possible : il est dur de se préparer à l'inconnu, c'est pour cela qu'on en a peur. On ne contrôle pas ce qui nous arrive.
Enfin, c'est ce que l'on prétend souvent.  Il faut faire preuve d'un minimum de réalisme, certains n'attendent que lui, il est le seul à les faire vivre. Les deux positions, opposées, sont délicates à gérer, mais dès lors qu'elles cohabiternt cela relève de la mission impossible.
Pour en revenir, une dernière fois à la vague, je dirai juste que ce fut une déferlante.

J'en ai plus que marre d'avoir à
demander des autorisations.

Mercredi 16 mai 2007 à 22:53

Retrouver les ballerines noires, portées disparues dans le foutoir monstre qu'est ma vie et ce qui la représente. Danser. Du classique,sobre et transcendant, laisser se dire ce qui ne se nomme pas.

Ou au contraire, poser des mots, des mots qui semblaient fades, les assembler pour faire en sorte que l'on s'arrête dessus et que, l'espace d'un instant,  on puisse prendre la place d'un autre. Faut-il encore savoir le faire.

...

Je n'y arrive plus. Quant à la danse je n'y suis jamais parvenue. Il y a des poètes maudits, des danseurs estropiés et des chanteurs sans voix.
On a le droit, le devoir peut-être, d'oublier ceux qui traînent au milieu, ceux qui observent les dons tombés entre des mains inattendues voire indignes.
Eux qui scrutent des horizons étrangers en admirant le silence.

Ponctuation ce soir je t'emmerde

Mercredi 16 mai 2007 à 22:38

Il suffit d'un sms pour voir un rêve réapparaître. Et quand il est fondé sur des valeurs auxquelles vous n'adhérez pas, vous tâchez de vous faire une raison, de voir la beauté là où nous ne songiez pas la trouver. Le pire c'est d'avouer qu'elle a raison. Aussi je ne le ferai pas. Ce piano... Je passerai des heures à l'écouter. Je passe des heures à l'écouter. Ce que je souhaite ? Une pièce plongée dans le noir, avec comme seul sens valable et utilisé l'ouïe. C'est la solution pour se sentir enfin tel que l'on se souhaite.
L'un fait passer à l'autre, c'est une danse infernale.
Mon rêve c'était un appartement à Lille, entre la Fac et l'IEP, près de l'école des arts.
Mon rêve c'est de vivre comme j'ai pu vivre auparavant mais avec la garantie de ne pas tout perdre.
Mon rêve reste cette pièce noire.
C'est l'arrêt ? Du changement ? Des douleurs ? Des larmes qui comprennent pourquoi elles n'arrivent pas ? Des prises de conscience après des périodes vides et dénuées d'âme ?
Je compose, j'écris, je parle et je vis. En écoutant. C'est cela même. L'essence. La matière des rêves, sans quoi ils ne sont rien. Les sons et les sensations. Les premiers sont juste les plus faciles à retrouver et à dompter.

Faut-il que cela soit elle ?
Mon imagination débordante.

Mercredi 16 mai 2007 à 21:32

Problèmatique : je dois enregistrer une chanson pour

1°) Envoyer au groupe de rock belge (pour le plaisir)
2°) Trouver un autre groupe (pour bosser un peu)

Le problème étant que je ne peux pas chanter de la variétée, que j'aimerais chanter en anglais sur une chanson qui me permettra de travailler ma tessiture... Bref, je ne suis pas une fille compliquée.

J'ai pensé à :

La liste, de Rose 
The Rose, de je ne sais plus qui
I'll follow you into the dark
That I would be good
Du Bethany Joy (merci à Sophie et désolée pour la faute de frappe ^^ ) Lenz

[ Dans l'ordre : (en tête pour l'instant mais c'est du français ) (géniale mais je n'ai pas le morceau) (je reste dans les graves presque tout le long ) ( les aïgues m'achèveront un jour ) ( j'avais pas demandé du rock ??) ]

A moins de faire When the stars go blue, ou With Or Without You.

Sur ces considérations musicales d'une extrème importance (et vive le nouveau président tiens !), je m'empresse d'aller vous écrire un vrai article.

Le théâtre finira de m'achever, si besoin est.
Par contre, j'ai menti : je ne suis pas fière, au contraire.
                     


Mercredi 16 mai 2007 à 20:42

On se promène dans la ville, mangeant des sucres d'orge, riant encore de la tête de la vendeuse devant Ces deux grands gamins de 30 ans lui demandant poliment, presque timidement un sachet de bonbons.
Les grands gamins c'est bien sur nous.
Je m'étais toujours demandée ce qui aurait pu se passer si l'on avait passé notre enfance, et notre adolescence aussi, pourquoi pas, ensemble.
 Alors on essaye de trouver la réponse, de rattrapper ce temps qui aurait pu se perdre.
On s'invente des souvenirs, commet des engueulades par la concierge hirsute du grand immeuble rouge, ou le retraité un peu fou qui jouait du saxo à n'importe quelle heure, de jour comme de nuit. Tu me précises que c'était surtout de nuit. Ah. J'ai oublié ce détail, comme quoi.
En fond sonore c'est du Keren Ann, et l'éclat de rire de la petite fille du 6ème. On ira lui offrir le sachet, dont au final nous n'aurons mangé que les deux bâtons : on se fait vieux pour ça.

