Lundi 26 mai 2008 à 19:00
(et autrement qu'en pinçant chacune des cordes d'une guitare)
Lundi 26 mai 2008 à 18:16
" Et madame, il est comment votre amoureux ? Non ! Laissez moi deviner. Tu vois Julie, cette jolie fille là elle a quelqu'un, ça se voit. Il est grand. Gentil. Intelligent bien sûr. Super gentleman sûrement. En plus il a une voiture ! Si Julie, il a une voiture tu vas voir. Il est brun. Il a pas des yeux foncés. Il a les yeux bleus. Si. Bleu. Les vôtres sont marron mais étranges. Ils n'ont pas de couleur. Lui il a de beaux yeux. Si."
Thanks.
Le corps il s'écrase comme une grosse merde trop lourde en bas.
"Je pars. Je fuis. J'y retourne.
Où ?
Me faire mal.
Comment ?
Des abdos.
Ah. Ça va donc."
Le prochain il n'est pas près d'arriver.
Dimanche 25 mai 2008 à 19:16
"Embrasse moi par dessus bord, vient mon ange retracer le ciel, j'irai crucifier ton corps laisse-moi dépunaiser tes ailes, t'embrasser, te mordre en même temps, enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant, te supplier de revenir et tout faire tout, pour te faire partir mais vient emmène moi là-bas, donne moi la main que je ne la prenne pas, écorche mes ailes envole moi et laisse moi tranquille à la fois, et mille fois entrelassons nous et nous lassons même en dessous serre moi encore serre moi, jusqu'à étouffer de toi !"
Les souvenirs sont bien sûr des choses bizarres. Mais et alors ? Ils sont mouvants, c'est l'important. Sans transition aucune ; c'est le pied les ordinateurs portables décidément. Tapoter des textes au beau milieu d'un immense terrain d'herbe, au soleil, c'est tout de même pas trop mal. Le téléphone sur les genoux. Par contre avec une connexion internet ce serait mille fois mieux. Mais bon, je ne vais pas trop me plaindre. Hier soir couchée 2h35, endormie après 3h30. Faut avoir la forme pour tenir le rythme. J'ai normalement un peu, beaucoup de taff à faire. Ne parlons pas de ça entre nous. Dans un mois et deux semaines, oui, ça parait bien plus court dit ainsi. Y'a de la tarte à la rhubarbe, du café et du gâteau au chocolat. Le soleil dans le Nord, on a beau se moquer il est bien là. Dire que dans le Sud on annule des représentations théâtrales pour cause de mauvais temps... Viendez ! Viendez tous ! Soit. A toutes les Sophie : bonne fête ! Et merci à elle. N'empêche c'est un pur bonheur de recevoir des mails de lecteurs. Ca fait pas modeste du tout dit comme ça, mais c'est pas vraiment loin de la vérité. Y'a la cousine "exilée" à Paris qui est là. Paris peut-être entre la fin de mes cours et le 5 juillet. A voir. Selon la poste notamment. Le bac c'est pas trop grave ça par contre. Je suis motivée c'est assez impressionnant. C'est la bataille des bouteilles d'eau. Mymy et sa tenue virginale... Mauvais plan, j'ai plutôt intérêt à me tenir à carreaux. Carole, Caroline, Catherine, Maman, Madame le Maire, par contre, n'y échappe pas. Ce que je deviens ? Voilà. Je suis la fille en jean et en liquette blanche, la fille aux bijoux en argent et à la clé de sol en or, la fille qui écrit et rit tout en restant toujours un peu insatisfaite, celle qui se décide à mettre ses lunettes de soleil et à éventuellement se pencher sur ses affaires scolaires. Son trieur, sa trousse, un bloc-notes, un paquet de copies doubles, un dictionnaire d'espagnol. Tout roule donc. Mon bordel se transforme en foutoir et j'attends de vivre vraiment pour remettre un peu de désordre artistique. Pendant ce temps, on parle de ma grand-mère. Et je suis peut-être tellement égoïste que des souvenirs reviennent, sans aucun rapport ou presque. "Ma grand-mère a quelque chose, que les autres femmes n'ont pas...". Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme. Et lui, il part aussi. Dans un an je le suis.
Dimanche 25 mai 2008 à 11:11
Dimanche 25 mai 2008 à 1:34
Cela fait maintenant plus d'un an et demi que je la connais (je crois, enfin, ouais, ça doit être ça, c'est quel mois six mois après août ?) et voilà. Les sms. Les lettres. Que je mets toujours 20 ans à renvoyer. Anne et Mylène te le diront. Et. Les dessins. Il est toujours sur le mur de ma chambre tu sais. Je le vois dès que j'y passe. Les sms. Que j'ai encore, beaucoup, que je relis. Les cartes postales, qui sont sur mon bureau. Une photo de toi dans mon agenda, parce que t'es belle, avec ta rose bleue. T'sais c'est même être un peu jalouse de tes autres amies. Alors je souris. Je ris avec elle. Mais t'es partout. Et moi nulle part ? Je sais pas trop. Finalement, à croire que je suis une fille jalouse et décidément trop paradoxale. Je voudrais comme d'autres, les gens rien que pour moi, peut-être. Mais je trouverai sûrement ça ennuyant. Et puis conflit d'intérêt quoi. Zut zut zut. Ça me donnerait mal au ventre. Fèche quoi. 52 jours. Si je compte un peu mieux que pour les mois. Genre la fille qui va débouler du train. Que je fasse gaffe. Je serai foutue de vous briser quelques côtes.