Mardi 15 mai 2007 à 21:49

C'était un bon groupe, une petite dizaine d'Amandinois qui partent à l'aventure, de nuit, dans une ville inconnue, dans un pays étrangé.
Autant dire que j'adore.
Les lumières de bars inconnus, l'ambiance, successivement bruyante, festive, branchée, feutrée.
C'est un bar à la mode, le Delta. Beaucoup de Français sont déjà à la terasse.
On commande, on les rejoint, on parle, on chante, on s'éclate quoi. Je m'empresse de regarder tout à la fois pour graver les images dans mon esprit. Victor qui revient avec cinq vodkas-red bulles, Denis et Rachel, à deux sur une chaise, Guilhem qui me redonne son classement à ma demande, Simon avec sa Kriek...
Ensuite le retour, la marche à deux dans les rues, et les discussions arrosées. Pfiu. Ca me manque. C'était il y a trois jours. Et on en revient toujours à la même chose.

Mardi 15 mai 2007 à 21:38

Je veux travailler cette chanson.

Mercredi, Jeudi et Vendredi, je suis en répétition pour le théâtre.
Vendredi soir je suis en représentation.
Samedi je suis aux portes ouvertes du lycée.
Et Dimanche à Paris.

Mais vraiment, je suis d'un narcissisme ces temps-ci. C'est effrayant. Et c'est là que les gens choisissent de vous faire entrer au top 10, et de vous le rappeler. Vous m'aidez pas hein !


Mardi 15 mai 2007 à 19:35

Bon, j'aurais peut-être dû lui dire que je n'étais pas de son avis. Et puis, jouer là-dessus. C'était trop délicat ? Je l'ignore, pourtant le résultat est là : je suis encore restée silencieuse.
 J'aime le néologisme de Raymond Queneau, l'armoure. Je rajoute ça aux-mille-et-une-choses-que-je-ne-dois-pas-oublier-si-par-le-plus-grands-des-hasards-cosmiques-MAISMYMYTUVASTELAFERMER ?!?! Mille et une, j'ai tendance à minimiser l'ampleur du désastre (comme quoi cela m'arrive).
Dans un genre proche, je suis aussi curieuse de savoir comment il avance, son programme, son boulot, et, je n'osais pas l'avouer, mais ce que j'aimerais effectivement être tenue au courant !

Ces temps-ci j'ai du me limiter dans certaines catégories, Enfant de Mots et Bric à Brac du Coeur, principalement. Pour la bonne et simple raison que j'essayais de remettre les choses en place, histoire d'y voir plus clair. Vous ne serez pas étonnés d'apprendre que c'est encore plus bordelique !

Pourquoi j'ai dans la tête
" Ils étaient grands, ils étaient beaux, ils sentaient bon le sable chaud " ?
Dans les mille et une choses on trouve dans le groupe de tête : vous dire son nom.
Ca vous dit les vidéos des spectacles ?


Mardi 15 mai 2007 à 19:17

Je suis tombée amoureuse de la chanson de Not Defined, Tragedy Of Life. Rien que pour ça les jeux européens cette année ça valait vraiment le coup. Et avec les paroles.. Mais rohh. Va falloir m'envoyer en cure de désintox. [ A ce moment précis un email du bassiste arrive et Mymy repart s'extasier ]



Lundi 14 mai 2007 à 22:37




Je ne suis pas une psychopathe. Je vous jure.

Lundi 14 mai 2007 à 22:32

Y'a des soirs où je recule à une vitesse effarante. C'est fou comme les pas en arrière se font plus vite que ceux vers l'avant.
Encore un peu d'inconscience, cela me fera du bien. Ne plus penser à rien. Mais vraiment à rien. Oublier la totalité de ces choses qui me pourrissent l'existence par leur addition : n'avoir fait aucun travail ce soir, ni scolaire, ni extra-scolaire, avoir encore déconné par rapport à Janiko, m'être engueulée avec ma famille.
Je veux même oublier les choses qui me font sourire : attendre dans un couloir, parler avec des belges, des français même. Et les musicos. Rahh.
Non. Le vide. Oui, le vide. Et comme il le disait "M'endormir comme une bête". Oui, c'est bien comme programme ça. Je retrouverai l'ensemble de ces poussières demain. "Un parterre de poussières écloses". Oui. Ca c'est Eva Garcia, et son Magicien d'Oz.


Par contre, Not defined, Tragedy Of Life.
Et Coldplay.
Mais je vais finir raide dingue moi.