Parce que l'Amour en Amitié, ça soulève le coeur, ça donne des ailes, pour sûr. Mais ça peut aussi être juste aussi compliqué que le reste. Surtout quand les deux se trouvent un lien. Mais au final, y'a toujours ce sourire et ces étoiles...
Dimanche 25 mai 2008 à 0:35
Cherchez pas : c'est dans l'ordre alphabétique. Parce qu'au bout de presque deux ans, le temps commence à se faire long, s'essouffle un peu même. J'avoue que la situation n'arrange pas les choses. Mais putaing' ce que je vous aime tous les trois. Tu parles d'un héliotropisme. Je m'en fous du soleil. Vous êtes bien suffisants. Bien plus que ça. Y'a que moi pour foutre le monde dans imbroglios pareils. Mais en même temps, je ne trouve rien à changer. D'une certaine façon j'en suis désolée. Je me souviens d'une phrase que j'avais écrite. "Pour toi, mon coeur bat une fois sur trois." C'est pas exactement ça. Vous croyez que c'est possible d'avoir une petite dizaine de coeurs ? Pour autant de personnes qu'on ne supporterait pas perdre ? J'ai déjà eu le coeur arraché. Je me le suis un peu arraché aussi. En gros. Ils étaient une petite dizaine, eux aussi. Certains plus importants que d'autres. Là, juste, je ne pourrais pas supporter. Mouarf. Vous trois quoi. C'est étrange de vous savoir si unis et séparés. Et moi au milieu. Ta gueule Mymy. Assume. Ouais. Ce week-end j'ai deux lettres à finir. Ça commence à devenir urgent. <3
(Désolée. Pour ce que tu m'as dit. Et merci. Parce que tu as juste raison. Et quand tu m'en veux c'est pour quelque chose de juste. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. Ma Val'. T'sais qu't'es quand même la première fille à qui j'ai dit "je t'aime" ? M'enfin. Même si avoir perdu la perspective d'avoir les sms illimités fait qu'on s'embrassera pas hein. Tout de même.)
Samedi 24 mai 2008 à 23:02
- Que fais-tu ?
- Je cours.
- Tu te fiches de moi ?
- Non pourquoi ?
- J'ai eu Jul' au téléphone, elle m'a dit qu'il pleuvait à drache dans le secteur !
- Et alors ?
- ...
- Ecoute.
-...
- T'entends ? J'arrive près du pont de Boulay.
- T'es folle.
- Mais oui, c'est pour ça que tu m'aimes !
- Le pire c'est qu'elle a raison la garce.
- ...
- ...
- Sinon à Paris il fait quel temps ?
Samedi 24 mai 2008 à 22:17
Samedi 24 mai 2008 à 14:26
Samedi 24 mai 2008 à 9:50
Vendredi 23 mai 2008 à 20:00
Si, tout de même, ses deux ans.
Jeudi 22 mai 2008 à 19:47
Jeudi 22 mai 2008 à 19:27
Mercredi 21 mai 2008 à 22:27
All this time I'm distracted from the world
The world outside of your arms
All I need is here
Try and find, a way to say the things
The things I feel when you smile
They take away my words
You know, that people come and go
It's here for me
When things in life run me down
All I need is you
You wanted a love song
You asked for a love song
You wanted a love song from me
You asked for a love song from me
Now there's a love song for you
Yeah, I know, I don't hear you, I don't see you, I can't feel you
You know, it's always my fault, communication is such a let down
I ain't proud of my behaviour
I thank the Lord, you're still here
Yeah I know that I push you
Yeah I know, yeah I know, yeah I know that I push you
I know that I push you
Try and find, a way to say the things
The things I feel when you smile
They take away my words
You know, that people come and go
You wanted a love song from me
You asked for a love song from me
Now there's a love song for you
Mercredi 21 mai 2008 à 20:10
Elle pourrait lever la pointe de son stylo et s'arrêter là. Elle le pourrait. Et elle se demande d'ailleurs si elle va le faire. Sans compter que "je n'ai pas envie" ça veut tout et rien dire à la fois. Elle a peut-être envie tout de même, dans le fond. Qui a éteint la lumière ? Elle n'y voit plus rien. Le jeu était drôle au départ mais maintenant il lui semble un peu amer. Elle en rêvait encore la nuit dernière, alors que la nuit précédente elle s'était jurée que c'était la dernière fois. Du coup elle a peur de retourner se coucher, mais elle craint encore plus de rester éveillée, elle et sa conscience, elle et ses pensées qui filent plus vite qu'on ne saurait le penser. Le vrai problème reste de dire adieu, elle retarde ce moment en espérant qu'il finisse par disparaître de sa vie, de son présent, de son passé et surtout de son futur. Ou pas. Qu'il apparaisse. Au contraire.
Mercredi 21 mai 2008 à 19:52
J'adore me réjouir des réussites des autres. Ça pourrait devenir assez malsain.
Ah. Qui que quoi où quand comment ? Pierre, son CAPES. Donc. Smile.
x Note : ne pas oublier, résultats de l'oral le 12 juillet... Euh. Non. Le 12 juillet j'aurais d'autres choses auxquelles penser.
Mercredi 21 mai 2008 à 19:40
Mercredi 21 mai 2008 à 17:55
"En fait, quand je lève la patte pour faire le toutou, c'est comme les mâles : pour leur pisser dessus."