Lundi 14 mai 2007 à 20:49

Quelqu'un veut faire mon espagnol, mon français, ma physique et mon svt à ma place ? Non ?
Trop gentil.  Je suis complétement HS, je lis et relis Antigone, pour changer. Pourtant je sais que ça ne  va pas m'aider à coller un grand sourire sur mon visage. Mais ce n'est peut-être pas ce que l'on me demande. A méditer.

" Tes grandes mains posées sur mon dos ne mentent pas, ni ton odeur, ni ce bon chaud, ni cette grande confiance qui m'inonde quand j'ai la tête au creux de ton cou ? "


Je songe à attaquer Jean Anouilh pour espionnage. C'est ça, purement et simplement ça. Il met des mots sur ce que je n'arrivais pas à comprendre, la confiance. C'est l'évidence même. Il fallait juste y penser. Ouais, juste.
Maintenant que je le sais faut il encore pouvoir le dire. C'est un autre problème, que je ne suis pas prête de résoudre.
J'étais dans le bus quand j'ai redécouvert le passage que j'ai mis au-dessus, alors j'ai écrit sur mon livre. L'édition de La Table Ronde, orange pétant, du moins à la base, désormais les pages sont usées, y'a des taches un peu partout et des notes aux sens divers, d'été, variés, redondants et abscons... Je m'y perds quoi.

Ca emmerde les gens : il pleut à nouveau.
Moi je suis contente.



Lundi 14 mai 2007 à 19:36

On va m'accuser d'être dans une période "musicos" mais c'est le hasard qui veut ça ! Et en plus, j'avoue, j'assume et je revendique totalement ! Bref.

 J'ai déjà parlé ici du Petit Prince, de lui, de ses chansons, du groupe dans lequel il évolue désormais etc..  Je recommence aujourd'hui parce que son groupe avance (bien, très bien) et il leur faut donc un programmeur pour créer un site... Vous pouvez avoir toutes les informations sur son blog. (Cliquez sur les liens dont cet article est rempli !) et même si vous êtes une quiche en informatique, allez-y quand même : cela vaut le détour !

Lundi 14 mai 2007 à 9:26

On va clôturer la série d'articles destinée aux jeux européens par une petite note musicale. Cela fait toujours plaisir, surtout cette année. En effet les rencontres avaient cette année droit à un hymne et à une animation musicale grace au groupe du lycée Sint-Hubertus.

Je dois admettre que j'ai vraiment adoré et que j'ai à l'instant même la chanson en tête. Mais contrairement à ce que les autres français ont pu dire, ils n'en ont pas joué qu'une seule chanson et, pour preuve, je mettrai un morceau à eux dans cet article. (Ce soir parce que je suis au poste informatique du lycée et j'ai encore oublié mon casque > <).

Not defined :

Voici la composition du groupe :  un pianiste/chanteur, un bassiste, un guitariste, un batteur.

En somme, rien de très original à ce niveau (sauf quand le chanteur s'est mis à l'harmonica, Maky j'ai pensé à toi XD) mais qu'est ce que l'on s'en fout ! Ils étaient tous excellents. Pourtant, je veux rajouter une mention spéciale pour le chanteur et le bassiste : très sympas, hyperactifs, (ils font partie de la troupe de danse masculine de Neerpelt et dansent admirablement bien), enfin, pour ne rien gâter, j'avoue les trouver plutôt mignons !

*Après réflexion, autant le dire, le chanteur est carrément sublime. Hop, ça, c'est fait.*

Doonc, prenant à coeur mon rôle de journaliste  (kof kof) j'ai pris pas mal de photos, et, surtout des vidéos. Bah oui, quatre gars survoltés, en train de jouer du rock, à prendre en photo avec un appareil qui a tendance à rendre flou... Ca n'est pas une partie de plaisir. Lors des répétitions par contre pour leur parler le dimanche midi ; c'était dur dur, une horde de fans s'était précipitée sur eux. Et j'exagère à peine. Ah, une fille de mon lycée arrive et me dit qu'elle a une photo nette de ces messieurs. A voir donc. Bref, je continue, donc, ne voulant pas me mêler aux acclamations hollandaises et allemandes, je me suis mise dans un coin et j'ai rédigé une petite note en anglais que j'ai déposé dans l'étui de la basse. Dans la note j'ai juste félicité le groupe et j'ai demandé si je pouvais mettre une vidéo ici. Si je ne reçois pas de réponse je considère que c'est oui, au pire ils demanderont à ce que je l'enlève. Mais bon, j'aimerais autant reçevoir une réponse, histoire de !

Si, il y a une chance sur dix millons que cela arrive mais sait-on jamais, quelques belges passent ici, j'en profite pour remercier la copine du bassiste, qui, en étant avec son copain et en repoussant les groupies m'a permis de déposer mon mot ; ) Par contre, si quelqu'un a entendu le nom du groupe, ça m'arrangerait.

PS : La loose, je me suis foutue de Lucie parce qu'elle pensait que le groupe s'appelait Not Defined à cause de la présentation Power Point, mais je viens de recevoir un email de leur part, et c'est bien le nom. Excuses publiques à ma Lu !

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